Polyamour.info

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Discussion : Rencontre "comme à la maison" - proche Dijon

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bonheur

le samedi 29 septembre 2018 à 17h45

Il est encore possible de s'inscrire ou d'avoir des précisions :-) . Il reste de la place disponible... surtout s'il fait bon et que l'on s'installe sur la terrasse :-D

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Discussion : Comment vaincre les émotions engendrées par l'infidélité consentie dans une relation?

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bonheur

le samedi 29 septembre 2018 à 17h35

Oui, nous sommes mouvance et impermanence et surtout imparfait.

Par contre, lorsque l'on met le doigt sur quelque chose qui prend autant d'importance pour nous (je pense que pour bidi... aussi), que ça sonne comme une révélation et le truc qui nous manquait pour justement se sentir bien et s'affirmer... on peut parler de fidélité à soi-même.

Ce ne sera pas dans dix ans, vingt ans... ainsi. J'ignore. Je sais que ça fait plus de dix ans et que j'ai évolué, mais dans le sens de me découvrir et cette fidélité à moi-même est importante. Ma polyaffectivité en résulte.

Je me suis souvent demandée ce qui m'avait "empêché" auparavant de ne pas comprendre tout ça. Ce n'était pas opportun ?

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Discussion : De la psychanalyse à l'amour pluriel, ou la différence sexuelle revisitée

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bonheur

le vendredi 28 septembre 2018 à 23h16

Moi aussi, je me suis demandée comment on passait de la psychanalyse (on en pense ce que l'on en veut) au polyamour. Je n'ai pas compris la transition. Mais bon, je ne suis pas fufute dans le domaine.

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Discussion : Mon unique amour depuis 27 ans

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bonheur

le vendredi 28 septembre 2018 à 23h14

Coucou TrioBulle ! Nous avons posté simultanément :-D

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Discussion : Mon unique amour depuis 27 ans

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bonheur

le vendredi 28 septembre 2018 à 23h08

Non, bidi... n'est pas mon mari (ou alors il me le cache). Bidi me connait bien à force de me lire, ici ou en mail personnel que nous avons pu échanger parfois.

Mon mari n'intervient pas sur ce site. Il lit parfois. Il est très introverti et réservé. Sa vie, il la considère comme basique et ne pense pas que son opinion puisse avoir un quelconque intérêt.

Si tu lis mon premier post, Chrisa, je n'ai à la base fait aucun choix... Je me suis mariée sans me poser de question quand à mon avenir et c'est seulement au bout de 18 ans de mariage que j'ai été chamboulée par une émotion qui m'a dépassée. Mon mari ne m'a pas demandé de faire "machine arrière" car il découvrait alors une femme plus belle, plus épanouie, plus merveilleuse et sans que j'en sois moins aimante dans notre couple. C'est la vie qui a choisi, mais pas moi qui est choisi ma vie. Juste, je suis ainsi et c'est ce qui me convient. Ce n'est pas intellectuel, c'est émotionnel. Depuis, j'ai ouvert mon coeur, au lieu de le fermer à une exclusivité. Mon mari m'a accompagné sur cette découverte de moi et a découvert aussi beaucoup sur lui-même. Je suis. Il est. Nous sommes différents mais en parfaite harmonie. Là où tu considère un affront de l'un envers l'autre n'en n'est pas un.

Et oui, je réaffirme que s'il est malheureux, qu'il subit, je préfère le savoir et qu'il refasse sa vie sans moi. Certes, je n'imagine pas ma vie sans lui, car j'aime cette vie et je l'aime lui. Mais mon bonheur qui s'abreuverait de sa souffrance, ça non. Plutôt plus rien du tout ! C'est en cela, que oui, je divorcerais plutôt que d'imposer. Je ne suis pas et ne serais plus jamais la femme d'avant. Je connais mon mari (je préfère en fait chéri de vie, ça correspond mieux désormais) depuis toute petite. Il m'avait connu souvent amoureuse avant que nous tombions dans les bras l'un de l'autre.J'ai passé mon enfance et mon adolescence à me faire cataloguer de ce que je n'étais pas. Ce ne fut pas une découverte mais une redécouverte.

Mon chéri est quelqu'un de simple. Nous ne nous ressemblons pas du tout... et nous nous complétons tellement. Il ne débattra pas, sauf parfois dans les évènements polys auxquels nous assistons (et nos jeunes avec nous).

Le cheminement ? Il se fait petit à petit, main dans la main, chacun-e avec ses possibilités. Il n'y a pas une recette miracle, mais des "recettes" individuelles. Avec mon chéri, nous avions inventé un jeu et l'humour avait pris une place dans les débats. Au sein tout particulièrement de ce qui faisait mal. Jamais nous n'avions vraiment communiqués sur nous (pourquoi faire, puisque nous étions "normaux", il n'y avait rien à dire de spécial) et jamais nous ne nous étions autant rapprochés.

Le chemin est celui que l'on suit ensemble. Je redis, une dynamique commune avec une réinvention du commun. Admettre que non, ce ne sera plus l'implicite, le tout venant, le basique...

Il est tard, je ne sais que dire de plus. Bidi a raison, un devenir ne doit pas se construire dans le figé. Je me reconnais également dans le portrait qu'il fait.

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Discussion : Mon unique amour depuis 27 ans

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bonheur

le vendredi 28 septembre 2018 à 15h17

@Chrisa. Ta femme est dans une situation qui lui échappe. Elle subit une pression lié à ce travail et à ce positionnement professionnel. C'est ce que je comprend en tout cas. Tu es attentif et tu subis EGALEMENT.

Parfois, il faut faire des choix dans la vie. Parfois, il faut justement ne pas choisir. Là, dans l'équation, il y a la reconnaissance pro qui compte autant que l'homme qui est caché derrière.

Aussi, il y a la femme de ce patron. Tu dis qu'il s'est éloigné d'elle. Lui aussi, elle aussi, vivent avec une souffrance. Non ? S'ils avaient fait la démarche de vivre ensemble, c'était pas pour rien. Il y avait quelque chose au départ entre eux.

Le divorce est encore considéré comme tabou, bien que très répandu. Un divorce n'est pas un échec, mais une décision de ne pas continuer l'engagement pris. Et bien, on peut devenir poly et poursuivre cet engagement.

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Discussion : Mon unique amour depuis 27 ans

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bonheur

le vendredi 28 septembre 2018 à 15h05

Bonjour Isard,

L'amour a ce don en effet, de me rendre aussi malheureuse. Quand je suis malheureuse, j'assume, mais oui, je rayonne beaucoup moins, voir peu. Mon mari est présent, comme le serait n'importe quel vrai ami. Il me sert dans ses bras, comprend et reconnais ma détresse.

Quand je souffre, ma souffrance est mienne. Mes émotions m'appartiennent avant tout et c'est à moi de m'assumer suivant qui je suis. Dire que l'on n'a pas besoin des autres, serait faux. Par contre, ce n'est pas le rôle des autres, y compris s'ils sont le déclencheur émotionnel, de prendre en charge à ma place ce que je ressens intérieurement.

On ne s'habitue pas à la souffrance. Si c'est le cas, c'est mauvais. La souffrance est passagère souvent. Si mon mari était en souffrance depuis maintenant 11 ans, j'aurai demandé le divorce. Par contre lui, mais pour lui. Il est hors de question que mon bonheur soit le fruit du malheur d'autrui. Dans ce cas, il vaut mieux offrir à l'autre l'opportunité d'évoluer et de vivre sans nous.

D'ailleurs, la souffrance, le poly la vit souvent aussi. Le poly n'est pas le méchant (e) qui se moque du ressenti d'autrui. Si c'est le cas, il n'est à mes yeux pas poly. Mon état d'âme est entre mes mains, bien que balloter au gré des évènements et des rencontres. C'est valable pour chacun-e.

L'honnêteté est une base. Elle n'implique pas qu'un couple traditionnel arrivera à évoluer en couple mono-poly heureux. Elle implique que l'on ne ment pas, que l'on ne triche pas et que l'on considère l'autre, les autres, comme acteurs de leurs vies personnelles et surtout intérieure.

Je n'ai pris aucun plaisir à voir mon mari anéanti par mon annonce, vraiment aucun. Le laisser à des rêves et faire dans son dos aurait été plus sain ? Le laisser seul face à ses ressentis, sans me préoccuper de lui ? Divorcer, alors que c'était sa plus grande peur ?

Un couple mono-poly développe une symbiose parfaitement homogène : un libre arbitre qui place l'individu devant son avenir.

Imposer. Si je ne suis pas poly, je ne suis pas fidèle à moi-même (voir autre fil de discussion en cours). Si je me range dans la norme... car la monogamie est imposée (ça oui) de part sa place implicite qu'elle occupe dans nos rapports humains dans notre pays.

D'ailleurs, aujourd'hui, je dis à mes enfants, enfin mes jeunes adultes, qu'ils ne sont pas obligé de suivre cet implicite et qu'ils peuvent créer leur propre monde.

Mon mari veut vivre au côté d'une personne vivante et mon bonheur est mon état général. Même quand je souffre de peines de coeur, mon bonheur est là. C'est justement mon mari qui en est la source. Son amour inconditionnel et le mien se rejoignent (j'espère, je ne suis pas en lui). Si un jour je doute de cela, je divorcerai.

Je suis parfaitement capable de vivre seule. Mon mari aussi. Si on reste sous le même toit, c'est parce que l'on y vit heureux. Si l'on y reçoit, sous ce toit commun, des personnes dont je suis amoureuse, c'est toujours en concertation ET ce n'est pas une obligation.

Une transition mono-poly c'est une déconstruction commune et une nouvelle construction dans une dynamique commune, une volonté commune d'être fidèle à soi, avec l'autre.

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Discussion : De la psychanalyse à l'amour pluriel, ou la différence sexuelle revisitée

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bonheur

le vendredi 28 septembre 2018 à 09h50

Je m'avance peut-être, mais je crois qu'au fond, qu'il y ai différence ou non entre constitution masculine ou féminine, on s'en fout un peu. Le truc du sphincter, lui est intéressant. Il s'adresse à tout le monde d'ailleurs... il est plus à développer que l'anatomie elle-même, je pense.

Quand à Freud, il a vécu... Ok nous sommes une résultante du passé, mais celui-ci n'entre pas dans mon approche personnelle de moi. Je serai plutôt dans une volonté d'approche nouvelle (ou ancienne et oubliée sociétalement) en lien avec rien. Une innovation, en quelque sorte.

Poly demande une déconstruction. Pas une modification ou une redéfinition du passé. C'est mon opinion, en tout cas. Ca avait été très bien abordé dans l'émission de RTL. Désolée, je dois partir au taf, pas le temps d'aller retrouver le lien en question.

Créons du nouveau, ne déterrons pas un passé à modifier. Le passé était pertinent à son époque, il ne l'est plus aujourd'hui. C'est mon opinion en tout cas. On n'est pas obligé de le partager.

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Discussion : Rencontre "comme à la maison" - proche Dijon

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bonheur

le vendredi 28 septembre 2018 à 09h36

@bohwaz. Je peux être dispo en dehors des évènements. Aussi, je n'aurai rien contre le fait que des cafés poly soient organisés par d'autres, sur Dijon ou à proximité.

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Discussion : Mon unique amour depuis 27 ans

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bonheur

le jeudi 27 septembre 2018 à 21h00

Bonjour Chrisa,

Ton récit me renvoie un peu quelques années en arrière. J'avais un super nouvel ami depuis une reconversion pro. On était comme des aimants, toujours l'un avec l'autre et ceci depuis le début. On était séparé pour la partie pratique, sur le terrain. Un lundi matin, reprenant la partie théorique, le formateur indique qu'il a été victime d'une bagarre de rue et qu'un arrêt de travail lui était parvenu. J'ai demandé s'il y avait des précisions, mais sans résultat (non, aucune autre précision). Là j'ai failli défaillir, au sens concret du terme. Je savais qu'il résidait à Bondy (dpt 93) dans un quartier où les règlements de compte se font à l'arme blanche, voir à l'arme à feu. J'ai eu peur. Tout est monté d'un coup, du plus profond de moi. Une multitude d'émotions floues et une certitude : ce n'est pas de l'amitié, je l'aime.

S'en est suivi un état bizarre, bien que rassurée peu de temps ensuite (bagarre violente, mais rien de super grave). Je me suis alors posé tellement de question. Et là, une vérité : j'aime mon mari, sans aucun doute ET j'aime cet homme, sans aucun doute... J'ai cheminé d'abord chaotiquement seule, intérieurement. Puis j'ai dit je t'aime à cet homme (enfin écrit) et à mon mari exprimé cet autre amour.

Cet homme m'a alors tourné le dos (j'étais marié et les deux hommes se connaissaient, nous avions passé du temps ensemble par le passé, je l'avais intégré à notre vie de famille). Mon mari a tout d'abord compris de travers... et lui et moi avons cheminé ensemble pour y voir plus clair. Un an environ après, je reprenais contact avec un ex amoureux...

De cet instant T, j'avais 38 ans et 18 ans de mariage. Trois garçons. C'était en 2007.

Il en résulte de ce chamboulement brutal de ma vie une évolution en couple dans une dynamique commune qui a pris du temps (beaucoup de temps en fait). Nous n'avons connu le terme polyamour qu'en 2011 et depuis tout à changer, dans un sens de bonheur.

Mon mari a évoluer dans sa vision du monde et de l'humain. Il n'entretient pas d'autres relations en dehors de nous. Il considère l'amour comme compliqué et désire vivre le plus simplement possible. Nous n'avons pas remis en question notre vie, mais l'avons ouverte... aux personnes que je rencontre et qui me chamboule émotionnellement (je suis polyaffective).

L'attitude de cet homme de me tourner soudainement le dos alors que l'on était comme scotché n'a pas été à mon sens la meilleure. Celle, ensuite, de mon ex-amoureux non plus. Il a voulu dans une premier temps que je divorce, avant de se marier à une autre, en la maintenant dans l'ignorance de notre lien affectif, me rendant ainsi complice d'une forme d'adultère à mes dépens.

Chrisa
Aidez-moi à comprendre, à surmonter cette situation, voire, peut-être, à parvenir à prendre une bonne décision pour nous deux, s'il vous plaît.

Je peux t'exprimer ce que j'ai vécu, sachant que je suis plutôt à la place de ta conjointe qu'à la tienne.
Mon mari, polyacceptant aujourd'hui, a tout d'abord été anéanti de cette annonce. Il avait compris ce que je n'indiquais pas : divorce, vente de nos biens, garde alternée ou pension alimentaire... Il s'est aperçu qu'il se mésestimait, qu'il avait une peur horrible de l'abandon. Il se demandait ce qu'il avait mal fait, ou pas fait, ou autres raisons qu'il aurait pu s'imputer comme défaillance. Le pauvre !
Il a fait un deuil : celui de vivre dans la norme, comme avant.

Quand je suis heureuse, il l'est lui aussi. Ca s'appelle la compersion.

Une bonne décision pour deux, se prend à deux. La communication, en particulier sur vos ressentis, à l'un comme à l'autre, sont importants.

Soyez des êtres indépendants, désireux d'une vie commune et évoluant dans une dynamique de transparence suffisante pour ne pas laisser l'autre dans un univers non compatible.

L'amour, la capacité à aimer, n'est pas une tarte dans laquelle on donne des parts. On n'enlève rien à l'un pour offrir à l'autre. Visualise sa capacité à aimer comme l'univers, en expansion, avec une découverte d'astres dont certains nous oblige à les regarder, les observer, car l'amour c'est aussi cela, une découverte humaine, sauf qu'elle est impactée d'un émotionnel unique.

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Discussion : Rencontre "comme à la maison" - proche Dijon

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bonheur

le jeudi 27 septembre 2018 à 20h34

Demande de participation acceptée et mes coordonnées perso en plus. Oui, nous nous sommes déjà croisées :-) et ça remonte en effet à quelques années. L'essentiel est que tu me tiennes informée. Merci de ces retrouvailles et heureuse de tomber à pic... peut-être... à dimanche.

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Discussion : Comment vaincre les émotions engendrées par l'infidélité consentie dans une relation?

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bonheur

le jeudi 27 septembre 2018 à 19h00

Je peux peut être apporté en nuance que la fidélité est avant tout une fausse notion. Si j'aime mon mari et que j'aime également en dehors de mon couple (je parle de coeur, pas de sexe), que je suis super heureuse et que mon mari est en liesse par rapport à mon bonheur. Dois-je m'abstenir ? Quel mal je fais ?

Egalement, l'amour pour une personne est-il honteux ? Dans ce cas, lequel est honteux ? Celui à l'intérieur de mon couple - celui à l'extérieur - les deux ! Qu'est-ce qui fait que ce serait honteux d'aimer ?

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Discussion : Rencontre "comme à la maison" - proche Dijon

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le jeudi 27 septembre 2018 à 18h37

Je précise : le terme rencontre signifie se réunir et pour un débat

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Discussion : Comment vaincre les émotions engendrées par l'infidélité consentie dans une relation?

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bonheur

le jeudi 27 septembre 2018 à 17h30

J'étudie actuellement "les nouvelles hétérosexualités" de Daniel Welzer-Lang. Voici ce qu'il indique concernant la sapiosexualité
"Un sapiosexuel est une personne chez qui l'intelligence de l'autre provoque une excitation sexuelle"

En fait, si je comprend, c'est l'échange intellectuel qui déclenche une pulsion sexuelle. Les deux seraient liés par définition.

Je me plante peut-être, mais être fidèle à l'intellect de l'autre ne revient-il pas à être en adéquation personnelle avec cela ? Après, est-on toujours en adéquation avec l'intellect de l'autre. On peut l'être parfois, sur certains sujets mais pas systématiquement. Et puis, on évolue. La vie est impermanence et il arrive que des sujets qui nous passionnaient ne sont plus autant d'actualité.

Etre infidèle, ou polyfidèle ?

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Discussion : Comment vaincre les émotions engendrées par l'infidélité consentie dans une relation?

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bonheur

le jeudi 27 septembre 2018 à 17h19

Un retour sur un fil de discussion oublié, qui n'avait d'ailleurs abouti à aucune réaction à l'époque

/discussion/-beG-/Definition-de-la-fidelite/

J'ignore si ça peut aider

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Discussion : Rencontre "comme à la maison" - proche Dijon

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le jeudi 27 septembre 2018 à 17h14

Au dernière nouvelle la chambre d'amis peut être dispo et le canapé sera certainement pris. Les inscriptions peuvent encore se faire.

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Discussion : Rencontre "comme à la maison" - proche Dijon

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le jeudi 27 septembre 2018 à 11h13

Je fais remonter ce fil de discussion. La chambre d'amis n'est plus dispo. Eventuellement, le canapé :-) .

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Discussion : Psychologue / psychiatre connaissant le polyamour sur Nantes

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bonheur

le lundi 24 septembre 2018 à 10h00

La Carologie : ces vidéos sont excellentes, emplies de fraicheurs et de jeunesses (+) .

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Discussion : Psychologue / psychiatre connaissant le polyamour sur Nantes

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bonheur

le dimanche 23 septembre 2018 à 13h44

pulsarsky, le polyamour est un terme générique. Il existe de nombreuses facettes du polyamour.

Avant de remettre en question une quelconque notion de polyamour, tu dois observer ce que signifie aimer pour toi, et en particulier l'amour ressenti au sein de cette relation.

Tu peux trouver des réponses en complémentarité de l'aide de professionnels dans les ouvrages de développement personnel. Il en existe une multitude et souvent écrit par des professionnels.

Après, c'est bien qu'un professionnel indique son ignorance. Bien que ce soit regrettable... il faudrait qu'ils suivent l'évolution et s'adaptent. A travers ton cas, ce professionnel envisage-t-il de faire une démarche en ce sens ?

Je viens de recevoir un livre de la collection "sexualités et sociétés" (éditions Erès)... qui s'adresse je cite : "parce que la société a changé ses rapports aux sexualités, cette collection présente des analyses destinées aux sexologues, aux professionnel-le-s de l'enseignement et de l'intervention sociale comme aux personnes qui cherchent à comprendre le sens des transformations actuelles."

Je regrette personnellement que l'accent ne soit pas porté (apparemment, je n'ai pas encore lu) sur l'émotion amoureuse elle-même. Le glossaire ne le laisse pas apparaitre en tout cas.

Le polyamour questionne différemment et plus en profondeur "l'amour", mais les poly aiment... et là les pro ne découvrent rien.

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Discussion : Comment vaincre les émotions engendrées par l'infidélité consentie dans une relation?

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bonheur

le dimanche 23 septembre 2018 à 13h30

Doit-on définir ces actes comme du polyamour ? (je ne porte aucun jugement, juste je m'interroge sur la pertinence de ces propos sur ce site). En quoi tout cela relève du polyamour, puisque ce n'est pas de l'amour ?

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