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Siestacorta

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Discussion : Quelle sorte de polyamoureux êtes-vous ?

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Siestacorta

le vendredi 23 mars 2018 à 16h03

artichaut

(t'as dis de souligner les questions, j'ai souligné…)

Arf, j'ai modifié du coup. Pas pour t'embêter :-) mais parce que j'avais proposé ça avant de constater que les options de formatage me permettaient pas de faire comme j'imaginais.
J'ai compensé en mettant des majuscules sur le nom des axes. Je crois que ça reste à peu près lisible, et comme le coup des gras et des italiques aide pas à répondre en vitesse...

Mais bien vu, le soulignement par lien vide :-)

Message modifié par son auteur il y a 8 ans.

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Discussion : Pensées confuses concernant le polyamour

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Siestacorta

le vendredi 23 mars 2018 à 14h19

Stitche
Merci Siestacorta pour m'avoir fait découvrir la petite histoire des chaudoudoux! J'adore ^^ Je trouve ça génial comme petite histoire à lire aux enfants et comme philosophie de vie: le fait que les chaudoudoux sont inépuisables, plus on en donne et plus on en reçoit.

je pense que j'ai un énorme besoin d'amour en général, je suis très câline (mon amoureux me surnomme la glue des fois ahah), j'adore en recevoir comme en apporter parce que justement quand j'en apporte, ça me fait me sentir bien. Donc peut-être que d'avoir plusieurs relations m'aiderait a apporter tout mes moments de tendresse, et je pourrais le partager avec tout le monde et le multiplier, en tout cas dans ma tête ça parait être une idée géniale!
.

Content de t'avoir fait connaitre le conte !

Par contre, sur la partie que j'ai mise en gras, je voudrais insister sur ce que j'ai dit quelque part plus haut dans le fil : dans des relations plurielles, le fait de pouvoir transmettre un surplus d'empathie, de tendresse et d'attentions est contrebalancé par le fait que les émotions plus désagréables se transmettent aussi. On peut trouver des moyens d'accueillir et d'accompagner cette émotion, et y gagner.

Il ne faut pas se cacher que dans un environnement affectif plus complexe et mouvant, les sensibilités sont nécessairement confrontées à plus d'évènements. On peut le voir comme plus d'occasions de mûrir et pour moi c'est un vrai intérêt ; connaître et respecter son équilibre demeure néanmoins crucial. Parce que ça remue souvent, et ça secouera facilement plus qu'en restant en terrain connu.

Alors plein de chaudoudoux dans les poches, certes, mais "with great powers comes great responsability", comme dit Peter Parker.

Message modifié par son auteur il y a 8 ans.

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Discussion : Pensées confuses concernant le polyamour

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Siestacorta

le vendredi 23 mars 2018 à 13h40

artichaut
Whoua qu'elle syntaxe ! J'avoue que je m'en suis emmêlé les pinceaux (rien de grave).

Arg. C'est effectivement pas grave, mais je vais modifier.
Merci :-)

artichaut
Je me demandais : quand tu utilise le mot biais (que tu semble affectionner), c'est pour désigner une manière biaisée de penser (et donc ça a plutôt une connotation péjorative : "toi mon gars, tu prends pas toutes les données en compte, tu raisonne à ta sauce, pas très rigoureuse") ou ce peut être aussi une manière de prendre les choses sous un autre angle, de "faire un pas de côté", d'explorer des chemins de traverse (qui ne sont pas forcément illogique, mais juste sous-représentés, invisibilisés) et du coup avec possiblement une connotation positive ?

Je l'utilise plutôt péjorativement, mais avec cette indulgence là : on est tous pris dans des biais de pensée et de perception, moi y compris. On peut pas faire autrement, sauf le plus souvent en faisant une expérience personnelle qui nous montre qu'on ne pouvait pas voir les choses de certains angles, et parfois en ajoutant pas mal d'efforts de raisonnement... qui ne garantissent pas qu'on ait pas encore un autre biais que ceux qu'on espérait écarter.
Je me dis que je peux parler des biais sur lesquels j'ai travaillé, et que j'écouterai si on me souligne les miens, et qu'en attendant, comme tout le monde j'ai des convictions qui me tiennent à cœur.
Bref, c'est plus humble que ça n'y parait...

Message modifié par son auteur il y a 8 ans.

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Discussion : Pensées confuses concernant le polyamour

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Siestacorta

le vendredi 23 mars 2018 à 13h21

alinea7
Dans un monde où les chaudoudoux coulent à flot, pourquoi les gens se poseraient les contraintes du couple ? Est-ce que ce n'est pas déjà sécuriser son arrivage régulier de chaudoudoux ?

Alors je crois pouvoir mettre le doigt sur ce qui te gênait dans le conte, comme tu le disais plus haut.

C'est à dire : si on part du principe que ça se distribue comme ça, que ça vient en gros de n'importe qui, alors on pourrait vivre sans créer de lien personnel, il suffirait d'échanger des chaudoudoux avec des inconnus tout le temps, l'engagement affectif se réduirait à en distribuer, sans rapport individuel.
C'est ça ?
Si c'est le cas, alors je crois pouvoir dire que le conte et son interprétation poly ne vont pas aussi loin (ouf !).

L'attachement à des personnes nous définit, leurs qualités distinctives sont des conditions pour que s'expriment les nôtres, par comparaison, émulation...
On a un besoin d'attachement, dès l'enfance. On se rend bien compte que nos parents, notre entourage nous distingue et généralement nous préfère à d'autres enfants.
Et nos rapports de dépendance puis d'interdépendance
(j'utilise là ces mots sans en faire des problèmes à résoudre : un enfant dépend des adultes, les individus sont interdépendants pour agir dans la vie et pour se construire eux-même),
nos attachements donc, sont conditionnés par nos échanges de chaudoudoux.
Comme on est voué à s'attacher à des gens, bien sûr que l'échange d'amour avec eux va avoir régulièrement sur notre chemin et dans notre intimité une plus grand importance (quantitative, qualitative) que les chaudoudoux des autres.
Ca ne veut pas dire qu'on peut réellement se passer de ceux des autres, et que les autres n'ont pas besoin de nos chaudoudoux ; (pour moi) sentir ça pose déjà une limite à l'exclusivité.

Si établir un couple peut me garantir mon arrivage de chaudoudoux, why bother ? Si ça dure, c'est que ça marche, non ?

Pas nécessairement... Parce que déjà, c'est faire porter énormément de responsabilité à notre "significant other" (j'ai jamais trouvé une traduction qui sonne bien pour cette expression, qui désigne "le compagnon/la compagne qui compte particulièrement et durablement dans ma vie) d'en faire le pourvoyeur unique et permanent de chaudoudoux.
Beaucoup de gens prennent et revendiquent cette responsabilité (et demandent, avec une apparence de cohérence, la pareille) alors que pour être honnête, c'est miser beaucoup sur un pari sur soi-même. On "sait" que c'est "le.a bon.ne" ou/et qu'on trouvera toujours les solutions, when there is a will there is a way, et puis tous ces papillons dans mon ventre me disent pareil, ça tombe bien : "OUI, je le veux".

Je ne prend pas des engagements que je ne suis pas certain de tenir ; donc je me méfie beaucoup des engagements que tout le monde dit pouvoir tenir quand tant de ceux qui les ont pris se foirent régulièrement.
Je prend mes engagements, ceux sur lesquels j'ai fait mon chemin, avec les gens qui m'aident à les tenir.
Ca ressemble à la définition d'un couple... sauf que pour en arriver là, j'utilise moins de conventions auxquelles j'aurais affirmé croire sincèrement sans avoir tellement envisagé qu'elles ne conviendraient pas, justement.

Et le simple fait qu'on s'accorde que tel engagement qu'on essaie de prendre n'est pas une certitude, qu'on va pas se reprocher mutuellement de n'être pas à la hauteur de l'idéal traditionnel d'interdépendance (toujours pas de charge critique dans cet usage du mot), puisqu'on sait qu'on fait du mieux qu'on peut, et que ce mieux peut changer... Alors là, oui, je me sens dans un rapport où contraintes et libertés vont garantir que mes échanges de chaudoudoux vont pas s'épuiser sans me donner de moyen de renouveler la réserve. Si ça circule librement, je peux (moi, en particulier, je souligne que ce n'est pas un ON ici) garantir que j'en aurai durablement dans ma besace pour la/les personne(s) à qui je me suis attaché.

D'autres gens font du couple, et, encore une fois, malgré mon côté revendicatif ici, je veux être sûr que c'est compris : je crois vraiment que pour une partie des gens, c'est exactement ce qu'il faut. Mais, encore une fois, si c'était un vrai choix informé et pas l'option par défaut dans la vie sentimentale, j'aurais pas besoin d'en parler autant.

Message modifié par son auteur il y a 8 ans.

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Discussion : Pensées confuses concernant le polyamour

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Siestacorta

le jeudi 22 mars 2018 à 23h26

alinea
pas à mettre le doigt sur ce qui fait que je n'y adhère pas.
En fait, déjà, qu'est-ce qui fait qu'il y a des couples, si tout le monde peut recevoir des chaudoudoux indépendamment de l'existence ou non d'une relation amoureuse ?

L'interprétation poly des chaudoudoux est une application restreinte ; en fait, ça marche pour tout ce qui est sentiment d'empathie.

Qu'est-ce qu'il fait qu'il y a des couples si la chaudoudouceur est une abondance aussi accessible que la lumière ?

D'un, tout le monde a pas les mêmes besoins. Je passe mes posts à le dire, mais c'est pas grave : les monos qui connaissent leurs besoins ont tout à fait raison de ne pas désirer autre chose, la non-exclusivité n'est pas adaptée à tous les tempéraments ni à tous les moments de la vie. Donc, si on part du principe que pour certain, une relation suffira (il existe même des gens pour qui pas de relation amoureuse est une excellente option !), certains couples sont donc vraiment bien comme ça. C'est pas une question de "ma moitié", de "daistinés, nous aitiaons daistinés", ya juste une bonne probabilité que ça arrive.
J'insiste : je crois vraiment qu'il y a des gens, peut-être une majorité mais je parierais ma montre là-dessus, pour qui c'est effectivement un choix sain. Je pense aussi que pour la plupart c'est pas un choix, puisque les options "plus de deux" ou "rester seul" ne sont pas valorisées socialement.

De deux, c'est quand même plus facile à organiser à deux personnes qu'à plus. A mon sens c'est un argument de feignasse, mais vu à quel point je peux l'être dans les autres domaines de la vie, je compatis.

De trois, certes le couple on en parle partout chanson-ciné-théâtre-magazine-romans on nous lâche pas avec ça, mais en vrai le couple exclusif d'amour, c'est une invention relativement récente, historiquement.
Ca a commencé à être vendu à une certaine élite sociale à l'époque de l'amour courtois, et c'était un idéal plutôt qu'une réalité quotidienne. Personne le pratiquait vraiment, toute la noblesse couchaillait de partout, vu que Môssieur était à la guerre ou à la chasse. Ou chez la lavandière. Bon, à la court, fallait être courtois, même si le Roi avait des concubines, on est pas à une contradiction près.
La saint-valentin, avant de devenir une aubaine pour les fleuristes et les éditeurs de carte postale, c'était un truc de non-exclusifs.
Et puis ça a plus ou moins suivi les changements de régime économique et de structure sociale. A partir du moment où gagner sa vie allait signifier plus souvent autre chose qu'habiter dans la même baraque ou le même bled que ses parents, on "choisissait" sa vie, et donc aussi sa vie amoureuse... Et donc on devait choisir le/la fiancé.e. Par amour.
Et une fois que t'as fait ce choix, et que même avec la contraception tu peux choisir avec qui et quand avoir des fanfants, que ce choix est publiquement le tien et pas un mariage de raison, dépasser son propre biais de confirmation quand l'intimité et la relation stimulent ta vie affective, c'est pas de la tarte.
Bref, l'idéologie du couple en amour a une histoire relativement jeune, c'est pas un fait si répandu.
La question de la transmission de patrimoine a joué un certain rôle dans l'histoire du mariage, déterminant la norme morale, pas forcément la pratique.

De quatre, les deux trois premières années d'amour-passion, ce qu'on appelle NRE par ici parce qu'on est trop des rebayles, c'est un shoot hormonal. Ca crée une addiction à l'autre, à peu près simultanée. Qu'on peut renforcer d'une dose de névrocompatibilité assez commune chez les gens éduqués dans des familles qu'ont pas plusieurs générations de psychanalysés méditants derrière elles.
Va sortir d'une addiction dans ces conditions... C'est psychiquement plus pratique de penser que c'est vraiment notre choix, et qu'on va le faire durer.

Enfin, on sait pas vraiment si les gens se nourrissent "affectivement" bien dans les couples. Enfin si, on se doute que c'est très imparfait, vu que divorces, adultère et monogamies sérielles sont pas des raretés. Donc c'est pas tellement que a plupart des couples font sans chaudoudoux, c'est juste que yen a plein qu'on fait passer sous le manteau (ou pas), et que ceux qui sont en manque "de l'intérieur du couple" t'en parlent pas toujours.

Voilà. Les chaudoudoux version poly, ça peut exister dans le même monde que le couple, et pourtant pas sauter aux yeux comme un rapport banal.

Message modifié par son auteur il y a 8 ans.

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Discussion : Mon experience

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Siestacorta

le jeudi 22 mars 2018 à 21h53

LouiseKJ
En fait je me doutais bien ^^ Ma maman a vécu en communauté dans les années 60/70 en région parisienne donc bon tout était possible :P

Tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir eu des parents babacools !

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Discussion : Mon experience

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Siestacorta

le jeudi 22 mars 2018 à 20h53

Bonjour et bienvenue !

Very merci beaucoup pour ce témoignage.

J'ai particulièrement aimé le passage :

Louise KJ

Puis il a fallu que j'en parle a ma mère à qui je ne cache rien d'habitude, j'avais beaucoup d'appréhension pour rien car c'est une femme merveilleuse, très ouverte d'esprit. Ce fut un moment riche en émotions et drôle car elle m'a dit " moi aussi j'ai vécu avec deux hommes il y a longtemps". J'ai mieux compris à ce moment là pourquoi son éducation avait été si ouverte au sujet de l'amour ^^

.

Il y a donc des secrets de famille mignons :-)

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Discussion : Un nouveau un peu perdu ...

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Siestacorta

le jeudi 22 mars 2018 à 18h42

discret

J'ai juste fais un copier collé de ton dernier texte et en effaçant j'ai du laisser "LE" compris dans LE mercredi ....... (rien de mal attentionné :)

Nan mais j'y voyais pas de mauvaise intention. Comme on me fait le coup souvent, mais que d'autres pseudos se voient pas ajouter si souvent le LE de copicollage débordant, je tente de voir ce qui se passe mécaniquement... Merci pour le feedback !

Message modifié par son auteur il y a 8 ans.

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Discussion : Quelle sorte de polyamoureux êtes-vous ?

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Siestacorta

le jeudi 22 mars 2018 à 18h10

O Axe - VITESSE : A quelle vitesse créez vous des connexions/relations, en général ?

Fluide - Plutôt rapide dans la formation de liens affectifs et/ou sexuels.
Croissant - Formation de liens affectifs et/ou sexuels de façon délibérée/réfléchie.
Statique - Lent dans la formation de liens affectifs et/ou sexuels.
.
"Lent", ouais, on va dire ça... J'enchaine rarement beaucoup, et les plan de 'hop tout d'un coup ce soir" sont rarissimes.
.
O Axe - STRUCTURE : Comment décririez-vous la structure de votre relation poly idéale ?

Ouvert - Les gens vont et viennent à volonté formant des "polygroupes" qui consistent en des relations dyadiques (ce qui lie 2 choses) individuelles.
Réseau - Les gens se connectent souvent socialement avec des métamours. Une démarche du type « apprendre à se connaître » est généralement proposée dès le début d’une nouvelle relation avant de faire partie du groupe élargi.
Fermé - Approbation des membres existants nécessaire avant qu’un nouveau membre soit autorisé.
.
.On parle bien d'idéal, là. J'ai pas eu vraiment l'occasion de vraiment faire du groupe.
.
O Axe - ATTITUDE : Quel est le niveau d'intrication souhaitée avec des partenaires et/ou métamours ?

Indépendant - Préfère que chacun fasse leur propre occupation avec leur propre partenaire.
Communautaire - Aime faire partie d’un groupe socialement connecté de temps en temps.
Familial - Partage prioritairement le temps et/ou l’espace avec les partenaires et leurs métamours.
.
.Les évènements de groupes c'est sympa, mais déjà les interactions dans un groupe d'amis, ça me demande psychiquement du taf, alors plusieurs amoureux sur place, je suis pas sûr d'assurer souvent.
.
O Axe - NIVEAU D’INTIMITÉ : Quel niveau d’intimité souhaitez-vous avec les autres ? Possibilité de choisir plus d’une réponse.

Sexuelle - Se connecte avec les autres par le partage de l'intimité physique. Émotionnelle - Se connecte avec les autres par le partage des sentiments. Activités et expériences partagées - Se connecte avec les autres par le partage d'expériences et le temps passé ensemble.
.
.Multipass.
.
O Axe - PRIORITÉ :

Hiérarchique - Priorité est donnée à la préservation de la/des relation(s)s primaire(s) existante(s).
Pondéré - Certaines relations sont prioritaires sur les autres, mais c’est ouvert aux changements comme l'ajout d'une relation primaire supplémentaire, etc
Egalitaire - Engagé à ne pas faire passer une relation en priorité sur les autres.
.
.Mercimercimerci pour cette idée de "pondéré". Je crois qu'il ya des hiérarchies entre les relations, mais pas entre les personnes : c'est une question de priorité de vie, pas de priorité de gens. Si je me suis engagé avec un enfant, un crédit, un compte-joint, il y a des conséquences au quotidien.
.
.
O Axe - SATURATION DES RELATIONS : Quelle serait votre nombre de relations idéal ?

Carton plein - Entièrement satisfait de relation(s) en cours. Préfère les relations aux sorties/rencontres ponctuelles.
Ouvert aux opportunités de se connecter - Ni fermé à la formation de nouvelles relations, ni en recherche active, mais se fermer aux opportunités serait restrictif.
Recherche active de nouveaux partenaire(s) - Vous cherchez de nouvelles connexions indépendamment de la situation actuelle en terme de partenaires. Toujours ouvert à de nouvelles rencontres et découvertes
.
Je me définis plutôt comme disponible ou moins disponible que "en recherche". Ca dépend des jours.
.
.
O Axe : INNÉ OU ACQUIS

Né Poly - Est sorti de l'utérus câblé pour de multiples connexions. Être monogame ne serait pas naturel.
Poly par choix - Poly est logique, et c’est un style de relation souhaitable pour une multitude de bonnes raisons. Peut parfois entrer dans une relation monogame.
Mono ou poly - Heureux d'être ouvert soit poly ou mono, en fonction des circonstances de la vie, si le partenaire actuel est ouvert à poly, etc.
.
.Cette option est excessivement restrictive, dans le sens où oui, je crois que la non-exclusivité m'est naturelle, que je pense qu'il y a des choix éthiques qui viennent avec ça. Mais on va dire inné, pour parler du fait que je suis vraiment pas souvent inquiet quand mon aimée a quelqu'un d'autre. Je m'inquiète quand on me dit que ça va poser problème, si on m'assure du contraire, yallah.
.
.
O Axe - CIRCULATION DE L'INFORMATION

Confidentiel - Pas envie d'entendre parler des activités des autres partenaires et/ou d’avoir des informations sur la/les relation(s) dans lesquelles ils sont impliqués avec les métamours, sauf autorisation explicite à l'avance.
Pertinence - Pas besoin d'avoir tous les détails, mais vous souhaitez voir partagées des informations personnelles pertinentes.
Transparence - Application de la libre circulation des informations sur toutes les relations et les partenaires impliqués, et qui sont à l'aise avec ce partage entre métamours.
.
.
.La transparence, c'est très exigent, au quotidien et j'en rajoute pas quand on m'en demande pas trop ; et pas envie de bloquer la parole ; donc, "pertinence". J'aime bien être pertinent.
.
Axe - FORMALITÉS :

Détaillée -Vastes accords /contrats couvrant toutes les éventualités.
Général - Accord sur les grandes lignes.
Court terme - Accord temporaire seulement.
.
.
.Et puis en fonction de ce que l'autre demande.
.

Message modifié par son auteur il y a 8 ans.

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Discussion : Quelle sorte de polyamoureux êtes-vous ?

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Siestacorta

le jeudi 22 mars 2018 à 17h34

Je récupère la trad' par Sand Tézed d'un questionnaire sur le poly, qui permet un peu de faire un point (qui peut être temporaire) sans en faire trop dans le genre petite annonce.
.
Comment répondre proprement et lisiblement et ça va faire des posts longs mais c'est le jeu, ma pauvre lucette :
- copicoller l'ensemble du questionnaire ci-dessous,
- mettre en gras l'option qui vous convient,
- mettre en italique ce qui explique votre choix et ce que vous souhaitez en dire.

.
.
.
O Axe - VITESSE : A quelle vitesse créez vous des connexions/relations, en général ?

Fluide - Plutôt rapide dans la formation de liens affectifs et/ou sexuels.
Croissant - Formation de liens affectifs et/ou sexuels de façon délibérée/réfléchie.
Statique - Lent dans la formation de liens affectifs et/ou sexuels.
.
.Réponse en italique
.
O Axe - STRUCTURE : Comment décririez-vous la structure de votre relation poly idéale ?

Ouvert - Les gens vont et viennent à volonté formant des "polygroupes" qui consistent en des relations dyadiques (ce qui lie 2 choses) individuelles.
Réseau - Les gens se connectent souvent socialement avec des métamours. Une démarche du type « apprendre à se connaître » est généralement proposée dès le début d’une nouvelle relation avant de faire partie du groupe élargi.
Fermé - Approbation des membres existants nécessaire avant qu’un nouveau membre soit autorisé.
.
..Réponse en italique
.
O Axe - ATTITUDE : Quel est le niveau d'intrication souhaité avec des partenaires et/ou métamours ?

Indépendant - Préfère que chacun ait ses propres occupations avec ses propres partenaires.
Communautaire - Aime faire partie d’un groupe socialement connecté de temps en temps.
Familial - Partage prioritairement le temps et/ou l’espace avec les partenaires et leurs métamours.
.
..Réponse en italique
.
O Axe - NIVEAU D’INTIMITÉ : Quel niveau d’intimité souhaitez-vous avec les autres ? Possibilité de choisir plus d’une réponse.

Sexuelle - Se connecte avec les autres par le partage de l'intimité physique.
Émotionnelle - Se connecte avec les autres par le partage des sentiments.
Activités et expériences partagées - Se connecte avec les autres par le partage d'expériences et le temps passé ensemble.
.
..Réponse en italique
.
O Axe - PRIORITÉ :

Hiérarchique - Priorité est donnée à la préservation de la/des relation(s)s primaire(s) existante(s).
Pondéré - Certaines relations sont prioritaires sur les autres, mais c’est ouvert aux changements comme l'ajout d'une relation primaire supplémentaire, etc
Egalitaire - Engagé à ne pas faire passer une relation en priorité sur les autres.
.
..Réponse en italique
.
O Axe - SATURATION DES RELATIONS : Quelle serait votre nombre de relations idéal ?

Carton plein - Entièrement satisfait de relation(s) en cours. Préfère les relations aux sorties/rencontres ponctuelles.
Ouvert aux opportunités de se connecter - Ni fermé à la formation de nouvelles relations, ni en recherche active, mais se fermer aux opportunités serait restrictif.
Recherche active de nouveaux partenaire(s) - Vous cherchez de nouvelles connexions indépendamment de la situation actuelle en terme de partenaires. Toujours ouvert à de nouvelles rencontres et découverte
.
..Réponse en italique
.
O Axe : INNÉ OU ACQUIS

Né Poly - Est sorti de l'utérus câblé pour de multiples connexions. Être monogame ne serait pas naturel.
Poly par choix - Poly est logique, et c’est un style de relation souhaitable pour une multitude de bonnes raisons. Peut parfois entrer dans une relation monogame.
Mono ou poly - Heureux d'être ouvert soit poly ou mono, en fonction des circonstances de la vie, si le partenaire actuel est ouvert à poly, etc.
.
..Réponse en italique
.
O Axe - CIRCULATION DE L'INFORMATION

Confidentiel - Pas envie d'entendre parler des activités des autres partenaires et/ou d’avoir des informations sur la/les relation(s) dans lesquelles ils sont impliqués avec les métamours, sauf autorisation explicite à l'avance.
Pertinence - Pas besoin d'avoir tous les détails, mais vous souhaitez voir partagé des informations personnelles pertinentes.
Transparence - Application de la libre circulation des informations sur toutes les relations et les partenaires impliqués, et qui sont à l'aise avec ce partage entre métamours.
.
..Réponse en italique
.
Axe - FORMALITÉS :

Détaillée -Vastes accord /contrats couvrant toutes les éventualités.
Général - Accord sur les grandes lignes.
Court terme - Accord temporaire seulement.
.
..Réponse en italique
.

Et vous, vous vous situez où ?

Message modifié par son auteur il y a 8 ans.

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Discussion : [Musique] Chansons, poèmes, divers poly

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Siestacorta

le jeudi 22 mars 2018 à 14h00

DirOnOfEy
Ya des gens qui ont fait une reprise de la chansons «   Les bobos » de Renaud.

Ça donne «   Les monos » et ça s'écoute ici : https://soundcloud.com/magnolia_indigo/les-monos

Excellent. Ca mériterait une démo clean...

Je précise qu'on peut commencer à 0.55 , si on veut que la chanson.

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Discussion : Pensées confuses concernant le polyamour

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Siestacorta

le jeudi 22 mars 2018 à 13h13

Caoline

Je pense vraiment que le seul problème c'est le manque de confiance en soi, la peur d'être moins bien que l'autre et d'être délaissé.e.

Dans l'histoire du compagnon de Stitche, peut-être
Dans le choix d'être polyamoureux ou exclusif, c'est pas forcément une histoire de manque, ça peut être un besoin identifié et assumé (en tout cas quand c'est pour soi et quand on le projette pas sur le comportement des autres).

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Discussion : Pensées confuses concernant le polyamour

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Siestacorta

le jeudi 22 mars 2018 à 12h51

Minora

Si le terme même est remis en cause c'est parce qu'il semble admis que différentes relations ne signifient pas nécessairement des relations amoureuses mais une myriade (t'as vu, je t'ai lu Siesta ;) )de relations d'ordres différents (avec ou sans amour, amitié, sexe...)
Et ça, pour moi c'est intellectuellement ET psychologiquement beaucoup plus entendable/vivable que des relatons amoureuses, toutes sur le même plan, avec les mêmes caractéristiques.

C'est pour ça que je me tâte à écrire de plus en plus polyamours, au pluriel, et que d'autres gens parlent d'amours plurielles (ou pluriels, selon le goût à décortiquer les dicos) et que d'autres parlent de polyamorie (mais je trouve ça moins subversif, le suffixe me donne envie d'aller faire un tour de stress hypocondriaque sur doctissimo, et polyamoriste ça fait beaucoup plus prosélyte que polyamoureux).

Le pluriel permet de répondre à "comment vont tes amours" avec plus de nuance, de dire que "poly", c'est poly-relations et poly-formes de relation.
Et que y'en a marre de faire passer l'Hamour pour un truc standardisé.
Je veux dire, même pour les monos, ça pose un problème, que chacun puisse dire à d'autres gens "ça c'est pas vraiment de l'amour", parce que vous faites pas ci ou ça ou que ça ressemble pas assez à Disney ou à la playlist des radios commerciales.
C'est le mot amour qu'est à la base surchargé d'un faux consensus ; "polyamour" ne fait qu'hériter du problème.

Mais comme ya un léger risque d'incommunicabilité si on se met à parler chacun sa langue perso, on va tenter de jouer le plus possible sur la polysémie et la richesse lexicale pour se faire comprendre.
Les polyamours, eh voilà
(je sens que je vais pas être nombreux à tenter le coup, menfin je crois que ça sera compris quand même).

Message modifié par son auteur il y a 8 ans.

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Discussion : Pensées confuses concernant le polyamour

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Siestacorta

le jeudi 22 mars 2018 à 12h45

Minora

Je me suis beaucoup renseignée, pour savoir à quoi m'attendre un peu mais aussi par curiosité intellectuelle. Parce que sur le papier c'est convainquant (et même beau).
J'y ai beaucoup réfléchi, ça aura au moins eu ce mérite de me faire m'interroger sur mes valeurs (normées ou pas ), mes modes de fonctionnement (innés ou acquis)...
J'en suis arrivée à la conclusion que je ne fonctionnais pas comme ça mais que je pouvais tenter l'aventure avec quelqu'un qui fonctionne comme ça.

Et du fond du cœur, merci de dire que ce genre de démarches peuvent se faire, et bravo d'avoir tenté de faire autre chose que ce qui jusqu'ici t'avais paru comme évident.

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Discussion : Pensées confuses concernant le polyamour

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Siestacorta

le jeudi 22 mars 2018 à 12h32

Minora

Lorsqu'on en a parlé sérieusement pour la toute première fois, il a été honnête sur comment il envisageait sa vie amoureuse mais je l'ai été également en lui expliquant que pour moi il était vital de ne jamais me sentir une parmi d'autres mais au contraire de sentir que j’étais pleinement importante et spéciale (unique ?) Pour lui.
Et c'est parce que je continue de me (re)sentir la seule, que notre histoire se construit depuis plus de 2 ans et demi (ça et aussi parce que nous ne vivons pas ensemble :) )

C'est sur cette question d'être unique, spécial, aimé pour cette raison, qu'il est difficile d'être persuasif ou persuadé, je comprend bien.
Distinguer le "être aimé - être l'unique aimé.e - être plus et mieux aimé.e que d'autres", ça saute pas aux yeux, puisqu'on parle de qualité de sentiment, de communication, de confiance en l'autre et en soi pour croire ce qui est exprimé...
On est bien sûr unique de naissance (comme tout le monde :-) (ça me fait toujours marrer ce paradoxe)). Mais c'est dans nos attachements, leur force et leur assurance, qu'on en retire la sensation. On veut pas être interchangeable donc abandonnable (pour repasser par un des thèmes du fil, "mais t'as pas besoin q'un autre te donne ce que je peux te donner moi !"), on veut être pour l'autre autre chose qu'un accessoire, on veut être reconnu et aimer tel qu'on est, super spécial de tout partout.
C'est bien humain, c'est tout à fait pragmatique, et en même temps moins problématique qu'on s'imagine (je m'inclue dans le "on", j'ai pas que des bons jours...)

Une image : les gens dans la foule des gens qu'on croise, c'est comme les vagues. Chaque vague et chaque visages sont rigoureusement uniques, pourront être l'objet d'un sentiment et d'un moment qu'il sera impossible de jamais retrouver à l'identique. Pourtant, chaque vague est faite de la même mer : son écume et sa forme sont une expression singulière de l'ensemble. Si on remarque que cette vague était belle et puissante, qu'elle nous a touché, on oubliera pas et on ne la retrouvera telle-quelle nulle part ailleurs, plus jamais ("cette façon que tu avais de te serrer - contre le revers de mon smoking blanc cassé - je ne pourrai l'oublier"). La vague serait rien sans la mer, mais la mer serait absolument chiante si toutes les vagues se ressemblaient, si on avait pas l'occasion de voir cette vague-là, de cette façon-là. Le grand mouvement d'ensemble qui relie toutes les vagues du monde existe, mais regarder et suivre une vague en particulier, c'est ce qui fait qu'on est capable de ressentir la mer, soi.
Donc si elle était pas spéciale, je vois même pas ce que je me serai emmerdé à venir sur une plage.
Allez.
J'te dis qu'elle est bonne.

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Discussion : Pensées confuses concernant le polyamour

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Siestacorta

le jeudi 22 mars 2018 à 11h40

artichaut


Par contre je pense vraiment pas que ça puisse s'accepter (pour des relations amoureuses ou sexuelles) sans en avoir vécu des aspects positifs

Je crois comme toi...
C'est pour ça que j'ai tenté de donner plusieurs exemples qui sortent du registre strictement amoureux : pour aider à concevoir que, si dans d'autres domaines il peut y avoir des effets multiplicateurs ou potentialisateurs d'un premier mouvement bénéfique, on peut au moins théoriquement admettre que ça peut arriver aussi dans la vie sentimentale.

Message modifié par son auteur il y a 8 ans.

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Discussion : Pensées confuses concernant le polyamour

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Siestacorta

le jeudi 22 mars 2018 à 10h33

Minora
Sauf que si mon amoureux devient du jour au lendemain plus guilleret et agréable, certes c'est sympa mais si c'est "juste" parce qu'il tombe amoureux d'une autre et pas parce que il se souvient pourquoi il est tombé amoureux de moi... je ne vais pas bien le vivre.

Techniquement, une forme de joie du poly, c'est que les deux sentiments s'entre-potentialisent, en fait. L'amour vécu là-bas, c'est pas une énergie séparée inutilisable ailleurs, c'est une énergie qui se transmet dans la reste de la vie, et donc aussi dans l'amour d'une relation plus ancienne. Et on est pas seulement heureux d'une rencontre, mais heureux aussi de retrouver un.e autre aimé.e qui pourra aussi partager de la joie avec nous, par empathie idéalement, mais pourquoi pas aussi tout bêtement parce que puisque j'ai mon réservoir de bien-être rempli, je me retrouve aussi plus disponible, plus prêt à offrir mon meilleur à mon tour.

> En termes de libido, si j'ai une montée de désir, tu peux soit être ok pour lui faire rencontrer ton désir à toi, soit me dire "boarf, t'as qu'à aller te toucher tout seul, je me sens pas concerné.e" (ceci dit si t'as rien contre ma capacité d'autonomie libidinale, alors ce serait même pas nécessairement un reproche, mais une vraie proposition pratique ! Tu pourrais encore me retrouver de bonne humeur après coup et en bénéficier aussi : ya pas qu'une façon de transmettre du bien-être).

> On peut aussi comparer à la production d'électricité : afin d'augmenter l'énergie distribuable, certaines hydroliennes utilisent plusieurs bobines aimants et engrenages, pour qu'à partir d'un même mouvement on obtienne plus d'énergie électrique. Un circuit plus complexe, mais plus de forces après.

> Plus près de l'énergie émotionnelle : c'est comme, mettons, t'es heureux parce que t'as eu une augmentation, et que, sans lien de cause à effet, ton gamin à la maison t'a mis la table, fini ses devoirs, fait un super dessin qu'il est fier de te montrer. Ben les deux joies distinctes se fondent en une seule gratitude, que tu redistribueras à ton tour en joies pour ton entourage : c'est même plus de l'économie circulaire, c'est de la croissance exponentielle du potentiel de bien-être.

Je veux pas vendre de l'utopie à prix cassés, et encore moins en occultant le "vice inhérent" à la question de la non-exclusivité. On parle de vies amoureuses, et les emmerdes poly ont leur propre loi de Murphy, avec des réactions en chaîne et des contagions de stress.

Mais il s'agit pas de telle histoire coupée de telle autre, où "han, t'es content avec untel alors que ce qui a de la valeur, c'est quand t'es content grâce à moi d'abord". C'est pas ça qui se passe en pratique. On sort d'une économie affective de "pénurie des sources d'amour" où par peur du manque on restreint la circulation des joies, pour aller vers une économie d'abondance où une joie en entraîne d'autres dans son sillage. Pas abondance des relations nécessairement - mais de leurs effets par interactions.

La banalité du bon, que la métaphore du conte des chaudouxdoux permet de concevoir : plus on donne, plus on reçoit.

Message modifié par son auteur il y a 8 ans.

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Discussion : Filmographie sur le polyamour #1

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Siestacorta

le jeudi 22 mars 2018 à 08h03

artichaut
[ ****Divulgâchis du film Le bonheur d'A. Varda****]

Pour revenir au film de Varda, c'est une relation adultère qui finit dans les larmes et si ma mémoire est bonne, la tentation du suicide.
Et c'est dommage parce qu'il ne manquait pas grand chose (un mec moins lâche) pour éventuellement en faire un film poly.
[/Divulgâchis]

M'en voici tout déçu.
Et dire qu'apparemment il aurait été considéré comme subversif lors de sa sortie :-(

Remarque, du coup, ça pourrait amener à l'ouverture d'une filmo sur "normes au bord de la crise de nerf" ou "les aventuriers de l'amatonormativité perdue". Les expressions sont peut-être trop imagées, mais il s'agirait alors de rappeler que dans la culture ciné, d'autres films disent "il y a quelque chose de pourri au royaume de Ken et Barbie".
Les critères seraient pas les mêmes, assez pointus pour parler de la critique du couple sans inclure n'importe quelle péripétie dénuée d'enjeux révélateurs".

Pourraient s'y croiser certains mal-aimés de la filmo "pro-poly", des refusés, et plein de tentatives où on se disait : "nan mais là, c'est évident, ils y ont pensé pour de bon, on était à trois scènes de script d'un voyage au pays poly".

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Discussion : Filmographie sur le polyamour #1

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Siestacorta

le mercredi 21 mars 2018 à 23h57

arf. Bon.
On peut même pas dire que la maîtresse n'est pas dans une démarche purement mono ?

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Discussion : Filmographie sur le polyamour #1

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Siestacorta

le mercredi 21 mars 2018 à 23h04

Je crois pas que celui-ci ait été proposé : Le bonheur, d'Agnès Varda.
"Un menuisier vit heureux avec sa femme et leurs enfants.

Un jour, il rencontre une employée des P.T.T. dont il tombe amoureux. Il aime cependant toujours sa femme, et s'épanouit dans cette situation."

C'est visiblement plus tourné vers l'adultère, mais en option "heureuse", au moins du point de vue du mec pivot et de la maîtresse, et ça m'étonnerait pas que Varda ait poussé la subversion plus loin. Si quelqu'un passe du temps devant, qu'il le dise.

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