Polyamour.info

Siestacorta

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Paris (France)

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Discussion : [Musique] Chansons, poèmes, divers poly

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Siestacorta

le mardi 09 février 2010 à 14h47

aaaaah !
S'il vous plait. Ne me donnez pas d'érection par télépathie.

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Discussion : Je veux en parler au monde entier !

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Siestacorta

le mardi 09 février 2010 à 14h46

Papaverum


Je dois avouer que je n’utilise jamais le terme « polyamour » lorsque j’aborde le sujet avec d’autres personnes, car pour moi, il ne s’agit en fait que de l’Amour, tout simplement, dans sa forme la plus pure, débarrassée des préjugés et d’héritages culturels archaïques qui n’ont fait couler que bien trop de larmes et de sang.

"pure".
Il a écrit "pour moi". C'est bon esprit. Je ne dois pas sortir les dents. Il a écrit "pour moi". C'est bon esprit. Je ne dois pas sortir les dents.Il a écrit "pour moi". C'est bon esprit. Je ne dois pas sortir les dents.Il a écrit "pour moi". C'est bon esprit. Je ne dois pas sortir les dents.Il a écrit "pour moi". C'est bon esprit. Je ne dois pas sortir les dents.Il a écrit "pour moi". C'est bon esprit. Je ne dois pas sortir les dents.

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Discussion : [Musique] Chansons, poèmes, divers poly

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Siestacorta

le mardi 09 février 2010 à 13h58

Et en plus tu as un avatar Cthulien. Encore un jour où j'aurai dû être homo.

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Discussion : [Musique] Chansons, poèmes, divers poly

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Siestacorta

le mardi 09 février 2010 à 13h54

Apsophos

Sinon à la base je venais pour poster ça www.questionablecontent.net/view.php?comic=1596

Le dessin est plutôt beuharf, mais excellent sens du dialogue... merci mille fois, et je connais des gens même pas poly qui vont aimer.

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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Discussion : Le fil "Alternatives", c'est ici

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Siestacorta

le mardi 09 février 2010 à 11h02

Benjamin : très chouette, oui. Et la citation d'Illitch elle tape le cul.

J'aime bien ce que j'entends de Gorz.

Mais ma réponse à Clem à propos de Benasayag me semble convenir à peu près pour me positionner. Tu me dis.

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Discussion : Le fil "Alternatives", c'est ici

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Siestacorta

le mardi 09 février 2010 à 10h57

Clementine

@ Siesta: sur le contenu du post, globalement j'adhère à l'intérêt de pondérer les discours et les attitudes; où les volontés de mieux faire, de faire gaffe, me semblent étroitement entremêlées avec un besoin de crier haro sur le salaud de puissant en service (aristos, friqués, puissances du G7, sociétédemerde, parents, antichoix... éssétéra essétéra.)

Aura que je retrouve dans d'autres débats où il semble qu'il y ait besoin d'avoir un clivage bons/méchants, avec variante hollywoodienne concernant les "vendus" qui dès qu'ils ont du pouvoir, retournent leur veste. Alors qu'ils deviennent justement conscients que ce n'est pas simple de conserver un minimum d'équilibre, que la révolution ne sera pas de leur temps (heureusement, les têtes coupées jonchent le sol dans ce cas-là), mais qu'une correction de trajectoire ne douceur a plus de chances d'aboutir qu'une révolution qui fait tôt ou tard balancier (retour dans la gueule en cadeau Bonux compris).

Spontanément, et sans la caféïne nécessaire : le contre-pouvoir, c'est bon, mangez-en. C'est dans un bouquin de Benasayag.
On ne doit pas envisager la prise de pouvoir, qui est effectivement, dès qu'on le possède, l'aveu d'impuissance. Il faut toujours rester dans la masse qui demande et conteste, donc productrice de ce qui deviendra directions et propositions du pouvoir.

Oui, c'est une façon d'être un éternel râleur... Je pense que des gens plus pragmatiques désireront et obtiendront toujours la place aux manettes qu'ils réclament. Je m'inquiète pas de la dynamique d'ensemble : ce n'est pas stérile, puisque tout le monde ne pense pas comme moi.

Donc il ne s'agit pas tout à fait de de dire que la pondération est meilleure que le radicalisme. Je m'intéresse à la source morale de ces options.
J'ai le sentiment -encore confus mais bien ancré quand même - que l'écologie - comme d'autres positionnements - fonde son projet sur un manichéisme, pas sur un humanisme.
L'aura commune que tu perçois, les gentils et les méchants, c'est peut-être le militantisme du ressentiment. Ca veut pas dire que les gens qui s'engagent dans ces idéologies en veulent tous à quelqu'un sans le dire. Pas tous. Mais oui, ils reconvertissent colère et peur dans l'idéologie, et cette colère n'est pas compensée par l'affection pour l'humain tel qu'il est.

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Discussion : De la mauvaise presse du lubrifiant sexuel

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Siestacorta

le mardi 09 février 2010 à 02h32

Je vais jusqu'au bout de ce raisonnement, et je le rattache à l'échange antérieur : oui, ça veut dire que je me pose la question des tests sur les animaux en des termes très anthropocentrés.

les animaux souffrent, donc c'est mal.
J'en suis conscient, je pourrai pas aller voir une corrida, un chien blessé me file le cafard...
Mais ça me suffit pas, voilà.

Signé : le terrible massacreur faunophobe...

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Discussion : De la mauvaise presse du lubrifiant sexuel

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Siestacorta

le mardi 09 février 2010 à 02h22

(ce qui suit est very HS. Quand du HS surgit... Mais qu'on a quand même envie d'en discuter ici et pas ailleurs... Que doit-on faire Une balise ? Une icône ? Murf.)

vi, mais j'ai pas voulu dire vegan exprès, pour agrandir l'angle.

J'ai aussi fait un raccourci, en pensant que c'est par soucis écolo que les vegans font leur choix de commissions. Disons, dans un rapport écolo aux animaux.
Je me goure peut-être, mais si c'est juste un question d'allergies alimentaires, dans ce cas là, je dis plus rien : c'est la résonance des idées dans le quotidien qui me fait travailler du chapeau.

Moi et l'écologie, c'est pas encore une relation très stable. Je saisis à peu près l'intérêt que j'ai à conserver un monde dans un état supportable... (oui, je parle de l'intérêt, parce que je pense qu'un altruisme doit en passer par là pour convaincre, alors qu'il n'en a pas besoin pour être raisonnable).
Qu'il reste de l'eau potable, que j'attrape pas trop de saletés en respirant, que l'agriculture et l'économie soient assez réfléchies pour qu'on finisse pas par bouffer du Soylent Green... Bref.

Mais l'écologie "parce que c'est bien", là, j'y suis pas encore. Soit c'est une question de travail sur moi (je passe une heure la tête devant un pot d'échappement, et une heure dans un centre d'élevage industriel de poulet, ça me travaillera sûrement), soit... cette attitude, au fond morale, ne me semble pas "adaptée" à son but.

A la limite, le projet radicalement écologique serait de débarrasser la planète des humains. On fait que des conneries. Tant qu'à faire, voilà, ce sera fait, et l'écosystème s'en portera incontestablement mieux.

Bon, juste en dessous, il y a les primitivistes, qui admettent que l'homme survive, à condition qu'il abandonne un part majeure de sa technologie.

Ce que je veux dire, c'est qu'au fond, ces deux radicalités - que personne ici ne revendique - sont des horizons théoriques d'un rapport moral à la nature. Les traits sont grossis, mais ils sont présent dans le schéma de départ.

J'en viens à dire que mon rapport à l'écologie est influencé par ce sentiment que la morale qui en est le fond est trop pure, pas assez mélangée avec les autres soucis de l'être humain.
L'égoïsme de l'humanité lui passera pas par décret, mais pourrait être régulé dans un intérêt bien compris.

Bon.
Il est tard, et mes idées sont peut-être encore plus fumeuses que d'habitude.

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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Discussion : De la mauvaise presse du lubrifiant sexuel

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Siestacorta

le mardi 09 février 2010 à 01h24

Non testé ?

Hm. Peut être que la santé par les pierres et les cristaux... Ca doit être grave bio et écolo, ça ?

(non, rien. En fait ça aussi c'est une question sur laquelle j'ai pas une réponse hyper convaincante, mais mon esprit est un pétomane occasionnel)

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Discussion : Il faudrait pas faire de complexe... de supériorité.

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Siestacorta

le lundi 08 février 2010 à 22h28

Oh !
Des FLEURS !

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Discussion : Il faudrait pas faire de complexe... de supériorité.

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Siestacorta

le lundi 08 février 2010 à 22h28

Clementine


Ton discours capte l’attention, il a du sens, il est franc; la confiance de ton auditoire t'est acquise, si j'en crois les réactions, et te rend sympathique.

Hum, je suis pas sûr de comprendre le compliment. La confiance des autres me rend sympathique ?
Je m'imagine pas que tu sois sensible à l'opinion générale, je prend donc ça comme un compliment très spontané.

Et j'ajoute que la sympathie qu'on me marque par ici me fait bien du bien et je rbglibudigzsezzz. (*mélange mal audible de marmonnement et de gazouillis*)

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Discussion : L'amitié homme-femme (sans sexualité) est-elle possible s'il y a désir des deux parts ?

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Siestacorta

le lundi 08 février 2010 à 18h49

On est pas obligé d'accepter l'injustice.
On est obligé d'accepter les limites de nos moyens, et le temps qu'elle va mettre à se faire oublier...

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Discussion : L'amitié homme-femme (sans sexualité) est-elle possible s'il y a désir des deux parts ?

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Siestacorta

le lundi 08 février 2010 à 18h28

Rosalie
Siesta? Je t'ai déjà dit que j'aime beaucoup tes interventions? Ce n'est pas de la drague, c'est sérieux. J'apprécie beaucoup avoir ton opinion.

Serviteur :-)

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Discussion : Il faudrait pas faire de complexe... de supériorité.

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Siestacorta

le lundi 08 février 2010 à 18h27

Pour persuader efficacement, et avoir envie de persuader, il faut poser une image de soi qui tient la route (l'ethos, qui n'est pas un ennemi de Goldorak).
On pose sa propre légitimité dans le débat.

Mon actualité matérielle et mes difficultés d'évolution me cassent l'éthos, assez pour que je n'arrive pas vraiment à porter mes arguments où mes envies.

Je fais avec ce que j'ai, en attendant.

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Discussion : L'amitié homme-femme (sans sexualité) est-elle possible s'il y a désir des deux parts ?

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Siestacorta

le lundi 08 février 2010 à 17h44

Oh, il aime probablement sa femme mais plus comme avant, et pas comme demain.

Là où je suis réellement, candidement étonné par les monogames, c'est qu'ils réagissent comme si c'était la première fois que ça arrivait à quelqu'un d'avoir des variations de sentiments.
Je veux dire, l'amour comme bouleversement négatif dans la vie.
La plupart du temps, c'est quand même bizarre.

Ah, et fait gaffe, à tout hasard, que ton obsession de lui faire passer le cap ne soit pas la plus grande partie de ton sentiment pour lui. Cerner et apprécier les autres ingrédients te permettra aussi de faire valoir ton "amitié".

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Discussion : Il faudrait pas faire de complexe... de supériorité.

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Siestacorta

le lundi 08 février 2010 à 17h39

Clementine
Ah, y'a un challenge? ^^


Pour moi, mais une bonne dose de mépris de moi me rend challenge-proof, hélas, hélas...

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Discussion : Il faudrait pas faire de complexe... de supériorité.

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Siestacorta

le lundi 08 février 2010 à 17h26

ha HA !

(tu m'épuises plus que ma prolactine)

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Discussion : L'amitié homme-femme (sans sexualité) est-elle possible s'il y a désir des deux parts ?

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Siestacorta

le lundi 08 février 2010 à 17h15

Tous ces sentiments qui nous lient (désir, amitié, amour, respect, empathie...) sont d'une effarante porosité.
C'est un peu pour ne plus me prendre la tête sur leur limite que j'ai choisi le polyamour.

Faire passer ce cap à quelqu'un d'autre, c'est une autre paire de manche.

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Discussion : Il faudrait pas faire de complexe... de supériorité.

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Siestacorta

le lundi 08 février 2010 à 17h11

Clementine

Le bon sens pour moi, ne concerne pas autre chose qu'une faculté de ne pas entreprendre de trucs débiles quand le modèle théorique fonctionne, mais que la pratique montre des signes évidents que ça va se péter la gueule.

Donc débattre sur la notion de libre-arbitre face à une question de choix concrète, c'est ?

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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Discussion : Il faudrait pas faire de complexe... de supériorité.

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Siestacorta

le lundi 08 février 2010 à 17h09

tttttt.

Je suis désolé... j'aurai pas beaucoup de répondant là dessus, même si tu pousses à fond la logique.
Je suis un garçon confiant, tu n'es pas assez à mon opposé pour que je me sente en challenge. :-)

C'est le recoupement avec des références à Mauss et son travail anthropologique sur des bases universelles de la morale (donner, recevoir, rendre) qui m'a fait penser que tu pourrait t'intéresser au truc, dans ton débat interne sur l'éthique.

Pour Hitler et Staline, bien sûr que c'est un apprentissage historique. Ca n'invalide pas l'exemple. Je n'ai pas besoin d'être de quelque époque que ce soit pour trouver néfaste quelqu'un dont on me dit qu'il a tuer ou fait tuer des gens par milliers.

"Bon sens" est une trad insuffisante de common decency., même si les deux sont liés. Apparemment la trad c'est "honnêteté élémentaire"...

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