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Discussion : Aristocratie et bourgeoisie sexuelles

LuLutine
le jeudi 03 juillet 2014 à 18h54
gcd68
On peut être riche sans être bourgeois ni aristocrate.
Je pense que Tagore n'a pas (forcément) dit le contraire.
Par contre, je pense qu'il devrait expliciter un peu là où il veut en venir...
Discussion : Aristocratie et bourgeoisie sexuelles

LuLutine
le jeudi 03 juillet 2014 à 18h42
Tagore
L'aristocratie sexuelle est cette couche de la population qui fait l'amour plus d'une fois par semaine.
Ah tiens, je n'en fais pas partie....et je m'en fous, en fait !
Et les asexuels du coup, ils sont forcément hors de l'aristocratie aussi ?
Je vois bien que tu décris un phénomène qui me semble en effet représentatif de certains cercles, mais je me demande où tu veux en venir exactement ?
C'est pas un reproche, c'est juste que ton message est juste...descriptif quoi, et ensuite ? De quoi veux-tu parler ? Pourquoi ? Pour aller où ? Faire changer les mentalités ? Si oui lesquelles ? Etc.
Bref ça me fait partir dans toutes les directions car je n'ai pas compris celle que tu voudrais donner à ton message.
[Edit]
Ah, et sinon :
Tagore
La bourgeoisie sexuelle est celle qui fait le commerce implicite de son sexe.
Tiens, j'en fais pas partie non plus...mais on s'en fout aussi, non ?
Discussion : L'amour selon Scott Peck "le chemin le moins fréquenté"

LuLutine
le jeudi 03 juillet 2014 à 15h57
Siestacorta
hm, je comprend.
Mais une partie de l'objectif du propos semble de savoir comprendre ce qu'est aimer (véritablement en plus mais passons) pour bénéficier de relations amoureuses durables.
Ouais, je vois..
C'est vrai que je suis partie d'un point de vue bien plus global.
Et aussi, que je ne vois pas l'amour comme un objectif. Dans ton interprétation (qui est sans doute plus proche du texte que la mienne hein), la durabilité est un objectif, en fait.
Or là je dirais qu'on s'éloigne du point de vue qui est celui de beaucoup de polyamoureux (enfin il me semble), qui est que la durabilité n'est pas un critère de "réussite" d'une relation : certaines peuvent s'éteindre sans pour autant qu'on dise qu'elles ont été "ratées".
L'amour tel que décrit dans le résumé de Peck, c'est pour moi sans nul doute un travail (ce qui est dit dans le résumé en question), mais ce n'est pas un travail forcé, c'en est un qu'on fait avec plaisir, parce que ça nous apporte quelque chose comme ça apporte à l'autre, parce que ça nous fait grandir, etc.
Et si on n'a pas envie de faire ce travail dans telle ou telle relation, si la relation s'éteint, c'est pas un problème en soi, c'est pas le signe qu'on a "mal" fait quelque chose.
Discussion : L'amour selon Scott Peck "le chemin le moins fréquenté"

LuLutine
le jeudi 03 juillet 2014 à 14h24
Siestacorta
je garde "l'histoire des relations où il y a de l'amour" dont la relation amoureuse comme grille de lecture
Sauf que pour moi, il peut y avoir des relations amoureuses qui ne sont pas des "relations d'amour"....ou pas encore, ou en construction...parce qu'une relation amoureuse peut se nouer (et se dénouer !) très vite, alors que pour moi une relation d'amour est une construction.
Vraiment vraiment rien à voir.
Donc je ne prendrai pas en exemple de "relation d'amour" une relation amoureuse, parce qu'à mon sens c'en est pas forcément une. Même si le vocabulaire pourrait le faire croire...
Discussion : L'amour selon Scott Peck "le chemin le moins fréquenté"

LuLutine
le jeudi 03 juillet 2014 à 13h57
MagentadeMars
Hé hé, enfin les étiquettes sont incontournables
Ben, pas tout le temps. C'est ça le truc.
Dans les premiers temps d'une (éventuelle) relation, je ne peux pas mettre d'étiquette dessus, ça pourrait changer tellement vite, d'un jour à l'autre, d'une heure à l'autre, alors je ne vois pas l'utilité.
Puis, on arrive à une stabilité (au bout de quelques années donc, je dirais, au minimum quelques mois, mais ça varie d'une relation à l'autre), et à ce moment-là je peux étiqueter éventuellement parce qu'il y a cette stabilité : je sais que la probabilité que les choses changent demain est extrêmement faible.
Enfin, il y a le stade ultime, celui où on n'a plus du tout besoin d'étiquette :)
Oui, les étiquettes servent à communiquer, mais elles servent aussi (et peut-être surtout, pour certaines) à se rassurer, et quand on n'a plus besoin de se rassurer, on n'a plus besoin d'étiquettes...!
Discussion : L'amour selon Scott Peck "le chemin le moins fréquenté"

LuLutine
le jeudi 03 juillet 2014 à 13h32
Ahhhh, oui mais toi tu interprètes "amour" comme "relation amoureuse"...moi pas du tout ! (Ou alors, on n'a pas le même vocabulaire.)
Je vois ça beaucoup plus large.
Déjà, "amour" n'a pour moi rien à voir avec "sentiment amoureux". Et donc, une relation amoureuse et une relation d'amour ce n'est pas la même chose (même si les deux peuvent coexister).
Une mère entretiendra une relation d'amour avec son enfant, mais pas une relation amoureuse. Je peux entretenir une relation d'amour avec un(e)(des) ami(e)(s), ce ne sera pas une relation amoureuse.
Oui, j'aime pas les étiquettes et j'en mets quand même ^^
Mais je suis une grande incohérente, ceux qui me connaissent le savent... ;)
(En fait, je ne mets pas toujours d'étiquette sur une relation, en particulier les premières années, parce que j'estime que c'est trop tôt pour étiqueter, que c'est avec le temps que les choses se stabilisent et qu'on sait où on en est ; j'ai surtout quelque chose contre les "étiquetages prématurés" en fait, genre les gens qui mettent "en couple" sur les réseaux sociaux alors qu'ils sortent ensemble - et parfois, se connaissent - depuis quinze jours seulement...)
(Et aussi, je peux aimer quelqu'un sans qu'il y ait totale réciprocité - disons, que l'autre ne "donne" "pas autant" que moi - et dans ce cas je ne sais pas si on peut parler de "relation d'amour", malgré tout je peux dire que j'aime...oh pis après tout, la relation mère-enfant, elle n'est pas symétrique non plus !)
Discussion : Je t'aime... je te quitte...

LuLutine
le jeudi 03 juillet 2014 à 01h51
Leolu
mes habitudes qui consistent à me nourrir d'espoirs et d'attentes sereines, tout en me focalisant à 100% dans l'activité du moment.
Je fonctionne pas mal comme toi je crois. Même s'il m'arrive quand même d'envoyer des messages :)
Ne serait-ce que parce que ça me paraît "normal" que ça ne soit pas toujours le même qui prenne l'initiative, et que je ne vais donc pas systématiquement attendre que ce soit l'autre qui me contacte.
Leolu
si je ne pensais pas à elle, c'est que je ne l'aimais pas
Oui enfin tu peux penser à quelqu'un et malgré cela ne pas l'appeler (en tout cas, pas à chaque fois) !
C'est ce qui m'arrive extrêmement souvent.
D'ailleurs, je suis persuadée que la copine dont tu nous parle vit des moments où elle pense à toi et où pourtant elle ne t'appelle pas !
Mais quand c'est l'autre qui fait ça, c'est un problème (du moins pour certaines personnes), va comprendre !
Leolu
j'ai juste répondu que moi, quand j'aimais j'aimais, même dans l'absence...
Tout pareil.
Leolu
Une communication se donne mais ne se demande pas.
Je nuancerais pour ma part ce point de vue. En ce qui me concerne je comprends que quelqu'un me dise qu'il/elle trouve que je ne le/la contacte pas assez. Je me sens libre ensuite de le/la contacter plus souvent ou bien de lui expliquer que je ne souhaite pas ou ne peux pas fournir de contacts plus fréquents.
Comme je l'ai expliqué (plus haut sur ce fil je crois) beaucoup d'interactions - même distantes - me prennent de l'énergie, et ce parfois d'autant plus que je tiens à la personne...
Parfois, ça m'en donne aussi (de l'énergie) mais ce n'est pas toujours le cas. Et comme on l'a fait remarquer par ailleurs (je ne sais plus où, dans un autre fil je crois), l'énergie ce n'est pas infini.
Leolu
Ce que je trouve adorable, dans le polyamour, c'est justement ça : toutes les personnes qu'on a aimées et qui se sont éloignées sans désamour restent à jamais dans notre coeur et peuvent le reprendre à l'occasion.
(+) (+) (+)
Ce qui fait dire à Françoise (il me semble) qu'elle n'a jamais rompu avec personne...
Ca ne veut pas dire qu'il n'y a jamais d'éloignement. Mais la rupture, non.
Discussion : L'amour selon Scott Peck "le chemin le moins fréquenté"

LuLutine
le jeudi 03 juillet 2014 à 01h37
Siestacorta
J'admet que l'amour (au sens construire avec/dans la relation) a un fort potentiel vertueux, mais j'ai un peu de mal à considérer que ce soit son essence principale, sa "fonction".
Bien sûr qu'un amour "courageux" sera plus sain qu'un amour fou, mais je crois qu'avoir des attentes d'élévation fortes sur l'amour c'est comme avoir des attentes trop grandes envers des gens : ça peut nous conforter dans l'idée que si ça résiste, c'est que ça va vraiment dans le bon sens.
Et puis, c'est comme si aimer devrait se passer pareil quelle que soit la personne qu'on aime, comme s'il n'y a avait essentiellement qu'un apprentissage de vie à faire de toute façon parce que l'amour ferait la même chose à chaque fois, quand je crois que presque chaque relation et chaque personnes nous offriront des choses différentes...
Je suis plutôt d'accord avec toi, je pense qu'on n'a peut-être pas compris/retenu la/les même(s) chose(s) en lisant...?
Discussion : Le sexisme, c'est aussi ça

LuLutine
le mercredi 02 juillet 2014 à 22h23
La-salope-helvetique
Pour moi, on ne critique pas aucun des deux, on critique plutôt un comportement.
Et bien oui, c'est ce qu'il faudrait, critiquer un comportement.
Mais justement, ce qu'explique l'article, c'est qu'on* critique parfois ce comportement en l'attribuant uniquement aux étrangers / aux personnes de "classes populaires" etc.
Et de fait, on se met à critiquer les étrangers / les classes populaires. Alors que le souci n'est pas là !
Ce ne sont pas (que) des personnes "de classe populaire" ou "étrangères" qui ont décidé de passer outre mon consentement. Cela dit, ce ne sont pas non plus de "mauvaises" personnes (et même, je continue de les apprécier - pour d'autres choses - c'est dire !).
Donc oui, c'est bien le comportement qu'on veut critiquer, on est d'accord !
Mais certains l'oublient, justement, c'était la teneur des remarques plus haut !
Signé : une privilégiée, car bien que femme bi-poly, je suis aussi blanche, de classe moyenne et j'ai un travail...
*le "on" fait référence à certains media dont on parlait plus haut
Discussion : L'amour selon Scott Peck "le chemin le moins fréquenté"

LuLutine
le mercredi 02 juillet 2014 à 22h16
Que dire si ce n'est que dans l'ensemble, les éléments présentés correspondent parfaitement à ce que je vis lorsque je dis que j'aime quelqu'un ?
A part quelques détails qui ne résident peut-être que dans la formulation (comme l'expression "amour véritable" qui ne me plaît pas), je suis totalement d'accord.
etresoi
"aimer, c’est désirer faire grandir l’autre"
Oh que oui !
Et qu'il est doux de voir quelqu'un qu'on aime grandir et évoluer... <3 !
Discussion : [Festival] [St-Parthem] 1er festival "Au nom de l'Amour"

LuLutine
le mercredi 02 juillet 2014 à 20h45
Lysliane34
Par ailleurs, pour valider maintenant votre inscription, il est impératif d'envoyer dès maintenant, un chèque d'acompte de 15 euros.
Bonjour,
Je n'ai pas les moyens de m'organiser maintenant pour être sûre de mes éventuelles dates, pas forcément les moyens de venir, et encore moins les moyens de payer...
Je pense que je vais passer mon tour pour cette fois, puisque ça ne peut pas se faire en improvisant, ce que je comprends parfaitement.
Je vais probablement me décider pour rester à la grange un peu plus longtemps...
Bon festival à tous !
Discussion : Le sexisme, c'est aussi ça

LuLutine
le mercredi 02 juillet 2014 à 20h39
Papey
Il est plus facile de critiquer les personnes "défavorisées" et/ou "racisées".
Oui, je trouve ça très vrai.
Plus facile que de critiquer les dominants.
Discussion : Je t'aime... je te quitte...

LuLutine
le mercredi 02 juillet 2014 à 20h37
gcd68
la relation, je la réduis à zéro.
Je réponds dans ce fil-là car c'est sans doute plus approprié. Je dirais que je ne te rejoins pas nécessairement sur ce point.
Je peux diminuer mon investissement, pour moi ça ne signifie pas que la relation est "réduite à zéro". Disons que pour moi c'est un peu excessif, un peu trop "tout ou rien" de dire "soit je m'investis, soit je réduis à zéro". C'est pas aussi binaire...
La seule raison pour que je "réduise à zéro" une relation, c'est que quelqu'un m'ait fait du mal en me trahissant (ne pas répondre à un/des messages n'en fait en général pas partie).
Discussion : Polyamoureux… est-ce vraiment un choix ?

LuLutine
le mercredi 02 juillet 2014 à 20h08
boucledor
Mais, pour ce qui est de l'énergie, je pense que cela est différent et qu'elle n'est pas inépuisable !
LuLutine-crevée te le confirme ;)
boucledor
il surinvestissait notre relation et je pense que cela m'a fait "fuir" [...] Le fait de le considérer à présent comme un "ami" me paraît plus sain.
Ah, je vis ça avec quelqu'un. C'est un ami que j'apprécie, pour qui j'ai de la tendresse, mais il est mono et veut vivre avec moi (d'une façon qui me semble assez "classique")...comment dire...il a du mal à comprendre que ce n'est pas possible.
J'en suis arrivée à la même conclusion que toi : nous sommes "amis".
Ca reste compliqué car pour lui il semblerait qu'il n'y ait rien entre "simple ami" et "homme de ma vie" (oui oui le prince charmant, "ils étaient faits l'un pour l'autre", tout ça..). Rien dans l'éventail des possibles...c'est tellement à mille lieues de mon vécu que j'ai un peu de mal avec ça.
gcd68
Peut-on aimer "trop" ?
Pour moi, aimer, ressentir de l'amour, c'est un sentiment, et il n'y en a jamais trop. C'est un sentiment qui me nourrit positivement, me fait avancer. Quel que soit l'état de la relation (ou même s'il n'y en a plus).
Par contre comme le dit boucledor, on peut surinvestir une relation, et ça ça ne me semble pas très sain, je pense que dans ce cas il faut essayer de rééquilibrer...
Discussion : Je t'aime... je te quitte...

LuLutine
le mercredi 02 juillet 2014 à 19h53
gcd68
Cool, sauf pour le dialogue, comment on fait, si la communication est impossible ?? ?
Si quelqu'un ne répond à aucun de mes messages, pour moi le message est clair, il souhaite couper les ponts.
Donc je n'envoie plus de message. Eventuellement, j'envoie un dernier message explicatif du genre : "Suite à ton absence de réponse à mes messages ces six derniers mois, je comprends que tu ne souhaites probablement plus communiquer avec moi, je m'abstiendrai donc de te contacter à l'avenir. Je te souhaite une bonne continuation."
Libre à lui de me recontacter plus tard quand même, mais c'est très clair qu'après un message sans réponse, je ne vais pas en renvoyer cinquante, je réessaie une fois ou deux et je laisse tomber.
Tiens, j'ai un exemple concret. Il y a deux mois j'ai rencontré un type qui a semblé très enthousiaste puisqu'il m'a donné son numéro (moi, je n'avais a priori prévu ni de le revoir, ni de prendre ou donner un numéro, ni quoi que ce soit, en fait dans les circonstances où nous nous sommes rencontrés c'est plutôt rare qu'on reparte avec un numéro, enfin il paraît..).
Je lui ai renvoyé un message quelque temps plus tard en lui disant qu'on pourrait par exemple boire un verre s'il passait par chez moi. Pas de réponse.
Ben, peut-être que je renverrai un message prochainement (il a pu par exemple avoir une surcharge au boulot lorsque j'ai envoyé mon message, et oublié de répondre ?). Mais voilà, s'il n'est plus intéressé pour me connaître, c'est pas la fin du monde, et je n'ai rien à lui reprocher, même si c'est à la base lui (et non moi) qui avait montré une volonté de rester en contact, volonté que j'ai prise au sérieux (à tort peut-être ? Mais c'est pas très important au fond...)
Discussion : Je t'aime... je te quitte...

LuLutine
le mercredi 02 juillet 2014 à 19h30
Je plussoie Strega : en fait on en revient à la "Sainte Trinité" : le Temps, la Patience et le Dialogue... ;)
LittleJohn
Il met 3 mois à répondre à mon sms, je mettrai 3 mois à répondre au sien (ce n'est pas pour le punir mais pour l'éduquer ^^ ).
Je suis d'accord sur à peu près tout sauf sur ce point.
Moi si on met trois mois à me répondre, bien sûr si je mets ensuite deux semaines ou trois mois à re-répondre, je ne vais pas me sentir "coupable" (l'autre a fait pareil, ce n'est donc pas important pour lui qu'on se réponde vite, du moins ça me semble cohérent comme raisonnement...).
Mais parfois, je vais répondre immédiatement. Tout simplement parce que j'en ai l'envie et la possibilité.
D'autres fois, c'est l'autre qui me répond rapidement (ça veut dire moins d'une semaine, pour les messages non urgents) et moi qui mets un mois à re-répondre, parce que je n'avais pas la disponibilité. Si ça arrive j'espère qu'on ne m'en voudra pas ou alors si ça pose problème, qu'on me le dira honnêtement. En général, je prends en compte les besoins/remarques et si je ne peux satisfaire un besoin, je le dis, dans l'idéal j'explique même pourquoi (mais n'ayant pas de comptes à rendre j'estime dans la majorité des cas que ce n'est pas obligatoire).
Discussion : Le sexisme, c'est aussi ça

LuLutine
le mercredi 02 juillet 2014 à 19h21
sielane
Un mal peut se cacher derrière des maux ou des mots
rue89.nouvelobs.com/2014/06/26/harcelement-rue-fem...
NouvelObs.com
le harcèlement de rue, le sexisme de masse serait l’apanage des classes populaires et des étrangers
Pour ma part, ce n'est pas mon analyse.
Il est vrai que certains média présentent les choses avec ce biais-là...ce qui me semble bien malheureux.
Discussion : Mardi, c'est Poly (juillet)

LuLutine
le mercredi 02 juillet 2014 à 19h13
tentacara
C'était super de vous voir / rencontrer / retrouver, tous ! Y'a pas à dire le café poly, ça fait du bien ! Merci et bisous !
(+) (+) (+)
C'est toujours bien les cafés poly ! :) On voit plein de gens super :)
Discussion : Badinons donc avec l'amour…

LuLutine
le mercredi 02 juillet 2014 à 19h07
boucledor
Alors, oui, considérer que "tomber amoureux" n'est pas exceptionnel, que c'est "chouette" et que cela ne remet pas forcément en question les engagements et les projets de vie que l'on a choisis, ça m'aide à "dédramatiser".
Oui, (+) , et je dirais presque qu'aujourd'hui je ne comprends même pas comment certains peuvent raisonner autrement !