Polyamour.info

LuLutine

LuLutine

Paris (France)

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Discussion : Semaine de la Saint Sylvestre à la grange (Bourgogne). Temps fort : Soirée du 31 Décembre

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LuLutine

le dimanche 10 novembre 2013 à 23h35

Eric_50
le gong "du dodo qui s'impose"

Aaaaah bon ?

Y en a qui ont prévu de dormir ??? :P

Je savais pas moi... ^^

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Discussion : Les lundis poly - 11 novembre - Paris - Bubble Bar

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LuLutine

le dimanche 10 novembre 2013 à 21h21

Bon, j'ai bien reçu le mail d'Isa parlant du tournage, mais je n'ai pas les pièces jointes avec...

C'est moi qui ai fait une fausse manip, ou bien est-ce que personne ne les a reçues ?

Est-ce que quelqu'un ayant reçu le mail d'Isa vendredi soir pourrait me dire s'il les a ?

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Discussion : Polyamoureuse pas assumée

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LuLutine

le dimanche 10 novembre 2013 à 17h43

homme partit
penser que je ne la comble pas suffisamment nécessitant qu'un autre compléte ses manques

Cette phrase me choque car dans une relation, je ne cherche pas à "combler des manques".

Je n'ai pas de "manques à combler" (ou si c'est le cas, je les règles autrement, mais certainement pas en demandant à quelqu'un de les combler pour moi).

Par contre, chaque relation (quelle que soit sa nature : amicale, amoureuse etc.) m'apporte indéniablement quelque chose. Ce quelque chose, je n'en avais pas besoin. Ce qui n'empêche que ça peut me faire du bien !

Avec les raisonnements du type "Tu n'as pas besoin de fréquenter une autre personne" (ce qui est en général vrai), on pourrait aussi dire "Tu n'as pas besoin de fréquenter qui que ce soit" (ce qui est vrai, aussi). Donc tout le monde ferait mieux d'être célibataire :)

En tous les cas, je pense (ce qui n'engage que moi) que quelqu'un qui se lance dans une relation pour "combler un manque" prend une mauvaise décision. Pour moi, aimer quelqu'un ce n'est pas chercher à combler un manque chez soi-même...ce serait même incohérent de dire que c'est de l'amour (mais je le redis, ça n'engage que moi).

Je me rends compte d'une chose importante : ce dont j'ai besoin pour ma part (et là oui c'est assez indispensable), c'est d'être celle qui décide de ma vie. Je crois que c'est pour cela que je ne peux pas supporter un cadre mono, parce que j'aurais le sentiment que c'est l'autre qui m'impose l'exclusivité. Alors que dans l'absolu, je pourrais peut-être la choisir, si la décision venait de moi.

Après tout, récemment je me suis découverte potentiellement capable de renoncer à une relation que je souhaitais, parce que ça faisait souffrir quelqu'un (à qui je tenais aussi). A noter, dans ce contexte-là personne n'avait essayé de "m'interdire" quoi que ce soit.

En revanche, dans les situations où quelqu'un me demande de "changer" "pour lui", je n'ai pas envie de le faire, j'aurais le sentiment de céder à une pression. Et ne pas être décisionnaire dans ma vie, c'est ça qui me tue. Après, je suis peut-être un cas particulier, j'en sais rien...

Bref, pour résumer je voulais surtout dire que ce n'est pas par "manque" que je vais "voir ailleurs".

Couple en réflexion
De son coté, elle reconnait que cette situation lui aurait été insupportable si les rôles avaient été inversé.

Moui, de fait un conjoint qui souhaite vivre des relations plurielles mais n'est pas à l'aise avec l'idée que l'autre fasse de même, y a un petit souci (amha). Je dirais même (avec ma définition, qui n'est pas forcément universelle) que pour moi, cette personne n'est pas polyamoureuse. Le polyamour résiderait plus (pour moi) dans le don désintéressé ("Tu peux vivre d'autres relations, je suis heureux(se) de t'apporter ce que je t'apporte de mon côté") que dans le fait de fréquenter soi-même plusieurs personnes.

Ayant fait mon chemin jusqu'au polyamour en étant en relation exclusive mais avec un homme qui passait son temps à draguer un peu toutes les femmes qu'il croisait, ayant eu confiance en ses sentiments à mon égard et ayant accepté de mieux en mieux au fil du temps l'idée que s'il se passait "quelque chose", ça n'était pas un drame et que l'important était qu'il ne me mente pas, je crois que j'ai développé en moi, intérieurement, cet aspect "don" avant le reste. Ce qui ne veut pas dire bien sûr qu'il n'y a pas d'autres paramètres, les relations humaines c'est tellement complexe... :)

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Discussion : Les lundis poly - 11 novembre - Paris - Bubble Bar

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LuLutine

le dimanche 10 novembre 2013 à 10h44

Bonjour à tous !

Après le tournage, est-ce que vous voulez un débat ?
Si oui, est-ce que vous voulez un thème ?

Sinon y a le principe (comme à la Cantada) de mettre des questions dans une boite, les tirer au sort et que ceux qui veulent donnent des éléments de réponse prennent la parole.

Bon, évidemment on peut aussi voir ça sur le moment, après le tournage en fonction de qui restera là...

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Discussion : Couple mono/poly, quels risques ?

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LuLutine

le mercredi 06 novembre 2013 à 10h45

Siestacorta
Ben ça fait le début d'une relation, mais dire "on est un couple", c'est effectivement dans le temps qu'on s'en rend compte, je crois.

Je plussoie l'intervention de Siesta ci-dessus.

Lou54
Elle ne souhaite pas nous "catégoriser". Ça sent mauvais, non ?

Bah non, absolument pas.

Ne pas mettre d'étiquette, c'est assez caractéristique chez un certain nombre de polyamoureux.

Pour ma part, après plusieurs années à le vivre, c'est pareil je n'ai plus trop envie de mettre d'étiquette. "Couple", "ami(e)", "amoureux(se)" etc. Ca n'a plus trop de sens pour moi.

Je continue à mettre quelques étiquettes pour "l'extérieur". Un "ami" est "juste un ami", quand je parle d'un "copain" en général c'est "pas seulement un ami". Je dis en général, parce que je fais quoi des gens qui sont entre les deux ? Je les appelle comment ?

Parfois je dis : "Machin(e), une personne que j'ai rencontrée à tel endroit, dans telles circonstances" et une fois que j'ai explicité ça, je peux utiliser le prénom, c'est d'autant plus simple que chaque personne est unique, et entre la relation que j'entretiens avec untel ou avec tel autre, il n'y a jamais identité : chaque relation est différente, unique, pourquoi mettre des étiquettes restrictives ?

Au contraire, ne pas mettre d'étiquette me semble hautement respectueux de l'impermanence des situations, des relations ; lucide sur le fait qu'on ne sait pas à l'avance comment une relation va évoluer, même après deux, cinq, dix ou vingt ans (ou plus).

Par contre, je suis susceptible de mettre des étiquettes sur mes sentiments, lorsqu'ils sont clairs pour moi, mais sachant :
- que ces sentiments peuvent évoluer (l'étiquette est donc valable au temps "t", avant et après, on ne sait pas),
- qu'ils ne caractérisent pas la situation/relation mais uniquement ce qui se passe intérieurement de mon côté.

Aujourd'hui il y a plusieurs relations que je n'ai pas envie de catégoriser, pour diverses raisons. Et ces relations participent à me rendre heureuse. :)

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Discussion : J'suis perdu...

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LuLutine

le mercredi 06 novembre 2013 à 09h40

Passante
mais ça arrive.

Je n'ai pas dit le contraire, hein.

J'ai dit que dans certaines situations, et il se trouve que c'est une partie de celles que j'ai connues le mieux, c'était le cas. Et que dans d'autres non (je l'ai bien précisé).

Je ne le sais pas parce que je "savais mieux que les autres" ou quoi que ce soit de ce genre, je le sais parce qu'à tel moment ça a été dit explicitement par la personne concernée.

Et parce que j'ai moi-même été dans ce cas.

J'ai donc voulu préciser cela, là où lyly me semblait faire une généralité absolue (ce que je ne souhaite pas faire)..

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Discussion : Semaine de la Saint Sylvestre à la grange (Bourgogne). Temps fort : Soirée du 31 Décembre

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LuLutine

le mardi 05 novembre 2013 à 23h48

Geraldin-e
Y a-il des personnes intéressées pour, par moment (on ne va pas faire un colloque non plus !), discuter de vie collective, projets alternatifs à plusieurs, utopies...etc. ? (et donc des sujets qui débordent le polyamour)

marco1003
oui!!! ! Je suis intéressé ! :-)

Eric_50
Ah que moi aussi !

Lysliane34
Oh oui ! géant ! tout à fait partante....

Viii moi aussi ! :)

Geraldin-e
je suis bien tenté par une fête différente de d'habitude avec d'autres gens "bizarres" :-)

C'est qui que tu traites de gens "bizarres" ? :P
Namého !
Suis pas bizarre moi ! Pffrtlrtlrtl !

:D

@Eric : par contre pour les dates, je sais pas trop encore, me suis pas encore organisée...je te tiens au courant quand ça se précisera !

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Discussion : J'suis perdu...

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LuLutine

le mardi 05 novembre 2013 à 23h38

lyly42
Les gens qui divorcent pour aller construire une vie avec une autre personne c'est que l'amour avec leur conjoint été fini.

Malheureusement non, ce n'est pas si simple.

Beaucoup, beaucoup de gens renoncent à une personne pour aller avec une autre, à cause de la pression mononormative. Je l'ai fait (il y a longtemps). J'ai vu d'autres le faire. Y compris des gens qui se disaient poly, mais la pression autour a été plus forte...

Non, on ne part pas toujours parce que "l'amour est fini".

Bien sûr, je vois nombre de gens (tous ceux que j'ai connus suffisamment bien dans ce cas en fait, mais je ne connais pas tout le monde...) se convaincre que l'amour est fini, ou bien qu'ils aiment "moins" ou "pas réellement" la personne quittée. Alors que c'est faux.

A y réfléchir, c'est logique. Comment assumer de quitter quelqu'un qu'on aime ? Pour beaucoup (de gens que j'ai observés), c'est bien trop dur à assumer. Alors ils se persuadent qu'ils n'aiment plus. En général, c'est faux.

Je vis dans l'absence - a priori définitive - de nombre de personnes que j'aime. Ce sont elles qui ont choisi la séparation, dans la plupart des cas. C'est ainsi. Je ne renie pas pour autant l'amour que je leur porte. C'est lourd à porter certains jours (c'est pourquoi je comprends ceux qui ont choisi la voie facile : celle d'occulter leurs sentiments réels). Et en même temps, je ne pourrais pas être moi en reniant mes sentiments.

Bref, j'ai un peu digressé ^^

Mais ça me paraissait important de dire que non, on ne quitte pas parce qu'il n'y a plus d'amour (même si ça peut peut-être arriver). C'est bien plus complexe.

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Discussion : Les lundis poly - 11 novembre - Paris - Bubble Bar

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LuLutine

le mardi 05 novembre 2013 à 02h29

Siestacorta
ranger nos familles avec les décos de naouel.

T'as de ces formules toi des fois ! :P

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Discussion : "Bi-poly"

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LuLutine

le dimanche 03 novembre 2013 à 18h44

Geraldin-e
Oui c'était de l'humour.

C'est ce qu'il me semblait, mais j'avais un petit doute quand même ^^

Geraldin-e
On désire souvent être ce qu'on n'est pas ? L'herbe est plus verte chez les voisines ?

Je n'ai jamais souhaité être un homme ou avoir un corps d'homme. J'ai toujours été contente d'être une femme.

Mais, ça dépend des gens.

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Discussion : "Bi-poly"

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LuLutine

le dimanche 03 novembre 2013 à 13h37

Geraldin-e
@Nuereve. Souvent je rêve d'être une fille pour ma part, pour avoir plein d'amants et mettre des jupes en public ! :-) :-D

Euuuuh !

Mettre des jupes en public, ok pas de souci c'est en effet facile quand on est une fille.

Mais...."avoir plein d'amants" ???

Les amants, (c'est comme les antibiotiques) c'est pas automatique, juste parce qu'on est une fille !

Tu rigolais j'espère ?

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Discussion : Les lundis poly - 4 novembre - Paris - Bubble Bar

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LuLutine

le vendredi 01 novembre 2013 à 21h40

Alors, à part ça j'ai bien lu ton résumé, mais je n'ai pas bien compris, pour les gens qui n'ont pas de "texte", ce qu'on est censés dire, si on peut intervenir, improviser, comment ça va se passer ?

On ne pourrait pas avoir un topo rapide du déroulement concret, parce que je suis un peu (beaucoup, complètement) perdue...entre le côté "écrit" et le fait que j'ai cru comprendre qu'il y avait une part d'impro...je ne sais pas quelle est ma place.

(Aucun souci pour improviser en tout cas, si c'est souhaité :) )

Merci d'avance !

PS : Si quelqu'un d'autre sait m'expliquer, je suis preneuse, je ne sais pas si Isa aura le temps de repasser par ici...

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Discussion : De la culture du viol à la culture du consentement

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LuLutine

le vendredi 01 novembre 2013 à 19h24

Je viens de tomber sur cet article :
lesossurlapeau.canalblog.com/archives/2013/10/07/2...

Bon, on peut le trouver excessif dans sa formulation, mais ça dépeint bien une réalité (pas forcément générale, je précise, mais bien réelle oui, et à laquelle toute femme s'est un jour heurtée).

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Discussion : De la culture du viol à la culture du consentement

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LuLutine

le vendredi 01 novembre 2013 à 01h49

Siestacorta
Mais je suis un mec, donc j'ai pas une conscience aussi nette et vécue de ces évènements, je ne sais pas si j'aurai la même impression globale si j'avais traversé les rues en tant que fille.

Meeeerci d'être lucide (+) !

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Discussion : Semaine de la Saint Sylvestre à la grange (Bourgogne). Temps fort : Soirée du 31 Décembre

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LuLutine

le vendredi 01 novembre 2013 à 01h36

Si je viens je resterais bien quelques jours, parce que faire juste l'aller-retour...bof.

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Discussion : Les lundis poly - 4 novembre - Paris - Bubble Bar

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LuLutine

le vendredi 01 novembre 2013 à 01h34

Arriver à 18h, est-ce un problème ?

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Discussion : De la culture du viol à la culture du consentement

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LuLutine

le vendredi 01 novembre 2013 à 01h24

Siesta, je comprend ton raisonnement, mais je ne suis pas convaincue qu'il soit réaliste, je suis même convaincue du contraire.

Je connais des tas de mecs qui ne harcèlent pas dans la rue, mais ils ont d'autres comportements - parfois très peu visibles - liés à la culture du viol.

Dans mon vécu, la majorité des hommes que j'ai croisés (j'ai pas dit tous...) ont au moins un des comportements liés à la culture du viol.

Et pour certains qui ne semblent pas les avoir, je ne les connais pas beaucoup, alors si ça se trouve ils les ont (par exemple, comment savoir à quel point le gars se montre insistant avec sa copine quand elle dit qu'elle n'a pas envie ? ben je peux pas savoir, je ne suis pas dans leur intimité)

Beaucoup ont des comportements "non visibles" (non évidents d'un point de vue "public", si tu vois ce que je veux dire).

Bon après, un truc que j'ai remarqué, c'est que ces comportements semblent en moyenne moins fréquents chez les poly :)

Bien moins fréquents.

Mais encore une fois, ce n'est que mon observation. Pour l'instant, il semble que les observations d'Evavita rejoignent globalement les miennes ? (Ou j'ai mal compris.)

Evavita
J'ai constaté que ce n'était pas minoritaire de par mon vécu et ceux de toutes les femmes avec lesquelles j'ai parlé.

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Discussion : De la culture du viol à la culture du consentement

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LuLutine

le jeudi 31 octobre 2013 à 19h22

Siestacorta

Green Man Outside
le sujet de départ, et le titre de ce fil présuppose que la culture du viol est majoritaire

Non, seulement que la réflexion sur le consentement est nécessaire dans une société où le viol n'est pas une rareté, et où la plupart des filles que tu rencontreras te diront avoir eu un sale moment de pression sexuelle, quand ce sera pas le cas pour les mecs.

Siesta, tu te contredis un peu non ?

Si la plupart des filles te disent qu'elles ont subi "un sale moment de pression sexuelle", étant donné que ce genre de comportement est caractéristique de la culture du viol, c'est que celle-ci est répandue non ?

Tu sais, pour être majoritaire, il "suffit" de 50,00000.....1% !

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Discussion : De la culture du viol à la culture du consentement

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LuLutine

le jeudi 31 octobre 2013 à 19h10

GMO : Puisque la culture du viol est minoritaire, je te mets au défi de trouver une majorité de femmes qui n'ont pas subi régulièrement un ou plusieurs des exemples que je décris.

J'attends hein.

Parce que pour l'instant, c'est bizarre, aucune nana n'est venue te dire que tu avais raison et qu'elle n'avait pas subi ça régulièrement.

Pour les stats, comme le dit Siesta, ont te les a données. C'est pas parce que je ne les avais pas sous la main qu'elles n'existent pas.

Mon message avait pour objet de te faire comprendre ce que c'est que la culture du viol, comment elle était vécue par les femmes.

En te faisant remarquer que je suis à peu près une fille lambda qui a croisé des garçons lambda, et que malgré ça...

Mon expérience est représentative (ce que tu nies et ça me blesse), un petit tour sur la toile (et/ou un peu n'importe où ailleurs) te le confirmera.

Et puis je le redis : l'objet principal de mon message c'était de te donner la définition de la culture du viol, puisque tu as montré que tu ne l'avais pas comprise !

En attendant, tu peux partir à la recherche de tes femmes inviolées et non-agressées, soit-disant majoritaires. Je te souhaite bon courage.

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Discussion : De la culture du viol à la culture du consentement

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LuLutine

le jeudi 31 octobre 2013 à 15h28

Evavita
de devoir parfois être sèche parce que si je ne le suis pas assez ça peut être très long avant qu'on me lâche.

S'il te "suffit" d'être sèche, tu as plus de chance que moi, parce que parfois ça ne suffit pas.

Je ne nie pas que certains ont lâché l'affaire à l'instant où je leur ai dit poliment "Non désolée, je ne suis pas intéressée", mais pour les autres, "être sèche" n'a pas suffi. Ou alors on n'a pas la même notion d'être sèche ^^

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