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Discussion : Lieux poly/bi friendly sur Lyon ou ailleurs

Cendre
le mardi 09 avril 2013 à 23h17
Je peux pas répondre pour les lieux, mais pour la recherche par mot clé, le plus simple est de faire la recherche suivante sur google :
"site:polyamour.info mot clé"
(tient, c'est drôle, cela a déjà été dit il y a trois ans)
Discussion : Frontière floue : un problème?

Cendre
le mardi 09 avril 2013 à 23h13
« Je t'aime », c'est une expression au présent. Elle sous-entend toujours plus ou moins que l'on aimerait que cela dure, mais ce n'est pas une promesse en soi, juste l'expression d'un sentiment présent.
Une de nos chanson que l'on partage depuis le début avec mon mari dit cela :
«
Aujourd'hui je t'aime, oui mais demain, on ne peut jamais être sûr de rien
On va toujours seul sur la route, je continue coûte que coûte
Et puis une route en croise une autre et puis une autre et encore une autre
Pourvu que la tienne, oh mon amour, croise la mienne tous les jours
»
Ma propre route est aujourd'hui assez distincte de celle de mon mari, suffisamment pour que j'en souffre (moins que lui, sûrement, mais j'en souffre également, tout égoïste que je semble être par ailleurs). Je ne peux influer que sur ma propre route, pas sur la sienne, à moins de me "sacrifier" pour m'inscrire dans la route de mon mari, comme c'était attendu des femmes durant des siècles.
Mais je me raccroche à ça, avec foi :
« Pourvu que la tienne, oh mon amour, croise la mienne tous les jours »
Discussion : Nos plus beaux témoignages d’Amours de poly-heureux ☺

Cendre
le mardi 09 avril 2013 à 13h09
Sinon, pour la lisibilité du fil, est-il envisageable de le nettoyer ?
Je suis pas particulièrement maniaque, mais là, je pense à ceux qui voudront relire le fil dans quelques mois, avoir un dialogue de sourd c'est pas très agréable.
C'est pas tout à fait un fil comme les autres.
Peut être déplacer la polémique dans un autre fil spécifique (ça donnerais un avantage au fait que Nanou cite entièrement le texte précédent à chaque intervention...) ?
Je sais pas si BohwaZ a prévu un truc du genre, mais je trouverais ça bienvenu.
(et je me retiens de nourrir le troll, même si ça me démange sévère)
Discussion : Nos plus beaux témoignages d’Amours de poly-heureux ☺

Cendre
le mardi 09 avril 2013 à 12h59
Merci Oasis86 pour ce joli témoignage, qui montre que les choses peuvent être joyeuses même quand elles démarrent sur une séparation.
Discussion : Pourquoi je souffre ? Piste de réflexion...

Cendre
le mardi 09 avril 2013 à 12h50
« Le bonheur c'est, d'arriver à, désirer ce, qu'on a déjà. »
Bien sur, je suis d'accord, j'ai aimé la vidéo, j'ai envie de la montrer autour de moi.
Mais je peux pas laisser le truc en plan, parce que c'est loin d'être aussi simple que cela dans ma tête, c'est une très très vielle problématique dans mon esprit, celle de l'imbécile heureux, qui n'essaye pas d'influer sur le monde qui l'entoure, qui prend ce qui vient comme ça vient, n'a pas de projet, d'ambition, d'aspiration.
Ce bonheur là ne peut pas être un accomplissement à mes yeux.
« L'attachement à comment les choses devrait être » nous fait certes souffrir, mais c'est justement dans ce décalage, dans cette indignation, que l'on trouve l'énergie pour agir, pour faire bouger les choses.
Et là, mon cheval de bataille n'est pas amoureux, il est politique.
Je suis persuadée que ça arrange bien notre élite financière la recrudescence ces théories du bonheur où on doit « lâcher prise » et se contenter de ce que l'on a.
Voir par exemple Les Guignols du 27/03/2013 - J'ai décidé d'être heureux
Bon, sur ce, c'est comme tout, c'est une histoire d'équilibre. Y'a une jolie marge entre faire le mouton égocentré sur les menus plaisirs quotidiens et l'éternel insatisfait qui n'a plus d'influence sur le monde tellement les projections de sa frustration prennent le dessus.
Ne pas se laisser bouffer par les états de fait sur lesquels on ne peut pas agir, ok.
Mais faire les choses bien, constater que le résultat est proche de ce que l'on souhaitait, c'est quand même un très grand moteur de bonheur également, non ?
Sans parler du rêve.
Discussion : Les lundis poly - 8 avril - Paris - Bubble Bar

Cendre
le mardi 09 avril 2013 à 09h31
Ces cafés me sont devenu source d’énergie indispensable.
Merci pour toute l'attention et la tendresse reçues, je me suis endormie (et réveillée) avec le sourire.
Discussion : Paumée avec un polyamoureux

Cendre
le lundi 08 avril 2013 à 16h23
Comme les autres, je n'ai que ma compassion à t'offrir, les réponses ne peuvent être véritablement trouvée qu'en toi même.
Je voulais juste répondre à cela :
aviathaje n'ose plus m'ouvrir ou me plaindre, de peur de le voir préférer la compagnie de l'autre.
A mon avis (modeste, je peux tout à fait me tromper sur votre situation) tu ferais mieux d'oser, de t'ouvrir à nouveau à lui, quitte à te plaindre. Non pas dans le sens de faire des reproches à ton compagnon, mais l'informer sur ce que tu ressens. Même (surtout) ce qui est irrationnel, qui touche aux tripes, qui ne s'explique pas.
N'êtes vous pas les meilleurs confidents l'un pour l'autre ?
En ce moment, mon mari va mal. Je le vois, il me le fait savoir, mais il ne me parle pas de ce qui lui fait vraiment mal, de ce qui lui fait peur. Et j'ose pas aborder le sujet de plein pied. J'ai peur d'être trop brutale dans mes mots.
Je sens petit à petit la distance s'insinuer dans la confiance et même si ça fait moins mal que certains coup d'éclats vécu avec mon premier amant, c'est plus sourd, plus insidieux, et beaucoup plus angoissant pour moi.
Je te souhaite en tout cas de surmonter au plus vite ces difficultés, de trouver ta réponse. La vie est pleine de surprises, et je suis sure qu'il y en aura de très belles pour toi.
Discussion : Les lundis poly - 8 avril - Paris - Bubble Bar

Cendre
le lundi 08 avril 2013 à 16h03
« Sire, on en a gros ! »
Pas moyen de me concentrer sur ce que je fais cet après midi, je pense que je serais en avance au café...
Discussion : Un peu paumée entre deux monogames

Cendre
le lundi 08 avril 2013 à 15h09
Il manque la suite de la phrase :
« mais ça ne résoudrait pas le problème du polyamour qui est ancré en moi et pas en lui, donc pas en couple classique »
Discussion : Un peu paumée entre deux monogames

Cendre
le lundi 08 avril 2013 à 11h01
Bonjour Chlo,
J'ai pas grand chose à dire, je voulais juste compatir avec toi.
J'ai vu dans tes historiques de messages que tu connais déjà le discours, que tu es sûrement plus avancée que moi dans la démarche, dans l'idée d'assumer pleinement ce que tu es.
J'ai un dilemme similaire avec mon mari.
D'un coté une situation déséquilibrée, qu'on sent pas, on sait pas comment la manipuler, comment l'améliorer, quelles sont les actions de nous qui permettrait d'avancer dans le bon sens, et même, quel est ce bon sens dans lequel on souhaite aller ?
De l'autre coté, une intuition, une certitude, une volonté propre : je ne peux pas faire autrement. Je les aime et j'aime la possibilité d'en aimer encore d'autres. Et ça ne s'arrêtera pas comme ça, et il est hors de question que je renonce à vivre cela. Je ne peux pleinement profiter du bonheur par procuration que parce que je sais qu'il m'est accessible à moi aussi.
Alors oui, je culpabilise d'être aussi égoïste.
Mais m'aimer, moi même avant tout, c'est accepter cela aussi.
Message modifié par son auteur il y a 12 ans.
Discussion : Nos plus beaux témoignages d’Amours de poly-heureux ☺

Cendre
le lundi 08 avril 2013 à 10h40
Bis.
Je me répète, mais avoir des échos de votre bonheur, c'est très très très chouette.
Merci.
Discussion : Je ne suis pas polyamoureuse mais...

Cendre
le dimanche 07 avril 2013 à 11h22
Vole bien très chère Katouchka.
Tu es radieuse et ça fait vraiment plaisir à entendre.
Discussion : Les amours plurielles, est-ce politique ?

Cendre
le vendredi 05 avril 2013 à 15h23
demeter
Le polyamour ne nait-il pas de cette autorisation, voire de l'encouragement donné dans ce contexte, où l'individu ne peut compter que sur lui pour se sentir acteur de son projet de vie ? La société laissant chacun dans l'ignorance de ce qu'il faut faire, il ne reste plus à chacun comme issue qu'à passer par un processus réflexif et une adaptation au jour le jour vers un avenir inconnu. La pratique du polyamour entre autre, par la mise en lumière des relations et les bouleversements des rites qu'elle soulève, par "l'autonomie" amoureuse qu'elle nécessite, touche une problématique universelle des relations humaines, dont une autre représentation serait alors une urgence très actuelle.
Ça me parle beaucoup, cette problématique.
Je l'ai eu en arrivant ici, je le vivais comme un paradoxe :
A l'origine, je suis très républicaine, persuadée que la seule bonne méthode pour lutter contre la jungle de la loi du plus fort (comme l'est le capitalisme aujourd'hui), c'est la réglementation, c'est une instance supérieure (l'état) qui pose des limites au nom du bien commun et du vivre ensemble. Je me suis même un temps considérée comme « conservateur de gauche », avec une certaine nostalgie pour certaines vielles réglementations (de l'interdiction de spéculer au droit du travail)
que l'on assoupli les unes après les autres au prétexte de la liberté et de la fluidité.
J'ai encore beaucoup de mépris pour les tendances individualistes (et leurs dérivés corporatistes), qui divisent, mettent en concurrence, revendique des droits au détriment des autres.
J'ai eu la chance d'obtenir un statut social confortable sans trop me mouiller, cela ne me dédouane pas d'être solidaire par rapport à la population qui a moins de chance que moi. Ne serait-ce qu'en payant mes impôts.
Et face à ça, le paradoxe : je tombe amoureuse. Plus rien n'a d'importance que moi et mes relations. Ma perception du bien commun se dissous et je prends les règles de la société une à une pour les déformer à mon avantage, pour qu'elles me permettent de vivre mon propre bonheur très égoïste.
J'ai laissé ça de coté pendant un bon bout de temps, parce que ça faisait vraiment mal à ma propre estime personnelle.
Donc je suis contente que vous donniez quelques billes pour me justifier (à moi même) que ce n'est pas la même chose, qu'il y a plusieurs formes de libertés, et que militer pour certaines ne signifie pas que l'on croit à la main invisible du marché (ou à la concurrence libre et non faussée)
...
J'ai quand même également encore beaucoup de mal à considérer que mon mieux vivre actuel ne s'est pas fait au détriment de mon mari.
Discussion : Nos plus beaux témoignages d’Amours de poly-heureux ☺

Cendre
le vendredi 05 avril 2013 à 12h59
Oui, j'aime partager le bonheur de ceux qui me sont proche. Même si on est pas partie prenante, même si on y est pour rien, c'est tellement beau à voir !!
Merci de diffuser ces ondes positives !
Discussion : Frontière floue : un problème?

Cendre
le vendredi 05 avril 2013 à 12h53
Vu le temps que j'ai passé à écrire mes PS, je pense que cela mérite un nouveau post pour récapituler :
- Temps passé ensemble : aucun => un peu => beaucoup => tout le temps
- Intimité&confiance : indifférence (neutre) => camarade => amitié => fusion
- Échelle sensuelle : pas de contact => contacts cordiaux => relation sensuelle (caresses, baisers) => sexe
- Échelle matérielle : rien de commun => quelques objets => cadre de vie (chambre / dettes) => tout en commun
- Autonomie/Responsabilité : Liberté (Je me moque de ce que tu penses) => faire attention (compromis) => autorité (je le fais pour toi) => dépendance (sacrifice)
Discussion : Frontière floue : un problème?

Cendre
le vendredi 05 avril 2013 à 12h00
Je suis matheuse aussi, j'ai bien envie de profiter de ce fil pour pinailler les échelles et me les approprier.
J'ai renommé Échelle sentimentale par intimité. C'est en rapport avec cet ancien fil sur l'amour complet, où j'étais assez d'accord avec l'idée qu'une des caractéristiques que j'aime dans l'amour, c'est de monter en intimité avec une personne, c'est-à-dire avoir confiance en elle pour lui parler de moi, et réciproquement.
article wikipedia en anglais sur le sujet
J'ai essayé de rééchelonné sur 4 niveaux. Ce qui m'a permis de placer les contacts cordiaux, non équivoques, qui sont acceptés dans notre société entre non amoureux (se faire la bise, se prendre dans les bras)
Dans une relation normale (au sens correspondant à la norme de la société) les niveaux sont a peu près les mêmes sur chaque échelle. Tout à droite nous avons le couple fermé, puis l'amour tel qu'il est communément entendu.
- Temps passé ensemble : aucun => un peu => beaucoup => tout le temps
- Intimité&confiance : indifférence (neutre) => camarade => amitié => fusion
- Échelle sensuelle : pas de contact => contacts cordiaux => relation sensuelle (caresses, baisers) => sexe
- Échelle matérielle : rien de commun => quelques objets => cadre de vie (chambre / dettes) => tout en commun
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J'aime écrire sur ce forum car ça me force à remettre en question mes schémas. Et me rendre compte qu'il y a une relation qui n'est pas verticale et qui pourtant est bien tolérée par la société, c'est l'ami intime :
C'est quelqu'un avec qui on passe beaucoup de temps, avec qui on partage beaucoup de questions personnelles, mais avec qui les contacts restent décents et le partage matériel assez faible.
Et de me rendre compte que j'ai toujours eu beaucoup de mal avec ces relations. Que je sais jamais trop où les mettre, que dès que le curseur grimpe sur l'échelle de l'intimité ou du temps, cela me mettait mal à l'aise vis-à-vis de mon compagnon du moment, qui, de mon point de vue, méritait l'exclusivité sur ces domaines....
Et du coup de refourguer tout le monde au niveau de la camaraderie, de la simple connaissance, tout le monde sauf l'élu. Si c'est pas de la peur de l'engagement caractérisée ça...
Au final, cela m'a posé moins de problème d'avoir une relation qui montait en parallèle le curseur de la sensualité. Parce qu'elle sortait de facto du socialement correct et qu'il fallait que je m'y penche sérieusement pour la comprendre et l'accepter.
Bref, je pense que j'ai fait beaucoup de progrès là dessus, que je commence à être capable d'assumer mes envies en terme de relationnel, avec les gens autour de moi, avec un désir de sensualité décorrélé du désir de de connaissance de l'autre. Ne pas me sentir coupable quand je n'ai pas envie d'approfondir la proximité physique d'une part ; et d'autre par reconnaître mes besoins de proximité intellectuelle, l'assumer et la favoriser.
Merci à tous ceux avec qui je partage des moments d'intimité. Le bonheur tient parfois à peu de choses.
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PS : retour à une réflexion scientifique sur le modèle.
Est-ce que le plus caractéristique d'une relation, c'est l'emplacement des curseurs, ou bien leur dynamique ?
Si l'on partage beaucoup avec quelqu'un, mais que la tendance est à partager de moins en moins, on est dans une situation totalement différente que pour quelqu'un avec qui le partage est plus faible, mais avec une volonté de l'augmenter !
PPS : Il me vient une autre échelle à l'idée, celle de la responsabilité, de la dépendance à l'autre, de l'influence de ses actes sur la relation et sur l'autre. C'est aussi sa capacité à vivre sans l'autre. Le mal être générée par la diminution sur les autres échelles.
La dépendance est naturellement plus haute dans des relations avec des enfants ou des personnes handicapées.
- Autonomie/Responsabilité : Liberté (Je me moque de ce que tu penses) => faire attention (compromis) => autorité (je le fais pour toi) => dépendance (sacrifice)
Message modifié par son auteur il y a 12 ans.
Discussion : Lesbiennes et polyamoureuses comment faites vous ?

Cendre
le mercredi 03 avril 2013 à 13h17
lam
Comme quoi des fois il ne faut pas oublier d'être pas d'accord, même avec ses allié-e-s proches et politiques.
Juste en passant même si on dérive franchement du sujet, ne pas être d'accord sur tout, ok, laisser les opinions de chacun s'exprimer, c'est génial ; mais y'a quand même une limite dans la constitution d'un groupe, un moment où il faut être d'accord entre nous. Je l'ai cherchée, je l'ai pas trouvée.
Mais résultat des courses : je me suis sortie moi même du groupe politique avec lequel j'ai le plus d'affinité, littéralement épuisée par leurs luttes intestines...
Discussion : J'ai toujours aussi peur

Cendre
le lundi 01 avril 2013 à 15h14
@Allumette : t'as de la chance que Siesta t'explique, moi je t'aurais purement ignorée.
Marie-Georges
Voilà bien un type de douleur contre laquelle nous ne sommes d'aucun secours, doublée du sentiment désagréable d'en être la cause
[...]
Alors de mon côté j'essaie de faire le deuil de ma toute-puissance...
C'est sûrement ce à quoi je suis confrontée en ce moment.
C'est pur poly et je n'y suis pas encore : nous ne sommes pas tout pour nos partenaires. Ils ont leurs vies, leurs aspirations, leur vécu, (le cas échéant leurs autres partenaires ) et si bien sûr on compte pour eux, on ne fait pas tout.
(soupire)
Message modifié par son auteur il y a 12 ans.
Discussion : J'ai toujours aussi peur

Cendre
le samedi 30 mars 2013 à 17h30
Merci (vraiment, sincèrement) à tous.
Non, je n'ai pas le choix. Faire confiance. Jusqu'au bout. Oui, il y a un risque de se retrouver par terre, mais en ce cas, je préfère bien tout remettre en cause plutôt que de poursuivre une relation bancale. Et il reste quand même une belle probabilité que l'on s'en sorte bien.
Est-ce que mon mari connait mes peurs ? Certainement pas toutes. Moi aussi, je sais bien planquer certaines choses. J'ai été surprise de le lire dans un écrit d'un vieil ami que je semblais sûre de moi. Peut être trop. Peut être trop souvent.
Le problème, quand j'expose ma vulnérabilité à mon mari, c'est qu'il se place immédiatement en soutien, en réconfort. C'est un de nos fonctionnement de base, très très ancien, de l'époque où on s'est connu et où j'allais vraiment pas bien. Nous l'aimons tous les deux. Mais j'ai toujours peur d'être trop près du chantage affectif quand je fais ça, sans parler que cela l'encourage à faire « pour moi » et pas « pour lui » ...
Dans les peurs qui existent, je suis heureuse qu'on en ait évoqué une hier : il a peur que l'on me juge. Et pour cette raison, il ne voit pas à qui en parler autour de lui.
Mais ça avance. Indubitablement.
Alors,
Je vais pas me plaindre.
Pour rien au monde je ne souhaiterais le contraire.