Participation aux discussions
Discussion : [Musique] Chansons, poèmes, divers poly

Lunar
le vendredi 18 décembre 2015 à 00h05
Une veille chanson (1971), mais qu'on vient de me faire découvrir. Le temps est bon, Isabelle Pierre :
https://www.youtube.com/watch?v=3t5xR80_hoQ
Des paroles : lyricstranslate.com/en/le-temps-est-bon-times-are-...
Discussion : Nantes - Café polyamoureux

Lunar
le lundi 02 novembre 2015 à 17h28
Y a un lieu de prévu déjà ? Pas sûr encore, mais c'est possible que je passe.
Discussion : Comment sortir de la “friend zone” ?

Lunar
le mercredi 27 novembre 2013 à 12h40
Sur la so called “friend zone”, l'Elfe a écrit plusieurs billets vraiment très bons : le premier s'appelle Toutes des salopes, ou le mythe du mec trop gentil et on peut lire le reste de la série.
Pour ce qui est de sortir des cases, le texte de Corinne Monnet n'a pas vieilli en 15 ans : À propos d’autonomie, d’amitié sexuelle et d’hétérosexualité. Disponible en ligne depuis peu : La fabrication artisanale des conforts affectifs. Et puis on peut conseiller à nouveau The Ethical Slut (qui a finit par être traduit en français) ou les écrits de Françoise Simpère.
Discussion : Poly café informel sur Grenoble

Lunar
le vendredi 22 novembre 2013 à 18h27
Je ne suis pas bien sûr de comprendre le côté « officieux ». N'importe qui est libre de proposer des évènements. Il n'y a pas de tampon, à ma connaissance.
Pourquoi ne pas avoir prévenu le bar ? Ça peut être bien d'avoir une ou deux tables de réservées dans la salle du fond, non ?
Discussion : De la culture du viol à la culture du consentement

Lunar
le mercredi 09 octobre 2013 à 19h31
Une traduction d'un texte issu de Pervocracy sur la question. Ou comment passer du consentement « à pile ou face » à des pratiques actives d'écoutes et de demandes :
https://lillydarma.wordpress.com/2012/03/05/rescen...
Discussion : [Podcast] Documentaire sonore Prostitution (4/4) : "Abolition de la prostitution : osez le débat", 2012, de Meta Tshiteya et Nathalie Salles

Lunar
le vendredi 30 novembre 2012 à 21h08
Merci pour le docu. Je trouve qu'on entend un brin trop les abolitionistes, mais j'ai déjà pris mon parti.
Un moment que je trouve particulièrement révélateur, c'est le moment au Najat Vallaud-Belkacem parle de réinsertion (vers la 33ème minute). On entend clairement qu'elle ne considère par la prostitution comme une activité professionelle. Et c'est là, où on a une vraie ligne de fracture politique.
Le système capitaliste, lorsqu'on est pauvre, nous oblige à vendre notre corps. Ça peut être nos mains pour les ouvrier·e·s, nos cerveaux pour les traducteur·ice·s ou nos culs pour les prostitué·e·s… Est-ce qu'on peut sincèrement s'attaquer à l'une des ses exploitations sans jamais penser aux autres ?
En attendant la fin du capitalisme, le rendement temps/liberté/argent de la plupart des activités de travail du sexe est largement supérieur à la plupart des boulots stupides qui sont accessibles au plus grand nombre. Est-ce cela qui rend des personnes aussi hositiles à cette stratégie de survie ?
En ce qui concerne l'aspect patriarcal, merci pour le court extrait de Despentes (41ème minute). Parler de prostitution sans mentioner le mariage, ça aurait clairement manqué… C'est quand même l'institution historique de l'exploitation du corps des femmes !
J'ai entendu cet aspect dans ta conclusion… mais je l'aurais souhaité plus affirmative, je crois. :)
Discussion : Rencontre poly à Grenoble (octobre ou novembre 2012) !!!
Discussion : Café poly à Grenoble le 22 juin

Lunar
le samedi 23 juin 2012 à 13h26
Merci à toutes celles et ceux qui sont venu·e·s, c'était une chouette soirée. :)
Discussion : Café poly à Grenoble le 22 juin

Lunar
le lundi 18 juin 2012 à 22h18
La place Saint-Bruno accueille un marché tous les jours. Il est possible de se garer sur l'emplacement du marché, et souvent il y a un peu de place, à condition de repartir avant 5h le lendemain matin.
Discussion : Café poly à Grenoble le 22 juin

Lunar
le mercredi 13 juin 2012 à 23h10
Alors, on peut aussi y commander des trucs pour l'apéro (genre assiette de from'). Pour ce qui est d'amener du manger, je pense que c'est pas un soucis, tant que c'est pas des tonnes. Et si c'est végétarien ça passera mieux aussi, je pense.
Discussion : Café poly à Grenoble le 22 juin

Lunar
le mardi 12 juin 2012 à 23h04
Alors on peut faire ça au Saint-Bruno, 22 place Saint-Bruno (c'est du côté de la rue de l'Abbé Grégoire). Les bières sont à 2,30€, les jus de fruits aussi. Je ne crois pas qu'il y ait grand chose à manger. Ça ferme vers 22h-23h. On pourra se mettre dans la demi-salle du fond, a priori.
Ce n'est pas très loin de la gare (5 minutes de marche, si on sort du bon côté de la gare).
Pour ce qui est de venir de Lyon, il y a régulièrement des rencontres qui y sont organisées. Je ne sais pas si ça vaut le coup de faire les bornes, m'enfin, on ne fermera pas la porte, au contraire ! :)
Discussion : Café poly à Grenoble le 22 juin

Lunar
le lundi 11 juin 2012 à 02h12
Pour le lieu, j'ai 2-3 idées en tête. J'essaye de m'assurer que c'est bon dans les prochains jours.
Discussion : Café poly à Grenoble le 22 juin

Lunar
le mercredi 06 juin 2012 à 17h48
Allez, va pour le 22. Je devrais avoir des réponses pour le café en début de semaine prochaine. :)
Discussion : Et la capote ?

Lunar
le mercredi 30 mai 2012 à 22h36
Ma sexualité s'est construite entre le soucis des MST et celui de ne pas procréer. Ce qui m'est « naturel », c'est justement de mettre des capotes lors de pénétrations…
En tout cas, Guillaume, je trouve qu'a minima, il faut se soucier des personnes avec qui on a des pratiques à risques. Ta copine ne peut exiger de cet ami qu'il n'ait de relation qu'avec elle, il me semble. Donc son refus d'avoir des rapports protégés te met en danger… Je trouve ça inquiétant vis-à-vis de votre relation.
Discussion : Café poly à Grenoble le 22 juin

Lunar
le dimanche 27 mai 2012 à 09h05
J'ai pioché la date au gré de mon propre agenda. J'imagine que si elle était le week-end, il y aurait eu des personnes pour dire « Aïe. Pourquoi le week-end ? » :)
On pourrait ramener ça au 16 au au 17 si ça permet à suffisament de monde de venir. Mais sinon, ça sera pour la prochaine date.
Discussion : Polyamour sans couple, sans relation centrale/primaire

Lunar
le mercredi 23 mai 2012 à 19h40
LuLutine
Je pense que Tchu ne sous-entendait pas quelque chose du genre de ce que tu mets entre guillemets.
Oui, oui, pardon de ne pas avoir été plus clair, mais je ne prêtais pas Tchu de tenir directement un tel propos.
Discussion : Polyamour sans couple, sans relation centrale/primaire

Lunar
le mercredi 23 mai 2012 à 18h39
Tchu
Outre le fait que je sois un peu effrayée par vos mots, que je trouve assez violents, de part et d'autres, je suis très embêtée car ce que j'ai lu s'apparente selon moi à quelque chose qui m'a toujours dérangée profondément depuis que je suis entrée en polyamour : l'autoétiquettage. […]
Je ne me suis jamais demandé si j'étais polyamoureuse, monogame, queer, etc. Il m'a toujours déplu de me coller une étiquette sur le dos, dans le but d'intégrer un groupe, une communauté.
C'est une stratégie qui fonctionne pour toi, et c'est tant mieux. D'autres ont besoin de nommer ce qui les séparent de la norme (que l'on nomme rarement, voir jamais). Enfin, c'est plus que nommer, c'est réfléchir, comprendre, reconnaître, identifier… C'est un processus qui peut donner de la force pour se comprendre et comprendre les autres. Il a des défauts, et oui, peut devenir aliénant pour soi et les autres, mais je trouve que c'est une bonne idée d'admettre qu'il est parfois nécessaire.
Bien, oui, sauf lorsque je lis des choses comme "Non, non, the one n'arrivera jamais, c'est des conneries de monogames qui se leurrent dans un model sociétal qu'on nous impose depuis des années"
Je paraphrase.
On dirait de la foutue propagande politique O_O
Peut-être que ça sonne comme de la propagande… mais que ce soit politique, c'est indubitable ! Le monde que dessine la possibilité de vivre plusieurs couples en même temps est différent de celui du partiarcat monogame. Il suffit de réfléchir aux habitations que cela entraîne, aux déplacements, aux rapports aux enfants…
Et c'est encore un monde différent qui serait dessiné par celui où la norme serait les relations d'amitiés (éventuellement sexuelles) et le couple un mode vie marginal.
Certaines personnes sont convaincues que le sentiment amoureux ou la jalousie sont des émotions naturelles. On est plusieurs à remettre en cause cette idée (pour la frange académique, voir les travaux aux croisements de l'ethonologie, la sociologie et la psychologie)… Là se trouve un morceau de l'affrontement idéologique.
Un concept lié à cette question là, est effectivement celui de The One. Ce concept là, ce serait chouette de ne pas nier que c'est bien de la propagande (venant de la norme dominante). J'attend désesperement une personne courage pour m'expliquer un peu rationnellement comment une telle personne existerait…
M'enfin que tu sois actuellement très heureuse à avoir une relation centrale dans ta vie, c'est tant mieux pour toi, non ? Ça n'en fait juste pas une raison pour crier partout « mais oui, avec LA bonne personne, tu verras, tu arrêteras tes conneries de poly ».
Discussion : Polyamour sans couple, sans relation centrale/primaire

Lunar
le lundi 21 mai 2012 à 14h24
mHysterie
Après, qu'on fonctionne ou non sur le modèle couple et quelle que soit notre philosophie relationnelle, j'ai quand même l'impression qu'on est très nombreux·ses à avoir envie (désir construit ou non) d'être en relation avec quelqu'un·e qui soit en mesure de nous comprendre sur de nombreux plans en même temps, non ? Tu aurais l'impression d'y échapper Lunar ?
Bien sûr, je n'échappe à ce désir. Mais ça fait un moment que je sais que même si je partageais avec une unique personne beaucoup beaucoup beaucoup de choses… quand bien même ça ne suffira jamais à faire une existence, et surtout, ça ne serait pas acceptable de remettre en cause les solidarités et relations qui font nos vies par ailleurs.
Je n'ai pas envie de répondre aux attaques ad hominem, alors je ne vais m'attarder que sur cette phrase :
Popol
Tout peut arriver dans la vie, dans ta vie et dans la vie des autres, que tu le veuilles ou non.
Tout peut arriver, oui. Mais rencontrer une personne et décider d'éjecter toutes les autres relations de sa vie pour cette première, c'est une décision. Un choix face à une situation. Dire que ça « arrive », comme si ce n'était pas une action consciente, c'est une façon, certes pratique, mais bien crade, de fuir ses responsabilités.
Discussion : Polyamour sans couple, sans relation centrale/primaire

Lunar
le lundi 21 mai 2012 à 10h43
Popol
Ca dépend essentiellement de rencontrer, ou non, LA personne qui va être si particulière que la relation avec elle mérite d'être propulsée au premier rang.
C'est juste que c'est... comme ça, et puis c'est tout. […]
Non, non, non ! C'est entièrement construit, ça, comme envie ! *colère*
C'est justement parce que certaines personnes pensent exactement comme ce tu écris que c'est d'autant plus difficile pour nous. Savoir qu'elles sont capables de tout balancer pour LA soi-disante personne, ça aide pas à sentir ses relations comme solides… Elle n'existe pas LA personne si particulière. Par contre, toutes les personnes qui sont « si » particulières pour me donner vraiment envie de passer du temps avec elles sont belles en biens dans ma vie, et je tiens à elles !
Parfois j'ai même l'occasion d'en rencontrer de nouvelles, et il faut simplement trouver une petite place pour nos envies mutuelles. Ça se fait plutôt bien, en général.
En tout cas, il n'est pas question qu'une relation, nouvelle ou pas, vienne bousiller toutes les autres qui peuplent (avec joie et tendresse, entre autre) mon existence.
Discussion : Polyamour sans couple, sans relation centrale/primaire

Lunar
le lundi 21 mai 2012 à 00h14
Merci lam de poser quelques mots sur ce qui fait que je me sens parfois très étranger à beaucoup de messages que je lis par ici.
Dans l'envie de sortir du schéma du couple se trouve pour moi quelque chose comme l'envie d'accepter la liberté des autres et d'embrasser la sienne. Le fil sur lequel fait l'équilibre est toutefois bien étroit. Dans ce monde qui nous répète à tue-tête que la réussite, c'est bien de faire « ce que je veux », quitte à écraser, dominer ou faire soufrir les autres, il n'est pas facile de conjuger ses libertés tout en prenant soin de tout le monde. Mais je persiste à croire que l'équilibre existe…
Même sans être en couple, il est possible de considérer des gens comme important dans sa vie, de tenir à elles et à eux. Il est même possible de leur dire. Et plutôt je considère que c'est chouette de le faire. Ça peut leur faire peur, mais ça leur donne les billes pour faire plus attention…
Pour les moments « j'aimerais bien que quelqu'un·e soit là quand je rentre », vivre à plein, ça aide beacuoup. Pas forcément avec des amant·e·s ou ses ami·e·s les plus proches (peut-être que c'est même mieux que ce ne soit pas le cas : le quotidien, c'est des relations bien particulières), mais les solidarités de tous les jours, c'est effectivement précieux…
(Bon, par contre, quand un·e colloc disparait pour plonger en plein dans une relation de couple… c'est pénible à vivre, mais c'est un autre sujet.)