Polyamour.info

dragonphoenix

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Montpellier (France)

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Discussion : Célibataire avec plusieurs amants. Comment ça s'appelle?

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dragonphoenix

le mardi 10 juillet 2018 à 22h38

Ah. En fait c'est difficile de répondre à ça, vu que pour le moment notre relation n'était connue de personne dans son entourage. En fait, je doute même qu'il se soit posé la question. Mais venant d'un milieu assez "classique", je pense pas que ça serait une très bonne idée de l'afficher.

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Discussion : Célibataire avec plusieurs amants. Comment ça s'appelle?

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dragonphoenix

le lundi 09 juillet 2018 à 19h30

Que veux-tu dire par "à l'aise socialement parlant" ?

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Discussion : Célibataire avec plusieurs amants. Comment ça s'appelle?

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dragonphoenix

le lundi 09 juillet 2018 à 17h22

du coup, pour celleux qui sont des célibataires polys, ou des "solopolys" (j'aime pas le terme, je suis célibataire mais pas seule pour autant), comment gérez-vous le fait que l'autre/les autres veuillent potentiellement donner une reconnaissance extérieure à votre relation ?
Je m'explique : j'entretiens deux relations. Une avec un homme qui est officiellement en couple (bien qu'il voit très peu sa copine officielle), et qui a par ailleurs des relations autres, de diverses natures, dont moi donc.
Et la deuxième par ordre chronologique, avec un homme qui était célibataire quand je l'ai rencontré, avec qui j'ai été très claire dès le départ sur le fait que je me considérais comme célibataire et entendais bien le rester. Et que je ne voulais surtout pas être "en couple", ce qui pour moi veut dire être officiellement avec qqun, que ce soit pour nos familles respectives, nos amis, etc.
Et il était d'accord, d'autant plus que lui aussi tient énormément à sa liberté, même s'il n'a pas l'intention d'en profiter d'un point de vue amoureux ou sexuel (mais sait-on jamais...).
Donc a priori on était sur la même longueur d'onde.
Ça fait 7 mois qu'on se voit, et qu'on passe quasiment tous les week-ends (du samedi soir au lundi matin) ensemble.
La semaine dernière, il m'envoie un texto en me disant "bon, j'espère que ça te dérange pas, on fait du baby-sitting ce week-end. Ma sœur et mon beauf partent en amoureux, et ma nièce (de 17 ans) vient à la maison".
Bon. En soi, ça ne me gênait pas d'avoir sa nièce avec nous pour le week-end, donc je lui dis ok. Je ne voulais pas lui dire par texto que, par contre, ça me gênait de me retrouver à commencer à rencontrer sa famille. Je lui demande quand même comment il m'a présenté pour sa nièce, et il me dit "Comme ma copine. Mais c'est la seule au courant.".
Difficile de discuter ce week-end avec la nièce au milieu, donc je ne lui parle pas de mon malaise par rapport au fait d'être catalogué comme sa "copine".
Mais, dans le week-end, il me dit "Dans 2 semaines, c'est la fête du village, mes potes viendront à la maison manger le soir des feux d'artifice, ça te dérange pas ?". Ben, tu es chez toi, tu fais ce que tu veux. Sauf que y aura les potes, mais aussi sa sœur et son beau-frère (qui font partie des potes pour lui). Il m'a quand même tendu la perche en me disant que si je préférais ne pas venir quand ils seraient là il comprenait (il sait que je suis pas à l'aise quand y a beaucoup de monde).
Mais du coup, je me dis qu'une discussion s'impose sur le fait que, moi, notre relation juste tous les deux me va très bien, et que je n'ai pas envie que des tiers soient "impliqués" dedans. Que je n'ai pas envie d'être "la copine de", de me sentir obligée d'aller aux soirées avec les potes sous peine de passer pour une asociale (que je suis), de devoir me taper les repas en famille et autres joyeusetés, etc.
Mais je sais pas comment aborder le sujet. A la fois parce que j'ai pas envie de le blesser, et parce que depuis le début de notre relation j'ai une espèce de peur qui me taraude sur le fait que, étant célibataire, il voudrait probablement plus à un moment ou à un autre. J'ai ce doute depuis le début et je n'arrive pas à m'en défaire ni à aborder le sujet avec lui.

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Discussion : Café Poly de Mai à Montpellier

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dragonphoenix

le jeudi 17 mai 2018 à 10h18

Merci pour la rencontre, c'était sympa :)

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Discussion : [Texte] Responsabilité affective : « Tu sais, bébé, mon cœur n’est pas sur liste d’attente », par Solène Hasse (26/11/2011)

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dragonphoenix

le vendredi 26 janvier 2018 à 13h24

Pour être tout à fait honnête, je n'ai qu'une expérience très partielle des relations polyamoureuses, dans le sens où je me sens polyamoureuse depuis très longtemps (sans connaitre le mot), mais où je ne le vis que depuis quelques années, et encore dans des conditions plus que discutables jusqu'à très récemment, où je me suis séparée de mon époux qui était la personne qui posait problème.
Je ne suis donc peut-être pas la personne la mieux placée pour parler des relations polyamoureuses, mais j'ai quand même envie d'aborder mon ressenti.
Tout d'abord, premier point, le fait de ne pas se sentir responsable des sentiments des autres. Comme dit précédemment, et très justement, par Heika, ce n'est pas parce qu'on n'est pas "responsable" qu'on s'en désintéresse. Personnellement, je me sens très concernée par les sentiments et ressentis des personnes que je fréquente, qu'ils soient en lien avec moi ou pas, que ces personnes sont des relations amoureuses, amicales, sexuelles, pro même. Je ne serais peut-être pas disposée à jouer les psys pour chacun.e d'entre elleux, mais en tout cas je ne vais pas ignorer ou rejeter quelqu'un qui souffre, sauf si son comportement est obsessionnelle vis-à-vis de moi (par ex., suite à une rupture, je pense qu'il faut savoir couper les ponts dans certaines situations). Les choses sont claires dans le cadre de mes relations affectives intimes : je ne tolèrerai pas de crise de jalousie/possessivité, mais je suis tout à fait ouverte à la discussion s'il s'agit d'exprimer son mal-être. On peut tout à fait me dire "je suis jaloux.se", mais pas me faire une crise. Et de manière plus générale, on peut tout à fait me parler de ses sentiments du moment, y compris s'il concerne une autre relation. Le simple fait de dire "chacun sa merde" me parait juste totalement hallucinant : si tu tiens à la personne, ce qui lui arrive a de l'importance pour toi. Si tu en as rien à foutre, c'est que tu as aussi rien à foutre de la personne.
Concernant le côté élitiste et capitaliste des relations décrites dans ce texte, où l'autrice dit que seuls les plus beaux ou les "meilleurs partis" trouvent et que les autres restent sur la touche, là encore, pas du tout d'accord. Tout comme Heika, je pense au contraire qu'on a forcément tendance à être beaucoup plus sélectif quand on se lance dans une relation monogame (même si la notion de bon parti est très variable, puisque je me suis mis en couple monogame avec mon ex alors que ce n'était pas un super canon, qu'il était au chômage, et franchement pas doué pour aborder les femmes ^^). A titre personnel, je vis actuellement deux relations parallèles, et si je devais avoir une relation monogame, et bien, je ne serais avec aucun des deux ! ^^ L'un, parce qu'il est déjà en couple, et que même s'il était prêt à quitter sa copine pour moi, je ne me sentirais pas d'avoir une relation monogame avec lui (ne serait-ce qu'à cause de ses appétits sexuels clairement impossibles à satisfaire pour moi ^^) ; et l'autre, parce que la cohabitation serait ingérable, nous sommes beaucoup trop différents dans nos modes de vie, nos centres d'intérêts, nos loisirs, nos convictions même. Donc au final, j'ai actuellement deux relations que je n'aurais pas dans une version monogame.
Enfin, concernant la notion d'engagement dans la relation qui, selon l'autrice, serait lié au manque de ressources affectives autres, mon vécu personnel est là encore en total désaccord avec ses propos.Si on suit son raisonnement, dans le cadre de mes deux relations actuelles, je devrais avoir un investissement affectif énorme dans la première relation (première au sens chronologique), celle avec l'homme qui est en couple, puisque lui a de nombreuses autres ressources affectives, bien plus que moi. Et à l'inverse, dans la deuxième relation, ce devrait être lui qui a le plus d'investissement, puisqu'il n'a aucune autre relation intime, et pas des masses non plus de relations amicales. Et pourtant, c'est clairement dans cette deuxième relation que je m'investis le plus actuellement, et je dirais que notre investissement à tous les deux est assez similaire. Et cela pour des raisons qui n'ont rien à voir avec le soi-disant manque de ressources affectives de l'un ou de l'autre, ni même avec le fait que j'ai plus d'affection pour l'un que pour l'autre (les deux relations ne sont absolument pas comparables), mais pour des raisons purement pragmatiques : la disponibilité et la situation géographique.

Après, peut-être que certains ont ce type de fonctionnement, avec une consommation très capitaliste de relations intimes, mais pour moi ce ne sont pas des relations polyamoureuses/polyaffectives, mais plutôt du libertinage très fortement teinté de domjuanisme (quelque soit le genre de la personne concernée). Celleux qui veulent baiser sont peut-être dans une recherche élitiste, mais je ne pense pas que ça puisse s'appliquer à des personnes qui cherchent à créer des relations.

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Discussion : Café Polyamour en Cévennes

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dragonphoenix

le jeudi 25 janvier 2018 à 22h43

Bonjour,

Ça fait plusieurs fois que je me dis que je vais aller au café poly de Montpellier, mais que ça n'est finalement pas possible en raison de mes horaires de boulot et de la fatigue du trajet. Du coup, étant moi aussi dans les Cévennes, je me demandais s'il était envisagé de refaire une rencontre poly dans le coin. Merci à celles et ceux qui sont dans le coin pour vos futures réponses. :)

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Discussion : Café poly à Montpellier le mercredi 13 décembre à 19 h

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dragonphoenix

le dimanche 26 novembre 2017 à 23h08

Oups, ok, désolée, j'ai fait mon boulet...
Oui, j'essaierais de venir, cette fois-ci, ou une prochaine (en fonction de si je finis le boulot à l'heure ou pas).
Merci.

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Discussion : Café poly à Montpellier le mercredi 13 décembre à 19 h

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dragonphoenix

le dimanche 19 novembre 2017 à 11h28

J'avais déjà posé la question sur l'évènement qui vient d'avoir lieu, je ne retrouve plus la page mais je ne crois pas y avoir eu de réponse, donc je repose la question ici : quelqu'un pourrait-il me dire jusqu'à quelle heure vous vous retrouvez en général, car j'aimerais venir mais je finis le boulot à 19H minimum, et j'ai une heure de route pour venir. Merci.

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Discussion : Café poly Montpellier le mercredi 15 novembre à 19h

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dragonphoenix

le jeudi 09 novembre 2017 à 14h03

Vous y êtes jusqu'à quelle heure ?
Ça me dirait bien de venir mais je finis le taf à 19H (voire plus tard parfois), et j'ai une grosse heure de route, donc j'aimerais pas venir pour rester 10 minutes ^^.

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Discussion : [Lexique] "Metamour" et la relation avec lui/elle

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dragonphoenix

le dimanche 19 juillet 2015 à 20h30

Métamour je trouve ça moche aussi, mais comme la plupart des mots autour du poly-amour (dont moly-amour justement), qui pour moi définissent mal ma propre perception des choses, et dans lequel je n'arrive pas à me reconnaitre donc.

Co-love(r) ou co-amour(eux), par contre, j'aime beaucoup, ça rappelle copain/ine, compagne/on. Et éthymologiquement parlant c'est tout à fait cohérent, puisque c'est "celui avec qui on partage un amoureux". Vraiment, j'aime beaucoup, et je garde du coup !

Message modifié par son auteur il y a 10 ans.

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Discussion : Aimer... et travailler autrement ?

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dragonphoenix

le samedi 07 juin 2014 à 12h41

Je rejoins totalement ce que dit Rimba, une remise en question en entraine une autre, puis une autre, puis une autre, etc.

Dans mon cas, la première remise en cause a été alimentaire, puisque je suis devenue végétarienne à 15 ans. Mais c'est vrai que ça a été involontairement une étape pour réfléchir à la société dans sa globalité, aux diverses choses qu'on nous fait considérer comme normale et naturelle, voire comme nécessaire/indispensable, aors qu'en fait ce ne sont que des constructions sociales.
La découverte de ma bisexualité a été une autre remise en cause des modèles sociaux établis, puis plus tard le fait de tomber amoureuse d'une personne alors que j'étais en couple avec une autre m'a fait prendre conscience à 19 ans que l'amour unique et la fidélité éternelle ne correspondait clairement pas à mon état d'esprit ! ^^ J'ai malgré tout attendu plusieurs années et plusieurs autres relations pour accepter de vivre cet état de fait.

A côté de ça, il y a plein d'autres domaines dans lesquels je remets en cause le modèle établi, volontairement ou non d'ailleurs, et les gens autour de moi me collent pas mal d'étiquettes plus ou moins positives que je résumerais en : végétarienne (quasi végane), écolo, bisexuelle, libre affectivement et sexuellement, féministe, non-violente, allergique à toute forme d'intolérance. Les gens définissent généralement plutôt ça par : chieuse, emmerdeuse, moralisatrice, empêcheuse de tourner en rond, casse-pied, salope, etc. Plein de petits noms gentils, mais je m'y suis fait ! ^^

Et, du coup, niveau travail, je suis un peu hors norme aussi, cumulant plusieurs petits boulots, pas vraiment par choix puisque je prends un peu ce qui vient et que ça ne me permets même pas d'avoir un salaire complet, loin de là. Mais au final, même si financièrement c'est galère, ce mode de vie me convient assez bien. Je ne me vois clairement pas faire la même chose toute ma vie, et le fait de cumuler plusieurs activités différentes limitent la lassitude.

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Discussion : [Théâtre] Faire découvrir les idées polyamoureuses sur scène

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dragonphoenix

le lundi 02 juin 2014 à 18h46

Pourquoi tout se passe toujours à Paris dans ce foutu pays ? Pfff, c'est vraiment dommage, ça m'aurait bien tenté de me relancer dans le milieu théâtral... Mais je suis trop loin et je n'ai clairement pas les moyens de prendre un logement à Paris. En tout cas, bon courage pour votre recherche, et si jamais vous faites ce genre de projet dans le sud, dites-le !

Message modifié par son auteur il y a 11 ans.

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Discussion : Rêver et devenir

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dragonphoenix

le mardi 08 mai 2012 à 12h37

Euh... Je ne recherche personne... Je ne parlais absolument pas de gens...

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Discussion : Rêver et devenir

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dragonphoenix

le lundi 07 mai 2012 à 13h37

Oui, c'est sûr, la peur d'échouer est un gros frein...

Mais la peur de faire souffrir aussi..

En ce moment, je suis en plein là-dedans, des vieux rêves, des vieilles envies qui ressortent (qui n'ont rien à voir avec la p-a mais qui rentre tout à fait dans ce que dit le titre du post ^^)... L'envie de les vivre est de plus en plus forte, de plus en plus présente, et en même temps, j'ai peur de les vivre parce que je voudrais éviter de faire souffrir mon homme, de l'abandonner en quelque sorte...

Et en quelque sorte, les deux peurs se rejoignent, car je me dis : ai-je le droit de le faire souffrir pour courir après un rêve qui ne pourra peut-être absolument pas se concrétiser ?

Donc oui, pas évidemment de savoir comment se comporter quand on est en couple (et j'imagine c'est encore pire avec des enfants...)
Je m'étais éloignée de ces envies-là parce que j'ai eu la sensation, pendant un temps, que l'amour de mon homme me suffisait, mais je sens maintenant qu'il me faut plus...
En même temps, à quel moment doit-on poser la limite du "plus" acceptable, et du "plus" excessif ?
Quelle est la limite acceptable de l'égoïsme et de l'épanouissement personnel ?

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Discussion : Le sexe, ça rapporte. Vous avez dit bizarre ?

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dragonphoenix

le jeudi 12 avril 2012 à 23h50

Eric_49
Quand tu es beau, comme toi (je suppose vu que tu es intéressé par la question), et que tu as une libido importante (je ne sais pas, là, j'ai un doute), et ben c'est plus facile de trouver des nanas pour assouvir ta libido.

Quand tu es beau ET que tu as confiance en toi...

Sinon, tu doutes, et donc ta beauté ne te sert plus à rien.

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Discussion : Ouvrir le partenariat civil aux polys ?

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dragonphoenix

le samedi 07 avril 2012 à 11h44

Bien qu'une (grosse) part de moi pense très fort "tout sauf les 2 fachos", assumée pour l'une, déguisé pour l'autre, une autre part non négligeable est 100% d'accord avec Françoise Simpère et Bohwaz.

Marre du pseudo "vote utile".
Oui le FN est un danger, et non je ne veux pas non plus me retaper 5 ans de Mr Sarko, mais si on ne donne pas leur chance aux quelques candidats qui peuvent apporter du changement, ça sera de pire en pire, et on sera de plus en plus coincé au moment de voter parce que la droite et l'extrême-droite auront de plus en plus d'eau à apporter au moulin de la peur...

Donc peut-être qu'il serait bien d'en profiter tant qu'on peut encore dire "merde" à nos peurs et faire évoluer le monde de manière plus positive.

Je sais pertinemment que la plupart des gens font au plus simple, donc que c'est très utopiste comme point de vue.
Je sais aussi que ce n'est pas forcément un cadeau pour lui d'essayer de porter au pouvoir quelqu'un comme Mélenchon, avec une Europe majoritairement à droite qui fera tout pour lui mettre des bâtons dans les roues.

Mais peut-être est-il temps de changer la donne...
Peut-être n'est-il pas trop tard, et peut-être que les gens sont enfin prêts...
Et peut-être que justement certains peuvent créer la surprise... On sait jamais...

Et je ne pense pas que Mélenchon perdrait forcément face à Sarko...
En fait, ce qui craindrait vraiment, ce serait plutôt une triangulaire...

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Discussion : Don de sang / d'organes -prise de risques sanitaires / réduction des risques

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dragonphoenix

le dimanche 25 mars 2012 à 20h10

De ce que je lis ("Lorsque vous changez de partenaire, vous devez attendre un délai de 4 mois pour donner votre sang, même si vous avez utilisé un préservatif. D’une manière générale, lorsque vous avez un nouveau partenaire sexuel, il faut attendre un délai de 4 mois après le dernier rapport non protégé pour pouvoir donner votre sang."), ils parlent de nouveau partenaire; mais aucune précision dans le cas de plusieurs partenaires réguliers...
Donc pas de contrindications pour des poly en relations régulières, seulement pour ceux qui ont une/des nouvelle(s) relation(s), tout comme pour un monogame de toute façon.
Du coup, pas de "discrimination" à l'égard du polyamour pour le don du sang.

Pour le don d'organes, ils sont meme plus larges encore : "Dans ce contexte, les médecins entreprennent les recherches des antécédents médicaux et la réalisation d'examens sérologiques permettant de dépister d'éventuelles maladies transmissibles. Seuls ces examens, effectués juste avant le prélèvement, autoriseront ou non le don d'organes et de tissus. On ne définit pas de contre-indications à prori."

Donc en fait, on peut tout donner apparemment !

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Discussion : Soirée poly-polie à Toulouse

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dragonphoenix

le lundi 12 mars 2012 à 21h14

Si par le plus grand des hasards y a quelqu'un qui fait le trajet au départ de Montpellier ou ses environs, je prendrai avec plaisir une petite place dans sa voiture...
Sinon, ça va être difficile, pas de voiture et pas de sous pour le train malheureusement...

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Discussion : Juste pour en parler

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dragonphoenix

le lundi 12 mars 2012 à 01h22

Voilà, je n'attends pas particulièrement de retour par rapport à ce que je vais dire ici, je ressens juste le besoin de le dire, c'est tout, donc je le fais ici car c'est l'endroit qui me parait le plus indiqué, avec les personnes "inconnues" les plus susceptibles d'écouter.

Je suis venue ici il y a quelques mois pour comprendre, voir en quelque sorte comment vous viviez vos diverses relations, car j'étais moi-même confrontée de manière imprévue à une deuxième relation naissante.

Depuis, un an s'est écoulé, et il s'avère que la relation naissante a trépassé... Et j'ai besoin de mettre des mots dessus, bien que je ne suis pas sûre d'y arriver pour autant en fait...

Donc il y a un peu plus d'un an, la situation était la suivante : j'étais en couple, mariée, libertine.
Mon homme a alors rencontré par amis interposés une femme qui venait de s'installer dans le coin, et qui cherchait à nouer des contacts.
Elle était elle-même en couple, et libertine aussi.
Nous avons donc décidé de nous rencontrer tous les 4, e sommes allés manger chez eux...
Tout de suite, il s'est passé quelque chose entre son compagnon et moi, et notre relation a commencé sur les chapeaux de roue (peut-être est-ce le problème d'ailleurs).
Sa compagne semblait approuver ce qui se passait entre nous, elle nous poussait même l'un vers l'autre. Pour mon époux, ça a été un peu plus compliqué, il était un peu jaloux de cette relation, mais l'acceptait quand même...
J'ai vite appris, à ma grande surprise, que si elle avait eu des relations extra-conjugales, lui non... J'étais donc en quelque sorte l'exception, et je ne pouvais que m'en sentir flattée.
Seulement, si tout s'est bien passé au début, plusieurs problèmes ont vite surgi :
- problème moindre : sa situation familiale, très compliqué (je ne rentrerai pas dans les détails par respect pour lui), ne lui laissait que peu de temps libre, donc nous ne pouvions nous voir qu'assez peu. Cela ne me gênait pas outre mesure, d'autant plus que nous passions de longues heures à discuter via msn.
- pour les mêmes raisons, nous n'avions que très peu de moments seuls, même lorsque nous arrivions à nous voir.
- petit à petit, lorsqu’elle a compris que ce n'était pas qu'une relation sexuelle je pense, sa compagne s'est montrée de plus en plus jalouse. Elle piquait des crises, en ma présence parfois. elle ne s'en prenait jamais à moi, toujours à lui, mais la tension perpétuelle présente dans son couple et sa vie de famille sont devenues peu à peu oppressantes pour moi. Et, pour avoir la paix, il ne lui cachait pas qu'il continuait à me voir, mais lui cachait quand il le faisait, ce que j'avais du mal à accepter. Jusqu'au jour où il m'a demandé de mentir à mon homme pour éviter que sa compagne sache qu'on avait passé un après-midi ensemble. Il avait toujours été clair que c'était hors de question pour moi, totalement incompatible avec ce que je suis, et je me suis sentie en quelque sorte "agressée" par cette demande.
- comme je viens de le dire, la tension chez lui était énorme et perpétuelle, et j'avais du mal à le vivre. C'est très difficile à décrire sans rentrer dans des détails de sa vie privée que je ne veux pas aborder, donc j'ai du mal à expliquer cela, désolée...
- il devenait également de plus en plus évident qu'il essayait de "me garder pour lui", j'avais ma relation de couple, ma relation avec lui, et ça devait être tout. Ça n'a Jamais été dit clairement, mais j'avais vraiment la sensation qu'il essayait de me posséder, ce qui était inconcevable pour moi, je n'appartiens à personne.

Mon malaise augmentant, j'ai coupé les ponts pendant plusieurs semaines. Puis, il s'est avéré qu'il me manquait... Alors je l'ai recontacté, revu.... Et là j'ai compris : les sentiments sont toujours là, l'attirance aussi, mais je ne me sens plus en confiance. C'est peut-être totalement déraisonnable, mais je me sens agressée dans ce que je suis par le fait qu'il a des valeurs profondément différentes des miennes, à la fois concernant la confiance et la possessivité...

Et le pire dans tout ça, c'est que je n'ai pas réussi à lui faire comprendre tout ça. Pour lui, le problème vient de son manque de disponibilité...

Et maintenant, je pense à lui par moment, il me manque par moment, mais je pense quand même que c'est la meilleure solution, même si j'ai un peu l'impression d'avoir fait le choix de me préserver à ses dépens...

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Discussion : Vos âges ...

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dragonphoenix

le lundi 12 mars 2012 à 00h50

J'ai 27 ans.

Mais je ne suis pas convaincue que l'âge soit représentatif. De nombreux éléments rentrent en ligne de compte, au delà de l'âge justement : notre éducation, plus ou moins facile à remettre en cause ; notre vécu en général, hors relations amoureuses ; notre passé concernant les relations amoureuses, que ce soit les nôtres, celles de nos parents, de nos amis, de notre entourage,... ; et bien sûr nos convictions profondes, le polyamour étant au fond un chemin logique pour tout esprit libre souhaitant évoluer à sa guise et pas selon les désidératas d'autrui.

Sinon, pour répondre complètement à ta question, j'ai commencé à envisager d'autres relations que celle avec mon époux il y a 2 ans environ, au départ dans une optique plus physique que affective, mais les 2 se sont vite rejoints car je suis incapable de me sentir en confiance et donc d'avoir du désir pour quelqu'un envers qui je n'ai pas de sentiments, qu'ils soient amoureux, amicaux, admiratifs,...
Et rapidement j'ai rencontré un homme avec qui j'ai eu une relation de quelques mois, et à laquelle j'ai mis un terme pour diverses raisons.
Je suis donc en quelque sorte redevenue monogame actuellement, mais je ne vois pas ça comme un "état" définitif.

D'ailleurs, je suis devenue non-exclusive d'un point de vue sexuel il y a 2 ans, mais en y réfléchissant par la suite je me suis rendue compte que j'ai toujours plus ou moins eu des sentiments forts pour d'autres personnes, seulement c'était des relations impossibles donc je faisais l'autruche. ^^

Donc au bout du compte j'ai été involontairement et inconsciemment polyamoureuse, puis j'ai voulu être libertine, et les 2 se sont finalement rejoints...

Quant à le vivre sereinement... Je n'en suis pas encore là... ^^

Message modifié par son auteur il y a 13 ans.

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