Rêver et devenir
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Plusssdamour
le vendredi 13 avril 2012 à 22h15
Il y a en toi tous les possibilités, tout ce que tu voudrais être, toute l'énergie pour accomplir ce que tu veux réaliser. Imagine-toi comme tu aimerais être, faisant ce que tu aimerais faire, et chaque jour, avance d'un pas... vers ce but.
Et même si parfois, il te paraît trop dur de continuer, tiens bon à tes rêves. Un bon matin tu te réveilleras pour découvrir que tu es devenu la personne dont tu as rêvé, ayant accompli ce que tu voulais, simplement parce que tu as eu le courage de croire en toi-même... en tes rêves.
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Dakhla
le dimanche 15 avril 2012 à 10h37
Perso j'attends depuis 25 ans de me réveiller et de vivre ce rêve. Ce matin encore il n'est pas au rendez- vous. Il doit y avoir autre chose que le courage et l'énergie...mais quoi?
J'aime bien ton autre topic petitchatte sur "faites tout par amour vous verrez ce dont vous êtes capables", c'est en effet la seule vérité. Le reste n'est que morale, hypocrisie, politesse ou haine.
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Mysterhill
le dimanche 15 avril 2012 à 13h28
Je suis un peu comme Immortel, j'avais envie de répondre aussi sur l'autre topic :
immortel
J'aime bien ton autre topic petitchatte sur "faites tout par amour vous verrez ce dont vous êtes capables", c'est en effet la seule vérité. Le reste n'est que morale, hypocrisie, politesse ou haine.
J'ajouterai bien un truc du genre : le reste n'est que conformité sociale paradoxalement egocentrique, ou l'avoir l'emporte sur l'être...
Car il s'agit bien d'etre ou d'être(s) bien (s)...
Message modifié par son auteur il y a 11 ans.
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Plusssdamour
le samedi 21 avril 2012 à 21h23
« Si nous avons le courage de les poursuivre, tous les rêves deviennent réalité. »
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boucledor
le jeudi 03 mai 2012 à 22h15
Le problème qui se pose c'est lorsque l'on n'est pas seule! Quand le déclic survient quand on est mariée depuis 10 ans, mère de deux jeunes enfants, le fait de vouloir "vivre ses rêves" pose un sacré cas de conscience! Il faut bien prendre en compte les "dommages collatéraux" de cette "libération de soi-même"... Si je dis cela c'est qu'en ce moment je bouleverse le quotidien des personnes qui m'entourent avec ma "révolution personnelle" et même si j'aimerais lutter contre le sentiment de culpabilité que je sais bien être un ennemi à combattre, je reconnais parfois que cela me fait peur d'être celle par qui" le malheur arrive". Il y a un tel confort dans la "médiocrité"... Se remettre en question, c'est obligé les autres à le faire aussi même quand ils n'en ressentaient pas le besoin!
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LuLutine
le jeudi 03 mai 2012 à 23h02
boucledor
Il y a un tel confort dans la "médiocrité"... Se remettre en question, c'est obligé les autres à le faire aussi même quand ils n'en ressentaient pas le besoin !
Bien vu...
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(compte clôturé)
le vendredi 04 mai 2012 à 17h08
Pour Boucledor. Avant le bonheur, il y a souvent des moments difficiles. Oui, imposer aux autres, c'est pas facile. Essai de ne pas culpabiliser d'être toi même. Tiens compte des envies et des besoins des gens que tu aimes tout en gardant ta personnalité. Je dis souvent qu'aimer est un exercice d'équilibriste. Assume les responsabilités qui t'incombent mais pas nécessairement celle des autres. Etre la cause ne veut pas dire tout endosser et être responsable de tout. Tu devrais peut être lire "Responsable oui, coupable non - pour une juste prise de responsabilités" d'Yves Alexandre Thalmann (~5€). Je le recommande aussi à Sable Mouvant si elle lit ce message. Se découvrir poly après plusieurs années de mariage est difficile et compliqué. Il faut se remettre en question et chambouler sa vie et celle de ceux qui n'avaient rien demandé au départ.
Je suis passé par là et j'ai LA CHANCE que mon couple en soit ressorti GRANDI et FORTIFIE. Certains diront que j'ai beaucoup aidé la chance, mais tout de même, s'accrocher à ce que l'on est, ce que l'on veut n'offre aucune réussite. Nous aurions pu venir grossir les statistiques des couples divorcés et nos enfants ne se sentiraient plus anormaux (en effet, de nos jours, vivre avec ses deux parents et en plus des parents qui s'aiment encore, c'est l'exeption, plus la généralité). J'ai sans doute su dire, rassurer, encourager, me fâcher (au bon moment), admirer, AIMER comme il le fallait. Le polyamour nous a révéillé et nous oblige à une complicité au quotidien qui nous ravi.
D'ailleurs, mon combat pour ma liberté d'aimer n'est peut être pas terminer. Avec mon homme, on a pris l'habitude de dire qu'en amour il ne fallait jamais dire jamais. La vie nous réserve certainement encore bien des surprises, j'espère qu'elles seront agréables, qu'on les partagera et qu'elle feront notre bonheur car nous partageons le bonheur de l'autre. C'est très important.
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Plusssdamour
le dimanche 06 mai 2012 à 00h21
"La seule chose qui puisse empêcher un rêve d'aboutir,
C'est la peur d'échouer ..........."
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boucledor
le lundi 07 mai 2012 à 08h05
C'est bien vrai que la peur est souvent un frein... Mais il semble aussi que "derrière chaque peur, se cache un désir", et je pense que derrière ma peur de la séparation se cache le désir de poursuivre l' "aventure" avec mon conjoint coûte que coûte, derrière celle de renoncer à mon 2ème amour, se cache peut-être le désir de vivre le PA, ayant l'intime conviction que c'est une voie qui me conviendrait mieux que la "monogamie exclusive" même si je ne ressens pas le besoin de multiplier les relations, je crois que j'ai besoin de sentir que l'horizon qui s'ouvre devant moi est encore ouvert et plein de surprises...
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mouvante
le lundi 07 mai 2012 à 10h45
gcd 68, merci pour la référence... de mon côté il y a du nouveau... je vais raconter ça dans un post dédié à ca. C'est le bouleversement dans ma vie... je ne sais pas ce qui va m'arriver.
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dragonphoenix
le lundi 07 mai 2012 à 13h37
Oui, c'est sûr, la peur d'échouer est un gros frein...
Mais la peur de faire souffrir aussi..
En ce moment, je suis en plein là-dedans, des vieux rêves, des vieilles envies qui ressortent (qui n'ont rien à voir avec la p-a mais qui rentre tout à fait dans ce que dit le titre du post ^^)... L'envie de les vivre est de plus en plus forte, de plus en plus présente, et en même temps, j'ai peur de les vivre parce que je voudrais éviter de faire souffrir mon homme, de l'abandonner en quelque sorte...
Et en quelque sorte, les deux peurs se rejoignent, car je me dis : ai-je le droit de le faire souffrir pour courir après un rêve qui ne pourra peut-être absolument pas se concrétiser ?
Donc oui, pas évidemment de savoir comment se comporter quand on est en couple (et j'imagine c'est encore pire avec des enfants...)
Je m'étais éloignée de ces envies-là parce que j'ai eu la sensation, pendant un temps, que l'amour de mon homme me suffisait, mais je sens maintenant qu'il me faut plus...
En même temps, à quel moment doit-on poser la limite du "plus" acceptable, et du "plus" excessif ?
Quelle est la limite acceptable de l'égoïsme et de l'épanouissement personnel ?
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boucledor
le mardi 08 mai 2012 à 10h28
Bonjour dragonphoenix! J'ai également traversé une période de "recherche active" de personnes de mon passé qui sont restées, pour des raisons que parfois je ne m'explique pas, dans un coin de ma tête et parfois de mon coeur aussi... Il est certain, que les nouveaux "moyens technologiques" aident à retrouver la piste de personnes qui, sans cela, n'auraient pas pu faire une réapparition dans ma vie... Parfois, je me demande donc si c'est la possibilité réelle de les retrouver qui crée de nouveaux "problèmes" , sans cela peut-être que tout cela serait resté dans le registre du "fantasme"... Cela aurait sans doute été moins "bouleversant" mais curieusement, je n'éprouve aucun regret pour l'instant, même si je traverse une sacrée période de remise en questions!!! Lorsqu'on est en couple, comme moi, et a fortiori avec des enfants, je crois que les "limites" se posent d'elles-mêmes ou en tout cas doivent être négociées avec son conjoint... Parfois, j'ai eu envie de "jouir pleinement de ma liberté", quoiqu'il en coûte, mais très rapidement j'ai pris conscience que cela était "immature" et "irréfléchi", on peut avoir envie de respecter ses désirs, d'exercer sa liberté, mais on ne peut ignorer l'autre (en l'occurrence son conjoint), et sa souffrance, surtout si cette relation reste pour soi, primordiale....
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dragonphoenix
le mardi 08 mai 2012 à 12h37
Euh... Je ne recherche personne... Je ne parlais absolument pas de gens...
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boucledor
le mardi 08 mai 2012 à 17h12
Désolé dragonphoenix, j'ai du mal comprendre ton message...::-:-/
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Plusssdamour
le lundi 11 juin 2012 à 14h32
"Le verbe aimer est difficile à conjuguer,
son passé n'est pas simple,
son présent n'est qu'indicatif,
et son futur est toujours conditionnel."
Jean Cocteau