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Discussion : "Les mecs lourds" de Natacha Henry

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lam

le mardi 16 février 2010 à 12h52

insognare
Moi ça me gonfle de faire la bise tous les matins à la totalité de mes collègues à l'administration et aux enseignants que je croise toute la journée. Et j'ai rien contre la chaleur humaine pourtant...mais au boulot...pfff.

Ben pareil! Et j'ai du lutter pour faire accepter que je serre la main... Classiquement on me répond "mais on se connait" avec le sous-entendu "on se connait assez pour se faire la bise ", mais généralement quand tu soulèves le fait qu'il se connaissent bien entre collègues masculins et qu'ils ne se bisouillent pas la joue pour autant tu obtiens un "oui mais, c'est pas pareil"... Ah bon?

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Discussion : "Les mecs lourds" de Natacha Henry

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lam

le mardi 16 février 2010 à 12h44

titane
Moi j'aime bien biser homme ou femme... Mais pour les femmes je n'y mets pas la même délicatesse... Non pas quelles soient plus fragile, mais j'avoue y prendre un plaisir plus sensuel... Avec les hommes se sera avec une étreinte plus vigoureuse.

Deux présences différentes.

Ah... Séduction vs Compétition en filigrane, ou bien j'y suis pas du tout?

Merci d'apporter un regard d'homme à cette discussion :-)

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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Discussion : St Valentin à Paris !

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lam

le lundi 15 février 2010 à 18h59

Clementine
Vous aviez pris de l'avance sur le Kiss-In, on dirait! Bon échauffement... :-D (+)

Et le Kiss-In, personne n'en cause?

A Paris: www.rue89.com/rue69/2010/02/14/nembrasse-pas-qui-v...

Et à Lyon, pas autant d'affluence, une vingtaine de couples s'embrassaient, des applaudissements et un gros hug collectif à la fin.

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Discussion : "Les mecs lourds" de Natacha Henry

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lam

le lundi 15 février 2010 à 17h46

Clementine
La disqualification dont je parle dans mon petit article...

Yep, j'ai bien aimé. Je trouve tes exemples parlants :-)

Sinon, pour les Hijras, j'ai aussi le sentiment que c'est un choix par défaut. L'émasculation est obligatoire, tôt à l'adolescence et il en résulte un fort risque de mortalité. (Bon ma réticence est peut-être culturelle, mais...)
Il se trouve malgré cela des prétendants au statut... car comme dans ton exemple au Brésil, il s'agit de pouvoir exister, même si l'étiquette ne vous va pas vraiment.

Ca va loin tout ça. De mon coté je crois qu'on est tous des mélanges de genre. reste à savoir comment on se sent avec sa partie qui ne correspond pas à notre sexe biologique, ou avec celle qui correspond (c'est selon!).

Je trouve ca difficile d'assumer mon identité et de dépasser les rapports genrés, surtout dans le cadre professionnel. On est tellement vite cataloguées... C'est pas simple de s'affirmer sans que cela soit instantanément perçu comme une déclaration de guerre. Et je suis loin d'être transgenre, je trouve même mon attitude souvent trop conformiste.

Rien que de tendre la main au lieu de tendre sa joue pour saluer suscite des remarques acides. Bon OK, celles là c'est facile de passer par dessus, mais j'ai parfois peur d'aller plus loin alors que je bouillonne en dedans!

Est-ce que les hommes/femmes sur ce forum ont symétriquement des moments ou c'est dur avec leur féminité/masculinité?

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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Discussion : "Les mecs lourds" de Natacha Henry

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lam

le lundi 15 février 2010 à 13h51

Clementine
En même temps, on leur en raconte tant et tant qu'ils sont eux, par contre, gavés, peut-être... Mais gavés sur le contenu courant, pas sur la signification que ça comporte au niveau du réseau que ça crée. Je suis quand même estomaquée parfois de croiser des hommes qui se contentent quasi de trois syllabes par jour...

Eh oui, et pour en rajouter une couche (bon c'est sur que le titre du fil pris au premier degré n'est pas vendeur pour la gent masculine), eh ben on se retrouve a parler d'évolution vers l'égalité des sexes, et du besoin d'explorer les facettes de l'intime, de la communication, des conditionnements.... et de faire de manière pourquoi pas conjointe et dégenrée..........................

....................................entre femelles! :-/

PS: au cas où ca s'rait mal compris: j'utilise le mot "femelles", (oh oui qu'il peut paraitre péjoratif!) par comparaison avec son équivalent masculin qui ne l'est pas tant. (réappropiation des mots, d'une des sources majeures de conditionnement)

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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Discussion : "Les mecs lourds" de Natacha Henry

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lam

le lundi 15 février 2010 à 13h45

Complètement d'accord avec le fait que les femmes mettent souvent les hommes dans des 'places d'hommes', d'où ils réagissent 'comme des hommes...' Et elles façonnent et acceptent tellement de situations comme normales suite à cela (l'image qu'elles ont des hommes, des femmes et de ce que devrait être leur type de rapports)

Si les hommes ne réalisent dans les sociétés occidentales que 20% des taches ménagères, c'est surement pour des raisons multiples: est-ce que c'est qu'ils n'ont en général pas été élevés en apprenant à prendre en compte/anticiper les besoins de leur entourage, ou bien que les femmes s'approprient ces responsabilités d'office en plaquant le balai dans le placard?

Je crois que les traditions patriarcales sont à égalité propagées par les hommes et les femmes.

Il y a vraiment des choses à adapter dans les facettes très genrées de nos comportements-qui-paraissent-tellement-"normaux"-ainsi.

Clementine
Dans le milieu de prostituées que j'ai fréquenté quelques années durant, j'ai été amenée à réfléchir sur la question des trans brésiliens, pourquoi y en avait-il tant, pourquoi dans ce pays, cette culture. L'un d'eux m'avait dit "tu sais, du moment que tu changes de sexe, même en apparence, plus personne ne vient se foutre de tes ambiguïtés de manières ou de paroles. Dans mon pays machiste, c'est plus facile même d'avoir l'air d'une femme, que d'être homo ou bi assumé...".

Ca me fait penser au troisième genre de l'hindouisme et les castes/communautés associées où se retrouvent une diversité de personnes non conformes à l'hétérosexualité classique.

je crois que quand une porte de sortie à l'hétéronormalité est offerte, eh ben elle est utilisée... sinon on attend d'avoir assez de sécurité et de respect de l'individu dans une société pour commencer à revendiquer...

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Discussion : "Les mecs lourds" de Natacha Henry

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lam

le lundi 15 février 2010 à 09h26

Au sujet des anglicismes ben, faut pardonner aux québecois il sont tous bilingues là-bas... Je ne connais pas (encore?) d'équivalent de recherche francophone qui vienne d'ailleurs

Clementine
Mon truc rêvé: une société qui facilite aux hommes l'accès à la parentalité, déjà. Un père qui s'occupe de ses enfants autant que la mère et voit ce qu'il y a à faire spontanément dans un quotidien de famille, ça ouvre une brèche dans la répartition des rôles.

Alors là, je dis OUUIIIII !!! Honnêtement si j'avais pas envie de me reproduire ma vie serait plus simple, si j'étais pas principalement hétéro aussi puisque du coup la responsabilité m'incombe "un peu plus", et si on n'était pas la seules avec un utérus pour porter la continuité de l'espèce je crois que l'égalité des sexes se porterai bien mieux :-)

Je suis tout à fait d'accord sur ta remarque au niveau du fait qu'il me semble assimiler genre et sexe par moment, d'ou une certaine confusion.

J'ai bien aimé le passage où il explique qu'on a pas toujours la même manière d'exprimer nos besoins et émotions, lui relie ca au sexe: je préfère le penser en genre parce que moi aussi je m'exprime par des actions plus que des paroles selon les cas (ah bon? j'ai pas l'air de parler peu? :-D )

Comme toi, ca me pousse à me dire, "ben alors, je suis homme aussi sur certaines de mes facettes!" Truc qui, finalement, n'est pas si étonnant...

Au sujet du rapport à la gay-itude, je crois pas que ca pousse à plus d'ouverture, par contre beaucoup de mes connaissances qui "appartiennent aux déviant(e)s ou plutot aux "minorités sexuelles"" ont la caractéristique commune d'avoir réfléchi, et remis en question pas mal de dogmes. C'est pas équivalent d'ouverture de soi... ni de prise de conscience sur son développement personnel. Mais quand même questionner les normes (quelles qu'elles soient) c'est un début.

Et vive les hommes qui réfléchissent l'intimité masculine, ca fait du bien à lire, pour les femmes aussi!

D'ailleurs c'est fou la tendance qu'il soulève sur le fait que les femmes sont intéressées par les cours sur la masculinité (plus de la moitié des étudiants dans son exemple) tandis que l'inverse n'est pas vrai du tout.... Sacré conditionnement!

Clementine

Et puis, le bénef' c'est aussi qu'on cesse (je caricature) de fabriquer des petits mâles qui ne rêvent que d'échapper à l'emprise maternelle tout en la séduisant, et en "tuant" l'image du père... et qu'on cesse de fabriquer des petites pépettes qui ont constamment faim d'attention maternelle, d'attention paternelle, et soignent leur névrose en cherchant à mettre le grappin sur un élu, quel qu'il soit, quelque part.

halàlà c'est sur.... et si déjà j'ai des mômes, et si plus j'arrive à pas trop les attaquer sur ce plan là, ca s'rait déjà une belle réussite <3

j'y passerai bien la journée (à discuter), mais là... j'me met à bosser!

PS: Merci pour ton article, je me réserve un moment calme pour avoir le temps de le lire.

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Discussion : "Les mecs lourds" de Natacha Henry

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lam

le samedi 13 février 2010 à 15h12

Clémentine "Bref de lire une analyse de comportements conversationnel m'a personnellement aidée à décrypter et décoincer des blocages, à la fois sur le plan personnel et professionnel. Et malgré ce que j'aimerai pouvoir en dire, pouvoir vivre, les rapports genrés sont toujours très présents dans notre soi-disant société post révolution sexuelle... " Oui! Mais il n'est nul besoin de continuer à pointer le genre, si tel ou tel comportement n'est pas l'apanage d'un genre en particulier. C'est dans ce sens que je dis qu'on peut passer plus loin, chercher des occasions de s'améliorer en tant qu'individus. Et pour moi, ça passe en premier par un examen de soi-même comme personnalité, et justement... de dépasser le genre. Clèm je sur le sujet de dépasser le genre il me semble qu'on a une bonne syntonie :-) Mais tu vois, je crois qu'on ne peut pas forcément par manque de temps,d'énergie, de volonté... arriver à remettre en question les 95% d'aquis inconscient qui forment notre point de vue sur le monde (je suis optimiste aujourd'hui), donc j'utilise les portes d'entrées qui me paraissent constructives pour m'examiner moi-même. La relation au genre en fait partie.

Hyo Les réflexions du slip ne datent pas d'hier vu que pour Freud par exemple, tout nos comportements sont liés au sexe ;)

On est bien d'accord qu'il faut dépasser certaines conceptions de ce papa de de la psychanalyse.... qui a contaminé beaucoup de gens. Si les femmes qui ont des orgasmes clitoridiens étaient vraiment immatures, et que leurs comportements étaient essentiellement dictés par le manque d'avoir un pénis... On s'rait bien dans la merde :-D Et je relance ce fil parce que là, pile sur la question de la masculinité que soulevait Petitlutin en début de fil, j'ai découvert les "Men's Studies"! Je trouve ca génial que ca existe. Dans mon point de vue il faudrait dépasser ce clivage presque sexiste dans les angles d'attaques de la sociologie, je préfèrerai un terme générique du type "altersexisme" plutot que continuer avec les préjugés et le coté trop genré qui colle à "féminisme", qui, comme l'explique bien l'auteur de l'article dont je parle ci dessous, a le mérite historique d'avoir porté les questions de genre sur la place publique mais tout autant l'inconvénient de véhiculer un coté non-mixte qui empêche dans une certaine mesure que justement l'individu quel que soit son sexe dépasse vraiment le concept de genre. Bref un texte écrit par un homme (G Dulac) sur les relations entre "masculinité et intimité" tant l'évolution des points de vue au sein même de l'approche sociologique que certains facteurs explicatifs, eh ben ça m'a fait du bien, et si ca intéresse certains membres du forum... l'article ici Alors pour les non-sociologues comme moi il faut un peu s'habituer au vocabulaire au début, et personnellement même si la première partie est intéressante pour le coté histoire de l'évolution des mentalités, c'est la deuxième partie sur différents facteurs explicatifs qui m'a vraiment plu ("Facteurs explicatifs : rôles, socialisation et codes de comportement"), j'aime quand un auteur apporte une nouvelle perspective qui bouscule mes idées. Et pour finir, plusieurs de mes proches de sexe masculin qui se questionnent sur le genre ont bien apprécié les pistes de réflexion apportées.

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Discussion : Les jugements moraux sur l'infidélité et l'adultère

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lam

le samedi 13 février 2010 à 12h47

Clementine
Sans rapport avec la choucroute, mais je voyais mal où mettre ça...:

grande nouvelle, en France les trans ne sont plus considérés comme des malades mentaux par la loi, ayé!

Merci Clèm pour cette bonne nouvelle de l'actu! (une brève )

Et en chuiche, ca se passe comment au niveau légal? Doit-on se faire opérer pour changer d'état civil?

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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Discussion : Je veux en parler au monde entier !

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lam

le vendredi 12 février 2010 à 11h58

ERIC_48
A propos de la télépathie, décidément tu y tiens, mais Clémentine viens d'expliquer super bien quelques posts plus haut.

j'ai pas saisi :-/

Quel rapport entre ma question blagueuse sur la télépathie et le post de Clémentine?

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Discussion : Je veux en parler au monde entier !

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lam

le vendredi 12 février 2010 à 11h52

Titane, j'en rajoute une couche, mais ce n'est pas de l'agression personnelle. J'ai déjà remarqué ton gout (que je partage) pour la polémique. Je suis bien d'accord sur le fait qu'il faut adapter ce que l'on dit à ce que l'on pense que les autres peuvent ou veulent entendre. Parler de soi à tout va c'est bien sur égoïste.

Mais là, vis à vis de ce post:

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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Discussion : Trente-quatre minutes pour tomber en amour

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lam

le vendredi 12 février 2010 à 08h49

Rosalie
Ce n'est pas surprenant qu'il y ait tant de détresse psychologique!

C'est sur, et tant de manque d'affection aussi... J'ai l'impression de voir tous les jours des gens en manque de contact, de lien, de sexe, de soutien...
Le nombre de gens qui ont du mal avec le contact physique simple m'apparait parfois comme révélateur.

Peut-être que ce renouveau du PA reflète un manque de profondeur des (ou d'existence de) relations intimes, pas forcément sexuelles et/ou amoureuses d'ailleurs

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Discussion : Trente-quatre minutes pour tomber en amour

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lam

le jeudi 11 février 2010 à 19h46

Aurelien
Bref, une bonne moyenne quoi.

Faut-il croire un psychologue ?

www.xkcd.com/435/

:-D

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Discussion : Kiss-In

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lam

le jeudi 11 février 2010 à 14h40

Allez je copie-colle, pour la France (métropole) et pour ce weekend seuleumment, le reste et les contacts sur : kiss-in.blogspot.com/

- à ANGERS, le 13 février 2010 à 16h, place Mondain Chanlouineau, devant le centre commercial Fleur d'Eau, dans le prolongement de la rue Saint-Laud.

- à AUXERRE, le 14 février 2010 à 16h, place de l'Hôtel de Ville.
Contact : Mickael Lequeux.

- à BORDEAUX, le 14 février 2010 à 16h, devant le Miroir d'eau.

- à CAEN, le 13 février 2010 à 16h, devant l'Hôtel de Ville.
Contact : Alice Bébin.

- à GAP, le 14 février 2010 à 14h, place Alsace-Lorraine.

- à LILLE, le 14 février 2010 à 16h, devant l'Opéra.

- à LYON, le 14 février 2010 à 16h, place des Terreaux.

- à MARSEILLE, le 14 février 2010 à 14h, place Estrangin-préfecture.
Contact : Rémi de St-Régis.

- à MONTPELLIER, le 13 février 2010 à 18h, place de la Comédie.

- à NICE, le 14 février 2010 à 13h00, cours Saleya (entre la Civette et les Trois Diables).
Contact : Paul-Antoine Desanti.

- à PARIS, le 14 février 2010 à 14h, place Saint Michel.
Contact : Arthur Vauthier.

- à POITIERS, le 14 février 2010 à 14h, place d'Arme.
Contact : Gaelle Decombes.

- à RENNES, le 14 février 2010 à 14h, esplanade Charles de Gaulle - Cours des Alliés.

- à TOULON, 14 février 2010 à 14h, place de la Liberté.

- à TOULOUSE, le 14 février 2010 à 16h, allées du Président Franklin Roosevelt (en face de la FNAC).

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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Discussion : Kiss-In

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lam

le jeudi 11 février 2010 à 14h26

BenjaminL
Ce n'est pas mal d'être « classique » ou « normal ». :(

Ceci dit, pour l'occasion, même sans en avoir le goût mais juste pour le fun, si je peux être à Paris à cette date, je réessayerais bien quand-même.

Y'a pas besoin d'aller à Paris pour ça, dans le tas de ville où un Kiss-in est organisé ce weekend, il y en a surement une proche de chez vous!

Pour ma part, j'y participerai à Lyon.
Si par hasard quelqu'un/e veux venir et n'a pas d'hébergement, je peux dépanner.

Par contre pour embrasser Tchu et/ou Aurélien c'est pas le bon plan :-D

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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Discussion : Autopromo

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lam

le jeudi 11 février 2010 à 09h12

Je trouve ton sujet très intéressant, au plaisir d'écouter.

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Discussion : Le fil "Alternatives", c'est ici

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lam

le mardi 09 février 2010 à 18h42

Ouh bien plus long que je croyais ce post...

PS: y a-t-il des amateurs pratiquant le lombricompostage dans le secteur?

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Discussion : Le fil "Alternatives", c'est ici

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lam

le mardi 09 février 2010 à 18h38

Yep, chouette discussion! Parce que l'enjeu c'est bien la survie de l'humanité dans des conditions décentes.

C'est triste un ours polaire tout seul sur son bout de banquise à la dérive, et c'est joli les tulipes et l'herbe verte sur les sacs réutilisables des distributeurs alimentaires... mais ca ne change pas le fait que nous ne changeons pas ou peu nos habitudes de consommation de la planète (càd des ressources disponibles, et des autres humains qui ne vivent pas dans notre luxe).

Le souci, c'est d'arriver à ces conditions décentes pour tous et aujourd'hui et demain. D'où le fait qu'un système centré sur le profit matériel et non sur le bien être humain n'est pas compatible avec cet objectif. On se rend bien compte aujourd'hui que bien être de l'humanité se conjugue forcément avec respect: de l'autre et de l'environnement au sens large.

C'est le foutoir, et comme je ne crois pas que la solution viendra d'en haut (y'a qu'à voir des fouttages de gueule carabinés comme le sommet de Copenhague pour finir de s'en persuader), ben alors je fais quoi?

Alors, révolution ou réforme?

J'aimerai bien avoir une réponse, mais au delà des concepts on en revient toujours au même. si déjà chacun s'investissait à mettre en pratique (dans les limites du niveau personnel) ce en quoi il croit... que cela soit une réforme ou une révolution personnelle c'est très subjectif, et finalement c'est le changement induit par la mise en pratique qui compte.

Siestacorta
On ne doit pas envisager la prise de pouvoir, qui est effectivement, dès qu'on le possède, l'aveu d'impuissance. Il faut toujours rester dans la masse qui demande et conteste, donc productrice de ce qui deviendra directions et propositions du pouvoir.

Oui... Demander, contester en restant dans la masse, mais agir concrètement aussi! L'action c'est une sacré force de proposition, après le type d'action dépend du niveau auquel on veut s'adresser. Et du coté du "pouvoir" j'ai peu d'ambition de dialogue.

Là dans la masse...on est chacun un morceau d'humanité, et j'sais plus qui disait que tout est interconnecté et que le micro affecte le macro.
Si on se demande et on se conteste soi même on sait déjà qu'il y a quelqu'un qui écoute potentiellement. Quand tu demandes et contestes auprès d'un pouvoir dont tu attends une réponse, pas sur qu'il y ait quelqu'un au bout du fil.

Ca ne m'empêche pas d'aller à une manif par ci par là, ni de signer des pétitions pour de grosses ONG qui font du lobbying actif auprès des représentants du pouvoir en place, mais j'ai l'impression d'être bien plus proche de la cohérence avec mes idées quand je dépense mes ptis sous et ma ptite énergie d'une manière concrète qui va vers plus d'équilibre général.

Et je parle d'agir à son niveau, peut-être que ca s'appelle du militantisme, de "l'écologie idéologique", que c'est révolutionnaire? Pas sur! :-)

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Discussion : Et si on parlait de l'absence...

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lam

le dimanche 07 février 2010 à 19h18

Clementine
Rhôoô, encore une erreur 404...

Ooops
C'est la parenthèse qui fait bugger le lien, celui qui marche direct:

1libertaire.free.fr/BiologiePassions.html

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Discussion : Et si on parlait de l'absence...

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lam

le dimanche 07 février 2010 à 19h15

titane
il s'agit juste de prendre conscience que même si tu n'es pas là et bien je peux t'aimer encore sereinement et avec plaisir... c'est quoi le problème?

Bon le problème c'est que tu t'es senti attaqué, c'est dommage. Si tu relis mon post tu verras peut-être que je dis que je suis d'accord avec toi sur le fait de travailler sur son égo et ce que je dis ne concerne pas ta question ci-dessus mais le coté 'inconditionnel et abondant de l'amour'.
Et j'y parle de mon point de vue dans ma perspective: je n'ai pas dit "c'est nul" mais "c'est pas ce que je crois, c'est pas comme ça pour moi".

Et j'arrête là parce que si je répond à tes autres questions comme celles sur le deuil, je risque de m'énerver pour rien. Et comme le dit la charte de discussion "Attendez le lendemain pour répondre à un message passionné. Les sujets qui sont volontairement provocateurs doivent être répondus avec calme."

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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