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Discussion : L'amour et la façon d'aimer sont-ils ou doivent-ils être pragmatiques ?

titane
le mardi 02 février 2010 à 16h39
Tu es toujours le bienvenue clem! A toi de te sentir la bienvenue...
Je ne comprends pas l'analogie avec la voiture... Dans la conduite, l'intuition et le réflexe et surtout l'attitude du conducteur fait toute la différence.
Il ne s'agit pas de dénigrer le pragmatisme (inutile de rester sur la défensive) mais de réfléchir ensemble sur sa place face à des émotions et des perceptions tel que l'explique Clem.
A quoi servent ces outils? Que mesurent-ils? Pour quelle consciences?
C'est tout...
Discussion : Et si on parlait de l'absence...

titane
le mardi 02 février 2010 à 09h25
il y aurait un lien là avec l'acologie de l'amour ou avec la question... dans l'amour pluriel que gère-t-on le plus: les présence ou les absences ?... sommes nous davantrage "avec" ou "entre" deux amours... est-ce que le fait d'être avec un de nos amours nous "protège" de ressentir un manque des autres amours ?
j'aime à comparer ça avec le ciel étoilé... on s'émerveille de la beauté des étoiles... sans se rendre compte que la nuit est bien plus présente ! et que c'est la nuit (le noir) qui fait ressortir la luminosité de nos étoiles...
j'aime me retrouver dans la nuit et admirer mes étoiles autant que de m'éblouir avec l'une d'elles...
Discussion : L'amour et la façon d'aimer sont-ils ou doivent-ils être pragmatiques ?

titane
le mardi 02 février 2010 à 09h21
le coeur a ses raison que l'esprit ignore... le pragmatisme est une méthode" de l'esprit... peut aimer de façon pragmatique? ou si nous recherchons une meilleure façon d'aimer doit-on s'appuyer sur des méthodes pragmatiques ?
L'accompagnement d'une détresse amoureuse doit-il être "pragmatique"?
Comme tout phénomène psychologique ou affectif et même spirituel, aimer n'est-il pas davantage une question d'attitude, de regard posé sur soi et les autres, de conscience... plutot que de "recettes" pragmatiques ?
Discussion : L'écologie de l'amour ou aimer écologiquement

titane
le mardi 02 février 2010 à 09h17
abondance - tranformation - qualité... la trinité de l'amour...
Discussion : Amours pluriels ou manques pluriels ?

titane
le mardi 02 février 2010 à 09h16
Il y a aussi "L'art de mourir" Marie de Hennezel et Jean-Yves Leloup... mais cela va apparaître encore trop messianique et divin... ;-)
personne n'est templaçable bien sur, mais qui veut remplacer quelqu'un ?
Le deuil n'est ni un oubli (au contraire) ni un remplacement...
Le deuil c'est accepter une réalité... celle que l'autre ne veuille plus nous aimer au sens "actif", même s'il nous aime encore... cette liberté là ne se discuste même pas... l'amur ne se force pas , c'est comme le don. si on force les gens à nous aimer (même en l'espérant et en s'y accrochant... se donnant alors une idée de quête et de lutte contre les destin...) alors on provoque souvent en soi et en l'autre une violence proportionnelle à l'énergie investie... et on fait l'effet inverse...
L'aour ne s'appréhende pas dans le "manque" ou la "pénurie" maus dans l'abondance et ça... on ne sait pas faire !! car on a hérité de nos parent hominiens une stratégie de survie basée sur les besoin alors que maintenant l'homme sapiens base son attitude fondamentale sur les "envies"... le besoin engendre la pénurie, donc la "productivité" et la "quantification"... ce qui engendre la "lutte" ou la "protection"... et le monoamour déviant exclusif et possessif...
Si volontairement et pragmatiquement on regarde et on acepte que l'amour est d'abord une abondance (car une ressource infinie) alors on se situe dans une autre logique: "abondance - transformation - qualité"... il se s'agit plus de produire de l'amour mais de le transformer en énergie en soi et pour les autres... ainsi ce n'est plus la quantité ou le manque qui compte mais la qualité de cet amour partagé...
Le deuil, comme le dit Clémentine, est une opportunité de rebondir dans sa capacité d'aimer et d'être aimée... de ne pas se laisser écraser par un manque relatif et narcissique (rien de méchant: le manque de ne pas être aimée nous renvoit une image douloureuse: "je ne serait donc plus aimable"?)... mais sortie ce qui ne "meurt" pas en soi... notre capacité d'aimer encore une fois... et encore une fois...
L"écologie de l'amour ou l'amour écologoque on pourrait dire basé sur l'abondance des ressources "naturelles" (l'air, l'eau, et toutes sortes d'énergies)... leur transformation (et non leur consommation et accumulation) et leur qualité (et non leur quantité)...
Il s'agirait d'aimer "écologiquement"... aimer mieux...
Discussion : Accepter que certaines personnes aient une quantité limitée d'amour

titane
le lundi 01 février 2010 à 18h26
J'ai lu les deux et j'ai nette préfèré la sensibilté de Françoise.
Le constat est là je crois. La passion en tant que "drogue" annonçant un amour potentiel n'accepte aucune interférence.
Mais je crois que la passion amoureuse n'est pas encore de l'amour... Comment l'amour serait-il aussi narcissique?
La passion est une pulsion... Une impulsion vers un amour possible... À créer.
Serait-ce l'inverse du deuil? Un passage douloureux et grisant entre le non amour et l'amour? Dans le deuil aussi nous sommes aveugle par la souffrance. Dans la passion c'est dans le plaisir ennivrant... Mais la souffrance n'est jamais très loin!
Discussion : Amours pluriels ou manques pluriels ?

titane
le lundi 01 février 2010 à 18h20
En effet on se ressemble plus qu'on se distincte.
Dans ce que vous vivez je reconnais une composante du deuil justement. Moi aussi je suis dedans avec un amour qui soudainement s'est laissé envahir par une peur inconfortable. La réaction a donc été de tout "suspendre" malgré l'essentiel: le désir et les sentiments.
Bien sur il faut accepter. Et dans le choc s'enfoncer dans ce sentiment de perte et de vide... Une présence forte qui génère donc un vide!
La colère, le deni, la marchandage (avec soi et le destin justement)... Sont aussi des composantes du deuil.
Le deuil étant un passage, une "passion", c'est en l'issue finalement qu'il faut avoir confiance! Confiance au destin! Par exemple... Confiance en soi et à sa capacité d'aimer aussi...
Une opportunité de s'en sortir plus confiant sans arrogance mais avec humilité car on a accepté sa souffrance et qu'on l'accepte encore comme l'empreinte d'une belle présence vécue, partagée et aimée.
Rien de messianique ou de religieux! ;-)
Discussion : Comment ne plus être jaloux

titane
le lundi 01 février 2010 à 17h06
et le pragmatisme c'est qui qui le juge ?
je suis toujours preneur de pragmatisme... éduquez moi !
Discussion : Amours pluriels ou manques pluriels ?

titane
le lundi 01 février 2010 à 17h04
c'est ce que je viens de dire... mais apparemment c'est plus vrai pour le "noyau" de cette sympathique communauté... qui est certes poly... mais qui a su exclure quelques sympathiques "contribuables"...
mais rien de grave et passons à autre chose...
moi je m'amuse... et si je ne m'amuse plus... je vais m'amuser ailleurs... et je reviens éventuellement... c'est tout...
Discussion : Accepter que certaines personnes aient une quantité limitée d'amour

titane
le lundi 01 février 2010 à 17h01
juger la quantité ou la qualité de l'amour sur le "spectaculaire" d'une passion me semble être une illusion...
Discussion : Accepter que certaines personnes aient une quantité limitée d'amour

titane
le lundi 01 février 2010 à 17h01
surtout que le grand élan est bien souvent exclusif... il nous aveugle car il nous docalise sur cet élan là...
des élans passionnels multiple et simultanés ?
en sais rien... jamais rien lu là dessus...
La passion est un "passage"... il demande beaucoup d'énergie... mais comme dans tout passage c'est surtout l'après qu'elle va construire ou libérer qui est le plus important non ?
Des pasions amoureuses qui accouchent de petites souris qui se font la malle... il y en a des wagons !!
Discussion : Amours pluriels ou manques pluriels ?

titane
le lundi 01 février 2010 à 16h56
le deuil n'est pas une perte... le deuil est le processus d'acceptation d'un changement...
La perte peut être ressentie ou pas... elle peut-être totalle ou pas...
Réduire le deuil à un sentiment de perte c'est probablement vouloir rester dans la souffrance.. le deuil est un processus de transfiguration de cette souffrance en "paix intérieure"...
un amour se finit... ce n'est pas forcément une perte... ce peut-être la libération d'un espace pour un autre amour...
L'objet de l'amour est perdu... mais ce n'est que son objet... l'amour reste... ceux qui ont perdu un être cher le vive et ne passe pas leur vie à se morfondre... heureusement... un deuil "réussi" est une victoire sur la souffrance... la "perte" devient une présence...
rien de messianique ou de religieux là-dedans... question d'expérience et de psychologie...
l'amour pluriel nous expose (statistiquement ) des "pertes" plurielles et donc nous offrent justement des opportunités plurielles de vivre des deuils réussis... je ne "perds" rien je laisse l'autre aller à sa liberté... ce qui me manque ne m'appartenait pas... ce qui a été vécu a laissé de belles empreintes que je peux chérir dans la bonne humeur au lieu de chialer tout le reste de ma vie...
oui la souffrance est rassurante pour une raison encore plus profonde... je souffre parce que j'ai aimé et parce que mon désir d'aimer est toujours là... pas forcément une souffrance triste ça... par forcément à éviter non plus...
Je souffre relativement parce que je n'ai plus accès à mon joujou préféré du moment... mais je sais toujours jouer...
C'est en cela que le deuil nous aide à grandir... et il commence à la naissance: le deuil de notre vie utérine se fait déjà dans un traumatisme et souffrance terrible !
Amis de Freud....
Discussion : Amours pluriels ou manques pluriels ?

titane
le lundi 01 février 2010 à 16h46
c'est gentil de parler de moi sans me connaître et de me coller des étiquettes... si ça peut être utile...
je ne crois pas donner plus de leçons que ceux qui attibue des "tu as raison" ou des "c'est pas vrai" ou des "non c'est faux"... lu dans le fil de l'argumentation et de l'échange, ça ne me dérange pas plus que ça... alors pouquoi mes propos dérangeraient-ils eux? au point de vouloir secouer le bonhomme plutôt que d'argumenter les propos ?
faut-il avoir le même "costume", le même "parler", la même "tendance" pour être respecter dans ce forum?... pourquoi certais de mes propos proviqueraient cette agglutination de réactions sur le forme ?... une sorte de "précipitation" défensive du haut du nombre ou de la masse critique ?
bref
Discussion : Accepter que certaines personnes aient une quantité limitée d'amour
Discussion : Amours pluriels ou manques pluriels ?

titane
le dimanche 31 janvier 2010 à 20h57
Au questionnement et aux réponses toutes faites du style yaka...
Je vous aime!
Discussion : Amours pluriels ou manques pluriels ?
Discussion : Comment ne plus être jaloux
Discussion : Comment faire avancer les mentalités de notre société sur le polyamour ?

titane
le dimanche 31 janvier 2010 à 20h28
Tiens... L'art de l'evitement ou de la lévitation....
Oui je sais de la liiiiiiiiiiberté..... Du haut de son banc....
Discussion : Comment ne plus être jaloux

titane
le dimanche 31 janvier 2010 à 20h26
Ben déjà abandonne cette idée égoïste de "perdre" ... Elle ne t'appartient pas, elle vient vers toi et c'est seulement ça qui doit compter... Pour venir vers toi elle doit pouvoir "s'en aller"... Apprends à aimer ces deux mouvements d'un seul et même geste: son amour pour toi...
Trouve toi et entraine toi à choisir une attitude positive et optimiste de ses "départs" surtout quand elle revient! Venard!!
Message modifié par son auteur il y a 16 ans.
Discussion : Amours pluriels ou manques pluriels ?

titane
le dimanche 31 janvier 2010 à 20h21
Moi je suis très peu convaincu par un polytruc réfléchis et surtout en réaction à autre chose. Une fuite?
L'amour au pluriel n'a pas besoin de se justifier en accord ou en oppostion à aucune idée préconçue, principe ou idéologie aussi légère que le libertinage...