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Discussion : Des ressentis contradictoires face à ma relation polyamoureuse

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bonheur

le mercredi 24 janvier 2018 à 21h40

Je dirais question de particularités individuelles. Qu'est-ce qui fait que certaines personnes, c'est un exemple, désirent vivre en groupe (communauté) et que d'autres désirent vivre seules ? Le pourquoi est moins important que le "ça me convient, je suis heureux ainsi".

C'est justement la construction qui n'est pas bonne, sauf que, enfant, on dépend de celle que les personnes qui s'occupent de nous ont. Par contre, le libre arbitre est à privilégier, une fois adulte.

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Discussion : Les 10 questions à ne pas poser à un.e poly (Bingo)

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bonheur

le mercredi 24 janvier 2018 à 21h16

Je pleure ! :-(

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Discussion : Des ressentis contradictoires face à ma relation polyamoureuse

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bonheur

le mercredi 24 janvier 2018 à 21h13

mono et poly peuvent s'aimer, à condition de ne pas s'étouffer mutuellement.

Il est vrai que la distance n'aide pas, sauf que la situation a convenu. Pourquoi elle ne convient plus. Et oui, artichaut dit vrai, il faut parfois dissocier pour y voir clair et éviter les effets d'accumulation

Une relation c'est deux personnes distinctes, donc nos décisions personnelles impacteront l'autre (et par ricochet, les métamours), sauf que l'on doit savoir ce qui convient à soi et l'exprimer. La communication permet d'aborder les bien être et les mal être. Tous les états d'âmes sont louables et les clarifier ensemble est bénéfique.

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Discussion : Des ressentis contradictoires face à ma relation polyamoureuse

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bonheur

le mercredi 24 janvier 2018 à 16h23

Hello ! :-D

Il faut te construire suivant ce qui te convient. Inutile de vouloir adopter un mode de vie qui ne te conviendrait pas et encore moins de t'obliger si tu n'en ressens pas l'envie. Tiens compte de tes blocages personnels et accepte toi telle que tu le ressens. Accepte autrui avec sa façon d'être, mais cela, tu y arrives bien je dirais.

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Discussion : L'individualisme et le polyamour — La mauvaise influence

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bonheur

le mercredi 24 janvier 2018 à 15h46

Opposé qui l'on est naturellement (vraie) et l'impermanence. Là encore je ne comprend pas. Nous sommes les deux, parce que nous évoluons. Nous composons notre vie avec notre personnalité qui peut être un peu construite mais pas entièrement. Au même titre que certains sont sujet au mal des transports et d'autres pas, nous avons des aptitudes, des particularités qui nous rendent unique. Cela enlève-t-il à l'impermanence, c'est-à-dire à la découverte de soi ?

Là encore je ne comprend pas. Ces deux notions pour moi se complètent, mais ne s'opposent pas. D'ailleurs, se construire implique aussi une déconstruction et non une acceptation collective d'un nouveau quelque chose.

Ne vivant pas en communauté, évidemment, je me trompe peut être. Je ne me suis jamais sentie en adéquation avec ce mode de vie (internat, colonie de vacances, autres). C'est trop strict pour moi, j'ai besoin de mon espace, sinon j'étouffe.

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Discussion : L'individualisme et le polyamour — La mauvaise influence

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bonheur

le mercredi 24 janvier 2018 à 15h37

l'article en question
L'adhésion à l'un de ces 2 courants entraîne une divergence d'opinion sur les questions suivantes, qui seront abordées en détail par la suite :
- Est-ce que l'autre est responsable de mes émotions ?
- Est-ce qu'il faut encourager la critique au sein des relations ?
- A quel point doit-on s'occuper des affaires de l'autre ?
- Est-ce que la dépendance affective est un bien ou un mal ? Que peut-on exiger de l'autre ?
- Le polyamour est-il une multiplication des vies de couple ou un rejet des contraintes liées au couple ?

Le courant individualiste relationnel semble s'imposer de plus en plus dans les prises de parole publiques, au risque de parfois constituer une nouvelle norme polyamoureuse.

Pour que chacun·e puisse trouver sa place et s’épanouir dans le polyamour, notre communauté doit défendre une plus grande diversité d'opinions contradictoires en son sein et se méfier d'une trop grande influence de l'individualisme relationnel. Les sujets qui vont être abordés dans cette série de texte gagnent à être abordés dans chaque relation, afin d'éviter de fâcheuses incompréhensions dans la façon de voir le polyamour.

A part la première interrogation, je ne vois pas trop pour les autres. Non, l'autre n'est responsable de rien et si la situation initiale est celle d'un couple établi, imposer à l'autre une autre vie, ce ne serait pas très poly à mes yeux.

Pourquoi vouloir opposé et les nouvelles générations s'épanouiront à leur guise dans les diversités d'opinions qui ne seront pas contradictoires. Dans l'immédiat, notre société est ainsi et il faut faire avec.

Par contre, se méfier de quoi ? J'oeuvre pour justement que les mentalités changent et bougent, même si l'article me qualifie "d'individualiste" et donc de mauvaise, dont il faut se méfier.

Personnellement, je ne peux témoigner d'autre chose que ce que je vis. Si à ma petite échelle, et je l'ai déjà dit ici, je peux faire que nos jeunes et après eux leurs jeunes puissent s'affranchir pour se réaliser à leur guise, alors bingo, ma très petite, toute toute petite pierre aura servie.

Ce qu'indique justement je dirais, J. Attali dans Amours, les mutations sociétales ne se font pas en 10 ans, alors ceux qui discutent aujourd'hui ne le verront pas, le fruit de cette mutation. Par contre opposé deux modes de vie, ça n'aidera pas et faire des affirmation ainsi non plus.

En tant qu'individualiste, je vois au delà de moi, je vois l'avenir qui ne me concernera pas directement. Serait-ce critiquable ?

Que l'on laisse chacun-e faire avec ses prérequis sociétaux et personnels et que l'on encourage la juxtaposition de tous les modes de vie et de toutes les probabilités, y compris celles qui n'existent pas.

Je n'apprécie pas "la salope éthique" car cet ouvrage ne me correspond pas, je ne m'y reconnait pas du tout. Si je l'ai lue à une époque, c'est parce que l'un de mes amoureux se reconnaissait dans ce livre et que, du coup, c'était une façon de communiquer avec lui, en le comprenant. Son côté libertin et sa volonté de vie en communauté n'avait rien de dérangeant pour moi. Je l'aime à ma façon et il m'aime (malgré son dénie) à la sienne.

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Discussion : L'individualisme et le polyamour — La mauvaise influence

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bonheur

le mercredi 24 janvier 2018 à 15h19

FredCLK
...pour moi un bon titre doit intriguer et informer sur le contenu, ce qui apparemment est le cas.

Dire : le polyamour et l'individualisme - la mauvais influence. Je trouve cela plus une affirmation qu'une intrigue. A la limite sur un mode interrogatif, ça me resterait moins en travers de la gorge, je crois.

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Discussion : L'individualisme et le polyamour — La mauvaise influence

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bonheur

le mercredi 24 janvier 2018 à 15h16

article en question
Alors que l'individualisme relationnel considère les personnes comme indépendantes et met l'accent sur le besoin de liberté, l'altruisme relationnel considère les personnes comme interdépendantes et met l'accent sur la solidarité.

En quoi le fait de se trouver et de s'accomplir en aimant une personne Et une personne serait de l'individualisme relationnel ? Et aimer en dehors de son couple ne met pas l'accent sur la solidarité ? Je ne peux pas aider (pas nécessairement une personne dont je suis amoureuse) ou être présente pour une personne avec laquelle je ne vis pas au quotidien ?

L'un de mes amoureux a été très présent pour mon mari à une époque où on avait un problème sérieux à la maison. Je ne savais plus quoi faire pour qu'il aille bien et en avait fait part à mon amoureux. Ce dernier lui a téléphoné pour faire quelque chose, tenter quelque chose.

Je ne vois pas en quoi, le fait de ne pas être intégré dans une communauté de vie, implique un désintérêt des métamours.

J'ai un autre amoureux qui s'est occupé de nos enfants pendant que j'étais, avec mon mari, en vacances chez un autre amoureux. Il y a bien interaction entre les métamours (si on fait ce choix) et inutile d'une vie en communauté pour se faire. D'ailleurs, récemment, alors que nous avons rompu ce lien privilégié, il a envoyé les coordonnées à notre dernier fils la possibilité de trouver un emploi (transmission d'informations)... il n'en n'était pas du tout obligé.

Le livre "la salope éthique" est le reflet d'une possibilité et ce n'est pas parce que l'on vit en Europe différemment que c'est plus individualiste. L'altruisme relève de capacité et de volonté personnelles, pas d'une forme de vie qui pour le coup serait stéréotypée (à mes yeux, je précise).

Pourquoi opposer deux modes de vies différents ?

Et puis "la mauvaise influence" me reste en travers de la gorge, désolée !

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Discussion : L'individualisme et le polyamour — La mauvaise influence

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bonheur

le mercredi 24 janvier 2018 à 14h57

Pourquoi écrire des articles ? Sommes nous habilités à le faire ? Avons nous les compétences requises ? Sommes nous journalistes ou écrivains ?

Je préfère m'exprimer au fur et à mesure.

D'ailleurs j'avais écrit un essai en 2011 qui est resté dans mon tiroir, car il n'a aucune valeur, sauf à mes yeux.

La monophobie me conduirait à détester mon mari. La polyphobie m'obligerait à me détester. Un monde mono-poly peut être beau.

Pour ce qui est du titre. Pourquoi lié le polyamour à l'individualisme, puisque ce n'est pas le cas (article et son contenu dans lequel bcp de poly ont réagi en indiquant ne pas se reconnaitre dans les propos de l'auteur) ? Pourquoi lié les polyamoureux à des personnes ayant une mauvaise influence ?

Désolée, je suis sans doute très coconne, mais je ne comprend ni la démarche ni l'objet de cet article. J'y vois plus une forme d'agression et donc d'encouragement à développer celle-ci. Je me sens montrée du doigt, comme une bête malfaisante.

Aussi, comme beaucoup de personnes qui ne lisent pas les notices, pourquoi lire l'article alors que le titre suffit justement à décrire son contenu. Ce n'est pas mon raisonnement (je m'efforce de lire les notices), mais je ne suis pas tout le monde. Donc, non, je ne comprend pas.

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Discussion : L'individualisme et le polyamour — La mauvaise influence

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bonheur

le mercredi 24 janvier 2018 à 09h08

Mon fils (20 ans), lis le titre par dessus mon épaule. Avec mon accord je le cite : individualisme et polyamour : "là je ne vois pas trop" ; mauvaise influence "un pourquoi ?". "Je ne vois pas le rapport dans tout ça"

Mon fils n'est pas poly, mais il connait le polyamour à travers sa mère. Réaction spontanée qui vient illustré mon précédent post.

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Discussion : L'individualisme et le polyamour — La mauvaise influence

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bonheur

le mercredi 24 janvier 2018 à 09h05

Je me permets d'indiquer ceci. Au delà de cet article lui-même.

J'essaie de faire connaitre, autour de moi, à des personnes non sensibilisées à ce thème, le polyamour. J'essaie de susciter des réflexions personnelles à autrui. Je m'aperçois que, comme pour le libertinage, et autres sujets qui ne concerne pas directement (transgenre ou autres) l'individu s'arrête qu'au nom lui-même pour tenter sa compréhension, qui du coup restera de l'ordre de l'imaginaire (et l'imaginaire...). Quand la personne fait un semblant de démarche de recherches et qu'elle tombe sur une information qui n'ai pas validée par les personnes concernées, ou que celles-ci ne s'y retrouvent pas, que pense-t-elle en réalité ?

Moi, c'est cela avant tout qui me dérange. Ne serait-ce que dans le titre de l'article qui positionne le polyamour en négatif. Si je lis le titre, je retiens deux mots que j'associe inévitablement : polyamour ET mauvaise influence.

C'est contradictoire puisque l'influence indique que l'on veut modifié la raison de quelqu'un, alors que le polyamour c'est tout l'inverse. Peut être qu'il ne faut pas généralisé mais de ce que j'ai découvert des autres poly (pas tous, ouin !), le libre arbitre est primordial car on désire que chacun-e se réalise en fonction de ses particularités. Exemple, mon mari est mono et je n'ai jamais voulu qu'il devienne poly.

Alors, si je suis en découverte et que lis ne serait-ce que le titre de cet article, ben je retiens, c'est de la manip, donc ce n'est pas pour moi. Je ne veux pas de ce truc pour tordu et comment cette femme a-t-elle pu penser que je devrai m’intéressè(e) à un sujet pourri comme celui-là. Autrement dit, la mauvaise influence se retournera contre moi et contre tous ceux qui seront dans la même démarche que moi.

Je crois en un avenir meilleur, pour moi (mais je ne le connaitrais sans doute pas), mais surtout pour les futures générations, qui devront vivre également dans une société faiblement ouverte à cette démarche (pourtant naturelle). Aidons-les Et aidons-nous.

FredCLK, c'est aussi pour cela que moi, et d'autres sans doute, surtout ici, ne pouvons laisser dire ce qui n'est pas. Ce n'est pas qu'un réflexe d'auto-défense (pour ma part en tout cas), c'est aussi pour faire évoluer l'avenir en général.

J'espère ne pas être hors sujet dans mon propos. Je suis peu encline au débat hautement philosophique avec de grandes théories.

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Discussion : Genre !

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bonheur

le lundi 22 janvier 2018 à 07h48

<3 <3 <3

L'amour n'a rien d'un mythe, vit le et vit le bien, avec un jet d'eau, avec une pizza, avec une promenade, avec des stroumpfs, avec un tour sur le lac, avec des boiseries...

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Discussion : Genre !

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bonheur

le dimanche 21 janvier 2018 à 20h15

Pas besoin d'autrui pour découvrir cela et pour s'accepter tel que l'on est. Au diable à ceux qui ne comprennent pas ou qui ne nous acceptent pas tel que l'on est.

Vivre pour soi et ne pas toujours devoir aux autres. Je t'ai aimé tel que tu es et je garde de toi aussi cette beauté ambivalente. Soi toi même et fuit les personnes qui ne te conviennent pas. Soit heureux avant tout pour toi-même :-D

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Discussion : Les 10 questions à ne pas poser à un.e poly (Bingo)

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le dimanche 21 janvier 2018 à 17h41

Trop de travail actuellement. Je fais des journées, des semaines trop chargées. Je réfléchirais à ça plus tard

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Discussion : Genre !

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bonheur

le dimanche 21 janvier 2018 à 17h39

J'ai lu sur un autre fil que se posait la question du genre. Sommes nous cis ou trans ?

Dans ma lecture actuelle, l'auteur indique que l'on est le plus souvent ambi (ambivalent)

Je trouve que ça me définirait assez bien. Je crois être ni femme (pas cis) ni homme (pas de volonté de transition complète)

Si ça peut répondre aux questions, ou aider à se définir...

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Discussion : Polyamour et infidélité (encore !)

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le samedi 20 janvier 2018 à 08h33

:-D C'est bien ce qu'il me semblait !!!

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Discussion : Donner sa juste place à une relation secondaire

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le vendredi 19 janvier 2018 à 14h08

Comme on m'avait fait remarqué que mon dico est désuet et dépassé, je m'étais abstenue de donner un sens à ce mot "pupille". Je l'avais d'ailleurs compris un peu dans le sens où bidibidi indiquait par là un écart d'âge. Je me trompait donc. Partiellement sans doute.

Le manque de communication, s'il est révélateur (ou interprété) comme un manque d'attention, ça peut devenir je crois problématique.

Malheureusement, on installe, on laisse s'installer, souvent des "habitudes" qui deviennent négatives sur le long terme. Au début, ça ne dérange pas, ni l'un, ni l'autre, et puis vient le temps où on se rend compte des incompatibilités. Ce qui auparavant ne nécessitait pas de communication devient un (ou plusieurs) sujet(s) important(s) qu'il faut aborder sinon ça deviendra négatif et chaotique.

Dans ces cas là, soit on arrive à échanger et à clarifier et à transformer en positif ; soit on obtient lettre morte et on se retrouve face à un mur de silence (sauf la promesse d'y réfléchir, parfois) ; soit on n'ose pas aborder le sujet car on a peur de le faire.

Aussi, dans une relation, le fait que nous soyons deux, avec des évolutions personnelles et s'il ne reste aucune dynamique commune...

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Discussion : Les 10 questions à ne pas poser à un.e poly (Bingo)

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bonheur

le vendredi 19 janvier 2018 à 13h52

Un repas plus tard et quelques cogitations sur ce sujet, je me dis que je préfèrerais indiquer les 10 réponses qu'autrui ne préférerait pas connaître de moi. Je vais continuer ma cogitation mais plutôt en ce sens. A prochainement donc...

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Discussion : Les 10 questions à ne pas poser à un.e poly (Bingo)

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bonheur

le vendredi 19 janvier 2018 à 13h09

Ou alors lire "les 10 plus gros mensonges sur l'amour et la vie de couple" de Yves-Alexandre Thalmann. Quelque soit nos particularités et nos évolutions, ce livre est intéressant

Si ma mémoire est bonne, c'est un livre que tu possèdes Kill (il me semble)

Message modifié par son auteur il y a 8 ans.

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Discussion : Polyamour et infidélité (encore !)

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bonheur

le vendredi 19 janvier 2018 à 08h21

LA vérité universelle je ne la connais pas, sinon je serai Dieu. MA vérité m'appartient et n'est pas plus, ni moins bonne qu'une autre. Parfois ce que l'on exprime est mal interprété. Dire ceci m'écoeure, par exemple, est une réalité pour moi. D'autres n'ont pas de problème avec ce qui m'écoeure, soit, cela n'enlève en rien mon écoeurement. Ce n'est qu'un exemple, évidemment. Le "moi je" est un langage naturel, les divergences également.

J'ai aussi, pas nécessairement avec des smileys, le sens de l'humour, par contre.

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