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Discussion : Merci

bonheur
le jeudi 26 avril 2018 à 11h41
Il existe aussi ce site très intéressant : amours.pl/
En livre : "vertus du polyamour" de Yves Alexandre Thalmann.
D'une manière générale sur l'amour : "l'intelligence du coeur" d'Isabelle Filliozat
Enfin, si tu aimes lire, évidemment :-D
Discussion : Interrogations

bonheur
le jeudi 26 avril 2018 à 11h35
Oui, j'avais été fouillé dans mes livres et je ne l'avais pas trouvé... normal il était dans mes livres électroniques. Je ne me rappelais plus avec exactitude des références.
Elle écrit sur les zèbres, mais si on est atypique autrement, on peut aussi en apprendre sur soi. Merci artichaut pour ce complément d'info.
D'ailleurs, je me sens en lien avec Néandertal (instinct, 6ème sens, ...). Maintenant que les scientifiques apprécie notre ancêtre à sa juste valeur. Il semblerait qu'il nous apporte également. Du coup, je commence à bouquiner sur ce sujet. Je pense que les découvertes vont être passionnantes.
Message modifié par son auteur il y a 7 ans.
Discussion : Interrogations

bonheur
le jeudi 26 avril 2018 à 06h21
La psychologie et les livres y référant ont évolués. Je pense que tu peux de nouveau te pencher sur ton développement personnel.
Je pense à des auteurs comme Yves-Alexandre Thalmann ; Isabelle Filliozat ; Guy Corneau ; Susanna Mc Mahon ; Jacques Salomé ; Alain Héril ; Saverio Tomasella et dans le registre du roman Laurent Gounelle
Egalement "je pense trop - comment canaliser ce mental envahissant" de Christel Petitcollin. Voici un court extrait de son introduction :
"Qui pourrait penser qu'être intelligent puisse faire souffrir et rendre malheureux ? Pourtant, c'est ce dont ils se plaignent. D'abord, ils ne se reconnaissent pas comme intelligents. Ensuite, ils disent que leur mental ne leur laisse aucun répit, même la nuit. Ils en ont marre de ces doutes, de ces questions, de cette conscience aigüe des choses, de leurs sens trop développés auxquels n'échappe aucun détail. Ils voudraient débrancher leur esprit. Mais ils souffrent surtout de se sentir différents, incompris, blessés par le monde d'aujourd'hui. C'est pourquoi ils concluent souvent : Je ne suis pas de cette planète ! Un fourmillement d'idées sans fin, chaque nouvelle idée en faisant jaillir de nouvelles. Ca va trop vite dans leur tête. Ils en bégayent pour suivre le flot ou ils se taisent, découragés devant la surabondance d'informations. Les mots sont réducteurs et ne peuvent pas restituer la finesse, la complexité de leur pensée. Ce qui leur manque le plus, ce sont des certitudes sur lesquelles s'appuyer. Un questionnement incessant rend leur système de croyance aussi instable et angoissant que des sables mouvants. Et c'est à leur propos qu'ils sont le plus critiques : Pourquoi les autres ne perçoivent-ils pas ce qui est évident pour moi ? Si c'était moi qui analysais tout de travers ? Et si j'avais tout faux ?
La sensibilité, l'émotivité et l'affectivité sont évidemment proportionnelles à l'intelligence. Ces personnes sont de véritables bouteilles de nitroglycérine. Au moindre heurt, ils explosent de colère ou de frustration, mais surtout de chagrin. Ce monde manque tellement d'amour ! Ecartelés entre un idéalisme absolu et une lucidité extrême, ces surefficients intellectuels ont le choix entre l'autisme et la révolte. C'est pourquoi ils font constamment la navette entre des rêveries voluptueuses et des constats affligeants, entre la naïveté et le désespoir. Ils désespèrent de trouver de l'aide car ils sentent bien que les bonnes volontés sont à côté du problème. Les conseils de leur entourage les enfoncent plus qu'ils ne les aident. Se poser moins de questions ? Il ne demanderaient que ça ! Mais comment faire ? Accepter l'imperfection du monde ? Impossible !"
Etre différent, il faut l'exprimer pour qu'autrui le comprenne. Pour ce faire, il faut trouver le bon vocabulaire. Pour obtenir ce vocabulaire, il faut des sources d'informations. Les livres sont là aussi pour ça, puiser dedans ce qui nous convient et également comprendre les autres dans ce qui nous convient pas. Etre différent, c'est aussi accepter la différence des autres, de nos proches. Je crois que sans un tel travail à la fois de découverte de soi, à la fois de découverte des autres, c'est mort.
La CNV (tu connais), la communication non violente, est judicieux également et permet aux hyperémotifs de se valoriser. Personnellement, j'ai lu "cessez d'être gentil, soyez vrai ! (être avec les autres en restant soi-même) de Thomas d'Ansembourg.
Doremi, si tu es un rat de bibliothèque, à tes livres :-D (+) pour ton bonheur comme celui de tes proches.
Discussion : Besoin de conseils / parler (chagrin)

bonheur
le jeudi 26 avril 2018 à 05h39
Je suis à la fois mal comprise et mal interprétée. Je préfère en rester là :-/
Discussion : Interrogations

bonheur
le mercredi 25 avril 2018 à 19h29
Doremi, j'ai lu ton post avec subjuguation.
Le portrait que tu fais de toi ma rappelle quelqu'un (moi) et cette complémentarité entre ton compagnon et toi, me rappelle un autre duo (mon mari et moi).
Comprendre que l'on peut faire des efforts ponctuellement, mais on ne peut aller constamment à l'encontre de soi. Heureusement, mon mari a désormais intégré cela. Moi non plus, je suis peu dans le "concret". Déjà sur tous mes bulletins de notes scolaires (primaire comme collège) j'étais qualifiée de "gentille mais rêveuse, devrait être plus attentive" ou "souriante mais dans la lune, manque d'attention"... J'en ai aujourd'hui découvert l'origine, plus lié à la structure de mon système intellectuel et cognitif, qu'à un manque de volonté quelconque. Et puis, ces remarques stériles (à part changer de cerveau, je ne peux pas faire grand chose à ma façon d'être) ne m'ont pas empêchée de faire ma vie. Un pied de nez inutile à toutes ces personnes qui n'ont pas su percevoir en moi des capacités autres... je renvoie l'inutile face à de l'inutile puisque ces personnes ne me liront pas (ça fait du bien à titre perso)
Alors oui, quand c'est dans tes cordes, fait des efforts, ça lui fera plaisir et par ricochet à toi également. Ne tente pas de te maintenir constamment dans des efforts, tu n'y arriveras pas et ça aura des répercussions sur ton humeur et donc sur votre climat ambiant. D'ailleurs, même quand tu fais des efforts en ayant cette volonté de bien faire... tu peux te planter. Dans mon cas, pas plus tard que pour le repas de ce midi. Un repas constitué de trois ingrédients, sauf que oups, j'ai zappé l'un d'eux. Bref !
J'ai lu depuis une dizaine d'année un grand nombre de livres sur le développement personnel. Ils m'ont été indispensable à me comprendre et à me définir. C'est primordial de "se savoir" pour exprimer qui l'on est. C'est primordial d'indiquer qui l'on est pour qu'autrui nous comprenne. Surtout si ton compagnon et toi êtes en complémentarité. Un travail d'équipe peut se faire que si chacun et chacune connait à la fois ses forces et ses faiblesse ainsi que les forces et les faiblesses de l'autre.
Avec le temps, on évolue, mais on ne change pas. Alors oui, au bout de 10 ans, de 20 ans, on est différent... mais la personne intérieure (notre cerveau, notre émotionnel, etc) conserve la même base d'atouts et de complexités. Je n'arrive pas à trouver les bons mots pour exprimer ceci. Le fait est que je suis toujours tête en l'air, je procrastine également (beaucoup), je suis toujours vive et spontanée. Je m'emporte (moins, j'ai pas mal travaillé là-dessus) facilement, etc.
Ma personnalité n'a pas vraiment changée et elle ne changera jamais. Par contre, le regard de mon mari a évolué. Si je pleure et que je n'arrive pas à parler (ça coince), inutile d'insister, de me brusquer. Au contraire, me foutre la paix et laisser décanter. Il a compris aussi que si je pleure, ce n'est pas nécessairement par tristesse ou mélancolie mais plutôt sous l'effet d'une surcharge émotionnelle confuse et intense. Donc me demander "pourquoi tu pleures ?" est stupide. Je n'ai pas une réponse claire à la question, et donc je ne peux répondre. Du coup, aujourd'hui, si je pleure, il me sert juste dans ses bras (en testant, parfois je préfère me calmer seule) et il laisse le flot de mes larmes couler. Surtout, il sait que mes larmes ne sont pas liées à lui, elles ne sont pas de son fait et ce n'est pas de sa faute si je pleure. Il sait aussi désormais que mes larmes sont à moi, que je suis une grand fille et que je les endosserais. Il est dans l'empathie, il fait preuve de présence mais n'entre pas dans la compassion ou dans cette notion "il y a un problème, on va le régler".
Je dis cela, car si tu es une hyper-émotive (mais pas fragile, c'est différent), son attitude face à la tienne doit s'ajuster. Et tu es la seule à pouvoir le guider. Si on te dit régulièrement que tu es "trop", alors tu es aussi une hyper, comme moi. Si ton cerveau ne déconnecte jamais alors que rien n'est fixe réellement, alors tu es aussi en noeud d'autoroute (ton cerveau).
Après, tes similitudes avec moi ne sont peut être pas aussi flagrante, mais voici quelques pistes éventuelles que tu peux commencer à explorer. Lorsque l'on est atypique, différent, un travail sur soi est indispensable
Discussion : [Orga] Rencontres à la Ferme

bonheur
le mercredi 25 avril 2018 à 16h31
Revoir TrioBulle :-D !!! Chouette !!!
D'ailleurs nous ne sommes pas obligées toutes les deux d'attendre un évènement. On peut se revoir avant... je suis en congés jusqu'à la fin de la semaine (+) .
Discussion : Besoin de conseils / parler (chagrin)

bonheur
le mardi 24 avril 2018 à 23h53
Acajou
Je n'ai pas dit tout prévenir, parce qu'il y a des tas de choses où je suis aventurier, j'ai dit "prévisibilité de la rupture", ça fait partie des limites pour moi.
Pour ma part, tout début à une fin et quand la vie ne met pas une fin, c'est la mort qui l'impose. Lorsque je reconnais mon amour pour quelqu'un, je ne prévois aucune fin, je n'y pense même pas. Je sais que ça pourra arriver, mais je n'en n'ai pas envie, y compris lorsque cela devient un impératif pour moi de rompre.
Peut être que toi et moi sommes extrêmement différents à ce niveau-là. J'ai tenté à une époque l'amour coûte que coûte (puisque l'on s'aime, on doit pouvoir continuer) et sincèrement c'est un coup à se ramasser à la petite cuillère, pour ceux-celles qui y arrivent. Heureusement j'ai eu cette force. A un moment donné, il faut tranché.
Je reconnais que l'un de mes ex-amoureux n'a pas compris ce qui n'allait pas alors que pourtant, j'avais vraiment eu une communication d'avant-garde et j'avais exprimer. Le hic, c'est que d'après lui tout allait bien, il ne me comprenait pas. Il y avait beaucoup de confusions dans notre relation, trop inconfortable pour moi et surtout trop instable, trop d'incohérences, trop d'éloignement et de contradictions entre le discours et l'aménagement de sa vie. Une expérience parmi d'autres...
Discussion : Besoin de conseils / parler (chagrin)

bonheur
le mardi 24 avril 2018 à 21h06
Je crois, mais là ce n'est que moi, que le fait d'avoir tout envisager avant de commencer... ce ne serait pas pour moi. Savoir comment on va évoluer et tout préciser comme si on devait avoir un mode d'emploi avec soi, je tique (en ce qui me concerne).
On peut indiquer des limites car on se connait, mais pas prévoir l'avenir et la façon dont on va ressentir la relation. Et puis, bien malin celui qui saura ce qui se passera.
Après, je comprend que l'on veuille tout savoir, mais n'est-ce pas une façon de se protéger ? (et donc de rejeter sur l'autre l'entière responsabilité de ce qui ne va pas)
Discussion : [Orga] Rencontres à la Ferme

bonheur
le mardi 24 avril 2018 à 13h44
La Bourgogne c'est assez grand... Peux tu être plus précis ?
Me joindre en mp si possible. Mes disponibilités ne sont pas au top.
Message modifié par son auteur il y a 7 ans.
Discussion : Besoin de conseils / parler (chagrin)

bonheur
le mardi 24 avril 2018 à 13h40
Celui qui n'est pas bien dans une relation l'indiquera. Je sais par expérience (enfin mon expérience) que ce n'est souvent pas écouté. L'autre minimise, traduit comme ça l'arrange et au lieu de vraiment pouvoir être dans la communication en profondeur, ben on est dans un mélange de confusions pas très enrichissantes.
J'adhère à ce qu'indique Minora, complètement... et ça me rappelle... :-(
Egalement, si j'avais indiqué dès le départ à mon mari : je suis poly, il aurait pris ses jambes à son cou. Pourtant, comme l'on se connait depuis petit, il savait que j'avais toujours été amoureuse et amoureuse. Malgré le choc de mon annonce d'être amoureuse d'un autre homme, après 18 ans de mariage, il n'a depuis jamais désiré (une fois, question simple, réponse simple : j'aimerais que tu... ; non...) me demander d'être autrement. Il me savait ainsi, mais on avait fait l'impasse, l'un comme l'autre.
Au final, avec mon mari on y croit, différemment mais ensemble.
Discussion : Besoin de conseils / parler (chagrin)

bonheur
le mardi 24 avril 2018 à 07h44
Je crois que l'on devient (ou pas) avec le temps. Trancher dès le départ, je n'y crois pas.
Il fait un choix compréhensible (sauf que mal exprimé). Moi aussi, je peux quitter du jour au lendemain (et ma décision n'a pas à être remise en question) et j'ai des difficultés dans ces cas là à exprimer les raisons. La colère et l'envie de ne plus avoir de contact prend le dessus. Ce n'est pas manqué de respect, c'est ne pas pouvoir faire autrement !
Discussion : [Le site] Les thèmes du site.
Discussion : Interrogations

bonheur
le dimanche 22 avril 2018 à 12h21
Autrement, en matière d'informations, je t'invite, ainsi que ton compagnon, à consulter le site amours.pl et à lire les trois ouvrages d'Yves-Alexandre Thalmann : "vertus du polyamour - la magie des amours plurielles" ; "les 10 plus gros mensonges sur l'amour et la vie de couple" ; "garder intact le plaisir d'être ensemble - prévenir le désamour". Egalement "Compersion : transcender la jalousie dans le polyamour" d'Hypatia From Space
Discussion : Interrogations

bonheur
le dimanche 22 avril 2018 à 12h18
Bonjour Doremi.
Perso, je trouve bien que ton compagnon se préoccupe de l'avenir et de l'équilibre de tout le monde, y compris des autres. Sur la même veine, s'il t'aime, il est le mieux placé pour comprendre que d'autres peuvent également t'aimer (bien que différemment)
En polyamour, il a raison de mettre l'accent sur cela. Il ne ramène justement pas que à sa petite personne et c'est bien.
L'amour est compliqué, contrairement aux apparences. Votre relation originelle est saine, je pense. De la communication, de la sincérité, etc...
Les insécurités : elles sont souvent de deux natures. La sexualité ET l'affect. Il semble que ton compagnon ne se sente pas insécure face à un polysexualité. Ce serait plutôt l'affect qui l'interpelle.
Pourquoi t'es tu ravisée face à l'écriture de ce courrier ?
Je n'ajoute rien à ce qu'à exprimer si justement Artichaut, en particulier sur cette phrase : "C'est fou comment les gens sont frileux dès qu'il y plus que deux personnes dans une histoire." J'ajouterai juste malheureusement. L'amour est tabou, il faut croire !
Discussion : Construire une polyfamille...

bonheur
le vendredi 20 avril 2018 à 19h09
Il me semblait bien avoir déjà abordé le sujet ici. Voici le lien :
/discussion/-brt-/D-une-tragique-necessite-d-etre-...
artichaut
Il doit bien exister quelque part un site de rencontre dédié à ce genre de recherche !
J'ai fait l'expérience. Avec Qwant, j'ai taper "coparentalité" et j'ai obtenu plusieurs résultats intéressant pour toute personne désireuse de se renseigner (également en matière de législation)
Je ne suis pas concernée. Ménopausée, stérile depuis 20 ans après 3 césariennes. J'ai contribué suffisamment à ce niveau-là et aujourd'hui mes garçons sont tous majeurs. Un seul n'est pas autonome et encore à la maison.
Discussion : Elle m'a avoué être polyamoureuse et, j'ai du mal à le vivre et à l'accepter pleinement

bonheur
le vendredi 20 avril 2018 à 17h18
Je voudrais être certaine de comprendre. Tu es une personne désireuse de devenir polyacceptante (voir polyamoureuse toi-même) car la personne que tu aimes désires vivre une situation polyamoureuse. C'est cela ?
Discussion : [Le site] Les thèmes du site.

bonheur
le vendredi 20 avril 2018 à 11h33
Du coup, à chaque nouveau membre, je me permettrai de lui demander ce qu'il a lu, et surtout assimiler, en premier. Je dois avoir un oeil pas ordinaire.
Discussion : Construire une polyfamille...

bonheur
le vendredi 20 avril 2018 à 11h30
Désolée, non. Je n'ai pas une bonne mémoire pour ça. Je conserve dans mon petit crâne que ce qui me touche ou me parle. Ca fait un moment déjà.
Dans le reportage, il n'était pas question de famille avec des parents amoureux. Il était question d'un accord sur une parentalité conjointe et souvent alternée. Les parents étaient complices et le climat se passait bien (harmonie). L'objectif étant que l'enfant ai deux éducations différentes sans que l'une contrarie l'autre. Les parents avaient aussi à coeur de passer du temps "en famille" c'est-à-dire tous ensemble. Chaque parent a sa vie de son côté (affective/sexuelle/autre). Aucun parent n'est emprisonné puisque l'enfant est avec lui à mi-temps, ce qui laisse tout le loisir de vivre en célibataire le reste du temps.
Cela repose sur une communication pertinente et valorisée des parents et aussi avec l'enfant. Il existe des sites pour mettre les futurs parents en relation. Je me rappelle de parents qui étaient très amis depuis longtemps. Ils avaient pris cette initiative sans passer par un site ou autres.
Discussion : [Lexique] être explicite (pour définir/présenter le polyamour)

bonheur
le vendredi 20 avril 2018 à 11h23
On est ici tout de même sur polyamour.info, donc informer en avant première sur "de quoi on parle" ça ma parait essentiel. Il faut comprendre que nous on vient ici par conviction, on ne vient pas ici depuis un moteur de recherche qui amène à des liens et qu'au final on arrive là où ne s'attendait peut être pas à arriver. C'est ce qui fait le charme de la toile, mais du coup, on ne se préoccupe pas d'où on est arrivé mais plus d'où on est parti. Le d'où on est parti à parfois rien à voir avec le d'où je suis arrivé, sauf que la personne qui a lancé la recherche est toujours dans sa tête à son point de départ.
Savoir où on est arrivé, ça me parait tout de même essentiel et respectueux pour tout le monde. J'appelle cela aussi avoir du tact que de ne pas laisser quelqu'un dans la confusion du point d'arrivée. C'est mieux que de constater des fils de discussion délaissés par leurs auteurs ou des clôtures de compte, tout ça parce que la personne n'était tout simplement pas à un bon point d'arrivée.