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Discussion : Témoignages de secondaires
Siestacorta
le mercredi 08 juin 2016 à 22h20
yaya
Et puis, serait il alors dangereux pour l'équilibre de l'édifice d’être la primaire de son secondaire par exemple?
De chacun selon ses moyens, à chacun selon ses besoins :-)
Discussion : Couple ouvert, communication extérieure et téléphone portable ? des experiences et 'règles' ?
Siestacorta
le samedi 04 juin 2016 à 00h45
C'est une application pratique de l'inclusivité : à quel point le quotidien est perméable au tiers, à quel point je suis légitime de demander à quelqu'un de pas répondre...
Ma réponse serait de laisser faire, dans un premier temps d'observation, ce qui vous serait spontané. Partir avec une intention bienveillante : sans dire que tout et n'importe quel comportement sera bienvenu, vous assurer mutuellement de pas vous jeter à la gorge juste après un coup de fil ou une remarque à ce propos, puis exposer après coups (de fil) ressentis et attentes. Si les choses passent bien toutes seules, très bien, si les comportements sont surprenants, c'est pas surprenant :-) : la situation est inédite, donc vous inventez au fur et à mesure ce que vous pouvez faire...
C'est aussi une occasion de ressentir les inconforts éventuels, de comprendre d'où ils viennent et d'en discuter, avec une expérience "pratique" en main.
Après, c'est clair que quelqu'un qui passe trop de temps avec un correspondant (messagerie ou tel), que ces communications prennent trop le pas sur celles que j'ai en direct, ou même sur un temps calme sans communication mais intime... ça peut être lourd. Mais "prendre trop le pas"... "trop" va beaucoup varier selon les personnes. Donc j'en reviens à l'exploration empirique de ces situations...
Quoi qu'il en soit, préférer réfléchir ouvertement à ces situations et en discuter plutôt que faire le gros dos et râler, c'est déjà pas mal !
Message modifié par son auteur il y a 9 ans.
Discussion : Couple ouvert, communication extérieure et téléphone portable ? des experiences et 'règles' ?
Siestacorta
le vendredi 03 juin 2016 à 17h48
Pesphown
> autour du téléphone portable (& ordi)?
Personne ne touche l'ordinateur de l'autre. Jamais.
Ni dans le journal d'appel du mobile.
Non, c'est pas vraiment radical. Ce sont plutôt ces objets qui contiennent radicalement beaucoup trop de choses pour qu'on y accède ou qu'on y donne accès sans en parler. L'équivalent symbolique d'un orifice du corps.
Le consentement sur ça ne peut être implicite, parce que c'est de toute façon intime.
Si la question mérite d'être posée, c'est effectivement que c'est à ce point pas anodin...
Discussion : Café Poly - Paris - 24 mai 2016
Discussion : Témoignages de secondaires
Siestacorta
le mercredi 04 mai 2016 à 00h06
En réalité, quand on parle de relation primaire et secondaire, secondaire ne veut pas dire "superflue", mais seulement qu'elle arrive deuxième, qu'on reconnait qu'il y a certaines priorités qui ne la concernent pas (enfants, domicile, en pratique, mais aussi, certains investissement affectifs).
Et ce ne sont pas les personnes qui sont considérées comme "secondaires", dans cette façon de voir, mais les relations. C'est à dire que ça demande pas de juger combien tel ou tel partenaire mérite de respect ou d'amour, mais de connaitre ce qu'on donne et prend dans la relation avec lui. Et, parfois, bien que deux ou plus de relations puissent être toutes indispensables et nécessaires, on peut reconnaitre que le changement de vie serait plus ou moins grand selon qu'on parle de terminer une relation, ou l'autre.
Ce que je trouve important, moi, dans le discours qui parle d'une hiérarchie des relations, c'est que c'est de l'honnêteté. Quelque chose qui peut être très destructeur, c'est qu'en n'avouant pas (ne s'avouant pas) une hiérarchie quand il y en a une, on crée des conditions pour que tout le monde puisse revendiquer les mêmes droits. Et quand, malgré nos promesses d'anarchies qui chantent, ces droits vont, sur la durée, plutôt à l'un qu'à l'autre, on a juste caché les contraintes... Ce qui les rend plus blessantes, par effet de surprise. Ou parce qu'un secondaire aura bien compris sa place, mais n'osera pas revendiquer certains droits, pour ne pas nous perdre.
Message modifié par son auteur il y a 10 ans.
Discussion : Amour et propriété
Siestacorta
le mardi 03 mai 2016 à 23h49
EdK
L'anarchie relationnelle est une manière de relationner selon laquelle les clauses et le fonctionnement d'une relation ne dépendent que des personnes faisant partie de celle ci sans être influencés par la norme ou toute autre intervention extérieure.
Tout est dans " intervention extérieure" : soit on considère que chaque relation est totalement extérieure par rapport à chaque autre (elles sont autonomes), soit on considère que, puisqu'on est impliqué dans chacune, on apporte à l'intérieur de la relation les autres relations qu'on entretient (puisqu'on en fait soi-même partie).
Discussion : Témoignages de secondaires
Siestacorta
le samedi 30 avril 2016 à 12h57
Primaire et secondaire riment tous deux avec nécessaire.
(bon là je tourne au mode développement personnel, donc je vais attendre que ça me passe).
Message modifié par son auteur il y a 10 ans.
Discussion : Témoignages de secondaires
Siestacorta
le vendredi 29 avril 2016 à 21h53
Dedutmed
Moi je suis une relation terminale pour presque tout le monde sur terre.
Mon manque de sécurité affective fait que je le vis très mal.
J'ai mis vachement de temps à arrêter de vouloir répondre à ça au premier degré et à me dire "ah bah oui, en fait ya une lapalissade, là..."
Discussion : Témoignages de secondaires
Siestacorta
le vendredi 29 avril 2016 à 21h23
LuLutine
Et sinon, pour ceux qui sont secondaires dans leurs relations amicales, vous le vivez comment ? :)
ça dépend du nombre d'enfants et du taux du crédit qu'on a pris ensemble...
Discussion : Témoignages de secondaires
Siestacorta
le vendredi 29 avril 2016 à 16h38
Bon, sinon, Marc... Je dois dire que personnellement, j'ai un profil polysolo, en français non-poly on pourrait dire vieux garçon (mais seulement après quelques bières parce que je suis sensible quand même).
Et dans ce mode de vie là, être le secondaire de quelqu'un de poly, ça peut beaucoup me plaire. Ca a pu me sécuriser, moi, de savoir que j'étais pas le partenaire primaire.
Superficiellement, on peut dire que ça limite les responsabilités, qu'on est là que pour le bon temps... C'est pas exact menfin admettons qu'il y ait un peu de ça, ça peut être une motivation.
D'une façon plus sérieuse, être secondaire peut me donner à moi le type d'équilibre affectif dont j'ai besoin, quand la perspective d'être partenaire primaire ou central (ou unique !!! Aaaaaah !!!!) a pu, au contraire me faire reculer au point de me priver de vie affective : à certaines époques, plutôt ne rien avoir qu'avoir plus que ce que je peux assumer.
Bon, j'ai eu la chance de tomber sur un métamour très accueillant et ouvert à la discussion, une amoureuse qui me faisait confiance aussi.
Ca marche peut-être pas à tous les coups.
Je sais, mon témoignage ne vaut qu'avec une vision assez peu passionnelle de l'amour, et peut-être que dans certaines rencontres, j'aurais des attentes plus grandes. Mais je crois qu'on peut pas plus tirer de généralités du Grand Tamour tel qu'il est souvent raconté que de ma vision plus pépère... Donc, oui, des fois, ça marche bien.
Message modifié par son auteur il y a 10 ans.
Discussion : Témoignages de secondaires
Siestacorta
le vendredi 29 avril 2016 à 16h27
Apsophos
Siestacorta, si Day of the Tentacle avait un mode multijoueur, je voudrais y jouer avec toi <3
J'en suis chavir'lyeh <3
Discussion : Témoignages de secondaires
Siestacorta
le vendredi 29 avril 2016 à 10h26
Compte toi comme un amant de Schrödinger, ça te simplifiera la vie.
Discussion : En couple monogame, mon épouse m'annonce qu'elle est devenue polyamoureuse
Siestacorta
le jeudi 28 avril 2016 à 18h08
Visiteurdumardi
@SiestacortaQuant à la question de la polygamie je n'avais pas forcément réalisé que polyamoureux impliquait nécessairement la réciprocité des pratiques de partage dans le couple.
Pas une symétrie des pratiques, mais une liberté de pratiquer (ou non) équivalente, et la même exigence pour chacun de travailler son rapport à la jalousie.
Et le partage, c'est encore autre chose (on parle pas forcément que tout le monde ait des relations en circuit, se fréquente...), c'est seulement de poser la question de la non-exclusivité comme accord.
J'ai participé à un fil qui a tourné sur le rapport au mensonge et à la vérité, et tu verras, il y a des nuances selon quel poly en parle.
Maintenant, pour parler de ton cas à toi, oui, faire le point est utile, savoir où tu en es et pas balancer ça n'importe comment en disant "maintenant tu te débrouilles avec ça".
Mais le fait que tu viennes en parler ici témoigne déjà qu'il y a une importance à l'histoire, qu'a priori elle ne sera pas sans conséquence. Et ça dure depuis longtemps ! A priori, tu sais déjà bien que tu es pas dans le superficiel...
Connaître tes sentiments est pas forcément évident (surtout si tu es obligé de les cacher, ça déforme encore ton propre regard dessus) mais la dimension "conséquente" est déjà sensible, évidente, elle. Si c'est déjà vrai, et que tu en as conscience, c'est déjà un truc qui de toute façon ne sera pas dans le flou, quoi que tu aies à dire par ailleurs lors de ton explication.
(et la révélation sera pas "je suis polyamoureux donc je peux avoir envie d'untelle", mais "j'ai rencontré quelqu'un je ressens ci, ça, ET je me demande si on pourrait pas envisager des accords polyamoureux"... et même si pour ta compagne ce sera de toute façon "la rencontre" la révélation, en soi pour toi et ce que tu demandes c'est pas pareil du tout).
Après, je te pousse pas à déclarer pour déclarer.
Si tu penses que pour ton bien et celui des autres, tu peux arrêter cette histoire, et que tu retrouveras tes marques ensuite, tu peux aussi attendre une rupture et ton "refroidissement" pour décider d'en parler ou non. Même là il peut rester un intérêt à en parler, c'est que si ça devait être découvert malgré toi sur le tard, c'est le retour du caniche dont on parlait plus haut, même si tu avais toi mis l'histoire au passé.
Message modifié par son auteur il y a 10 ans.
Discussion : En couple monogame, mon épouse m'annonce qu'elle est devenue polyamoureuse
Siestacorta
le mercredi 27 avril 2016 à 14h15
Et plus c'est tard, plus la personne qui va découvrir va pouvoir croire (à tort ou à raison) "mais alors pendant tout ce temps j'étais dans une réalité trafiquée donc je ne peux plus te faire confiance".
Un de mes leitmotiv : les mensonges sont comme les caniches, en vieillissant ça devient méchant.
Visiteurdumardi
C'est déjà un sacré pas de se dire qu'on va révéler ce secret si lourd à porter, un sacré pas de réaliser qu'on sait aimer 2 personnes à la fois, un sacré pas de savoir qu'on est prêt à l'assumer...
Et ensuite, pour être polyamoureux plutôt que polygame, il faut faire le sacré pas d'être disposé à ce que l'autre puisse aussi avoir d'autres relations.
Message modifié par son auteur il y a 10 ans.
Discussion : Polyamour platonique ?
Siestacorta
le mercredi 27 avril 2016 à 14h12
Bonjour,
elodidi
J'ai réalisé qu'avec le polyamour je ne risque jamais de souffrir comme ça car la recherche d'amour est continuel, en clair on est jamais seul ou presque, en plus si on a plusieurs amoureux on a encore plus d'affection (mon ex était peu démonstrative, ça m'a attristé) et on moins focalisé sur une personne (j'étais trop obsédé par elle ça m'a rendu con). Bref j'ai conclu qu'être polyamoureux était la meilleure façon d'être heureuse pour moi, vivre dans un tourbillon d'affection ça serait génial.
Alors, le polyamour permet d'enrichir sa vie affective, certes, mais c'est je crois illusoire d'y chercher à obtenir une quantité d'amour qui fait aller tout bien.... parce que le polyamour pas plus que l'amour ne sont faits pour combler un manque d'affection. Et que si on est mal seul, ce mal sortira aussi dans la compagnie d'autres personnes.
C'est à dire que si le manque d'affection est plus important que le fait que telle ou/et telle personne sont des personnes qui te plaisent, t'intéressent, de donnent envie de t'exposer à être vulnérable, t'ouvrent à ton propre potentiel, alors tu peux créer des relations de dépendance, et les polyaddictions sont pas plus faciles que les addictions uniques.
L'amour peut ouvrir des voies d'épanouissement, mais c'est aucunement la garantie que la/les partenaires vont répondre à nos besoins personnels. Les tourbillons d'affection ça existe, mais on s'y oublie rarement, on est juste confronté à nos besoins avec plus de force ! Et, dans le cas poly, avec plus de fréquence.
Faut savoir que le polyamour, ça peut être plusieurs histoires amoureuses, donc aussi plusieurs "ruptures" (même si le genre de rupture varie un peu plus que dans la monogamie).
elodidi
Sauf qu'en me renseignant j'ai l'impression que les polyamoureux ce sont surtout des gens qui ne sont pas satisfaits sexuellement qu'avec une personne.
Non, ça c'est faux. Ca peut arriver, mais c'est se cacher derrière son petit doigt que penser que les rencontres supplémentaires qu'on fait sont basées sur les besoins sexuels en priorité. Ils peuvent entrer dans la dynamique, comme ils entrent dans celle de beaucoup de relations affectives, mais dans le cas du polyamour, ce serait dommage de parler de relations multiples, de se prendre le choux à informer les partenaire, vérifier leur consentement à la non-exclusivité, proposer les diverses possibilités de compartimentation ou d'inclusivité (tout ça prend du temps et de l'énergie), si c'est juste pour baiser un peu plus. Il y a plusieurs moyens d'avoir plus de sexe sans faire tout ça (dont l'usage de ses propres mains).
Message modifié par son auteur il y a 10 ans.
Discussion : Charte de discussion
Discussion : Besoin de polyamour hiérachisé
Siestacorta
le lundi 18 avril 2016 à 23h32
Justine-Stras
Et ce qui revient souvent, c'est cette remise en question du polyamour hiérarchisé.
Apparemment ça ne colle pas au réel état d'esprit du polyamour.
J'avoue que je trouve aussi qu'une affirmation de "c'est pas parce qu'on reconnait une hiérarchie (dans les ressentis, dans l'engagement pratique) qu'on ne parle pas aussi de polyamour et de sentiments" manque un peu.
"LE réel état d'esprit du polyamour", ben ça m'embêterait de penser qu'il y a un dogme. Je le sens parfois, dans les échanges.
J'ai deux explications qui me viennent :
- il y a un besoin de repousser le fond hiérarchisant lié à la monogamie, donc l'argument inverse est mis en avant. Le monogame veut être le seul et l'unique "par rapport aux autres", puisqu'en réalité, même dans l'exclusivité, la comparaison ne s'arrête pas. Du coup, pour défendre l'existence des sentiments multiples, il y a simplification à dire "c'est de l'amour, à chaque fois, puisqu'on écoute les autres ressenti on les écoute à égalité".
- c'est plus facile d'écrire avec des vertus qui sonnent bien. Tu finis un texte avec des mots qui résonnent comme des trompettes de fanfare, Liberté, Égalité, Fraternité, Amour, Amitié... ça en jette un peu, et on s'enthousiasme vite à lancer ça.
Bref...
Le côté égalitaire existe, évidemment, chez pas mal poly, tu l'as bien relevé, mais je crois qu'il faut pas pour autant craindre pour sa recherche si on a ses propres fonctionnements.
Le tout c'est de pas ignorer ses tiers-aimants, ou de faire comme si ceux de l'autre comptaient pour du beurre. Donc d'en parler, de savoir qui en est où et veut quoi...
Message modifié par son auteur il y a 10 ans.
Discussion : Polyamour platonique ?
Siestacorta
le lundi 18 avril 2016 à 10h19
edk, t'inquiète, ces débats reviennent souvent ici, tu n'es pas le seul, comme tu vois, à te poser des questions sur ça. Bonne nouvelle, dans un sens, ça veut dire que tu n'es pas censé suivre une règle universelle, avec l'idée que tu serais le seul porteur d'une malédiction...
Mon approche, c'est que la limite entre l'amour et l'amitié, soit elle tient de la norme (et peut donc être discutée) soit elle est tracée de façon personnelle, intérieure (et peut donc être précisée).
Soit le polyamour, ou les façons assimilées de concevoir des relations permettent de penser une approche en dehors des normes, soit tu as tes propres repères affectifs en général.
C'est deux façon de parler de la chose, qui tout en se recoupant peuvent amener à des prises de conscience différentes.
Les critères qui peuvent décider si tu vis de l'amour ou de l'amitié sont, tels que je les vois, des points de repère. Le sexe ou son absence, l'intensité, la continuité des contacts, les perspectives, l'exclusivité, la hiérarchie... Ce sont des repères. La norme peut décider qu'ils se placent sur une carte où les frontières sont simple. La norme a tendance à zapper beaucoup de choses réelles ! La limite qu'on peut tracer soi ne s'y superpose qu'imparfaitement, et dans le cas de polyams ou assimilés, elle est ultra perméable ou mouvante.
Donc on peut avoir des repères clairs (nous avons/n'avons pas de relations sexuelles, nous nous contactons à tels rythme), mais comme il s'agit d'un paysage affectif intime, notre position d'un côté ou de l'autre de la limite dépend de ressentis personnels, les nôtres et ceux qu'expriment les personnes concernées.
Il y a donc pas mal d'amplitude possible...
Une bonne partie de "l'effort" qu'il y a à faire pour accéder à une bonne façon de vivre avec ces deux ensembles, c'est de prendre conscience de cette liberté de mouvement individuelle, l'assumer, et d'être capable de l'exprimer, pour soi. En espérant que ça rencontre quelque chose chez l'autre. Ce qui arrive plus souvent qu'on ne croit, mais demande souvent pas mal de communication (ah, fallait la placer celle-ci).
Message modifié par son auteur il y a 10 ans.
Discussion : Présentation et ressuscitation de café-poly
Siestacorta
le jeudi 07 avril 2016 à 11h13
Ca fait plaisir, oui, de voir que ça bouillonne bien.
Bienvenue. Et si tu te sens folle, on va dire que tu tombes sur le bon endroit et les bonnes personnes pour déraisonner en paix.
Discussion : Ce qu'on aimerait pouvoir dire (ou faire dire...)
Siestacorta
le mercredi 06 avril 2016 à 20h31
BobJohn
S'envoyer en l'air à droite à gauche et dire "la monogamie çay atroce, tout ça c'est ta faute et celle de la société démerde toi" c'est pas être libre, ou rebelle, ou polyamoureux, c'est juste être minable.
Ou bien c'est un retournement du sens ordinaire de la culpabilisation...