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Discussion : Témoignages de secondaires

Siestacorta
le vendredi 29 avril 2016 à 21h53
Dedutmed
Moi je suis une relation terminale pour presque tout le monde sur terre.
Mon manque de sécurité affective fait que je le vis très mal.
J'ai mis vachement de temps à arrêter de vouloir répondre à ça au premier degré et à me dire "ah bah oui, en fait ya une lapalissade, là..."
Discussion : Témoignages de secondaires

Siestacorta
le vendredi 29 avril 2016 à 21h23
LuLutine
Et sinon, pour ceux qui sont secondaires dans leurs relations amicales, vous le vivez comment ? :)
ça dépend du nombre d'enfants et du taux du crédit qu'on a pris ensemble...
Discussion : Témoignages de secondaires

Siestacorta
le vendredi 29 avril 2016 à 16h38
Bon, sinon, Marc... Je dois dire que personnellement, j'ai un profil polysolo, en français non-poly on pourrait dire vieux garçon (mais seulement après quelques bières parce que je suis sensible quand même).
Et dans ce mode de vie là, être le secondaire de quelqu'un de poly, ça peut beaucoup me plaire. Ca a pu me sécuriser, moi, de savoir que j'étais pas le partenaire primaire.
Superficiellement, on peut dire que ça limite les responsabilités, qu'on est là que pour le bon temps... C'est pas exact menfin admettons qu'il y ait un peu de ça, ça peut être une motivation.
D'une façon plus sérieuse, être secondaire peut me donner à moi le type d'équilibre affectif dont j'ai besoin, quand la perspective d'être partenaire primaire ou central (ou unique !!! Aaaaaah !!!!) a pu, au contraire me faire reculer au point de me priver de vie affective : à certaines époques, plutôt ne rien avoir qu'avoir plus que ce que je peux assumer.
Bon, j'ai eu la chance de tomber sur un métamour très accueillant et ouvert à la discussion, une amoureuse qui me faisait confiance aussi.
Ca marche peut-être pas à tous les coups.
Je sais, mon témoignage ne vaut qu'avec une vision assez peu passionnelle de l'amour, et peut-être que dans certaines rencontres, j'aurais des attentes plus grandes. Mais je crois qu'on peut pas plus tirer de généralités du Grand Tamour tel qu'il est souvent raconté que de ma vision plus pépère... Donc, oui, des fois, ça marche bien.
Message modifié par son auteur il y a 9 ans.
Discussion : Témoignages de secondaires

Siestacorta
le vendredi 29 avril 2016 à 16h27
Apsophos
Siestacorta, si Day of the Tentacle avait un mode multijoueur, je voudrais y jouer avec toi <3
J'en suis chavir'lyeh <3
Discussion : Témoignages de secondaires

Siestacorta
le vendredi 29 avril 2016 à 10h26
Compte toi comme un amant de Schrödinger, ça te simplifiera la vie.
Discussion : En couple monogame, mon épouse m'annonce qu'elle est devenue polyamoureuse

Siestacorta
le jeudi 28 avril 2016 à 18h08
Visiteurdumardi
@SiestacortaQuant à la question de la polygamie je n'avais pas forcément réalisé que polyamoureux impliquait nécessairement la réciprocité des pratiques de partage dans le couple.
Pas une symétrie des pratiques, mais une liberté de pratiquer (ou non) équivalente, et la même exigence pour chacun de travailler son rapport à la jalousie.
Et le partage, c'est encore autre chose (on parle pas forcément que tout le monde ait des relations en circuit, se fréquente...), c'est seulement de poser la question de la non-exclusivité comme accord.
J'ai participé à un fil qui a tourné sur le rapport au mensonge et à la vérité, et tu verras, il y a des nuances selon quel poly en parle.
Maintenant, pour parler de ton cas à toi, oui, faire le point est utile, savoir où tu en es et pas balancer ça n'importe comment en disant "maintenant tu te débrouilles avec ça".
Mais le fait que tu viennes en parler ici témoigne déjà qu'il y a une importance à l'histoire, qu'a priori elle ne sera pas sans conséquence. Et ça dure depuis longtemps ! A priori, tu sais déjà bien que tu es pas dans le superficiel...
Connaître tes sentiments est pas forcément évident (surtout si tu es obligé de les cacher, ça déforme encore ton propre regard dessus) mais la dimension "conséquente" est déjà sensible, évidente, elle. Si c'est déjà vrai, et que tu en as conscience, c'est déjà un truc qui de toute façon ne sera pas dans le flou, quoi que tu aies à dire par ailleurs lors de ton explication.
(et la révélation sera pas "je suis polyamoureux donc je peux avoir envie d'untelle", mais "j'ai rencontré quelqu'un je ressens ci, ça, ET je me demande si on pourrait pas envisager des accords polyamoureux"... et même si pour ta compagne ce sera de toute façon "la rencontre" la révélation, en soi pour toi et ce que tu demandes c'est pas pareil du tout).
Après, je te pousse pas à déclarer pour déclarer.
Si tu penses que pour ton bien et celui des autres, tu peux arrêter cette histoire, et que tu retrouveras tes marques ensuite, tu peux aussi attendre une rupture et ton "refroidissement" pour décider d'en parler ou non. Même là il peut rester un intérêt à en parler, c'est que si ça devait être découvert malgré toi sur le tard, c'est le retour du caniche dont on parlait plus haut, même si tu avais toi mis l'histoire au passé.
Message modifié par son auteur il y a 9 ans.
Discussion : En couple monogame, mon épouse m'annonce qu'elle est devenue polyamoureuse

Siestacorta
le mercredi 27 avril 2016 à 14h15
Et plus c'est tard, plus la personne qui va découvrir va pouvoir croire (à tort ou à raison) "mais alors pendant tout ce temps j'étais dans une réalité trafiquée donc je ne peux plus te faire confiance".
Un de mes leitmotiv : les mensonges sont comme les caniches, en vieillissant ça devient méchant.
Visiteurdumardi
C'est déjà un sacré pas de se dire qu'on va révéler ce secret si lourd à porter, un sacré pas de réaliser qu'on sait aimer 2 personnes à la fois, un sacré pas de savoir qu'on est prêt à l'assumer...
Et ensuite, pour être polyamoureux plutôt que polygame, il faut faire le sacré pas d'être disposé à ce que l'autre puisse aussi avoir d'autres relations.
Message modifié par son auteur il y a 9 ans.
Discussion : Polyamour platonique ?

Siestacorta
le mercredi 27 avril 2016 à 14h12
Bonjour,
elodidi
J'ai réalisé qu'avec le polyamour je ne risque jamais de souffrir comme ça car la recherche d'amour est continuel, en clair on est jamais seul ou presque, en plus si on a plusieurs amoureux on a encore plus d'affection (mon ex était peu démonstrative, ça m'a attristé) et on moins focalisé sur une personne (j'étais trop obsédé par elle ça m'a rendu con). Bref j'ai conclu qu'être polyamoureux était la meilleure façon d'être heureuse pour moi, vivre dans un tourbillon d'affection ça serait génial.
Alors, le polyamour permet d'enrichir sa vie affective, certes, mais c'est je crois illusoire d'y chercher à obtenir une quantité d'amour qui fait aller tout bien.... parce que le polyamour pas plus que l'amour ne sont faits pour combler un manque d'affection. Et que si on est mal seul, ce mal sortira aussi dans la compagnie d'autres personnes.
C'est à dire que si le manque d'affection est plus important que le fait que telle ou/et telle personne sont des personnes qui te plaisent, t'intéressent, de donnent envie de t'exposer à être vulnérable, t'ouvrent à ton propre potentiel, alors tu peux créer des relations de dépendance, et les polyaddictions sont pas plus faciles que les addictions uniques.
L'amour peut ouvrir des voies d'épanouissement, mais c'est aucunement la garantie que la/les partenaires vont répondre à nos besoins personnels. Les tourbillons d'affection ça existe, mais on s'y oublie rarement, on est juste confronté à nos besoins avec plus de force ! Et, dans le cas poly, avec plus de fréquence.
Faut savoir que le polyamour, ça peut être plusieurs histoires amoureuses, donc aussi plusieurs "ruptures" (même si le genre de rupture varie un peu plus que dans la monogamie).
elodidi
Sauf qu'en me renseignant j'ai l'impression que les polyamoureux ce sont surtout des gens qui ne sont pas satisfaits sexuellement qu'avec une personne.
Non, ça c'est faux. Ca peut arriver, mais c'est se cacher derrière son petit doigt que penser que les rencontres supplémentaires qu'on fait sont basées sur les besoins sexuels en priorité. Ils peuvent entrer dans la dynamique, comme ils entrent dans celle de beaucoup de relations affectives, mais dans le cas du polyamour, ce serait dommage de parler de relations multiples, de se prendre le choux à informer les partenaire, vérifier leur consentement à la non-exclusivité, proposer les diverses possibilités de compartimentation ou d'inclusivité (tout ça prend du temps et de l'énergie), si c'est juste pour baiser un peu plus. Il y a plusieurs moyens d'avoir plus de sexe sans faire tout ça (dont l'usage de ses propres mains).
Message modifié par son auteur il y a 9 ans.
Discussion : Charte de discussion
Discussion : Besoin de polyamour hiérachisé

Siestacorta
le lundi 18 avril 2016 à 23h32
Justine-Stras
Et ce qui revient souvent, c'est cette remise en question du polyamour hiérarchisé.
Apparemment ça ne colle pas au réel état d'esprit du polyamour.
J'avoue que je trouve aussi qu'une affirmation de "c'est pas parce qu'on reconnait une hiérarchie (dans les ressentis, dans l'engagement pratique) qu'on ne parle pas aussi de polyamour et de sentiments" manque un peu.
"LE réel état d'esprit du polyamour", ben ça m'embêterait de penser qu'il y a un dogme. Je le sens parfois, dans les échanges.
J'ai deux explications qui me viennent :
- il y a un besoin de repousser le fond hiérarchisant lié à la monogamie, donc l'argument inverse est mis en avant. Le monogame veut être le seul et l'unique "par rapport aux autres", puisqu'en réalité, même dans l'exclusivité, la comparaison ne s'arrête pas. Du coup, pour défendre l'existence des sentiments multiples, il y a simplification à dire "c'est de l'amour, à chaque fois, puisqu'on écoute les autres ressenti on les écoute à égalité".
- c'est plus facile d'écrire avec des vertus qui sonnent bien. Tu finis un texte avec des mots qui résonnent comme des trompettes de fanfare, Liberté, Égalité, Fraternité, Amour, Amitié... ça en jette un peu, et on s'enthousiasme vite à lancer ça.
Bref...
Le côté égalitaire existe, évidemment, chez pas mal poly, tu l'as bien relevé, mais je crois qu'il faut pas pour autant craindre pour sa recherche si on a ses propres fonctionnements.
Le tout c'est de pas ignorer ses tiers-aimants, ou de faire comme si ceux de l'autre comptaient pour du beurre. Donc d'en parler, de savoir qui en est où et veut quoi...
Message modifié par son auteur il y a 9 ans.
Discussion : Polyamour platonique ?

Siestacorta
le lundi 18 avril 2016 à 10h19
edk, t'inquiète, ces débats reviennent souvent ici, tu n'es pas le seul, comme tu vois, à te poser des questions sur ça. Bonne nouvelle, dans un sens, ça veut dire que tu n'es pas censé suivre une règle universelle, avec l'idée que tu serais le seul porteur d'une malédiction...
Mon approche, c'est que la limite entre l'amour et l'amitié, soit elle tient de la norme (et peut donc être discutée) soit elle est tracée de façon personnelle, intérieure (et peut donc être précisée).
Soit le polyamour, ou les façons assimilées de concevoir des relations permettent de penser une approche en dehors des normes, soit tu as tes propres repères affectifs en général.
C'est deux façon de parler de la chose, qui tout en se recoupant peuvent amener à des prises de conscience différentes.
Les critères qui peuvent décider si tu vis de l'amour ou de l'amitié sont, tels que je les vois, des points de repère. Le sexe ou son absence, l'intensité, la continuité des contacts, les perspectives, l'exclusivité, la hiérarchie... Ce sont des repères. La norme peut décider qu'ils se placent sur une carte où les frontières sont simple. La norme a tendance à zapper beaucoup de choses réelles ! La limite qu'on peut tracer soi ne s'y superpose qu'imparfaitement, et dans le cas de polyams ou assimilés, elle est ultra perméable ou mouvante.
Donc on peut avoir des repères clairs (nous avons/n'avons pas de relations sexuelles, nous nous contactons à tels rythme), mais comme il s'agit d'un paysage affectif intime, notre position d'un côté ou de l'autre de la limite dépend de ressentis personnels, les nôtres et ceux qu'expriment les personnes concernées.
Il y a donc pas mal d'amplitude possible...
Une bonne partie de "l'effort" qu'il y a à faire pour accéder à une bonne façon de vivre avec ces deux ensembles, c'est de prendre conscience de cette liberté de mouvement individuelle, l'assumer, et d'être capable de l'exprimer, pour soi. En espérant que ça rencontre quelque chose chez l'autre. Ce qui arrive plus souvent qu'on ne croit, mais demande souvent pas mal de communication (ah, fallait la placer celle-ci).
Message modifié par son auteur il y a 9 ans.
Discussion : Présentation et ressuscitation de café-poly

Siestacorta
le jeudi 07 avril 2016 à 11h13
Ca fait plaisir, oui, de voir que ça bouillonne bien.
Bienvenue. Et si tu te sens folle, on va dire que tu tombes sur le bon endroit et les bonnes personnes pour déraisonner en paix.
Discussion : Ce qu'on aimerait pouvoir dire (ou faire dire...)

Siestacorta
le mercredi 06 avril 2016 à 20h31
BobJohn
S'envoyer en l'air à droite à gauche et dire "la monogamie çay atroce, tout ça c'est ta faute et celle de la société démerde toi" c'est pas être libre, ou rebelle, ou polyamoureux, c'est juste être minable.
Ou bien c'est un retournement du sens ordinaire de la culpabilisation...
Discussion : Ce qu'on aimerait pouvoir dire (ou faire dire...)
Discussion : Rentrer dans une case ?

Siestacorta
le mercredi 23 mars 2016 à 20h30
bonjour, bienvenue, et merci pour ce long récit.
"ça vous fait du bien de rentrer dans une case ?"
C'est rassurant, déjà, de savoir qu'on est pas seul à ressentir quelque chose, à chercher une façon de le faire, et c'est super rassurant d'avoir un mot pour décrire ce qu'on vit. Quand on ne peut pas nommer quelque chose qui existe, on se retrouve à tenter de le faire rentrer "de force" dans des catégories qui ne conviennent pas, et comme généralement ça marche pas bien, on se rend malheureux à se dire "c'est moi qui fais pas ce qu'il faut".
Donc c'est peut-être ça qui te soulage, plutôt que d'être dans une case.
C'est peut-être aussi de savoir que la proposition polyamoureuse est éthique : on informe, on tient compte de ce que veut l'autre, on lui accorde la même liberté que celle qu'on prend... C'est pas parce qu'on ne correspond pas aux cases "classiques" qu'on est quelqu'un qui cherche à détruire toute idée de bien vivre ensemble. Le polyamour propose du positif, là où beaucoup de récits de relations non-exclusives portent un risque d'être critiqué : inégalité dans les polygamies traditionnelles, mensonge dans l'adultère, frénésie consommatrice dans l'imaginaire érotique... alors que non, le polyamour, bien sagement dit "hé, on en fait pas un drame, on fait les choses bien".
Enfin, pour relativiser, la "case polyamour" est très ouverte, c'est pas une petite case, c'est plus comme les briques de légos dont chacun peut faire un peu ce qu'il veut. Françoise Simpère parle d'ouvrir des possibles pour les amours plurielles... donc même si on a un mot, des valeurs dans lesquelles on peut se reconnaître, il s'agit pas de s'enfermer.
Message modifié par son auteur il y a 10 ans.
Discussion : Besoin de vos lumières

Siestacorta
le mardi 22 mars 2016 à 15h00
NATURE
C'est effectivement dû à une relation exclusive, possessive centrée sur mon couple. Si j'accorde du temps à l'un je ne peux être présente pour l'autre...Aussi, je n'ai pas d'autres attaches.
Est-ce qu'exprimer et vivre cette possessivité vous a rapproché ? Est-ce que ça a été bon pour la relation ?
Tu parles ailleurs de sa disponibilité et de retrouvailles, par rapport à ton répondant.
C'est à dire, en pratique, entre les retrouvailles, vous êtes éloignés comment ? Physiquement ? Combien de temps sans vous voir, entre les "retrouvailles" ?
Discussion : Besoin de vos lumières

Siestacorta
le lundi 21 mars 2016 à 19h52
NATURE
Depuis sa rencontre, il ne reste qu'une personne que nous voyons trop rarement dans l'année. En d'autres termes, on est dans notre cocon familial.
Nous nous retrouvons seuls.
(...)
Moi : Parce que je ne peux pas être une vrai amie. La relation serait à sens unique. Je ne pourrais pas prendre le téléphone des heures durant, m'absenter, la (le) recevoir pour la (le) consoler...faire les magasins pendant tout 1 après-midi...
Bonjour...
Le passage que j'ai mis en gras... je pose une question, qui peut être ou non à ta situation amoureuse. Pourquoi, cette impossibilité amicale dans ta vie sociale ?
Discussion : Présentation
Discussion : [Musique] Chansons, poèmes, divers poly

Siestacorta
le jeudi 17 mars 2016 à 14h34
Dans Elementary S4 E4, il y a plusieurs suspects poly. Dans la VF, le mot 'trouple" est prononcé (beurk avec ce mot, mais en l’occurrence, il s'agit d'un mariage, donc ça convient mieux) (mais j'aimerais bien connaitre la VO).
Ici encore (comme dans Supernatural dont je parlais plus haut), aucun jugement sur ce mode de vie : les personnages et suspects concernés sont traités exactement de la même manière que s'il s'agissait de rapports conjugaux ou sociaux classiques. La non-exclusivité ajoute seulement un rebondissement.
Je sais pas si la normalisation du poly est un travail militant ou une simple captation des mœurs par la fiction, dans les deux cas, c'est plutôt chouette, je trouve.
Message modifié par son auteur il y a 10 ans.
Discussion : L'excuse du polyamour

Siestacorta
le mardi 15 mars 2016 à 19h42
gdf
Et ce n'est pas à toi de faire toute les concessions. Règles basiques de la négociation : pas de concession sans contrepartie.
Alors,
- je sais que là on parle d'un rapport entre métamours et pas un rapport de couple... donc pas des personnes qui ont l'occasion de s'écouter souvent.
- je sais aussi qu'en réalité, il n'y a pas eu de dialogue ou de volonté déclarée de dialoguer, des deux côtés en même temps
mais dans ce post de blog, ya un chouette distinguo fait entre concessions et compromis, et qui à mon sens vaut au-delà du couple, et est encourageant pour toutes les situations conflictuelles où il faut quand même s'entendre.
Bon, je sais pas si ça sera utile dans cette situation précise, mais ça l'est souvent.
Message modifié par son auteur il y a 10 ans.