Polyamour.info

Oué !
C'est d'ailleurs motivant d'avoir des points de vue plus "éloignés", en rencontre.
On se sent plus aiguillé dire les choses.

Rosalie
Habituée de poster souvent sur le forum, je tenais simplement à vous dire que j'interviendrai moins à l'avenir. Je crois que j'ai trouvé réponse à plusieurs de mes questions et je suis prête à passer d'autres sujets de reflexion. Je voulais simplement saluer tout le monde et vous souhaiter beaucoup de bonheur.
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Rosalie

J'aurai bien aimé savoir, pour mon instruction, quelles questions ont trouvé quelles réponses, et surtout comment ça se traduit dans ta vie d'aujourd'hui ?

Hop, pour quelques minutes de fémisme très fun.

Il y a une page complète de liens pour des lieux du même genre sur la page du du petit Ney que Silence propose.

Quand au valeurs citoyennes du PA, soit on en invente pour ce genre de dossier, soit on se les reconnais.

Je me fais l'avocat du diable, pour travailler sur la question :
Une identité sexuelle (ce qu'est, pour une part, le PA) ne rend pas plus citoyen... Se faire reconnaître, prendre conscience de sa légitimité, déjà, peut-être plus.

Je vais jeter un oeil sur les lieux que tu proposes. Ils demandent tous un tel remplissage de dossier ?

Ben c'était plutôt sympa, je compte faire un petit feedback bientôt.

Très heureux de rencontrer ce que j'attendais en me disant "pourvu que personne s'énerve" (tout c'est très bien passé), et ceux que je savais pas qui c'était mais qui gagnent à être connus.

Et c'est vrai que le bubblebar c'est pas une sommité en grand confort, mais une salle ou on s'entend parler, le patron était vraiment sympa, il nous a laissé nous organiser et déplacer plein de chaises sans râler du tout, et certains on pu aller se chercher un sandwich ailleurs et revenir avec...
Un service qui me fiche la paix à ce point et des prix raisonnables, j'adowre j'adhère.

Bref... Je raconterai plus après.

Message modifié par son auteur il y a 15 ans.

elodie pq
je veux faire l'amour avec des hommes qui ont un gros zizi

Fais en un t-shirt, ça finira par marcher.

kerdekel

Bien, reprenons où nous en étions.
Donc, on disais, Bubble bar. On apporte à manger ou bien ? :) Ce serait sympa non ?

Merci pour une interprétation indulgente de mon attitude.
Ferai gaffe la prochaine fois...

La dernière fois, Guilain avait dit que le Bubble tolérait qu'on amène du casse croûte. Maintenant, c'était sur un plan organisé un peu moins à l'arrache, où on était nombreux en salle... Le mec avait peut-être pas envie de faire la police pour trop de monde.

Ca valait son propre fil, ça...

Perso je crois que c'est souhaitable de rester public.
Il y a des gens qui ne passeront que parce que justement on ne fait pas de secret, pas de patte blanche : ils se sentent moins engagés, moins effrayés.

On peut se donner les moyens de faire des évênements plus privés. Mais comme je suis un salopard, je pense sincèrement que dans tout regroupement de plus de 4 personnes, il y aura des gens que j'aurai préféré ne pas voir ce jour là.

Ce que je veux dire, c'est qu'on peut aussi "cadrer" l'évênement en définissant mieux sa portée : dire ce qu'on compte y faire, avoir un petit laïus à envoyer aux journalistes, un petit check-up des responsabilité que prend l'organisateur (oups...).

Arnaud : pourquoi on est pas à montreuil.

Les "a priori" qui m'ont fait tourner casaque sont mentionnés plus haut, ou sur l'autre fil :
- le resto ferme plus tôt qu'un bar, et comme certains aiment durer, d'autres passer en seconde partie de soirée, ce n'est pas pratique. Il est toujours possible de demander ultérieurement d'aller à ce resto, mais je pense que ça demandera de notre part d'exprimer notre attente plus précisément.
- il y a des gens ici qui ne mettent pas plus de 10 € dans une soirée. Même moins. 786 m'avait dit que le patron du resto s'attendait à un minimum de consommation de notre part. Comme on ne connaissait pas ce minimum qui aurait mis les deux parties à l'aise, j'ai préféré choisir un endroit où la question ne se posait pas du tout.

Par ailleurs, j'ai dit que je ne me sentais pas à l'aise dans le rôle de chef des G.O. Je suis désolé de ne pas être assez expérimenté pour avoir un répondant plus satisfaisant, mais je pensais que ça valait le coup de prendre les choses en mains.
Une prochaine fois, je serai ravi de ne pas être le moteur du truc, ou d'accueillir des propositions et critiques, pourvu qu'elles viennent apporter leur énergie un peu avant la veille du rv.

Pardon de n'avoir pas réagi plus tôt, je n'avais pas accès.

Quand j'ai dit à Pepito que les journalistes étaient bienvenus, c'était mon constat sur les expériences antérieures, pas une règle intégrée.
Je ne pensais pas parler au nom de tous, je m'attendais à ce que d'autres répondent en plus de mon avis, et rappellent justement que je ne suis pas plus représentatif qu'un autre.

Evidemment, j'aurai dû être plus "conditionnel", parler plus en mon nom.

Les fois où j'ai vu des journalistes au café poly, ils ont juste écouté et pris quelques contacts personnels, avec ceux qui le souhaitaient.
Ces fois-là, ça n'a pas posé de problème, c'est à dire que personne n'a dit pendant et après que ça en posait un.

Apparemment, il y a eu d'autres expériences (le 19 mars), avec les poly ou ailleurs, qui conduisent certains à plus de méfiance.

Bien.
Comme j'ai pris sur moi d'organiser un peu pour ce soir, et de répondre à Pepito en premier : s'il ne nous a pas lu jusqu'ici, je lui dirai moi-même que je n'étais aucunement délégué ou porte parole, qu'il est accueilli dans un rôle d'observation, pas de "travail avec des témoins qui sont prêt à être cités demain sur ce qu'ils disent ce soir".
On lui demandera pour qui il écrit, pour quand, comment il compte faire son papier, et de ne citer personne sous un vrai nom sauf accord personnel.
Je pense qu'il définira lui-même si ça vaut le coup pour lui de rester dans ces conditions.

Ce genre de fonctionnement est le minimum, et c'est peut-être parce que je suppose que les journalistes le pratiquent que je n'ai pas pensé à le considérer comme une condition. J'admet une erreur de jugement sur ce point.

Dit comme ça, c'est probablement imparfait, il sera bon à la prochaine occasion d'avoir défini un modus vivendi tout prêt, un accord explicite sur toute activité médiatique qui ne relève pas de l'observation.

Pour ce soir, si vous vous sentez d'exercer un plus grand contrôle, de lui attacher les mains et de lui bander les yeux, vous irez en discuter avec lui, d'acc ?
Non, je taquine.

Ceux qui sont intéressés par travailler avec le journaliste le feront (au passage, je ne le ferai pas), ceux qui ne le souhaitent pas le faire le lui diront s'il leur pose des questions.

Message modifié par son auteur il y a 15 ans.

Pour ceux qui ont pas de super pouvoir pour reconnaître les membres de sites, je pense poser des fleurs sur la table.

Oui, ça va me donner l'air très malin, menfin.

Me résumer à quelqu'un qui cherche à modifier les autres, c'est faire une simplification abusive.

Ce que je propose là, dans le sens "modifier son environnement" n'est pas en rapport avec "modifier les gens", mais les choisir, comme on choisirait des pierres pour construire une maison.

Ca je comprend très bien !
J'insistai pas sur le point pour te résumer à "j'adapte les gens à moi", mais pour faire sortir plus d'idées, des précisions. Celle que j'émets, l'animal social, celle que tu as donné ensuite, les affinités électives...

Pour ce qui est de la vie en groupe...
Moi, je ne la vivrais pas bien.
Mais au fond, je crois pas qu'elle soit nécessairement infernale. Malgré mes réticences spontanées, je serai content d'entendre parler d'expériences tentantes dans ce domaine, ou même tellement nourries d'autres critères que les miens qu'elles me donnent beaucoup de questions à poser.

Message modifié par son auteur il y a 15 ans.

La présence d'un journaliste est toujours bien acceptée !
Mais il faut avouer qu'il arrive que les témoignages soient un peu difficiles à obtenir (fuite devant le sensationnalisme "plein d'amants dans la même maison" et réticence à parler à des médias de "ma vie amoureuse : it's souvent complicated").
Cela dit, selon la forme et le sujet exact de votre travail, il peut y avoir des contacts à prendre.

Nope... Siestacorta, je sais même pas si ça existe en vrai, je l'ai piqué dans un roman.

Si on m'accompagne, j'aimerai bien aller jeter un oeil là-bas...

Ben le prochain coup, normalement, c'est dans un lieu associatif. Ce sera détendu, mais confortable je préfère pas parier dessus.

Enfin, moi je veux bien reprendre la quête du bar confortable, souple sur le temps, modulable pour l'installation, et pas cher en prix...

Polyamour.com, il n y a pas de site.

polyamour.fr et polyamou.info n'ont pas été faits par les mêmes personnes.

Polyamour.fr est plus un site de référence et de définition, tandis qu'ici, tu as plus l'aspect discussion, contact.

Parfois, on parle de polyamour.fr ici, parce que les fondateurs (dont je n'ai plus de nouvelles) étaient très intéressés par les idées de polyfamille, tryade... Nous avons encore peu de représentants de ces configurations ici.

Clementine
tout comme je trouverais bizarre de bâtir mon monde en y incluant d'éventuels extra-terrestres...

Et en cela tu as tort, misérable humaine (8E

Pourquoi pas sur tout un côté "marquer de son empreinte". C'est une voie. Ca me rappelle un peu l'admiration des auteurs romantiques pour Napoléon, le côté "un homme peut changer le monde".
Oui, je suppose que tu en demandes pas tant en proportions !

Par contre, dans "adapter l'environnement" (même si je comprend bien que l'idée que tu met en avant c'est l'attitude volontaire, et qu'en soi ça a du sens), il y a une petite confusion à pointer.
Les autres, notre environnement social ou affectif, ne sont pas de même nature que l'environnement tout court.
Ou l'homme et son environnement, c'est très différent de "un homme et son environnement affectif".
Dans le second cas, il s'agit de l'entourage, de personnes.
Adapter la nature en cultivant ses fruits, ça ne relève pas du même fonctionnement que modifier son environnement amoureux, c'est à dire modifier son entourage.

L'homme est bien un animal qui crée des outil, qui cultive et construit. Un animal de culture. Mais c'est aussi un animal social, il vit avec les autres (enfin, il essaie...), dans un échange sophistiqué de liens et de satisfactions mutuelle. Et c'est là qu'on commence à parler plus d'éthique que de taxinomie...