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Siestacorta

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Discussion : Est-ce de l'amour ?

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Siestacorta

le jeudi 18 septembre 2014 à 10h23

Jezebel
Bizarrement je n'ai plus de jalousie pour Mlle, mais je ne sais plus où j'en suis avec mes sentiments. Il me dit qu'il aime être avec moi, mais ne passe pas forcément plus de temps avec moi.

Là, tu parles de lui, ce qu'il fait et ressent, et pas de toi. Il pourrait tout faire bien et que toi tu ne l'aimes pas, ou tout faire mal et que tu sois passionnément amoureuse : ce que tu ressens, et comment se passe votre histoire, et ses réactions, ce sont des choses très différentes. Et il n'y a que ce sur ce que tu ressens que tu peux finir par trouver quelque chose dont tu es sûre.
Si tu veux savoir où toi tu en es dans tes sentiments, c'est de tes émotions et de tes attentes dont il s'agit, pas de ce que ton partenaire fait ou pas.

Donc tes sentiments, ici, soit ils sont tellement évidents que tu n'a pas besoin de les décrire pour savoir qu'ils sont amoureux (tant mieux, faut trouver ce qui te désoriente si ce n'est pas ça), soit tu n'en as pas encore parlé à ton échelle, indépendemment des évolutions et de l'actualité (qui ne sont pas la cause de tes sentiment, mais leur cadre)

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Discussion : Le polyamory est-il réservé aux ventres pleins ?

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Siestacorta

le jeudi 18 septembre 2014 à 09h11

Oui, on peut tendre vers une émancipation parce que la force de la contrainte matérielle et celle de la société ont finit ensemble par être trop oppressantes, atteindre le seuil humain où il y a un refus et parfois une révolte.

Mais ça n'annule pas totalement l'argument qui dit que pouvoir vivre sa vie selon des choix sortis des normes de l'époque est généralement plus facile quand on se tappe pas en plus des difficultés matérielles.
- un boulot épanouissant : faut avoir eu le temps de choisir, un peu d'aisance matérielles pour avoir plus de chances de trouver ce que tu aimes en plus de devoir chercher à bosser pour bouffer (vive le revenu universel, au passage)
- prendre du pouvoir dans sa propre vie est très très éxigeant si on a personne pour nous soutenir (bref, un confort affectif)

(Pour la bisexualité, les conditions me paraissent un peu différentes. La confrontation avec les normes et les attentes des autres contient aussi des éléments de dialogue. D'autant que la bisexualité peut se pratiquer dans une alternance moyenne ou longue, sans simultanéïté, du coup l'individu ne doit pas répondre en continu à deux injonctions contraires)

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Discussion : Trop c'est trop

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Siestacorta

le jeudi 18 septembre 2014 à 08h54

J'ai donc parcouru les deux fils, le premier était là.

Il y a deux thèmes, derrière "trop"
- le nombre de relation, en fait, c'est l'appétit affectif de wotan. Si lui a besoin d'être disponible pour son appétit (les relations qu'il engendre), il a moins de disponibilité (en temps à donner comme en rapidité de réaction) pour chaque relation antérieure. Qu'il y ait 3, 4 ou 12 personnes concernées : est-ce que les rythmes de wotan et de Ney peuvent se croiser assez souvent pour que la relation semble assez consistante aux deux.

- l'autre thème, c'est la façon dont on respecte une personne qu'on aime sans renier nos propres désirs. C'est la question du "sens", qui était déjà posée dans le fil d'il y a trois ans. Pour moi, c'est le sens de "principal", pas de "polyamour", qui est en cause. Vous dites que c'est une relation principale, qu'est-ce qui la rend principale ? Quand wotan prononce ce mot, c'est pour dire quoi de la relation? (j'aurais dit "primaire", moi, mais bon... )
Est-ce que c'est une mesure subjective des sentiments, une mesure du temps passé, ou est-ce que ça parle d'engagements pour un avenir commun (poly, pas forcément seulement pavillon/rôtiledimanche chez mamie/crédit/chien/couches) ?

Il y a une phrase à dissertes de philo de lycée qui dit : "choisir, c'est éliminer". On peut la continuer ainsi : ".... jusqu'à la prochaine situation de choix".
En gros, s'engager dans un certain nombre de contraintes - faire des projets communs à moyen-long terme, donner une régularité au temps passé ensemble, trouver la façon "vivable" de parler de ce qui se passe en dehors, exprimer ses élans affectif, être prêt à répondre aux questions et à offrir des moyens de rassurer - ça n'efface pas la liberté de vivre autre chose par ailleurs. Ca empêche de faire des promesses trop vagues aux unes et aux autres, mais ça n'empêche pas de faire des promesses satisfaisantes. Ca empêche de vivre dans l'impro, mais ça donne à chacun des repères ; chacun prend SA liberté de mouvement en fonction de celle des autres (tandis que si un seul utilise sa liberté de mouvement en permanence, ça oblige les autres à être figés pour que les rencontres ne soient pas totalement improbables).

Voilà, mes deux centimes sur l'histoire telle quelle.

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Discussion : Est-ce de l'amour ?

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Siestacorta

le jeudi 18 septembre 2014 à 08h19

Les changements concrets dans vos vies sont encore récents.
Et les changements de perspective dessus aussi.
Par ailleurs, tu te retrouves du coup avec plus de temps où là où tu avais l'habitude d'être accompagnée ou impliquée dans ta relation/ ton éloignement avec ton mari, tu as aujourd'hui des occasions de te poser des questions.

Donc que ça désoriente un peu ne me semble pas surprenant.
Il y a sans doute une étape que tu as intellectuellement et sentimentalement franchie, mais une partie de toi et ses émotions sont restées un peu en arrière ; un peu comme dans certains deuils, on s'attend à ce que la personne apparaissent dans notre quotidien comme avant, même si on sait qu'elle est plus là et qu'on a déjà commencé à faire différemment.

(bon bien sûr, ce qui est prévu restre prévu, j'en remet pas une couche....)

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Discussion : Pour vous quelqu'un de sexy ressemble à quoi ?

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Siestacorta

le mercredi 17 septembre 2014 à 22h33

Et puis au moins, ma main droite, elle sait ce que j'aime.
(désolé...)

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Discussion : Pour vous quelqu'un de sexy ressemble à quoi ?

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Siestacorta

le mercredi 17 septembre 2014 à 22h01

Dieu
Pour moi, quelqu'un de sexy ressemble à quoi ?
- Pour les hommes : à moi évidemment ^^

Je relève l'autoérotisme torride de cette réponse :-)

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Discussion : Désir ou amour ?

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Siestacorta

le mercredi 17 septembre 2014 à 21h58

Omalai
Pourquoi serait il nécessaire que vous me connaissiez ou bien connaissiez mon histoire pour répondre à cette question simple.

Un développement de la question ou du contexte n'était effectivement pas nécessaire ; pas plus, pas moins que celui de la réponse.

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Discussion : Désir ou amour ?

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Siestacorta

le mercredi 17 septembre 2014 à 21h39

Oui et j'ai même multiédité ma non-réponse.

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Discussion : Désir ou amour ?

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Siestacorta

le mercredi 17 septembre 2014 à 21h28

C'est une question fermée (on peut y répondre complètement avec un oui ou un non), et j'ai besoin de plus de grains pour commencer à moudre quelque chose.

Qui est "vous" dans la question ?
Chacun, en pensant que l'explication des réponses varie forcément, ou ça s'addresse à la communauté du forum, dont il serait attendu qu'elle ait une seule opinion ?

Par ailleurs, sachant que beaucoup de gens répondront "oui", le questionneur qui ne donne pas de détail peut, par contraste avoir l'air de douter que moi ou nous" sachions faire la différence.
" Est-ce que vous rencontrez des vrais gens, des fois ?" , venant de quelqu'un que je connais pas du tout, s'adressant à des gens qui se sont déjà exposés largement, ça donnerait un peu pareil le sentiment que mon interlocuteur exprime un doute - sans risquer d'exposer avant moi son propre cheminement ; et dans ce cas, j'aimerai en savoir plus dessus avant de pouvoir fournir autre chose que de quoi nourrir un préjugé.

Enfin, quelle que soit par ailleurs la façon dont ils pensent qu'amour et désir sont liés, on peut attendre que les gens s'exposent un peu dans cette réponse.
Que la question suppose que les polyamoureux s'ouvrent pour quelqu'un qui de son côté, reste " à couvert"- en n'étant pas inscrit et en ne donnant ni contexte ni réponse perso à sa propre question - ça me pousse contrepodaliquement à montrer que j'attends un peu plus du questionneur, ou au moins un peu moins de binaire dans la façon de poser la question.

D'où le côté laconique de ma réponse spontanée : tendre un miroir vers ce qui manque dans la question en faisant manquer beaucoup dans la réponse.

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Discussion : Désir ou amour ?

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Siestacorta

le mercredi 17 septembre 2014 à 20h23

Omalai
Faites vous la différence entre le désir et l'amour ?

Oui.

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Discussion : Un jeu de dettes et de contre-dettes ?

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Siestacorta

le mardi 16 septembre 2014 à 13h25

Pour moi, amour inconditionnel, c'est les conditions que je ne donne pas au déroulement de la relation. Il y a en revanche des conditions de naissances, même en dehors de celles dont je crois décider.

Sinon, "amour inconditionnel", ça serait un peu de l'omniamour : j'aime sans conditions pré-requises, donc j'aime tout le monde et n'importe qui. Dont ceux qui m'ont rien demandé.
C'est pas du tout mon caractère, et ce le serait, je pense que ça encombrerait pas mal de gens. Même ceux qui se revendiqueraient d'une immense ouverture aux rencontres pourraient trouver que déterminer qu'ils vont m'aimer n'est pas de mon ressort.

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Discussion : Un jeu de dettes et de contre-dettes ?

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Siestacorta

le mardi 16 septembre 2014 à 13h18

J'espère rencontrer une semblable, pas un double !

Disons que dans le cadre de la multiplicité, oui, rencontrer des gens très différents est plus intéressant.

Là, c'est seulement des croyances que j'ai à partir de ma façon de vivre. En pratiques, mes amoureuses ont rarement été ces semblables...
La recherche d'inconditionnel et d'absolu est à mon avis autant un piège que la recherche de complémentarité : dans les deux cas, on attend que la relation amoureuse (le plus souvent, le couple) soit une entité qui nous dépasse, ou une transcendance floue, pas "seulement" une situation épanouissante. Hors, pour moi, un cadre qui favorise ce bien-être, c'est déjà beaucoup, je crains beaucoup un Hâmour qui serait comme un destin, ou une loi, ou un phénomène qui dépasserait les gens. Attendre d'un concept des élans et des forces dont je serais plus l'objet que le sujet.... Ne pas reconnaître que ce que je ressens pour les gens est issu de mes désirs et de mes limites (ou de ce que je pense de celles-ci).

Chercher une semblable, pour moi, c'est un genre de perspective modeste. C'est pas que je me trouve si génial que je veux un peu plus de moi ! C'est que je veux pas que la confiance que j'ai en la relation n'ait comme références communes que des concepts dépersonnalisés comme l'amour romantique, le sentiment amoureux... dont le contenu varie tellement selon l'individu qui les vit.

Ceci dit, je parle d'une similarité d'échelle des valeurs, plutôt que d'une similarité affective ou psychologique.
Enfin, de nouveau, le polyamour est l'occasion bien sûr de sortir de mes critères idiosyncra-truc. Avoir plusieurs amoureuses de caractère et de goût semblable, ça serait parfois rigolo, mais aussi un peu flippant, et facilement lassant. Et comme je suis un indécrottable individualiste, ça serait un groupe assez dysfonctionnel, à terme.

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Discussion : La disponibilité dans les relations poly

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Siestacorta

le mardi 16 septembre 2014 à 00h39

Sauge21

La où je suis moins d'accord avec toi, c'est sur le fait que les enfants ne cherchent pas à recomposer un "binôme parental" ... je crois que c'est assez complexe car l'enfant s'adapte intuitivement à son parent (peut-être encore plus s'il est solo) et à son inconscient ... genre : "si maman cherche un co-parent alors c'est qu'il en faut un et je le cherche aussi" ...

Je généralise peut-être à partir de la situation où le papa ne disparait pas de la circulation et maintient son rôle parental - c'est de là que je partais, et j'ai cru comprendre que c'était le cas pour Strega (il y a conflit mais aussi dialogue apparemment).
Bien sûr que des enfants peuvent chercher à adopter des nouveaux entrants quand le parent donne lui-même l'impression que la place est à prendre. Et encore, peut-être qu'il ne faut pas surestimer ce mouvement d'affection, et pas estimer son risque de déception en équivalence avec le notre. Ni craindre que l'enfant ait une mauvaise image de nous, qui serait un reflet de nos culpabilités.
Je crois que même là, les mesures "de protection" du parent déterminent l'attente de l'enfant beaucoup plus que la situation réelle (papa/maman rencontre des gens). Si la monoparentalité est accompagnée de tristesse, de manque, de crainte amoureuses, ou de difficultés à parler d'un parent manquant, oui, il y a de plus grand risque que l'enfant projette sur un tiers avec intensité (même avant qu'il se présente). Et c'est pas un mal, dans un sens, ça voudrait aussi dire que l'enfant serait prêt à ce que le cadre change.

S'il y a une confiance reconstruite, l'enfant bien sûr a toujours regard, un jugement, des attentes, pourra projeter ; mais ce sera moins "l'ombre" du manque de son parent. Et ce sera, je pense ? d'autant moins à fleur de peau pour l'enfant que ça ne l'est pas pour son parent.

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Discussion : Vos pseudonymes !

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Siestacorta

le mardi 16 septembre 2014 à 00h24

T'inquiète, HS c'est pas grave, pour moi en tout cas, ici. Ca veut juste dire que je donne une occasion aux gens qui veulent suivre le fil du sujet pour qu'ils puissent sauter le paragraphe.
(par contre des poils irisés, faudra que je voie ça un jour. Quand un chat fait ça, il devient couleur arc-en-ciel ?)

bodhicitta
Et je pense qu'on peut arriver à maintenir cette embiance jusqu'au point ou ça nous aide d’avantage p t etre à assumer avec des gens pas inconnus famille, voisins, amis etc et donc aussi pourquoi pas au point de ne pas avoir de pseudo...

J'ai rien contre la confiance par la familiarité comme apprentissage.

Je crois qu'il ya déjà plein de gens pour qui écrire en ligne, même sous pseudo, est déjà trop impudique... Donc beaucoup d'autres, s'ils écrivent, souhaitent ne pas passer directement de la non-publication d'info à la transparence. Mais quand on est pris dans le feu d'une discussion, on finit par dire des trucs personnels. Parfois plus que ce qu'on est capable d'assumer le reste du temps.
Moi aussi je trouve ça bien d'apprendre le courage dans un cadre de connivence semi-anonyme, pour pouvoir ensuite avoir les mots pour parler publiquement (j'ai tenu un blog "extime" pas mal de temps, je fais assez bien le tri entre ce que je suis prêt à assumer publiquement et ce que je ne souhaite pas dire à des inconnus, ni même/encore moins à des proches).

Je pense simplement que tout le monde n'a pas ce rapport à l'intime et à la confidence, et je le comprend.
D'autant plus dans le cadre parfois endogame du polyamour affiché online...

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Discussion : Un jeu de dettes et de contre-dettes ?

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Siestacorta

le lundi 15 septembre 2014 à 19h22

Sur le groupe FB le lien est passé aussi. Une commentatrice faisait observer que l'article portait sur l'ensemble des amours multiples : libertinage, échangisme, adultère... Donc la logique un peu comptable de l'équilibre est inadaptée pour certains engagement polyamoureux.

Même s'il faut bien avouer que lorsqu'on est fraichement arrivé du cadre mono, ou un cadre restrictif de l'échangisme, passer à un mode de confiance gratuite est difficile. Abandonner l'illusion de sécurité que confère l'exclusivité est éprouvant pour beaucoup.

Par ailleurs, ça correspond un peu à une idée que j'ai du sentiment amoureux : un effet de miroir narcissique. On reconnait dans l'émotion de l'autre sa propre émotion, c'est une cristallisation de ce regard mutuel qui fonderait l'identité de la relation (du couple). Du coup, l’arrivée d'un troisième est un reflet qu'on ne reconnait pas, qui casse ce mythe et ce miroir. C'est pour ça que j'insiste souvent sur aimer l'autre pour lui-même, pas pour l'effet qu'il nous fait.
Pas facile... c'est aussi pour ça que je préfère rencontrer une semblable plutôt que quelqu'un de trop différent de moi. Ca conserve l'effet miroir sans contraindre à un mimétisme affectif que l'un ou l'autre finit par ne pas tenir.

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Discussion : La disponibilité dans les relations poly

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Siestacorta

le lundi 15 septembre 2014 à 16h29

On peut ne pas vouloir s'exposer soi à trop de cahots pour ne pas soi-même être plus "néfaste" pour l'enfant ; ne pas risquer, sous l'effet de nos émotions d'adulte, d'avoir des comportements qui seraient moins justes pour lui que ceux qu'on aurait sans ça.

Maintenant, faut pas perdre de vue l'inverse : un enfant qui te voit bien, il est content pour toi, il s'en contrefiche si c'est grâce à des passades. Il attend pas un père supplémentaire, il cherche pas à constituer une famille à chaque fois qu'il croise quelqu'un avec qui t'es bien, et il va pas te juger s'il revoit plus le copain du mois dernier.
Si tu crains d'être triste ou fragilisée à cause d'amants pue engagés, t'as raison d'être prudente, mais si tu crains que les petit changements prennent trop de place, tu peux peut-être te tranquilliser en te contentant de choisir des amants pas trop cons.

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Discussion : La disponibilité dans les relations poly

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Siestacorta

le lundi 15 septembre 2014 à 14h51

Strega
Et pourtant, j'ai adopté cette position de refus assez forte, je ne sais même pas pourquoi.

Le "pourtant" me semble presque de trop !
Pour moi, c'est logique qu'après avoir été placée dans l'obligation d'une autonomie tu la revendiques pour plus être piégée dans une attente de solidarité qui risquerait de te décevoir.

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Discussion : Vos pseudonymes !

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Siestacorta

le lundi 15 septembre 2014 à 14h38

(HS <=> magenta)
Oui, l'argument des courses de moto est parlant.
Ceci dit, déjà, pour le polyamour, on est plus tout à fait dans ce domaine facilement présentable en public.
Par contre, je pense que même en parlant d'un sujet anodin, ya moyen de tomber dans un sentiment de familiarité avec des interlocuteurs. Et cette ambiance nous pousse à dire des trucs, en contenu et en forme, plus personnels que ce qu'on serait prêt à assumer face à des inconnus...

(fin HS)

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Discussion : Polyamour oui mais comment faire pour ne pas se comparer à l'amant

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Siestacorta

le vendredi 12 septembre 2014 à 01h11

Un club de solitaires ? Huhuhu :-D On ne s'y réunira que les soirs d'obscure clarté...

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Discussion : Le polyamory est-il réservé aux ventres pleins ?

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Siestacorta

le vendredi 12 septembre 2014 à 01h03

LuLutine
Je suis très heureuse moi, donc j'ai tout ce que je veux - parce que sinon je serais malheureuse

Je prend le raisonnement au pied de la lettre, ou bien... ? :-)

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