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La sexualité avec un A

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oO0

le samedi 05 novembre 2011 à 14h04

Pas mature ? Je ne sais pas, l'adolescence de chaque personne est différente. Je ne raconte en fait pas la mienne, qui est dans l'entre deux du désintérêt dont tu parles et l'effervescence dont je parle qui était palpable autour de moi. Au début, cela m'embarrassait plus qu'autre chose et je laissais tout cela de côté tout en m'y penchant de temps à autre. Je ne suis rentré dans "la ronde" que tardivement dans mon adolescence et ne me suis jeté à l'eau qu'après, adulescent.

Être précoce n'est pas nécessairement un signe de maturité et je pense que tu m'as mal compris à ce sujet. Pouvoir s'en passer me semble être une étape de maturation, certes, déstabilisante, mais non moins gage d'indépendance. Chaque personne mature probablement par des entrées en matière différente. Pour ma part, ce que j'ai remarqué de déstabilisant dans le fait de pouvoir s'en passer, c'est que les rapports entre affection et action s'inversait. L'affection ne poussait plus à l'action, mais comme disposition à l'interaction et accompagnait l'interaction à condition d'agir. Pouvoir s'en passer signifie que cela passe davantage par soi. Cependant, ce qu'il y a de déstabilisant, c'est une impression de manque de naturel dès lors que le désir se manifeste davantage dans l'activité que dans la passivité. Reste que l'interpréter comme un manque de naturel me semble passer à côté du fait qu'il peut s'agir d'une autre forme d'accord entre l'affection et l'action : ne rien faire s'accompagnant naturellement de ne rien ressentir. Alors qu'avant, ne rien ressentir signifiait ne rien faire, cela est perturbant. Ce n'est plus se mouvoir de s'émouvoir, mais s'émouvoir de se mouvoir, ce qui donne l'impression de créer l'émotion... mais la considérer pour autant inauthentique signifierait condamner toutes les formes d'arts qui créent de l'émotion à l'inauthenticité. Bref, ce problème dans ta tête peut-être un conflit d'authenticité, mais il peut être tout autre.

Par exemple, en ce qui me concerne, à l'adolescence, j'étais plus travaillé par la question de l'attrait de la beauté et de son caractère arbitraire ainsi que, surtout, la place la personne dans tout cela. Aujourd'hui encore, l'apparence d'une personne et la personne me semble reposer sur un fondement arbitraire semblable au rapport entre le signe et le signifié, soit d'un arbitraire qui ne dépend d'aucune décision de la personne, mais de l'aléa de la réalité qui s'impose à sa liberté sans aucune justification, semblablement à une décision arbitraire sauf qu'il n'y a pas de décision, juste de l'arbitraire. Bref, ce que j'essaie, ici, de suggérer, c'est que l'attirance dite sexuelle sensée caractérisée l'adolescence, n'étant pas nécessairement de l'ordre de la sexualité proprement dite, peut être autre qu'un conflit d'authenticité, de l'ordre de la beauté ou encore, de l'intersubjectivité. Où est la place de l'autre lorsque la beauté qu'il/elle n'a pas choisie d'avoir ou de ne pas avoir, n'en joue pas moins un rôle important dans l'attraction de l'attention sur sa personne ?

J'espère, ici, t'avoir suggéré que l'adolescence ne se caractérise pas nécessairement par la découverte de l'activité sexuelle proprement dite, mais qu'elle implique simplement des sujets qui ont directement ou indirectement des rapports avec. Et je suis loin d'être exhaustif en la matière qui ne se limite pas à l'adolescence, ce qui ne m'empêche pas d'avoir l'impression que ce que tu considères être un problème dans ta tête cache probablement une solution toute faite à un autre problème : pouvoir s'en passer ne me semble pas être négatif, au contraire, et l'inverse aussi. Tout dépend la manière de la manière de l'aborder, explorer ce que cela rend possible plutôt que de s'arrêter à ce que cela rend impossible.

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Alygator427

le dimanche 06 novembre 2011 à 10h31

Je comprends. Merci RIP

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Junon

le lundi 07 novembre 2011 à 22h25

Développer?
Avec plaisir...
Pour ma part, j'adore la séduction...mais elle passe souvent par une vraie complicité intellectuelle, des échanges drôles ou passionnés sur un sujet ou l'autre, une vraie capacité d'auto dérision, un sourire qui en dit long bref quelque chose qui m'en dise beaucoup sur quelqu'un...le mystère m'emmerde profondément.
Il est très rarement arrivé que je fasse l'amour avec un/une inconnu(e) et jamais que je ne garde aucun lien avec un partenaire. Pourquoi? Parce que ce qui m'excite, moi, c'est de partager quelque chose, même si c'est uniquement sexuel/physique, s'il n'y aucune résonance avec l'autre, je resterai aride...
Récemment, j'ai partagé un vrai moment d'intimité sexuelle avec un ami, parce que nous partagions le même fantasme. Ce n'était pas formidable, sur le plan du sexe pur mais ça reste un moment précieux par sa chaleur et la complicité, le respect que nous partagions.
Alors le sexe avec des amis/amies, oui, mille fois oui!

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LuLutine

le lundi 07 novembre 2011 à 22h30

Pour ma part, je ne peux pas avoir de relation amoureuse et/ou physique avec quelqu'un en qui je n'ai pas confiance.
De plus, je ne peux pas (ou alors très rarement) faire confiance à quelqu'un que je ne connais pas beaucoup.

Or par définition, quand je connais bien quelqu'un, soit je ne l'apprécie pas et je ne risque pas d'avoir confiance en lui, soit c'est un ami et je lui fais confiance. Dans ce dernier cas, mes sentiments peuvent évoluer (mais ce n'est pas automatique, ça ne se contrôle pas).

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clairobscure (invité)

le mardi 08 novembre 2011 à 19h08

Ben contrairement à Junon et Lulutine, je conçois tout à fait qu'on ait beaucoup de plaisir à partager des parties de jambes en l'air avec quelqu'un pour qui on n'a ni amour, ni amitié profonde, ni même confiance (enfin, faut au moins que je m'assure qu'il va pas aller en parler à tout le monde ou je ne sais quel comportement qui ne respecterait pas mon intimité, etc., donc un accord minimum, donc de confiance, s'impose, certes...).
Mais c'est évidemment très différent d'une relation amoureuse, même s'il y a l'envie de partager des choses ensemble, avec cette personne spécifiquement et pas avec une autre, parce qu'elle est ce qu'elle est, etc.

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LuLutine

le mardi 08 novembre 2011 à 19h44

@clairobscure : au final tu es d'accord avec moi...c'est juste que le niveau de confiance dont j'ai besoin est peut-être supérieur à celui dont tu as besoin. Et lorsque j'arrive à ce niveau de confiance, en général je considère la personne comme "amie". Mais, ce n'est pas systématique. Je suis déjà tombée amoureuse de personnes que je connaissais peu, et du coup je leur ai fait intuitivement confiance (il m'est aussi arrivé d'être attirée par quelqu'un et de ne pas lui faire confiance, dans ce cas je garde mes distances).
Enfin je conçois tout-à-fait le sexe sans amour, ça me semblait assez clair dans mon message ("relation amoureuse et/ou physique").
Mais là encore, bien sûr, il me faut un niveau minimum de confiance.

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Mysterhill

le mercredi 09 novembre 2011 à 03h53

Alygator427, Rip, c'est vrai qu'à travers l'art, la musique , et même la cuisine pour certains, on peut éprouver de belles émotions. Cette idée d'adolescence m'a frappé moi aussi, personnellement je la retrouve à un moment particulier : quand je tombe amoureux, les premiers instants, les premiers rendez vous. Va t-elle venir ? Comment sera t-elle ? C'est incroyable la force avec laquelle le coeur peut battre dans ces moments, ce mélange d'émotions et de sensations physiques. Et je trouve dommage d'y renoncer. Je citerai aussi

Junon
j'ai partagé un vrai moment d'intimité sexuelle avec un ami, parce que nous partagions le même fantasme. Ce n'était pas formidable, sur le plan du sexe pur mais ça reste un moment précieux par sa chaleur et la complicité, le respect que nous partagions.
Alors le sexe avec des amis/amies, oui, mille fois oui !

Même si je partage cette idée :

Clairobscure
je conçois tout à fait qu'on ait beaucoup de plaisir à partager des parties de jambes en l'air avec quelqu'un pour qui on n'a ni amour, ni amitié profonde, ni même confiance

Je trouve qu'il y a dans le contact des peaux, quelque chose de magique, lié à la conjonction des sentiments et de leur comptabilités. Elles se frôlent, se touchent, se reconnaissent, ce n'est pas forcement sexuel, juste un massage, une caresse, les mains qui restent en contact, s'entrecroisent, sentir la respiration de l'autre...

Le fait d'être passé à l'acte permet cet échange sans ambiguité :-).
C'est certainement possible sans mais je ne connais pas de cas.

Et enfin, avec un gros soupir, je suis de cet avis :

Lulutine
Ça ne se contrôle pas

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Junon

le mercredi 09 novembre 2011 à 10h39

Clairobscure, attention, je n'ai pas dit que je ne pouvais pas faire l'amour sans qu'il y ait amour et/ou amitié. C'est tout à fait faisable pour moi mais je dois le dire, moins jouissif...je crois que le plaisir pour moi se trouve dans la répétition et donc, forcément, les one shots, ce n'est pas vraiment mon truc ;)

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clairobscure (invité)

le mercredi 09 novembre 2011 à 13h29

hihi, je sais qu'on est d'accord ;) je précisais juste parce que vos posts semblaient dire "sexe=confiance=amitié(ou+)".
Comme dit mysterhill, finalement qu'il y ait sexe ou pas, récidive ou pas, c'est un moment magique qui peut se manifester indépendamment des sentiments, et qui d'ailleurs souvent les crée...

Et pour revenir à l'origine du fil, la question était justement "pourquoi ça ne se manifeste pas chez moi alors que j'aimerais tellement c'est beau! c'est grave docteur?" ^^

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oO0

le mercredi 09 novembre 2011 à 23h49

J'arrive pas à faire simple !

Je voulais mettre en jeu l'anonymat des pulsions libidinales, l'étrangeté qu'elle constitue par rapport à soi. Étrangeté où, malgré tout, parmi le chaos de probabilité toutes plus invraisemblables et incongrues de relations possibles, occasionnellement, il en est certaines où nous nous reconnaissons dans ce bordel avec un certain plaisir, sinon un plaisir certain à notre grande confusion. Et si, à ce moment, notre vie pulsionnelle ne nous semble plus étrangère, il y a la peur d'être associé au bordel dans laquelle nous l'avons reconnue.

J'utilise le nous, mais cela n'engage que moi. Reste que cela me vient en nous plutôt qu'en je et que, mis à part le fait que cela n'engage que moi, le nous me plaît. Il m'évoque une sorte d'anonymat que je me plais à imaginer que nous partageons tous, cette part de fantasmes qui appartient davantage aux possibles que suggère la réalité à laquelle nous appartenons qu'elle n'en dit sur chacun de nous. Précisément cette part qui fait dire aux psychologues pour qui l'inconscient est la seule vérité du désir que nous sommes tous des pervers polymorphes comme si tous les efforts que nous faisions à prendre conscience les uns des autres n'avaient aucun sens et que, plutôt que d'être source de liberté, la conscience n'était qu'une censure. Reste que, là où je les rejoins, c'est qu'il me semble effectivement qu'une part de la vie affective s'enracine dans ce bordel des possibles qui offre autant le meilleur que le pire et, c'est relativement gênant, d'autant plus gênant de s'y sentir réduit comme s'il s'agissait d'une vérité à laquelle il faudrait se soumettre. Y penser malgré soi ne signifie pas le désirer...

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oO0

le mercredi 09 novembre 2011 à 23h55

... voilà, je sais pas quoi en faire, mais j'ai l'impression que cela a sa place, ici. Pourquoi, je ne sais pas et je n'ai qu'un exemple en tête qui me permette de faire court. Les réflexes homophobes dans les amitiés hommes résultent souvent de ce bordel qui anime l'esprit, ce bordel qui suggère tout et n'importe quoi, sans se rendre compte que pour certains, ce n'est pas n'importe quoi. Voilà, je sors un grand cliché des amitiés dites viriles, mais c'est pour rejoindre le sujet de l'amitié qui vient d'émerger tout en suggérant une raison possible de malaise : ce bordel anonyme des pulsions libidinales, comme une empreinte de tout ce que l'humanité a pu produire comme comportement sexuels, y compris ses multiples perversités. Même si elles suscitent rarement le désir, elle n'en laisse pas moins indifférent et son redoutées autant qu'elles créent le doute.

Là, la possibilité de la sexualité dans l'amitié ressemble, ici, à l'homosexualité dans les amitiés dites viriles. Ne sachant comme faire court, je me limite à la comparaison.

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Mysterhill

le dimanche 13 novembre 2011 à 13h32

Au fil du fil, nous avons bien avancé, meme si la question initiale demeure :

clairobscure
Et pour revenir à l'origine du fil, la question était justement "pourquoi ça ne se manifeste pas chez moi alors que j'aimerais tellement c'est beau ! c'est grave docteur?" ^^

RIP a tenté une explication autour d'un sentiment ambigue amitié homosexualit. je suis assez d'accord avec cette sensation curieuse de ressentir parfois des sentiments inavouables, qui me surprennent même, a postériori. je vous livre une autre explication, complementaire : quand je me sens bien avec une amie, même si j'eprouve une attirance physique, bien souvent je la reprime : peur de tout gacher, qu'elle ne soit pas reciproque. et à l'opposé , il m'arrive d'avoir une attirance physique pour des personnes avec qui j'eprouve une certaine sympathie mais qui me posent probleme en terme de valeur, d'idees que nous ne partageons pas .. Quel B... Comme le dit RIP.

Clairobscure, Je dirais donc que, ce n'est pas grave, c'est juste qu'il est difficile de rencontrer des personnes compatibles, et quand on a cette chance, cela devient encore plus difficile
:-)

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clairobscure (invité)

le dimanche 13 novembre 2011 à 22h24

hihi! je sais pas si c'est encourageant alors, vu comme ça... ^^

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oO0

le lundi 14 novembre 2011 à 00h08

Salut Misterhill, j'avais peur que tu ne m'aies pas compris, mais je pense que tu m'as plus ou moins compris. Il s'agit d'une part de l'activité de notre pensée qui n'est pas vraiment représentative de qui nous sommes et qui, en matière d'intimité, peut être plutôt dérangeante. Pas plus que la réalité, notre imagination ne correspond à nos aspirations, surtout lorsqu'elle se lance dans l'exploration de tous les possibles bien malgré soi.

Encourageant, je ne sais pas, mais cela a un côté bordélique qui peut être sujet à rire, en tous cas à ne pas prendre au sérieux. "That's a messy mess." Quelque part, il s'agit d'une sorte de bruit, semblable à celui du trafic, de la vie environnante. Pas plus que notre environnement sonore, la pensée n'a lieu en studio d'enregistrement permettant de choisir tout ce qui sera "on record". La vie affective et la pensée s'accompagnent de "bruits parasitaires" qui, lorsqu'ils sont trop important peuvent constituer un blocage. Voilà, par métaphore, ce que j'essaie d'exprimer.

Le bruit en question, ce peut être cette part de soi qui ne peut s'empêcher de se "calculer" les uns les autres, soit d'y penser avec un peu n'importe qui. Cela donne lieu à de multiples mésinterprétation, y penser ne signifie pas le vouloir. Je m'en suis personnellement accommodé comme une possibilité d'apprécier le charme des personnes, une sorte de joyeux bordel naïf et primitif qui prend tout au premier degré. L'immédiateté du désir voudrait qu'il soit satisfait dans l'immédiat, mais une telle satisfaction ne se peut le plus souvent que dans le fait de reconnaître que la personne qui le suscite est désirable, a du charme : "(S)He got something !" - ce que j'appelle une certaine distance esthétique.

Il n'y a jusqu'ici qu'un seul ouvrage que j'ai lu qui m'a laissé l'impression de transformer ce bruit en semblable mélodie :

Florence ENHUEL, Le beau sexe des hommes

Le féminin est souvent dit "le beau sexe" et même si sa tentative de semblable éloge du masculin ne m'a pas convaincu, par contre, j'y ai trouvé ce que j'appellerais un réel travail esthétique sur le désir, une manière de l'apprécier sans le vouloir et qui ressort davantage de la disponibilité que de la volonté. Rien de clair et distinct dans son ouvrage, mais une flou saisissant.

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Alygator427

le dimanche 22 avril 2012 à 16h51

Désolé de revenir sur le sujet.

Après pas mal d'hésitation, j'ai consulté un spécialiste.
Ça ne m'a pas aider. Car tout ce que j'ai dit, je le savais déjà et comme il n'y a pratiquement que moi qui parlait je n'ai pas vu l'intérêt de poursuivre. J'ai l'impression qu'elle me posait des questions pour me détourner de mes questionnements. C'est peut être une bonne stratégie, mais je ne veux pas résoudre tous mes problèmes (c'est qu'ils sont nombreux), mais bien trouver des réponses ou des morceaux de réponses à ce problème.
On va me dire, qu'il faut en voir un autre .... désolé, je ne suis plus. Navré mais ça ne me sert à rien de raconter ma vie.
Mis à part que maintenant je sais que je suis une déprimée atypique, franchement, c'est bien, mais j'en fait quoi de ça.

Peut être que je ne me donne pas les moyens de me réparer. Et après peut être que la vie est comme ça, tout le monde n'en profite pas pareil. Il faut aussi que j'apprécie ce que j'ai déjà.

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lilitu

le lundi 23 avril 2012 à 00h43

Salut Alygator427

Tu as essayé de faire un bilan au niveau physiologique? Un déficit de fonctionnement de certains neurotransmetteurs, voire même une bête carence en zinc peuvent provoquer une absence de désir. J'ai testé pour la carence en zinc à la fin de l'adolescence, je n'avais plus aucun désir, et, après un mois de compléments en zinc et autres minéraux associés, ça allait beaucoup mieux. Juste une piste qui peut valoir la peine d'être explorée...

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oO0

le lundi 23 avril 2012 à 02h28

Salut Alygator427,

ce que dit Lilitu me semble pouvoir aider. Généralement, une carence en zinc s'accompagne d'une chute de cheveux plus importante et d'une peau fragile.

www.sterop.be/fbzn2000.htm

Sinon, pour ma part, j'ai abandonné l'idée d'attendre d'être réparé. Connaissant nombre de personnes handicapées, à leur exemple, si je devais un jour attendre d'être réparé, je ne vivrai probablement jamais. Et si les gueules cassées ont leur charme, pourquoi pas les âmes cassées ;)

Cela ne donne aucun résultat, sinon que je me sens mieux. Je n'abandonne pas complètement l'idée de réparation, mais je n'attends plus les réparations pour aller de l'avant.

(Tchô, moins de dix phrases !?! Youhou !)

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Tincan (invité)

le lundi 23 avril 2012 à 15h38

Pas eu le courage de tout lire, mais attention Alligator : si tu prends la pilule, ça peut complètement chambouler la libido ! (et accentuer ou provoquer une dépression) Pense à ça

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Alygator427

le lundi 23 avril 2012 à 17h48

Hé bé c'est joyeux ^^
Je note, en attendant je vais soigner ma mutation (j'ai des écailles qui poussent sur la peau, c'est étrange !).
Merci

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Mysterhill

le mardi 24 avril 2012 à 13h15

RIP
www.sterop.be/fbzn2000.htm

La pub est très bien, c'est quand même une pub ...un conseil médical est peut être necessaire..

--- si je devais un jour attendre d'être réparé, je ne vivrai probablement jamais. Et si les gueules cassées ont leur charme, pourquoi pas les âmes cassées ;)

Tout à fait, je te confirme, les âmes cassées, comme tu les appelles, se reconnaissent et ont leur attrait. Pour cela, j'ai envie de dire, il faut savoir attendre et se faire confiance pour reconnaitre celle ou celui qui est le bon...

(Tchô, moins de dix phrases !? ! Youhou !)

YESSS, en même temps j'aime bien quand tu te laches aussi :-)

Message modifié par son auteur il y a 11 ans.

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