Expériences polys tendres, amoureuses et/ou sexuelles : vos envies, vos vécus
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ScottBuckley
le jeudi 31 janvier 2013 à 22h30
Bonjour à toutes & tous !
En quoi les relations polyamoureuses sont-elles différentes des relations monoamoureuses, dans vos expériences, vos défis, vos vécus et/ou dans vos envies, dans votre imaginaire débridé ?
La frontière entre l’amitié et l’amour en devient-elle plus poreuse ? (des polys sexfriends ?)
La tendresse prend-elle une place nouvelle, plus libre, plus large, sans frontière ?
Etes-vous déjà tombé-e amoureuse/amoureux ou sorti-e avec une personne et/ou un-e ami-e via les amours plurielles, alors que vous n’auriez pas osé sortir (et/ou coucher) avec elle dans le cadre d’une relation monogame classique ?
On parle parfois de la ‘ New relationship energy ’ ( la NRE ou ‘ l’énergie de la relation nouvelle ’ ), de cette énergie que l’on ressent quand on entre dans une nouvelle relation amoureuse, avec une nouvelle ou un nouveau partenaire, avec (re)découverte de l’autre, de soi, de nos corps, de nos vibrations, de cette nouvelle relation tissée à deux …
( /discussion/-fl-/NRE-et-limerence-presque-en-FR/ )
Avez-vous déjà ressenti à une ou plusieurs reprises cette ou ces énergies de la relation nouvelle, via les amours plurielles ou autrement ? Si oui, comment les avez-vous vécues ?
Et sous la couette et ailleurs, côté massages, tendresses, câlins, sexualités…, expérimentez-vous d’autres choses, que vous n’auriez peut-être pas vécu ou tenté dans une relation mono / exclusive avec un-e partenaire plus réticent-e ? Si oui lesquelles ?
→ Voilà le thème - ouvert et assez large - de cette discussion que je vous propose ici.
Qu’en pensez-vous ?
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bodhicitta
le vendredi 01 février 2013 à 13h49
La premiére question me serait trop dure à répondre, ça fait 10 ans que je ne vie pas de relations mono-classiques. Si ce n'est une histoire qui n'a duré que 6 mois et pour étre sur de vraiment me mettre le grappin dessu il m'a demandé en mariage... (aprés 3 semaines...) et quitte à lui promettre fidélité, j'ai dit oui (au point ou j'en étais)
sans aucun doutes pour moi mes polyamoureux sont des amis que j'aime trés fort avant tout. Avec ou sans sexe d'ailleurs.
J'ai un de mes amoureux depuis 6 mois (presque 30 ans de plus que moi) avec qui au début aprés 2 ou 3 tentatives, le sexe avec capote c'est avérait impossible (on a pas insisté) mais la tendresse, les bisous doux ,les câlins, les mots doux sont bien là et une complicité bien particulière
oui cette tendresse qui est aussi intense que le complicité entre moi et mes amoureux m'est indispensable
dans le cadre mono-classique nous avons des attentes l'un envers l'autre. C'est pourquoi j'ai eu des relations poly avec des hommes dont je sais que je n'aurai pas pu pas voulu de relations mono. Des hommes qui sont francs mais sur qui je n'aurai pas compté.
Quant aux énergies des nouvelles relations c'est magique!! et dans le cadre du polyamour ces énergies sont sauvegardées c'est comme ça que je ressens les choses
Message modifié par son auteur il y a 10 ans.
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Clown_Triste
le samedi 02 février 2013 à 10h41
GreenPixie
Et sous la couette et ailleurs, côté massages, tendresses, câlins, sexualités…, expérimentez-vous d’autres choses, que vous n’auriez peut-être pas vécu ou tenté dans une relation mono / exclusive avec un-e partenaire plus réticent-e ? Si oui lesquelles ?
Cette phrase donne un peu le sentiment que les partenaires monogames sont, par défaut, plus réticents en matière de sensualité et de sexualité. Et que le polyamour s'accompagne nécessairement d'une capacité à explorer pleinement le domaine.
Amalgame involontaire, j'imagine... Mais peux-tu être devrais-tu le formuler différemment ?
C.T.
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Françoise Simpère (invité)
le samedi 02 février 2013 à 12h47
à CT: je ne pense pas qu'il s'agisse de réticences de la part des monos, mais tout simplement du fait qu'on est différent dans chaque relation, parce que le partenaire est différent et crée une "nouvelle alchimie", et que forcément, si on a plusieurs amours, on vivra des choses autres que si on en avait eu un seul. Je veux dire au niveau des sensations, du désir, des émotions, pas des techniques...
Je trouve l'idée de ce fil très sympa, mais il implique que l'on parle de choses très intimes que personnellement j'aurais du mal à écrire sur un forum. En parler lors d'un café poly, pourquoi pas, mais raconter ses désirs, sa vie sexuelle, ses sentiments à des dizaines de personnes inconnues, difficile.
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bouquetfleuri
le samedi 02 février 2013 à 13h28
Ma manière de construire mon polyamour a commencé quand j'ai choisi de tomber amoureux de toutes les femmes de la terre et que, parallèlement, j'ai considéré l'amour comme une philosophie de vie plutôt qu'autre chose.
Ce polyamour a pris une autre importance quand nous avons pu échanger avec ma femme ce dialogue succinct : - qu'y a-t-il de meilleur dans la vie ? - c'est, incontestablement, de tomber amoureux.
Tout le travail de respect de la liberté et de l'épanouissement de l'autre trouvait sa justification dans ces quelques mots. L'autoriser à se droguer à l'amour qui se développe, à la découverte d'un autre amour, à l'effort nécessaire pour bien le connaître etc. métaphore de notre travail quotidien pour mieux se connaître, mieux s'offrir et mieux se partager.
Donc ce bain d'amour mêle toutes les expériences, sexuelles, sociales, mentales, sentimentales et chacune est colorée par le déroulement de l'histoire, le moment particulier où elle a lieu, l'échange qui préside et qui suit, l'apport de chacun, la réciprocité variable etc.
Aucune expérience sexuelle n'est comparable par exemple. Pour moi, il est juste inconcevable de pouvoir faire l'amour cliniquement, cela n'existe simplement pas. Il y a la friction, et l'émotion qui s'y attache, partant le sentiment, qu'on le refoule ou pas. Je peux distinguer des moments exceptionnels de frictions charnelles d'autres qui le seraient moins, je ne peux pas distinguer deux relations du point de vue de l'accomplissement qu'elles représentent pour moi. Un exemple banal : ne pas arriver à bander (moi) en compagnie d'une femme demandeuse, ne nous a jamais empêché d'être comblés par ce que nous vivions.
Parce que nous bâtissons, mes partenaires et moi la relation qui va nous apporter le maximum en fonction de nos attentes, de nos capacités et parfois de nos incapacités ou impuissances, et là, je ne parle pas que de sexe.
C'est un point que le polyamour met en évidence chez moi : la collision entre des histoires qui émargent à des feuilles de consignes ou de bilan différentes peut entraîner une mouvance enrichissante alors qu'elle n'était pas forcément souhaitée. C'est là aussi qu'on mesure comment nous sommes surtout construits par l'autre.
Et ce n'est que du bonheur, comme une drogue gratuite qu'on aurait le droit de prendre, et sans modération
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(compte clôturé)
le samedi 02 février 2013 à 14h37
Personnellement je n'ai noté aucune différence en fonction de ce critère là.
J'ai eu de bons et de moins bons amants, des partenaires avec qui ça collait très bien sur ce plan-là et d'autres avec qui c'était moins évident... Monos ou polys, ça n'y changeait pas grand chose.
Et ma pire expérience - tellement catastrophique que je me suis retrouvée à m'enfuir de chez la personne à 4 heures du matin, à demander l'asile politique à un ami, et à traverser Paris en pleine nuit à pied plutôt que d'avoir à rester une minute de plus dans le lit/appartement de cette personne, le fiasco absolu, celui qui vous donne du dégoût, l'erreur de casting sexuel, le partenaire qui non seulement ne sait pas faire mais n'a visiblement aucune envie d'apprendre ben... C'était un poly. Enfin revendiqué tel.
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bouquetfleuri
le samedi 02 février 2013 à 16h03
Janis, tu as quand même attendu quatre heures du mat ! Bel effort... (hihihi)
Je suis bien d'accord avec toi, le critère mono ou poly n'est pas pertinent enfin, pas pour moi du moins.
L'avantage quand vit l'Amour comme la ligne directrice principale de sa vie est que l'ensemble des composantes s'y trouvent, que seule la position des curseurs change, par exemple entre connaissance, ami et amoureux, entre tendresse et passion, entre sensualité érotique et sexualité bestiale voire entre libertinage et relation sociale, entre monoamour et polyamour. Les accidents de la vie, heureux ou pas, se chargent bien de vous indiquer si vous êtes sur un chemin qui vous mène vers votre épanouissement, au gré des équilibres que vous trouvez.
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ScottBuckley
le samedi 02 février 2013 à 18h31
@ à Françoise : Oui, je suis d’accord avec toi, c’est bien mieux souvent de raconter cela de vive voix, en sachant devant qui l’on parle, et sans écran ni internet ni smartphones
... et c’est justement le thème du café poly à Lyon du samedi 9 mars 2013 (du thème de la première partie du moins) : sois la bienvenue, on t’y accueillera avec grand plaisir ! Et les autres de ce forum aussi !! ( voir la rubrique "événements" à ce sujet pour en savoir + )
Clown_triste
GreenPixie :
" Et sous la couette et ailleurs, côté massages, tendresses, câlins, sexualités…, expérimentez-vous d’autres choses, que vous n’auriez peut-être pas vécu ou tenté dans une relation mono / exclusive avec un-e partenaire plus réticent-e ? Si oui lesquelles ? "Cette phrase donne un peu le sentiment que les partenaires monogames sont, par défaut, plus réticents en matière de sensualité et de sexualité. Et que le polyamour s'accompagne nécessairement d'une capacité à explorer pleinement le domaine.
Amalgame involontaire, j'imagine... Mais peux-tu être devrais-tu le formuler différemment ?
@ à Clown_triste :
Oui, désolé (en effet amalgame involontaire) : en l'écrivant je soupçonnais que cela pourrait être - peut-être - mal compris hors contexte, alors je reformule. Il y a déjà ce que Françoise dit plus haut (merci d’ailleurs, de m’avoir compris ainsi, le bluetooth du polyamour marche bien parfois !).
Bien-sûr qu’il y a des couples monos très imaginatifs et délurés et foufous (et heureusement !) , et ça m’amuse même d’en entendre parfois derrière le mur de l’immeuble certains soirs eheh ;) ( certain-es voisin-es s’en plaignent, moi je dis “ Oui allez-y éclatez-vous you funky neighbours! ” je préfère de très très loin ça à des disputes de couples qui engueulent leurs gosses )
Mais quand je dis : “ (…) que vous n’auriez peut-être pas vécu ou tenté ” , c’est parce qu’il y a de l’autocensure dans un couple, et donc il y a hélas des choses que tu finis par ne plus tenter, par ne plus proposer à ta partenaire (d’où le désir qui peut s’émousser plus ou moins vite, de la frustration…).
Pas sûr que toute cette frustration ce soit bon pour l’épanouissement de nos chakras, de notre kaRma sutra , de l’autre et de soi et de la relation des deux .
Si ta copine te dit qu’elle déteste faire l’amour dans la nature à la montagne, ou les sex toys le cunni, le body cooking câlin-maillard <3 ((( miam! ))) , les soirées open kiss épicées ou la levrette ou les relations amoureuses plurielles ou polybertines, eh bien si tu restes en couple et/ou marié avec elle (et si tu es honnête et pas fan d’adultère) tu peux faire une croix dessus et te dire que peut-être les 40 prochaines années (soit un milliard de secondes!) de vie fidèle avec elle risquent d’être parfois loooongues l’hiver ;( … même si toi tu en as très envie, de cette liberté et de ces partages là.
Dans les amours plurielles, tu gardes cette liberté et tu l’explores ou peux l’explorer, dans une autre relation, avec une autre amoureuse, et dans une toute autre ambiance, avec une énergie assez fraîche .
En faisant le choix des amours plurielles, j’ai renoncé volontairement à être “la moitié” de l’autre (qui par définition serait toujours “incomplète” en mon absence), ou à être “LA-personne-parfaiteu Le-Princeu-Charmant-itou qui doit Tout lui apporter à-moi-tout-seul”.
Et ce que j'avais en tête, notamment, c'est, par exemple, comme contexte : une personne qui grâce aux amours plurielles, à ces ouvertures nouvelles, décomplexées, avec moins de frontière, se découvre bisexuelle (hey, ça change la vie de reconnaître ce potentiel en soi !) grâce à l’un-e de ses partenaires ; ou qui découvre les joies du tantrisme ; ou de la tendresse intense (avec ou sans sexe) tout en s'endormant tout contre un-e ou des ami-es qui ne sont pas "son amour principal" (ami-es que l'on surnomme parfois trop facilement "sexfriends & sentiments interdits", faute de mieux).
A mes yeux et dans mes ressentis, les amours plurielles ce n'est pas juste avoir plus d'amours, mais aussi se re-découvrir soi ET l’autre dans sa multitude possible dans sa palette de couleurs & de nuances, et se découvrir durant la même semaine des goûts insoupçonnés pour telle sensation, telle intimité, parfum, défi, pratique sexuelle jouissive que telle partenaire te fait découvrir le mardi, et telle autre pratique le jeudi avec une autre partenaire. Si l’une te propose quelque chose qu’une autre te refuse, tu découvres de nouveaux plaisirs partagés.
Autre exemple : j’adore partager des relations tendres et câlines et dormir avec d’autres personnes (pas forcément suivies de sexe), mais entre ami-es ou nouvelles connaissances, ce n’est pas toujours encouragé (hélas) , car mentalement on confond vouloir dormir // avec vouloir coucher .
C’est de ces expériences là (notamment) que j’aimerais qu’on parle ensemble, à deux ou trois ou plus, autour d’un verre ou sur ce forum . De ce que l’on redécouvre alors de soi ... de façon inédite et parfois renversante! Et à qui on va en parler de cela, hum?
La panop(o)ly des expériences sensuelles me semble biiiien plus riche (potentiellement) dans les amours plurielles que dans des relations monogames. Si dans sa vie un-e monogame avait eu 12 à 25 partenaires différents (pure hypothèse de monogamie en série), une personne polyamoureuse pourrait en avoir eu autant si ce n’est plus - mais surtout différemment - en une année de vies.
Plus tu goûtes à des expériences différentes, et plus tu peux être ouvert-e et tenté-e par de nouvelles !
( ' la liberté de sexe-primer ne s'use que quand on s'en sert pas ! ' , me chuchote le petit canard jaune pas enchaîné de la baignoire )
Il y a des personnes qui rien qu’en te parlant là à table avec leur imaginaire débridé évocateur te font décoller ( quelle langue, quelle verve ! ) … et d’autres qui sont fermées voire ‘formatées’ par avance aux nouvelles expériences, pleines de préjugés sur d’autres choses inconnues, et qui ont moins de curiosité ou esprit de folie … par exemple je me souviens qu’il y a des pratiques sexuelles ou même des positions du kama sutra que j'aime ou aimerais toujours (ré?)essayer, mais certaines de mes partenaires précédentes ne le voulaient pas forcément. Tout le monde n’est pas funky-kinky ^_^ .
L’une de mes ex pouvait être rock n’ roll et créative sur certaines choses, et une autre m’excitait par son côté plus retenu, en apparence plus timide. Une peut aimer faire des choses coquines tout en écoutant les Pixies (( boom chikaboom! )) et une autre ne pas avoir envie d’entendre parler de “lutins” (à cause de Françoise ;) )
On pourrait aussi parler du goût que chaque corps possède, du timbre des voix qui nous font vibrer dans le chuchotement de l’oreille, des grains de peaux et leurs chaleurs et moiteurs, des orgasmes des phéromones et de la sueur, … ou de la cyprine… et du goût de miel de certaines parties …
@ à Bodhicitta8 :
Oui, les énergies des nouvelles relations c’est magique, oh oui!!! et dans les vies polyamoureuses pour elles c’est souvent journées portes ouvertes ;)
( ce post a été écrit tout en écoutant des morceaux live des Pixies et de Nirvana ^_^ )
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Cendre
le samedi 02 février 2013 à 19h38
En effet GreenPixie, le thème est très très large.
Bien sur, il m'interpelle sur de nombreux points, et comme j'essaye en ce moment de me recentrer sur moi et ce que signifie ma nature polyamoureuse, je vais essayer de répondre à quelques uns de tes propositions de thèmes.
Chaque expérience sexuelle est différente, à la fois exaltante et effrayante par sa nouveauté. Si aujourd'hui je me revendique polyamoureuse et pas libertine, c'est que je ne me sens pas de construire une nouvelle sexualité comme ça, au gré de rencontres simplement sympathiques. Non, j'ai besoin d'un capital confiance assez colossal pour passer à l'acte, rapport à d'anciennes expériences, pas forcément totalement ratées comme celles de Janis, mais simplement décevantes en terme de construction identitaire...
Non, pour moi, il n'y a pas grande différence entre l'aspect poly ou mono, si ce n'est que lorsque l'on a trouvé un compagnon de grande qualité pour nous, qui mérite toute notre honnêteté, seule une démarche poly nous permet de continuer à vivre des expériences sexuelles nouvelles !
Et soit dit en passant, on peut remplacer d'adjectif sexuelles de la phrase précédente par sensuelles, ou même par amoureuses, cela reste pour moi dans une même continuité.
Ma zone érogène principale reste indubitablement mon cerveau, ya qu'a voir comment je me gave des écrits des hommes avec qui je joue (dont font parti mes amoureux).
Pour ce qui est de l'énergie de la relation nouvelle, elle a été extraordinaire chez moi. Et c'est elle qui justifie tout. Ma joie de vivre, mon enthousiasme, ma motivation, c'est ce qui a rendu la situation tolérable pour mon mari : j'étais heureuse, bien dans ma peau, débordante d'énergie et cela ce voyait tous les jours en toute circonstances.
Ça serait vraiment trop triste de réserver cela à une seule fois dans sa vie, ou pire, de se payer une séparation préalable à chaque fois. Enfin moi, c'est clair, je ne peux pas renoncer à cela. Et même si j'ai assez peu d'espoir de ce coté là, je souhaite de tout mon cœur que mon mari connaisse cela un jour....
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bodhicitta
le samedi 02 février 2013 à 21h24
En fait je me dis même que les expériences particulières ou débridées que l'on peut vivre dans dans le polyamour sont p t être d’avantage des expériences sensuels, de tendresses que des expériences sexuels.
Je pense que dans le mono on dort ensemble parceque c'est "normal" qu'on se le doit l'un à l'autre et le sexe avec (coté sexe moi c'était 6mois de marteau piqueur touts les soirs...)
si c'est sorti de ce train train je me dis que les monos quand ils passent la nuit ou moins longtemps mais que la "limite" de sensualité est franchie ils font forcément l'amour (méme s ils n'ont que 5 min)
Bon c'est vrai on ne peut pas résumer aussi simplement, m'enfin en gros quoi.
et en étant ouvert à l'amour le sexe va avec c'est vrai que si on aime d’avantage on fait d’avantage l'amour :-D mais pas tout le temps
Avant d'avoir les idées plus claires sur ce qu'était le polyamour, ce que je resens, je ne pense pas que j'aurai osé (c'est vrai en fait t'avais raison) passer autant de nuit à simplement dormir contre un homme (méme une seule) :-/
Message modifié par son auteur il y a 10 ans.
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Lili-Lutine
le jeudi 07 février 2013 à 10h42
GreenPixie en effet ton fil de discussion ne permet pas vraiment et facilement de se laisser faire ici en exposant devant qui d’ailleurs ? sa vie, ses envies et ses désirs, cette énergie nouvelle sans cesse renouvelée qui nous rend si belle et beau et lumineux(ses), ces mots d’amour à profusion qui inondent nos cœurs, ces jouissances qui nous caressent l’égo si intimement. Regarde bien les plus « vielles et vieux » poly GreenPixie tu n’as pas remarqué quelque chose de particulier ? Regarde bien et tu verras là, au fond de leurs regards un étonnant éclat, sur chaque parcelle de leurs peaux les mouvements frissonnants de leur cœur que tu peux deviner sous la toile de leurs vêtements, tout cela vit en elles et eux depuis si longtemps et si sûrement, tu sais cette éternelle jeunesse à laquelle nous aspirons tous …
Heureux celle et ceux qui aiment au pluriel, vos cœurs amoureux illumineront vos regards éternellement comme une nuit qui n’en finit plus d’éclairer tout cet amour en nous. Aimer, être aimé, s’offrir et donner … Plaisirs des sens et des émotions quand nous sommes ensemble ou séparés.
Nouvelles rencontres, nouvelles amours, nouvelles sensations c’est aussi grisant que de retrouver sa relation la plus historique (ou la plus vielles hihihihi) comme celle la plus récente. Tout s’invente à chaque retrouvaille, quittez moi et revenez vers moi en courant, je vous aime tant quand le désir de nous aimer se mélange à nos impatiences.
Message modifié par son auteur il y a 2 ans.