Polyamour.info

lam

lam

(France)

Participation aux discussions

Discussion : Prévention mst/ist

Profil

lam

le lundi 08 mars 2010 à 14h39

Siestacorta
Ben c'est pas un problème qui touche à l'identité de la femme, c'est juste que ce sera moins agréable, donc qu'il faudra envisager une solution au problème, le lubrifiant.

Le sécheresse vaginale, c'est un problème, ça veut pas dire "les filles c'est un problème"... enfin je crois. Comme je me fais pas une idée exacte du phénomène,il y a peut être des angles que je ne vois pas ?

Je veux juste dire "sécheresse vaginale = normal = hyper courant = quasi imprévisible = arrive à toutes les femmes".
Et comme "faire l'amour souvent = normal pour beaucoup d'individus" le corollaire est "lubrifiant supplémentaire = normal".

Ca touche à l'identité féminine si mouiller est vu par elles comme un devoir, une mission à laquelle il ne faut pas faillir (comme bander pour les hommes), et cette idée s'enracine profondément, la preuve par cet échange où finalement le seul désaccord à mes yeux est l'utilisation du mot "problème" pour un truc "normal".
Quand les choses se passent normalement, on n'utilise pas le mot problème d'habitude.

et je te rassure, personnellement si ça glisse pas, c'est pas "moins agréable", c'est juste "désagréable tout court". Les caresses sexuelles sèches je n'ai pas rencontré d'amateur ou amatrice pour le moment.

Voir dans le contexte

Discussion : Prévention mst/ist

Profil

lam

le lundi 08 mars 2010 à 14h23

Siestacorta
C'est précisément ça : vous êtes deux. Tu es responsable de toi, et de ton rapport avec l'autre. Donc même si elle est d'accord pour prendre un risque, ne pas vouloir lui en faire prendre est une responsabilité qui te revient quand même, que ce soit celui de la faire tomber enceinte ou de lui faire chopper une maladie que tu ignores.

Donc si tu meurs, ce sera pas de notre faute. Mais si elle meurt, souffre, ou a un enfant, qu'elle ait ou non pris le risque avec toi, après que tu lui aies dit qu'avec les précédentes non plus tu ne portais rien, ce sera quand même de la tienne.

Vachement bien dit! et concis (+)
Un jour quand je serais grande j'arriverais à être claire et efficace comme Siesta. D'ici là, désolée pour mon message à rallonge qui dit environ la même chose

Voir dans le contexte

Discussion : Prévention mst/ist

Profil

lam

le lundi 08 mars 2010 à 14h20

@Eric 48: Oui... Je disais pas que ton point de vue n'est pas entendable. Tout point de vue argumenté est entendable. Seulement il faut laisser les gens discuter et s'informer pour justement prendre ses risques et gérer sa vie en connaissance de cause.

Les MST ne te demandent pas plus que les autres dangers si tu veux mourir ou tuer quelqu'un, mais ca risque moins d'arriver si tu es informé et que tu en tires les conséquences.

Simplement, aujourd'hui, dans nos pays riches et "civilisés" ça serait quand même bête de compromettre son existence pour une histoire d'information manquante, d'ignorance quoi. Enfin, si ça m'arrivait j'aurais les boules...

ERIC_48
Si je prend un gros risque à faire l'amour sans préservatif, ma partenaire aussi, on est donc deux si je compte bien.
Chacun prend ses risques. Chacun gère sa vie.

Je suis d'acc sur la prise de risque, faut savoir se gérer soi-même. Perso, je préfère être bien informée et en parler même si c'est pas le meilleur moment et que c'est jamais agréable à 100% de changer une ambiance avec ce sujet là. J'attends pas des autres qu'ils abordent le sujet pour moi, comme ça, s'il y a lieu, je me fais des reproches toute seule. C'est aussi que si je le fais pas (d'en parler) je me sentirai bien pire.

Parce que par expérience le consensus sur la prise de risque quand tu est très excité sexuellement.... il est pas forcément lucide!
Je me suis plusieurs fois retrouvée dans une situation où l'autre ne forçait pas mais si j'avais "pris le risque" il aurait suivi... sans forcément avoir conscience des risques. Et combien je connais de personnes qui disent "le préso oui oui, mais, dans certainnes circonstances blablabla...."
Et je réagis peut-être de façon épidermique mais je connais la situation d'avoir très envie de coucher avec quelqu'un sans avoir de capote sous la main et je vois très bien comment ce "mais... blablabla" peut arriver vite et bousculer les convictions, c'est que l'envie c'est puissant hein! Le corps peut embrouiller l'esprit quand le désir est si fort....

En bref je veux dire que oui on est au moins deux à prendre des risques et il y en aura toujours des risques. Juste, je ne veux pas pré-supposer des connaissances et de la lucidité des autres, trop risqué pour tout le monde à mes yeux.

Chacun prend ses risques et ses responsabilités.

Voir dans le contexte

Discussion : Prévention mst/ist

Profil

lam

le lundi 08 mars 2010 à 13h49

Siestacorta
Je sais pas si c'est une question de regard sexiste ou pas ?
Pourquoi le mot problème te semble gênant ?

Non je ne pense pas que ce soit une histoire de regard sexiste. Mais les mots conditionnent notre imaginaire. Et la phrase de Nounours renvoyait directement ""sècheresse vaginale = problème"", c'est ça qui me dérange.
Disons que les raccourcis engendrent des liens de causalité qui ne sont pas forcément justifiés.

Sinon, je te rejoins sur l'idée de nommer ses problèmes. Les identifier est indispensable pour arriver à les dépasser.

Voir dans le contexte

Discussion : Prévention mst/ist

Profil

lam

le lundi 08 mars 2010 à 13h46

Nounours
Sans crier et avec le sourire sa passe mieux ! :-)
Il n'y a pas de problèmes que des solutions !

Yes, :-)

Voir dans le contexte

Discussion : Prévention mst/ist

Profil

lam

le lundi 08 mars 2010 à 12h43

ERIC_48
Enfin, j'avoue que c'est dangereux, et que du coup je suis obligé de me limiter aux cas qui me paraissent êtres moins dangereux.

insognare
Je pense que dans une relation "longue", on peut se protéger au début quand même, c'est important, après tout on ne peut pas être sûr dès le début que ça va marcher vraiment.

Ah, ben merci les bisounours, je commençais à plus comprendre ce fil.... On peut entendre que les relation longues c'est mieux, que sans préso c'est mieux, bien sur.
Mais là on parle de vraies maladies, de vrais risques, de vraies vies qui si elles ne sont pas directement menacées par toutes les IST, peuvent s'en trouver profondément changées.

Si vous arrivez à faire un dépistage complet avant de coucher avec une nouvelle rencontre c'est génial, sauf qu'en pratique ça reste ultra minoritaire.

Et spécifiquement il y a des conseils de prévention comme pour le HPV (cf. lien donné par Clèm) où on vous dit que la seule "prévention" possible c'est de limiter le nombre de partenaires sexuels et d'aller faire un frottis 2 fois/an....

Je crois que c'est normal que le sujet MST/IST interpelle les polys et que c'est crucial d'en parler tout court.
Pour les avantages du fluid-bonding que vous défendez, un autre fil conviendrait peut-être mieux et le fil présent aurait un pote dans ce nouveau thèmes "sexualités"... Qu'en pensez-vous?

Voir dans le contexte

Discussion : Prévention mst/ist

Profil

lam

le lundi 08 mars 2010 à 12h26

Nounours

Aussi valable pour les femmes qui ont un problème de sécheresse vaginale.

Toujours désolé pour le réalisme !

Excuse nounours je me répète depuis le fil lubrifiant, et désolée tout le monde si je passe pour la féministe de service (j'assume) mais là je reprends le fil et j'ai du mal à laisser passer ta remarque.

NON! Si une femme a le vagin sec au moment de baiser, elle n'a pas forcément un PROBLEME.... Toutes les femmes (et les hommes aussi je crois) ont besoin de lubrifiant dans leur vie sexuelle, c'est normal.

Faudrait arrêter les associations faciles, c'est comme si je disais que les mecs qui ont à un moment donné une panne érectile ont un PROBLEME d'érection.

Voilà, coup de gueule terminé.

Voir dans le contexte

Discussion : Et si on parlait de l'absence...

Profil

lam

le samedi 06 mars 2010 à 02h04

Rosalie
Pour moi, même si l'amour est toujours là, je préfère voir ça comme une fin, une mort.

C'est triste à dire et je n'en suis pas fière, mais je crois que la seule façon de passer à travers est de me convaincre que je n'aime plus. Me convaincre que ça n'aurait pas marché de toute façon. Essayer qu'il me devienne indifférent. Sinon, j'attends en vain et ça devient trop difficile.

Rosalie
(...) j'ai besoin de me convaincre que l'autre ne m'aime plus pour accepter son absence due à son refus d'introduire le polyamour dans sa vie. Si je continue à croire qu'il m'aime encore, le fait que je sais que c'est possible de vivre cet amour (car le seul obstacle est la monogamie) me mine et me fait vivre l'absence comme une injustice.

Merci <3
Je crois que tu mets le doigt sur ce qui m'empêche de prendre une décision brutale (rupture) envers ma relation mono actuelle. Je ne me sens pas (encore?) capable de me persuader que cet amour avec qui je partage depuis 6 ans ne m'aimera plus, que ça n'aurait pas marché de toute façon si je passe franchement/en pratique du coté poly des choses, puisqu'en l'état je doit y passer sans lui.

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

Voir dans le contexte

Discussion : Diffusion documentaire sur France Culture

Profil

lam

le samedi 06 mars 2010 à 01h51

Siestacorta
L'irréductibilité, c'est bon pour la santé : quitte à de temps en temps avouer qu'on capilloctracte, c'est quelque chose de bon dans le moteur.

Carrément (+)
J'avoue, je suis antipub à mort.
Les déboulonneurs, vous connaissez?

Chacun a ses intérêts, ses défaillances, ses incohérences. Et justement, cette incohérence là (féministe complice du publisexisme), elle m'insupporte et me fait monter au créneau même si elle est assumée.

Ca n'enlève rien à l'intérêt de ses écrits, sauf qu'en irréductible (pas gauloise) qui se respecte j'ai pas du tout envie de creuser et d'en lire plus. Je préfère les incohérences d'écoféminix :-)

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

Voir dans le contexte

Discussion : Polyamour et enfant

Profil

lam

le samedi 06 mars 2010 à 01h38

Est-ce que l'essentiel ce n'est pas de montrer à ses enfants (par ce que l'on est et ce que l'on fait) que les choix sont ouverts et que la décision leur appartient?
Axer sur la responsabilisation et l'autonomie quoi...

Il me semble qu'on peut arriver à ce message là, quelque soit la forme de ses relations amoureuses.

Voir dans le contexte

Discussion : Prévention mst/ist

Profil

lam

le samedi 06 mars 2010 à 01h27

Tchu
Alors oui, mais non.

(..) le préservatif féminin, c'est la tente quechua de la foufoune.

www.zonezerogene.com/2009/11/16/preservatif-femini...

Plus jamais.

Pareil, une expérience pas convaincante, une deuxième histoire d'être sure et... Carrément d'accord!
L'article est poilant et réaliste... :-D

Voir dans le contexte

Discussion : Prévention mst/ist

Profil

lam

le samedi 06 mars 2010 à 01h18

En attendant la digue dentaire j'ai essayé d'en trouver, dans 4 pharmacies, au mieux on m'a dit "non, on n'en a pas" et au pire les gros yeux "de quoi elle parle celle-là?".... :-/

Des expériences de votre coté?

Voir dans le contexte

Discussion : Diffusion documentaire sur France Culture

Profil

lam

le jeudi 04 mars 2010 à 18h30

je prévient c'est HS mais je savais pas où glisser cette petite réaction anti-pub un peu viscérale....

Clementine
je suis tombée, fort tard ! sur la rediff' de "Thé ou café" avec Elisabeth Badinter (ah que j'aime cette femme, son non-conformisme, ses justes livres et son chemin privé à elle!)

Effectivement la miss Badinter a bien un chemin privé... Je ne connais pas toutes ses contributions au féminisme mais apparement son dernier bouquin fait débat au sujet de publicité, consommation.... termes qui riment plutôt bien avec intérêts privés à mon goût, et à en croire un échange de courrier de 2004 avec les amis de la terre c'est pas si nouveau.

Sur son dernier bouquin (que j'ai pas lu):

article (suisse :-) ) contre Badinter, pour l'écoféminisme , et un autre de chez rue 89: Elisabeth Badinter, actionnaire féministe d'un Publicis sexiste ?

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

Voir dans le contexte

Discussion : Prévention mst/ist

Profil

lam

le jeudi 04 mars 2010 à 17h49

Disons que dans nos pays riches l'HIV n'est pas l'IST la plus répandue. Et que de manière générale ce n'est pas la plus facile à attraper. Papilloma, herpès & Co n'ont que peu de soucis à se faire malgré l'usage des presos...

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

Voir dans le contexte

Discussion : De l'égoisme en amour

Profil

lam

le jeudi 04 mars 2010 à 17h45

Oui, c'est BEAU!

Voir dans le contexte

Discussion : De l'égoisme en amour

Profil

lam

le jeudi 04 mars 2010 à 16h39

Rosalie
Boucledoux :
Je m'auto cite et j'ajoute pour nuancer que bien sûr la question se pose comme ça pour moi mais que je suis bien conscient qu'elle est autrement plus compliquée dans la situation d'une relation déjà construite et installée dans la durée qui ne satisfait plus un-e des partenaires sans qu'il/elle ait envie pour autant de la quitter -ce qui est plus ou moins ta situation si j'ai bien compris.
-------
Non...ce n'est pas ma situation, je réfléchis pour les autres, je suis altruiste :-) Mais tu as raison que lorsque la relation est déjà construite, ce n'est pas évident de dire "ceci sur quoi nous nous étions entendus ne me convient plus".

Là maintenant, je réfléchis pour ceux qui ont des envies d'infidélités et qui sont persuadés (et probablement avec raison) que d'en parler à leur conjoint (je déteste ce mot) équivaudrait à faire le faire souffrir terriblement.

Ben en tout cas ca décrit bien ma situation (+)

Et je pense être d'accord avec vous deux: Boucledoux sur le fait que cette notion de sacrifice est (très) souvent genrée, et Rosalie sur le fait que la différence fondamentalement genrée entre femme et homme au sujet de la procréation....

Ceci dit, je vis une relation (hétéro et mono) à distance depuis plusieurs années, où des phases de vie quotidienne partagée ont existé aussi. Des 'concessions' ont été faites des deux cotés pour accorder tout ça, mais aujourd'hui avec cette question du polyamour qui bloque de son côté je me questionne vraiment sur les limites de la négociation entre les deux personnes autonomes que nous sommes.

un peu comme vous Inso et Drya (?)

Drya
En fait, selon moi, c'est une question de priorité de chacun et de coopération : dans toute relation, et plus elle est étroite plus c'est vrai, il y a des conflits d'intérêt, tôt ou tard, on appelle ça de la négociation : le but étant de trouver le terrain d'entente idéal où chacun obtiendra ce qui est le plus important (prioritaire) pour soi... mais ce n'est pas toujours possible malgré tous les efforts. Dans ce cas, on en arrive, soit à ne satisfaire qu'à moitié chacun des deux, si c'est encore possible, mais le résultat est décevant pour les deux, soit à satisfaire seulement l'un des deux (dans l'exemple du polyamoureux dont le compagnon est définitivement mono : il peut renoncer au polyamour concrètement sans pour autant renoncer à sa philosophie) du coup il ne vit pas en cohérence avec ses principes, mais en fonction de ses priorités.
Puzzle difficile dans tous les cas, mais c'est une question de choix, et quand on a choisi (de renoncer pour trouver un terrain d'entente plus heureux tout de même qu'un demi-content pour les deux), c'est déjà une libération, même si on n'a pas entière satisfaction.

Je me reconnais dans ton propos, sauf que pour moi la libération n'arrive pas vraiment, ou bien elle est éphémère. Oui c'est satisfaisant de pouvoir mettre les choses à plat, mais ça ne règle pas la question de la limite entre autonomie (individualisme) et égoïsme...

Avec le prérequis d'un amour partagé et d'une envie commune de le vivre: Jusqu'où peut-on faire des compromis sans blesser son autonomie?
A quel moment on met son moi entre parenthèses?
Quelle limite entre compromis ou concessions et fidélité à soi-même ou égoïsme...?

Yep plein de questions, je sens que la réponse est forcément que c'est à moi de juger. Sauf que pour le moment je ne sais pas encore me positionner sur cette idée de sacrifier une relation belle et constructive au nom d'une divergence sur le PA, et que j'arrive pas non plus à me dire que je serai mono.... bien conditionnée la ptite lam :-)

Voir dans le contexte

Discussion : Et si on parlait de l'absence...

Profil

lam

le jeudi 04 mars 2010 à 12h41

Ben de mon coté l'absence est un obstacle à l'évolution de ma relation mono.
Vivre à 5h de trajet c'est comme ça pour nous en ce moment. Les bons cotés: ca ouvre, ca aide à relativiser, mais ca ne facilite pas du tout le travail d'ouverture d'une relation mono... :-(

Voir dans le contexte

Discussion : Libertinage/échangisme- polyamour/polysexualité

Profil

lam

le vendredi 26 février 2010 à 08h44

Clementine
Ben non, c'est pas si simple, sauf si tu cherches une équation universelle aux polyamoureux. Qui serait simple à formuler, mais comme y'a rien à trouver, comme formule...
Si l'amour a mille visages, celui du PA est légion... nyèrk nyèrk.

une question complexe "l'équation universelle".... Oui le visage du "concept poly" est légion, mais chaque amour est forcément unique.

Pour moi cette histoire d'équation ça revient à avoir un bon set d'étiquettes, sur lequel on s'est bien pris le chou pour donner une définition à chaque étiquette qui ne soit pas redondante avec les autres "catégories".

Quand on essaye s'analyser ce qu'on vit nous même, je ne crois pas que cela soit possible de désigner la nature d'une relation avec un petit sticker "mono", "poly", "bi", "hétéro", "libertin", etc. ... Si on reste dans le concept on associe souvent plusieurs catégories.

Bien sur les concepts sont utiles pour ne pas réinventer la roue à chaque phrase, mais la réalité est tellement complexe par sa multitude de nuances et de variations incessantes.

C'est un peu comme quand tu veux classer ta musique. Tu dois associer les étiquettes de "grandes familles" pour bien décrire certains morceaux (ou albums, ou artistes...). Dire d'une musique "c'est du jazz", c'est aussi flou que de dire "c'est une relation poly".

Alors quand on pousse pour chercher à définir précisément cette musique à partir des concepts de base ça peut donner un truc du genre: c'est du jazz électro acoustique, avec des influences dub et abstract hip-hop.... tu vois quoi? :-D

Pour les relations, pareil. On reste dans les concepts si on parle en général (cf. le titre de ce fil) mais quand on décrit précisément ce que l'on vit, on mixe forcément les étiquettes.

On est complexes, quoi! :-D et heureusement parce que si on avait trouvé l'équation, on s'emmerderait non?

Voir dans le contexte

Discussion : Libertinage/échangisme- polyamour/polysexualité

Profil

lam

le vendredi 26 février 2010 à 08h18

ERIC_48
En tous les cas, c'est vrai que la question est, s'interdit t-on de tomber amoureux dans une soirée libertine, et si oui, comment conjugue t-on cela avec polyamour quand on tombe amoureux.
A mon avis, c'est pas si simple.

Ben, je sais pas comment on y arrive à ne pas tomber amoureux(?)

Personnellement, je n'arrive pas à refouler mes émotions comme ça. C'est d'ailleurs ce qui m'a amenée à me poser les questions qui m'ont fait comprendre que j'étais poly.

Je pense aussi que si je refoule trop une émotion, je finirai par être plus bléssée que si je l'accepte
(même si les besoins générés par cette émotion ne sont pas satisfaits, comme tomber amoureux unilatéralement)

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

Voir dans le contexte

Discussion : Autopromo

Profil

lam

le vendredi 26 février 2010 à 07h57

BenjaminL
et c'est à durée indéterminée.

Classe (+)

Voir dans le contexte

Retour au profil