Polyamour.info

titane

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Phnom Penh (Cambodge)

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Discussion : L'amour et la façon d'aimer sont-ils ou doivent-ils être pragmatiques ?

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titane

le jeudi 04 février 2010 à 15h48

cela fait le lien avec le deuil... non?

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Discussion : L'amour et la façon d'aimer sont-ils ou doivent-ils être pragmatiques ?

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titane

le jeudi 04 février 2010 à 15h48

Je perçois également un autre risque derrière une idée pervertie du pragmatisme... un réflexe de rester dans le "connu" (de ce qui a déjà été expérimenté et apprécié que ce soit plaisir ou souffrance d'ailleurs) , une peur de "l'inconnu" du nouveau...

Certains cherchent juste à glisser dans de petites modifications de comportement (ou développement personnel) d'autres, parce qu'ils souffrent trop, voudraient pouvoir procéder à un changement d'état de conscience qui les sortiraient de leurs paradoxes et névroses...

j'explore encore ce sentiment...

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Discussion : L'amour et la façon d'aimer sont-ils ou doivent-ils être pragmatiques ?

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titane

le jeudi 04 février 2010 à 15h41

je te suis... ce qui apparait morale reste un point de vue personnelle, pas forcément une intention... c'est comme prétendre que l'autre est messianique lorsqu'il utilise un champs lexical de l'ordre du spirituel... héhéhé.. pas grave mais ça ne fait pas avancer le schimblik...

en amour je ne sais pas comment tu fais pour voir la voiture la bicyclette ou le chaise roulante... mais OK pour les questions... et laisser l'autre évaluer lui-même son véhicule en fonction de la destination...

les niveaux ne s'"équivalent pas"... qui a dit le contraire... je disait que face à une même volonté de changement les blocages de l'intéressé(e) pouvaient se situer à ces différents niveaux... donc a priori tous les niveaux se valent sans "s'équivaler"... bien sur une réponse formulée dans un niveau ne va pas résonner dans un autre niveau... of course

mais a priori quand on ne sait pas trop on laisse l'autre choisir dans le menu...

Je cois qu'on se retrouve pas mal dans les principes et la valeur relative du pragmatisme et du risque de brandir ce panneau soit pas paresse soit comme pirouette et hop... on passe à autre chose...

Ce que je pense c'est que l'idée que chacun de nous peut se faire du pragmatisme ne nous autorise pas à juger les propositions des autres.

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Discussion : L'amitié homme-femme (sans sexualité) est-elle possible s'il y a désir des deux parts ?

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titane

le jeudi 04 février 2010 à 15h31

le désir ne se nourrit pas, selon moi, d'un passé ou d'un futur... il s'éprouve au présent même s'il y a une part d'anticipation... tout comme un "je t'aime"...

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Discussion : L'amitié homme-femme (sans sexualité) est-elle possible s'il y a désir des deux parts ?

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titane

le jeudi 04 février 2010 à 15h30

et même si c'est une fois l'an... cela peut déménager !! consommé ou pas !!

désolé aussi

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Discussion : L'amitié homme-femme (sans sexualité) est-elle possible s'il y a désir des deux parts ?

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titane

le jeudi 04 février 2010 à 15h29

Chère Rosalie... un désir même consommé reste un désir ! il ne se satisfait pas de sa propre satisfaction car ce n'est pas un besoin, mais une "envie"... sinon on ne ferait l'amour qu'une seule fois et hop on passe à autre chose...

attention à cette utilisation de quantitatifs un peu rapide qui se permettent de juger ce qui est un désir "fort", "vrai" ou "véritable" ou "réciproque"... terrain glissant et trop facile... même un petit désir reste un désir pas moins vrai ou moins beau...

ces intensités justement varie selon l'intimité partagé au moment présent... même avec la même personne d'une vie on ne se saute pas dessus à chaque fois qu'on se voit! parce que l'intimité partagée n'est pas toujours là au moment présent... ainsi dans une amitié, on peut se passer "volontairement" ou pas dans une intimité partagée ou l'intensité du désir devient tout à coup multiplié et hop... on se dénude de notre amitié pour couvrir nos corps de nos nudités...

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Discussion : L'écologie de l'amour ou aimer écologiquement

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titane

le jeudi 04 février 2010 à 15h24

Drya... on dit la même chose oui... ne pas vraiment s'inquiéter de la quantité (existante ou renouvelable) mais davantage de la qualité que l'on reçoit et que l'on distribue une fois transformée par l'autre ou par soi...

elle m'aime sans condition, mais moi je l'aime jalousement et en imposant mes protections contre mes souffrances névrotiques... et je lui demande de ne pas danser avec mon ami sinon je la culpabiliserai de me faire souffrir !

Voilà un exemple de "qualité" je crois... selon notre capacité à résister ou non à l'amour... par peur ou confiance... tiens tiens... confiance et confiance en soi... un autre fil non?

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Discussion : L'écologie de l'amour ou aimer écologiquement

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titane

le jeudi 04 février 2010 à 15h20

si tu veux... et comment mesures tu que tu en as en quantité limitée? si tu sais qu'elle est renouvelable?

ce serait prétendre que la quantité d'eau de l'océan est insuffisante en jugeant du débit d'une paille à travers elle coulerait... entre "quantité" et "débit" il y a une petite différence... mais je comprends ton point et cela ne change pas grand chose à la nécessité de la transformer et non de la "capitaliser" ou de la "capturer" et surtout de travailler sur la "qualité" en terme de comment tu l'as reçois et comment tu l'as distribues... librement, gratuitement, spontanément ou à travers un contrat mutuel et une série de protections et autres clauses... par exemple...

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Discussion : L'écologie de l'amour ou aimer écologiquement

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titane

le jeudi 04 février 2010 à 14h35

dans un écosystème, la résilience repose sur le dynamisme des flux d'énergie et de matière... les formes et quantités à l'intérieur évoluent changent et mutent, mais le système reste et demeurent dans l'abondance de ses flux...

L'amour n'est pas basé sur un besoin à satisfaire mais sur un désir illimité (d'où l'amour pluriel ou le polytruc! sinon autant avoué que nous sommes tous des frustrés du sexe chez nous!)...

Il s'agirait alors non plus de "capturer" l'amour, comme dans un modèle pervers d'une monogamie possessive et exclusive, mais de le transformer en énergie vitale, conviviale, compassionelle... comme vous voulez ... selon vos élans messianiques... :-)

la quantification n'a plus de raison d'être non plus... au diable le "poly" ou le "pluriel"... mais seule la qualité compte... comme celle de l'air que l'on respire et qui pourtant est si abondant (dans sa quantité "illimitée")...

l'amour ne serait pas une nourriture quantifiable mais un souffle qualifiable... pas de pénurie mais une douce abondance plutôt rassurante lorsque nous apprenons à nous défaire de nos peurs de manquer qui n'ont plus de raison d'être du coup... c'est l'idée du don et de l'abandon qu'on retrouve souvent sur le champs lexical de l'amour...

J'aime bien l'adaptation de Drya... un bon point de départ pour une discussion sur l'amour multiple...

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Discussion : L'amour et la façon d'aimer sont-ils ou doivent-ils être pragmatiques ?

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titane

le jeudi 04 février 2010 à 14h26

et comment tu diagnostiques les capacités de ton interlocuteur ?

Je suppose naïvement que lorsque chacun de nous expose une "solution" c'est parce que pour lui cela lui a été utile et justement une solution, non?

Donc ceux qui proposeraient de faire le grand saut seraient ceux qui l'ont vécu ainsi et qui souhaiteraient partager cette expérience... reste à l'interlocuteur, qui est le mieux placé pour connaître ses capacités à retomber sur ses pattes ou non, de voir si cela résonne ou pas en lui ou elle.

Ainsi, si je te suis bien, juger ce qui est le plus "pragmatique" ou pas, reste un un jugement de valeur hâtif si ce n'est par l'intéressé(e) lui/elle-même...

de même pour ce qui serait de juger de quel "niveau" (spirituel, philosophique, psychique ou physique) la solution pragmatique pourrait surgir...

Beaucoup d'incapacités d'aimer surgissent d'une contradiction d'ordre spirituelle, philosophique ou psychique...

Le pragmatisme peut donc aussi se retrouver dans ces niveaux là tant qu'il "aide" l'autre à avancer dans le chemin qu'il ou elle a choisi. non?

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Discussion : Dire "non" - pas si facile!

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titane

le jeudi 04 février 2010 à 14h17

un autre faux vrai débat?

les "oui" et les "non" sont les plus petits raccourcit de notre liberté fondamentale... nous nous exprimons par la façon dont on distribue nos "oui" et nos "non"... si nos "oui" ou "non" sont réactif aux autres et à ce qu'ils peuvent penser ou souffrir... nous allons finalement vivre la "vie des autres" et non la nôtre.

Dans un autre fil on parle d'être spectateur de sa vie ou d'être acteur de sa vie...

nous sommes responsables dans le choix de nos "oui" et nos "non" mais on ne peut pas être responsable de toutes les conséquences de nos "oui" et de nos "non"... c'est comme ça que le jaloux cherche à culpabiliser son aimée !... "si tu lui dis oui à lui alors je vais souffrir et me pendre !!"... tiens voilà la corde !

celui qui entend le "oui" ou le "non" a aussi sa part de responsabilité dans la façon dont il va s'y adapter ou l'accepter... car lui aussi peut dire "oui" et "non"...

"oui suis polytruc !" ; "ah, ben non ça ne m'intéresse pas"... si le premier "oui" peut faire mal c'est le problème de celui qui a dit "non"... le oui n'était pas une agression et l'inconfort qu'il créer reste provoqué par le "système de valeur" de celui qui va dire "non"... et si le "non" en retour fait souffrir celle qui a dit "oui" et bien c'est aussi son problème...

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Discussion : L'amitié homme-femme (sans sexualité) est-elle possible s'il y a désir des deux parts ?

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titane

le jeudi 04 février 2010 à 14h08

RIP et Lutevin... ou l'inverse un ancien amour qui glisse doucement vers une amitié tendre... j'aime sauvegarder dans mes relations ce continuum et cette liberté d'aller de l'amitié à l'amour comme ça...

Cela est aussi relié à la question de la difficulté de dire "non"... il s'agit ici de ne dire ni "oui" ni "non" ou de dire "oui" ET "non"...

j'ai une relation amicale dans laquelle par moment on a des ébats amoureux comme ça... juste quand les désirs se rejoignent... et ensuite on se "relève" et se "rhabille" de notre amitié...

franchement je crois qu'il y a ici un vrai faux débat... ou serait-ce l'inverse ?

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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Discussion : L'amour et la façon d'aimer sont-ils ou doivent-ils être pragmatiques ?

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titane

le jeudi 04 février 2010 à 13h53

vous ne pouvez pas dire que je ne vous laisse pas de la "place"... :-)

je vois qu'il n'est pas si pragmatique d'expliquer le pragmatisme même par les plus grands pragmatiques du coin... le sujet n'est pas tellement d'expliquer comment être pragmatique dans un forum... mais de voir si le "pragmatisme" a sa lace dans nos façons d'aimer...

Dans "façons" j'y inclue la façon de construire son "idée" intime (donc pas que de l'intellectuel là !!) de l'amour (exclusif ou pas, possessif ou pas, libre ou consensuel... que sais-je?), de décider comment on va "expérimenter" cette idée dans notre vie afin de la "valider" ou la faire évoluer vers une plus grande harmonie, ou résonance avec son "moi" profond, ou 'nature" profonde ou intime... ou tout simplement confort... mais aussi la façon dont on posera notre regard sur l'amour des autres et sur leurs façons de nous aimer...

Ce forum, son contenu, cherche à promouvoir une autre façon d'aimer et d'accompagner ce changement de façon "pragmatique" a priori... non?

il y auarit deux approche possibles en gros pour ceux qui voudraient changer... changer à petit pas ou faire le grand saut... si on veut simplifier...

Où se situerait le "pragmatisme" ?...en tant "qu'accompagnant" dois-je faire preuve de "pragmatisme" dans des "petits pas" ou dans la construction du courage à "faire le grand saut" ?

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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Discussion : L'amour et la façon d'aimer sont-ils ou doivent-ils être pragmatiques ?

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titane

le mercredi 03 février 2010 à 19h14

je suis en déplacement en ce moment et je ne peux pas réagir à tes idées ni ici ni ailleurs ...

profitez-en !!

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Discussion : L'amitié homme-femme (sans sexualité) est-elle possible s'il y a désir des deux parts ?

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titane

le mardi 02 février 2010 à 21h52

c'est du vécu !! l'amitié avec désir est délicieuse lorsqu'elle est assumée et reconnue... un désir reconnu mais non assouvi est déjà un plaisir

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Discussion : L'amour et la façon d'aimer sont-ils ou doivent-ils être pragmatiques ?

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titane

le mardi 02 février 2010 à 21h49

nous disons bien la même chose mais c'est meilleur quand on le dit soi-même, hein !

j'apprécie ta sincérité à reconnaître que bien souvent derrière le bouclier du pragmatisme on cache à peine sa paresse du moment pour aborder quelque chose de "nouveau"... ce que l'on connait déjà reste plus concret a priori... mais si cela avait été vrai... on n'aurait jamais rien inventé ou créé n'est-ce pas ?

ce que je voulais dire par "idée anthropologique" (probablement une mauvaise formule) c'est que notre "idée" de l'amour est aussi un héritage de nos expériences passées très lointaines... peut-être même une pré expérience hominidienne... c'est que je m'amuse à proposer dans le fil de "l'amour écologique"... où on chercherait à évoluer d'une idée d'amour basée sur un réflexe de "besoin" et basée sur la pénurie, la productivité et la quantification... vers une innovation basée sur une expérience de l'abondance, la transformation et la qualité...

le pragmatisme ne serait donc pas de se protéger, d'accumuler ou de protéger son "capital amoureux"... mais au contraire de transformer, de partager et de rechercher la qualité de l'expérience amoureuse...

Le polytruc devrait alors aller au delà du nombre et se pencher sur la transformation amoureuse et la qualité de l'amour... beaucoup de contribution dans ce forum l'aborde sans l'aborder...

je pense que c'est là la grande révolution... pas tellement dans le poly ou le pragmatisme 'libéral" (que le meilleur gagne... à la Don Juan) ou "communautaire" (restons groupé, ensemble et protégeons nos amours partagés comme le propose le poly truc officiel)...

enfin bref

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Discussion : Dire "non" - pas si facile!

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titane

le mardi 02 février 2010 à 21h37

moi aussi je n'aime pas dire non... j'expérimente une autre réponse... qui part du principe que le plus grand choix serait non pas dans le "ou" mais dans le "et"... donc dire "non ET oui"...

comment? en laissant toujours la porte ouverte aux possibles... non pour l'instant et voyons un peu tard... oui pour l'instant avec la liberté de dire non ensuite... non puis oui... puis non...

dédramatiser le "non" qui peut devenir un "oui" et lycée de Versailles... garder le droit et la liberté de changer d'avis ! et de se tromper... il n'y a pas de mal !!

et si il y en a je crois qu'il est plus su^pportable que de s'enfermer dans un "oui" ou un "non" définitif !!

non?

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Discussion : L'amour et la façon d'aimer sont-ils ou doivent-ils être pragmatiques ?

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titane

le mardi 02 février 2010 à 21h32

c'est toi qui le dit encore une fois... selon les outils que tu as surement lus tu aurais pu dire: "je ne ME sens pas connectée à ce que tu essayes de dire..." cela apparaitrait déjà moins de jugement de valeur d'une grande gourou des fora... (communication non violente tu dois certainement connaître... des trucs pragmatiques aussi !)

Proposer à quelqu'un en détresse d'essayer de poser un autre regard sur son sentiment de "perte" c'est lui offrir une opportunité de changer de position déjà douloureuse pour voir si ça ferait déjà moins mal... sans lui garantir quoique ce soit... poser un autre regard sur la jalousie a permis à beaucoup de dédramatiser ce sentiment... se rendre compte que sa souffrance ne vient pas de l'extérieure (on m'a rivé de mes plaisirs) mais peut-être d'une position narcissique (interne) d'une perte de confiance en soi... peut permettre de se rendre compte que la solution possible serait alors non pas de se lamenter sur un manque, mais de transformer ce sentiment en reconquête de soi... et c'est là que tes outils pourraient être utiles une fois que le diagnostic a été précisé au delà des symptômes.

lui dire d'aller surfer sur des sites de thérapies... ne me parait pas plus pragmatique... sauf peut-être si tu avais explicité les "outils" (et les idées sur lesquelles elles s'appuient) et expliquer, selon ton point de vue, en quoi cela aurait pu être utile...

pour un mal de tête grave rien ne vaut un gros câlin !... pour ceux qui viennent de Mars !

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Discussion : Et si on parlait de l'absence...

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titane

le mardi 02 février 2010 à 21h20

"En vous; lisant j'ai l'impression, que c'est une grand apprentissage de sa liberté, de la liberté de l'autre et apprivoisée la frustration....".... je me tue à le dire au risqi*ue de paraître trop philosophique , messianique et théorique... hic...

liberté, spontanéité et gratuité... héhé

ça parait trop simple pour être crédible... pourtant je n'ai jamais dit que c'était simple... un apprentissage qui démarre par un sentiment qui prend forme dans une idée que l'on va pragmatiquement expérimenter... et hop on y prend goût !

J'étais bien mono... j'ai ressenti un autre amour qui ne semblait pas remettre en cause le premier, je l'ai exprimer gratuitement et spontanément et en me disant que je n'avais "rien à perdre"... librement nous l'avons expérimenté (elle était aussi mono en couple)... et on a aimé !!! sans se prendre la tête... sauf lorsque nos conjoints nous ont fait comprendre qu'ils ne voulaient rien savoir... on a donc expérimenté la discrétion, la pudeur et l'intimité que certains se permettent de juger comme "tromperie", "mensonge", hypocrisie"... et tous ces grands mots qui nous remplissent la bouche à nous en écoeurer...

depuis il y en a eu et il y en a d'autres....

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Discussion : L'amour et la façon d'aimer sont-ils ou doivent-ils être pragmatiques ?

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titane

le mardi 02 février 2010 à 21h08

donc j'essaye de résumer un peu... être pragmatique reste dans le champs des idées et de la méthode... mais une méthode intéressée aux conséquences pratiques et où les idées restent un instrument... méthode validée par l'expérience...

donc si on lit une idée qui propose de poser un autre regard sur sa détresse et sa souffrance et qui propose d'en faire l'expérience afin de voir si du coup la souffrance ainsi relativisée est un peu plus supportable... reste pragmatique !

L'idée reste une "proposition" à expérimenter... les "méthodes" proposée pour le développement personnel et mentionnées par Clémentine ont été élaborée sur de la théorie et mises en pratique, donc, expérimentées...

je ne vois donc pas pourquoi on me taxerait de "non-pragmatique" comme si c'était une maladie... mais ce n'est pas trop grave ça...

comme l'a écrit récemment une de nos amies... mettre les bons mots au bons endroits serait comme faire les bons points de pression sur les noeuds qui font mal... une bonne "acuponcture"...

L'amour na rien de pragmatique car ne s'appuie pas sur une idée de départ... par contre la façon d'aimer oui certainement... elle s'appuie sur une idée anthropologique de l'amour qui en définira le champs d'expérience... le combat de l'amour multiple serait d'élargir ce champs, non?...

le pragmatisme serait alors de proposer d'abord des idées de départ et une série d'action d'expérimentation qui nous permettrait de vivre cet amour pluriel...

non ?

Et de le vivre le mieux possible ! d'où les outils de développement personnel qui seraient là pour nous aider à nous ouvrir à ces possibles et à les appréhender positivement afin d'agir volontairement vers cette expérimentation utile et nécessaire...

est-ce que je suis encore grave dans le sujet ?

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