Polyamour.info

artichaut

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Rennes (France)

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Discussion : Vers la non exclusivité sexuelle.

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artichaut

le mercredi 13 mars 2024 à 11h07

dany
Elle … m'a dit des chose qu'elle ne m'avais jamais dites en 9 ans de relation. J'ai aussi commencé à lui dire à demi-mots que je voulais bien essayer de la laisser vivre ce qu'elle veux.

Oui, aborder/affronter les situations individuellement et ensemble, tend à provoquer de tels "bénéfices secondaires" : vous semblez être sur le chemin de vous découvrir toujours plus (individuellement et ensemble), non pas dans les masques sociaux appris, les injonctions intégrées, mais dans l'authenticité de qui vous êtes vraiment, avec plus de profondeur et de connaissance de vous-même, donc plus de conscience de ce que vous voulez/pouvez vivre (ensemble et individuellement).

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Discussion : Jalousie et déroulement couple libre

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artichaut

le mercredi 13 mars 2024 à 00h07

Alinea7
il y a quelque chose de maladif dans le fait de chercher à posséder des ressources affectives pour se sentir fort alors qu'avec une fraction on irait déjà très bien.

Et le polyamour en ce sens est pathogène.
La monogamie nous bride, alors on cherche à élargir notre horizon affectif (en multipliant à toute force le modèle monogame), au lieu de regarder et prendre soin de ce qui est déjà là.

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Discussion : [Jeu] Jeu de rôle

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artichaut

le lundi 11 mars 2024 à 10h12

-> Voir aussi le fil : Polyamour mondes virtuels

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Discussion : [Jeu] Polyamour mondes virtuels...

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artichaut

le lundi 11 mars 2024 à 10h08

-> Voir aussi le fil : Jeu de rôle

(essayons de ne pas multiplier les sujets similaires)

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Discussion : Jalousie et déroulement couple libre

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artichaut

le lundi 11 mars 2024 à 09h55

Alinea7
Pour moi la jalousie en tant qu'émotion est là quoi qu'on en dise

Et la jalousie, en tant qu'émotion, est toujours positive. Et nous aurions raison de la (re)valoriser, d'apprendre à l'aimer.
Une émotion est là pour nous dire quelque chose, pour nous prévenir, pour nous alerter, pour nous protéger, pour nous apprendre quelque chose sur nous-même, pour nous inciter à ralentir, pour nous inviter à prendre le temps de regarder ce qui se passe à l'intérieur de nous-même, pour nous reconnecter à nos besoins, pour ne pas s'oublier soi-même, etc.

Alinea7
Et pour moi il faudrait presque un autre mot pour désigner le comportement jaloux parce que faire le lien entre les deux c'est déjà commencer à justifier l'abus.

Perso j'aurais tendance à apeller ça la possessivité.
Ressentir une émotion est une chose. Enfermer l'autre dans notre émotion et l'assujetir à celle-ci, en est une autre.

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Discussion : Vers la non exclusivité sexuelle.

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artichaut

le lundi 11 mars 2024 à 09h33

dany
J'ai également appris qu'elle avait repris contact avec un de ses crush d'il y a 5 ans, qui avait déjà provoqué une petite crise dans notre couple. Pour ça, j'avoue, je lui en veux un peu. Rapporter cette personne et le bagage qui va avec dans notre vie, à ce moment, je trouve ça un peu indélicat.

Indélicat… et risqué.
Ces prises de risques sont courantes quand on est dans une découverte de soi, et que l'on prend conscience de tout un champ des possibles, que l'on avait jusque-là laissé de côté (et la tentation est grande d'aller — semble t-il — au plus rapide, au plus facile, notamment en voulant ré-écrire l'histoire, ou la reprendre là où elle a été laissée).
Cette soif de (se) découvrir (une sorte de NRE de soi-même) ne fait pas toujours bon ménage avec le besoin — tout aussi impérieux — de rassurance de l'autre.
Et il y a souvent un problème de vitesse. L'un·e cherche à accélérer (pour rattraper le temps perdu ?), l'autre à ralentir (pour ne pas tomber).

dany
Mais voilà, ici, ça coince. Parce que nous mettons le doigt sur une différence fondamentale de nos personnalités.

N'y a t-il pas aussi, ou plutôt, une similitude de personnalités ? Vous cherchez à vous découvrir vous-même…
Car c'est d'abord vers ça qu'elle va, à mon avis. À la rencontre des autres, pour se rencontrer soi.

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Discussion : Vers la non exclusivité sexuelle.

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artichaut

le lundi 11 mars 2024 à 09h22

Siestacorta
Pour obtenir ce qui t'épanouit dans votre relation, concrètement, qu'est-ce que vous faites ? A quels moments, dans quelles perspectives tu sens que vous faites ce qui te rend heureux ? Ce que vous partagez, ce que vous vous regardez être, ce que vous espérez ensemble. Dans une journée, un mois, des années, concrètement, matériellement.
Quand tu as définis ça, tu vois ce que du dois entretenir et développer pour que ce soit la relation. Et tu vois aussi si tout ça serait matériellement impossible avec pour elle un tiers-aimé dans le paysage.
(…)
Ces pratiques concrètes peuvent rendre "la place à prendre" par une autre relation moins menaçante,

Voilà, je pense, une des clefs : s'appliquer à regarder le concret, ce qui se vit conrètement.

Le symbolique est important aussi, bien sûr. Ça nourrit, ça transporte, ça peut embellir même (avec les dangers que ça comporte). Mais lorsqu'on est un peu perdu, reprendre pied peut passer par se (re)connecter à la réalité. Réalité qui ne s'oppose pas à l'imaginaire, mais qui fournit une autre lecture des choses, des événements, des liens, etc. Réalité sur laquelle on peut agir concrétement.

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Discussion : Articles, livres, films...

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artichaut

le jeudi 07 mars 2024 à 09h38

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Discussion : Appel à questions (pour mon taf de sexologue)

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artichaut

le samedi 24 février 2024 à 15h07

Tuya
j'espère que Alabama choisisse clairement l'une des 2 professions et d'arrêter de mélanger les 2.

Là est donc — me semble t-il — le coeur de la polémique que tu soulèves depuis le début de cette discussion. Et elle est en soi intéressante : peut-on exercer à la fois le métier de TDS et de Thérapeute ?

@Alabama a effectivement dit ailleurs sur ce forum être TDS, je ne pense pas avoir lu qu'elle fusionnait les deux métiers, ni que des clients de l'un pouvait devenir des clients de l'autre. Donc la concernant, il y a peut-être procès d'intention.

Car sinon, je ne vois pas en quoi ce serait un problème d'avoir plusieurs métiers disctincts ?

Mais soite, poussons le questionnement plus loin. Peut-on exercer le métier de TDS et de Thérapeute en même temps, et parfois avec les même clients ?

Il est notoire que les prostituées ont souvent, en plus des services sexuels, un rôle d'écoute, de soutien moral, voire d' "assistance sociale", de "thérapeute", ou de "pyschologue" (sans nécessairement les formations ou diplômes). Le contraire est moins vrai. Et même quand un psy, thérapeuthe ou médecin va sur le terrain affectivo-sexuel avec une patiente, ça crée plutôt des situations d'emprises et d'abus. Mais ces relations ne sont ni cadrées, ni tarifées. Et j'ai pour ma part le sentiment que c'est justement ces non-dits, ce tabou, cette "zone grise"… qui permet les dérives que l'on connaît. D'où le besoin de clarification, par exemple, du Code de déontologie médicale.

Il n'y a encore pas si longtemps on considérait qu'un psy ne devait pas s'impliquer dans la relation à son patient et rester strictement extérieur. Aujourd'hui, depuis les apports notamment de la psychologie humaniste cette posture est très largement remise en question.
Idem la question des services sexuels à la personne ou de l'assistanat sexuel est enfin considéré.
Alors pourquoi pas un suivi thérapeutique incluant du corps, voire des formes de sexualité ? Le tout cadré et tarifé.
C'est un grand tabou, ça nécessiterais une vigilance accrue (et donc a minima une supervision). Mais ça ne me semble pas du tout comparable à des "comportement ambigu en particulier à connotation sexuelle" tels que nommés dans les commentaires du Code de déontologie médical.
Ou bien, si l'on considère que ça fait beaucoup pour une seule personne, peut-on imaginer une association entre des TDS et des thérapeutes travaillant ensemble auprès d'un même client ?

Et ce serait intéressant d'avoir les avis des personnes concernées : clients, travailleuses du sexe, et thérapeutes.

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Discussion : Appel à questions (pour mon taf de sexologue)

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artichaut

le samedi 24 février 2024 à 14h26

Suze
Précision toutefois : la sexologie ne rentre pas dans le champ médical. Elle n'a pas à répondre aux exigences du code de déontologie. Je l'avais inscrit car celui-ci m'apparaît comme un bon indicateur.

Oui, et en soi, on pourrait en effet espérer que les personnes qui se revendiquent thérapeutes, prennent connaissance de cette déontologie et s'en inspirent. De même qu'ils/elles peuvent s'inspirer d'autres réflexions et ressources sur ces vastes sujets.
Ne présumons cependant pas a priori que telle ou tel, ne s'en inspire pas.

Suze
Il demeure le côté borderline de la sexologie où aucun compte ni suivi n'est exigé.

Oui, c'est une question à part entière. Et qui dépasse largement le sujet de ce fil.

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Discussion : Appel à questions (pour mon taf de sexologue)

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artichaut

le samedi 24 février 2024 à 13h47

Tuya
arrêtez de penser par le prisme militant quand on émet des critiques sur un format.

Il y a pourtant bien un désacord politique de fond.

On s'accordera facilement pour dire que Moi les hommes, je les déteste (pour reprendre le titre du livre de Pauline Harmange), c'est de la misandrie, mais est-ce du sexisme ?

Un lecture rapide des concepts peut facilement laisser penser que le sexisme, le racisme, l'âgisme, peuvent exister dans les deux sens. Mais c'est ne pas prendre en compte que l'on parle d'oppression systémique (sociétale si l'on préfère).

Critiquer les femmes (en tant que classe sociale) c'est du sexisme. Mais critiquer la classe des hommes (ou "les hommes"), ça n'en est pas (c'est la visibilisation d'une oppression). Ça peut sembler contre-intuitif, mais c'est pourtant sur ça que s'accordent la plupart des sociologues travaillants sur le sujet. Et même si étymologiquement ou lexicalement ça en était, ça ne serait pas sociétalement comparable.

Parler de "sexisme" contre les (la classe des) hommes, c'est en soi, un discours militant, un positionnement politique (et c'est notamment le discours des masculinistes).
On peut certes avoir des désaccords politique de fond. Ça n'empêche pas de discuter. Mais c'est mieux d'avoir conscience de ces désacords et de leur dimension politique.

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Discussion : Appel à questions (pour mon taf de sexologue)

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artichaut

le samedi 24 février 2024 à 13h18

Suze
Le code de déontologie medicale (article 2) interdit les relations sexuelles entre médecin et patient.

Soyons précis·e·s.

Ce n'est pas à proprement parler une "interdiction des relations sexuelles entre médecin et patient" (mais plutôt une mise en garde, invitant à ne pas abuser de l’ascendant de sa fonction) et ça ne figure pas dans l'article 2 du Code de déontologie medicale, mais dans les commentaires du dit article, voire dans une jurisprudence citée dans ces commentaires :

6-2 Inconduites à caractère sexuel
La relation médicale implique l’obligation éthique du respect de la personne humaine et de sa dignité. Tous les actes d’atteinte à la personne humaine, pénalement condamnables, notamment s’agissant des agressions sexuelles, du harcèlement et de la discrimination, sont interdits pour le médecin, comme pour tout citoyen. Par ailleurs, le médecin ne doit pas abuser de sa position notamment du fait du caractère asymétrique de la relation médicale, de la vulnérabilité potentielle du patient, et doit s’abstenir de tout comportement ambigu en particulier à connotation sexuelle (relation intime, parole, geste, attitude, familiarité inadaptée, …).

La jurisprudence de la chambre disciplinaire nationale (note 10) condamne cet abus aux fins d'obtenir des relations sexuelles :
« Il résulte [des dispositions du code de déontologie médicale] qu’un médecin, qui dispose nécessairement d’un ascendant sur ces patients, doit, par principe, dans le cadre de l’exercice de son activité, s’interdire à l’égard de ses patients toutes relations intimes de nature à être regardées comme méconnaissant le respect de la personne, de sa dignité ou les principes de moralité et de probité ou à déconsidérer la profession ; qu’il en va ainsi tout particulièrement s’agissant de patients en état de fragilité psychologique, les relations intimes s’apparentant alors à un abus de faiblesse ; que si de telles relations viennent à s’instaurer, il appartient au médecin d’orienter son patient vers un autre praticien ;… Considérant … que, dans ces conditions, et compte tenu de ce qu’il a été dit plus haut, le Dr S, en engageant, et en poursuivant, une relation intime avec sa patiente, alors que cette dernière se trouvait dans un état de fragilité psychologique et, qu’au surplus, il assurait la prise en charge médicale de cette fragilité, a gravement méconnu les dispositions précitées du code de la santé publique ».

Pour se prémunir de toute inconduite, notamment à caractère sexuel, le médecin respectera les 10 conseils suivants :

1. Ne pas abuser de l’ascendant de la fonction de médecin notamment sur des patients vulnérables, du fait de leur état pathologique ou de leur situation, pour transformer la relation médicale en relation sexualisée.
2. Toujours, par une attitude de réserve consciente et de bonne tenue, sans familiarité, respecter la personne humaine et sa dignité. Garder en toutes circonstances la bonne distance qui sied à toute relation patient-médecin.
3. Réserver le cabinet médical, lieu de la pratique médicale, uniquement à celle-ci (prévention, soins, investigations para-cliniques, expertise)
4. Expliquer toujours le déroulement de l’examen au patient, en annonçant les gestes et en précisant leurs modalités et finalité, pour en recueillir son consentement.
5. Assurer l’intimité du déshabillage (box, paravent…) en le limitant à ce qui est nécessaire.
6. Envisager l’opportunité, en accord avec le patient, de la nécessité de la présence d’un tiers (proche du patient, étudiant, autre collaborateur tenu au secret professionnel).
7. S’abstenir d’un comportement ambigu (palpation, commentaires…) et de séduction
8. Détecter les personnes à risques comme les séducteurs et érotomanes, clarifier la situation avec les patients et, si nécessaire, appliquer les dispositions de l’article 47 du Code de déontologie médicale qui permet « au médecin, hors le cas d’urgence et le respect de ses devoirs d’humanité, de refuser ses soins ».
9. Analyser la situation en étant à l’écoute de ses émotions pour les canaliser entre ce qui peut ou ne peut pas, être vécu.
10. S’interroger sur ses actes, ses attitudes et, en cas de situation difficile, identifier la personne ressource comme un confrère, avec laquelle on peut, en confiance, en parler et bénéficier de l'écoute et de conseils, pour clarifier la situation.

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Discussion : Appel à questions (pour mon taf de sexologue)

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artichaut

le samedi 24 février 2024 à 11h05

Siestacorta
En l'occurrence, la misandrie, c'est quand même plus complexe

Ma question Peut-on être misandre et thérapeute pour des hommes-cis (ou des couple hétéros) ? est réthorique et ne concerne pas spécifiquement @Alabama.

Je sais bien que l'on peut (être misandre et thérapeute). Et bien sûr que ça pourrait demander de définir ou d'expliciter cette notion de misandrie.
La vraie question serait plutôt celle du comment : Comment être misandre et thérapeute pour des hommes-cis (ou des couple hétéros) ?
Au sens de comment concrétement ça se pense, ça se vit…

Mais là dans le contexte je pose ma question "naïvement", comme le ferait un blog. Et comme je le fait plus loin avec cette question : Peut-on être amoureux de plusieurs personnes à la fois ?

Car, en soi, je trouve toutes ces questions légitimes. Même si je possède déjà ma réponse, je trouve logique qu'on se pose ces questions, et ça donne envie qu'une personne concernée puisse avoir envie d'y réponde.
Après bon, si on veut qu'une personne concernée y réponde, ça demande sans doute de poser la question avec un peu de tact…
Si un·e mono débarque et te dit "ce n'est pas possible d'aimer plusieurs personnes à la fois" ou "c'est immoral d'aimer plusieurs personnes à la fois", ça ne donne pas trop envie de répondre et d'argumenter.

*
@Intermittent : à quoi sert une citation non-sourcée ? (à part nous dire que tu l'aime bien ou que tu es d'accord avec, ce qui présente ici un intérêt, somme toute, relatif).

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Discussion : Appel à questions (pour mon taf de sexologue)

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artichaut

le vendredi 23 février 2024 à 21h58

Aaaah ce cher forum… toujours à la pointe de la parole constructive…
Au moins ça a le mérite d'être un bon baromètre de ce monde. Tu veux devenir sexologue/sexothérapeute ? Voilà ce qui t'attends.

Toujours est-il que puisque @Alabama tu demandais des questions, il est possible d'en retirer quelques unes au travers de ces craintes légitimes, même si exprimées dans un flot d'agressivité, de procès d'intention, de propos mascu' et de putophobie ordinnaire.
- Peut-on être pute et thérapeute (thérapute) ?
- Peut-on être misandre et thérapeute pour des hommes-cis (ou des couple hétéros) ?
- En quoi le stigmate d'être ou d'avoir été TDS, est-il un obstacle à exercer un autre métier ?
- En tant que thérapeute ou sexologue non-médecin, tu n'es pas tenu·e au Code de déontologie médicale. En quoi celui-ci est-il source d'inspiration dans ton/tes travail ?
- Comment questionnes-tu le risque d'emprise dans une activité de TDS ? Même question dans une activité de thérapeute ?
- En quoi le fait d'avoir une activité tarifée impliquant de la sexualité est-elle différente du fait d'avoir des relations sexuelles non tarifées ? En quoi est-ce que cela cadre la dite relation sexuelle, et il y a t-il alors plus ou moins de risque d'emprise (indépendamment du genre des personnes) ?
- Qu'est-ce qui favorise une relation d'emprise ? Et comment s'en prémunir ?
- etc.

Mais il est vrai @Alabama que ta demande portait sur un sujet plus précis :

Alabama
quelles sont vos interrogations sur le sexe, la sexualité et les relations intimes au sens large, ou quelles étaient vos interrogations il y a quelques années, ce que vous aimeriez lire sur le sujet, ou auriez aimé lire plus tôt dans votre vie ?

Alors voici une première contribution :
- Peut-on être amoureux de plusieurs personnes à la fois ?
- Mouiller/Bander est-ce forcément un signe de désir chez le/la partenaire ?
- Où commence la sexualité ? Comment faire la différence entre tendresse, sensualité, sexualité ?
- C'est quoi le romantisme ?
- Comment gère t-on le caca dans le sexe anal ?
- Qu'est-ce qu'un orgasme sans éjaculation ? Il y a t-il des éjaculations sans orgasme ?
- Comment proposer du sexe à une personne que l'on connaît ?

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Discussion : [Lexique] Quel nom pour le "co-parent"?

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artichaut

le jeudi 22 février 2024 à 01h59

Ton deuxième père. L'amoureux de maman. Tonton Giovanni. Ou tout simplement Giovanni.

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Discussion : [Lexique] Quel nom pour le "co-parent"?

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artichaut

le mercredi 21 février 2024 à 21h27

lau93
Belle mère ou beau père ça peu convenir pour l'autre partenaire du père ou de la mère mais quid du lien avec l'autre parent/métamour qui parait donc transparent?

Je ne suis pas sûr de comprendre ce que tu cherches à définir. Tu pourrais donner un exemple avec des prénoms fictifs ?

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Discussion : Changer de paradigme (relationnel)

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artichaut

le mercredi 21 février 2024 à 14h46

Peut-être tu cherches à vivre des trucs avec moins d'intensité, moins d'enjeux (notamment affectif) et plus de spontanéïté ?
J'ai le sentiment qu'on trouve ça par exemple dans les milieux étudiants, culturels, associatifs, sportifs ou militants. Ou dans de la vie de quartier (apéros voisins…).
Ou peut-être toi-même organiser des « repas raclette » (sans enjeu autre que de la convivialité) et ainsi te faire inviter à ton tour ? Ça fonctionne pas mal comme ça, il me semble.

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Discussion : [Lexique] Quel nom pour le "co-parent"?

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artichaut

le mercredi 21 février 2024 à 12h27

"co-parent" justement, si la personne s'implique dans la vie de l'enfant (au même titre qu'un "beau-père/belle-mère").

Sinon tu peux tenter un "meta-parent" ? Ou juste un·e meta-partenaire. Le lien parent-enfant est une relation : l'enfant est en relation avec son père (sa mère) qui est en relation avec une autre personne. C'est un simple lien "meta".

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Discussion : Changer de paradigme (relationnel)

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artichaut

le mercredi 21 février 2024 à 12h15

Alabama
2. puis me rendre compte que je suis jalouse des personnes qui ont plein de relations et sont invitées régulièrement à des repas raclette,

Ça représente quoi pourt toi les « repas raclette » ?
Tu aimerais juste être invitée (et ne pas forcément y aller), ou tu as envie d'y aller, et vivre ces « repas raclette » ? (que tu a l'air ensuite de nommer comme étant possiblement "superficiels").
Dans d'autres posts tu dis avoir pas mal d'ami·e·s, pourtant…

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Discussion : Recensement de stats et d'études sur le polyamour

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artichaut

le mercredi 21 février 2024 à 01h44

Siestacorta
un échantillon de 3438 personnes :

Autant dire un échantillon non représentatif…

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