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Discussion : Que faire face à des manipulateurs toxiques, à des violences ?

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bonheur

le dimanche 21 juin 2015 à 15h42

En conclusion, j'indique fermement qu'il en relève de nous et que de nous, de nous libérer ou non.
Sinon, on a le choix, et on assume ce choix, de se complaire dans sa victimisation.

L'exemple de la maltraitance infantile est pertinent et peut s'appliquer à la plupart des cas. En tant qu'adulte, nous avons le choix de rester dans un schéma, dans une spirale de victimisation ou de relever nos manches et d'en sortir.

D'autre part, si ce sujet m'intéresse également, ce n'est sans doute pas par hasard... alors avant de s'insurger et de crier au scandale !

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Discussion : Que faire face à des manipulateurs toxiques, à des violences ?

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bonheur

le dimanche 21 juin 2015 à 15h37

Livre "le psy de poche - nous disposons tous des ressources nécessaires pour donner un sens à notre existence" de Susanna Mc Mahon :

chapitre : on m'a maltraité pendant mon enfance : pourquoi continué-je à me faire du tort ?

"La plupart d'entre nous ont été victimes de violences affectives. Beaucoup trop ont même été victimes de violences physiques, voire sexuelles. On pourrait croire qu'ayant été maltraités par autrui, nous allons tout faire pour ne pas nous maltraiter nous-mêmes. Dans la réalité, c'est exactement le contraire qui se produit. Les enfants victimes de violence tendent à devenir des adultes violents. Cela montre l'influence déterminante de notre éducation sur notre personnalité. On nous enseigne à ne pas nous accorder de valeur, à ne pas prendre soin de nos propres besoins. A cette première école, nous sommes des élèves zélés ; nous avons tendance à nous conformer au rôle écrit pour nous ; ce rôle prescrit que nous ne sommes pas dignes d'être bien traités, que nous sommes "méchants" et qu'il faut nous punir. Les violences précoces dont nous avons été victimes nous dépouillent du respect élémentaire de notre personnalité et nous empêchent de reconnaître le caractère foncièrement bon de notre caractère. Elles nous enfoncent dans le crâne qu'il y a en nous quelque chose d'abominable dont nous devons avoir peur. La violence nous apprend à ne pas nous faire confiance, elle nous enseigne que nous en méritons pas d'être en sécurité, ni aimés. La violence tue notre élan vital et etouffe notre propension à prendre des risques. Elle nous apprend à réprimer nos propres sentiments, et à manipuler ceux des autres pour subvenir à nos besoins. La violence est un professeur abominable ; le scénario de la violence met en scène des acteurs qui sont tous perdants et s'entrainent mutuellement dans un cercle vicieux et dangereux. Et bien, ce professeur peut être baillonné, ce scénario peut être jeté : il y a une issue à ce cercle vicieux.

...

La dernière étape consiste à vous libérer de tout programme. Vous êtes responsable de votre vie, responsable de vos comportements. Si vous continuez vos violences contre vous-même ou contre les autres, c'est à présent de votre faute car vous savez que vous avez le choix. Jusqu'à aujourd'hui, vous étiez pris dans un schéma que vous n'aviez pas mis sur pied. Mais maintenant vous savez : dorénavant vous êtes livre de vos décisions. Vous n'avez pas - et vous n'aurez jamais - de bonnes raisons pour vous maltraiter ; vous n'avez pas - et vous n'aurez jamais - de bonnes raisons pour vous punir ou vous comporter de façon destructrice, reconnaissez honnêtement que c'est votre choix, et non pas la conséquence de votre triste éducation. Votre enfant intérieur est à présent votre victime. Cet enfant mérite d'être aimé, d'être traité avec délicatesse, d'être gardé en sécurité. Vous êtes le seul qui puissiez compenser les manques de votre passé. Quel but plus beau pourriez-vous vous fixer dans la vie ?

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Discussion : Que faire face à des manipulateurs toxiques, à des violences ?

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bonheur

le samedi 20 juin 2015 à 16h04

compte cloturé
(+) :-) <3

:-) <3

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Discussion : Que faire face à des manipulateurs toxiques, à des violences ?

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bonheur

le vendredi 19 juin 2015 à 14h31

Je dirais que quand une personne vit mal une situation, c'est important pour elle de l'exprimer et oui, il y a ce travail à faire, indispensable à la reconnaissance de ce mal être.

Aider à cela, c'est important. Comprendre en profondeur l'origine du mal être, ne peut être fait que par la personne en question (qui peut se faire aider)

Par contre, une personne qui ne réagit que dans la complainte et ne désire pas en sortir, qui ne désire pas se re-positiver (résilience, dont nous avons tous la faculté), il faut parfois en effet la bousculer. A elle après de décider de son comportement. Cela ne veut pas dire minimiser ou ignorer les faits et le malaise de cette personne.

Donner des matériaux est un bon moyen d'aider. Mais attendre que le travail se fasse par autrui, même si l'on n'avait rien demandé, et surtout pas de ressentir ce malaise, est inutile. Aider, pour moi, ne signifie plaindre, mais être présent et assister lors de la reconstruction.

J'indiquerai aussi, qu'une personne malveillante, a également un problème (comme l'a indiqué ... invité, on peut se retrouver de l'autre côté de la barrière, ça peut nous arriver à tous) et que lui aussi doit prendre conscience des répercussions de ses actes, comprendre ce qui c'est passé, s'interroger et travailler sur lui afin que ça ne se reproduise pas.

Pour ce qui est de l'aspect juridique des actes graves, il y a un système existant dans nos pays.

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bonheur

le vendredi 19 juin 2015 à 14h21

... invité
Il n'y a juste pas d'enjeu et donc pas de raison d'en sortir quand il n'y a pas de relation en jeu, du moins en apparence. Ne pas faire partie de la vie d'une personne, ne signifie pas ne pas faire partie de son vécu. Quels sont les enjeux du vécu ? Vaste question.

Si le vécu te préoccupe au point de t'interroger et de te remettre en question, je dirais que l'enjeu est au moins celui-ci. Inciter à faire un travail d'introspection.

Je comprend tout à fait quand tu dis que "ne pas faire partie de la vie d'une personne, ne signifie pas ne pas faire partie de son vécu". Ce n'est à mes yeux pas du tout un paradoxe.

Aussi, lorsqu'il y a interaction entre deux personnes, il y a pour moi obligatoirement relation. Même le "corbeau anonyme" est en interaction avec la personne sur laquelle il a jeté son dévolue

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bonheur

le jeudi 18 juin 2015 à 12h49

Moi .... invité (ton identité n'ayant aucune valeur à mes yeux), ce que je retiens c'est tout d'abord :

... invité
Ce qui me dérange avec la diabolisation, c'est qu'elle ne fait qu'amplifier les peurs à outrances.

Je crois qu'il y a une grosse part de vrai dans cette phrase.

... invité
Ce genre de situation présente deux choix, celui de la peur et celui de miser sur le meilleur de la personne en face sans pour autant oublier ses peurs, mais au contraire les assumer comme une part de sa sensibilité qui demande le respect. C'est trop compliqué, c'est plus simple la peur.

C'est la raison pour laquelle les polyamoureux sont des personnes qui assument beaucoup et qui défont le compliqué dans l'explicite au lieu de laisser des situations implicites s'installer. En tout cas, c'est ce qu'il en ressort de mon vécu.

Admettre l'explicite et l'assumer permet de réduire les peurs. Dans mon cas, j'ai du en effet faire face aux peurs de ma relation principale. Lorsque j'exprimais "j'aime une tierce personne", il comprenait "on va divorcer" "il n'y a plus d'amour entre nous" "on va perdre tout ce que l'on a construit ensemble"... Et à force de dialogues, ma relation principale a pu dire ses peurs, les exprimer. Moi j'ai pu dire et exprimer que je n'avais pas d'intention de changer notre vie, tout en admettant que cela changerait notre relation.

Je suis en interaction avec ma relation principale, une relation secondaire célibataire (mais dont la famille n'admettrait pas notre lien), une autre relation secondaire également poly sauf que l'on tient tout les deux comptes des ressentis de sa relation principale. Au quotidien, je tiens compte de ce que chacun-e exprime, explicitement, car dans l'implicite, l'humain n'a jamais le bon décodeur.

Les interprétations, il n'y a rien de pire. Je crois aussi que ce que tu as voulu exprimer dans ton premier post. En tout cas je l'ai fortement ressenti ainsi. Je suis d'accord avec cela.

Nous sommes humains, et chacun-e fait de son mieux. Je crois que je comprend que l'on puisse devenir ce que l'on n'appréciait pas. Ce qui pousse à cela est l'exaspération et sans doute une certaine volonté de rendre "oeil pour oeil, dent pour dent". La colère qui nous envahit, la jalousie qui nous ronge... il faut en effet avoir un entourage compréhensif, à l'écoute et qui veut notre bien pour canaliser les émotions négatives. Aussi, être à l'écoute de ses personnes qui forment notre entourage, permet une complicité hors normes. C'est une spirale, en fait.

Admettre ses émotions est important. Les expliquer aussi. Etre écouter encore plus. Ensuite seulement, on peut arriver à positiver et à agir dans un sens opportun.

La souffrance, je dirais que c'est pareil. Ne pas la négliger, elle est humaine. L'expliquer, la faire reconnaitre pour ce qu'elle est (quelque soit les conséquences) et ensuite l'affronter.

Pour moi l'expression "je ne veux pas faire souffrir inutilement" est aberrant. Pourquoi privé l'autre de la gestion de la souffrance, même si l'on en est l'origine. Par contre, encourager l'autre à exprimer, être à son écoute, indiquer que l'on s'excuse pour avoir provoquer cela, indiquer que l'on désire être honnête sincère pour continuer à avancer ensemble. Exprimer que l'on est humain, et seulement humain. La souffrance a forcément un intérêt, c'est sa mauvaise gestion qui pousse à des extrémités.

... invité
Que je sois poly ou pas n'importe pas. Par contre, le monde poly est un petit monde et là, je me pose des questions sur la gestion publique de questions privées.

Je suis d'accord. D'autant que nous vivons dans un monde "voyeuriste". La presse people est la plus vendue et c'est de la pure gestion publique de questions privées. Sincèrement, si c'est devoir subir ça, mon anonymat me va bien.

Ici, l'anonymat règne. Enfin, si on le désire.

Comme tu l'as si bien exprimer, un entourage traditionnel interprète et n'offre pas toujours l'écoute et l'aide appropriée. J'espère que ce site apporte un peu de tout cela. Après, il n'y a ici quasiment que des individus lambdas et non des professionnels.

Le monde poly est petit. Je le pense aussi. D'autant que, en ce qui me concerne, je m'identifie peu à ce que je lis ici. Ma vie, mon vécu, mon moi intérieur est unique. Nous sommes tous ainsi. Personne n'est mauvais, personne n'est parfait. On fait avec ce que l'on a.

toutefois, je crois que si la souffrance, les peurs, sont justifiables. La violence et les persécutions peuvent toujours s'éviter. Enfin, à chaque fois que c'est possible.

Voici ce que moi j'ai compris à tes propos ... invité. Et ils sont parfaitement compréhensibles, si l'on tient compte du fait que tu tiens à ton anonymat et c'est parfaitement normal

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Discussion : Trouple, Avis et de témoignages ?

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bonheur

le samedi 13 juin 2015 à 12h18

Je ne peux apporter grand chose à la notion de trouple que je ne vis pas.

Par contre cette phrase me parle énormément :

CVBH (invité)
... elle est survenue dans notre vie de couple amoureux.... quand nous ne l'attendions pas !!

L'amour survient toujours lorsque l'on ne l'attend pas. Je dis souvent (mais ça ne concerne que mon point de vue) qu'il est inutile de chercher l'amour, c'est lui qui nous trouve.

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Discussion : Que faire face à des manipulateurs toxiques, à des violences ?

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bonheur

le samedi 13 juin 2015 à 12h14

Faute de passer pour quelqu'un qui n'a rien d'autre à indiquer, il existe de nombreux livres sur la manipulation. Inutile que je donne des références.

Je connais un homme qui s'est fait agressé sexuellement par un autre homme. Le viol n'est pas subi que par des personnes de sexe féminin.

Je connais aussi un homme qui subi régulièrement des violences physiques de la part de sa femme (procédure de divorce en cours) et qui ne répond pas afin de ne pas aggraver la situation et de ne pas dépasser les limites qu'il s'impose.

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Discussion : Quelles sont vos autres passions ou centres d'intérêts (autres que le polyamory / l'amour) ?

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bonheur

le lundi 08 juin 2015 à 15h03

Motoko
Je peux aimer très fort certaines personnes, et en groupe je suis plutôt sociable. Mais je chéris la solitude et rien ne me plaît tant que partir quelques jours....

Je t'emprunte cette phrase pour décrire l'une de mes relations secondaires qui a de nombreux centres d'intérêts artistiques mais son plus grand besoin est de s'isoler dans la nature (plutôt rando dans son cas).

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Discussion : Quelles sont vos autres passions ou centres d'intérêts (autres que le polyamory / l'amour) ?

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bonheur

le dimanche 07 juin 2015 à 19h31

A Lulutine : je parlais de shibari suspendu (+) ou aérien (j'ignore comment on l'appelle)

Voici un lien avec des photos-exemples

www.artofcontemporaryshibari.com/?page_id=51

Message modifié par son auteur il y a 10 ans.

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Discussion : Quelles sont vos autres passions ou centres d'intérêts (autres que le polyamory / l'amour) ?

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bonheur

le dimanche 07 juin 2015 à 19h30

A l'attention de ceux qui aiment lire et qui font un travail sur eux-mêmes ou qui étudient les relations humaines en général, j'indique que j'ai commencé de lire "le psy de poche - Nous disposons tous des ressources nécessaires pour donner un sens à notre existence" de Susanna Mc Mahon (poche marabout ISBN 978-2-501-08485-7 prix 5,99 TTC en France).

C'est une sorte de "guide pratique" du développement personnel. Je n'en suis qu'au début mais je recommande déjà. Cet ouvrage est très simple et très accessible. Il m'apparait comme très bien construit et surtout il n'est pas jonché de dizaines d'exemples qui viennent alourdir l'ensemble.

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Discussion : Quelles sont vos autres passions ou centres d'intérêts (autres que le polyamory / l'amour) ?

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bonheur

le dimanche 07 juin 2015 à 16h54

-relations humaines en générale,
-épanouissement personnel,
-histoire (quelques périodes en particulier),
-tourisme (suivant mes centres d'intérêts mais pas seulement)
-lectures (divers),
-écrire,
-danser,
-photos,
-danser (faire bouger son corps),
-rando (petites),
-vivre et observer le monde d'une manière générale :-) ,
-autres...

PeruvianLuna
Le shibari (modèle depuis peu)

J'ai déjà assisté à des représentations, c'est magnifique... j'avais adoré et ma relation principale encore plus. Il faut avoir un physique à la fois beau, gracieux et les muscles nécessaires. Belle passion (+) .

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Discussion : J'ai été un enfant de poly

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bonheur

le samedi 06 juin 2015 à 21h31

Je confirme : c'est si beau la tendresse :-D

Merci pour ce lien.

Je n'y connais pas grand chose, mais si tu n'es pas arrivé à mettre en article, c'est peut être parce que tu es en invité et non inscrit.

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Discussion : J'ai été un enfant de poly

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bonheur

le samedi 06 juin 2015 à 21h29

Je ne peux pas dire que j'ai des enfants de poly, puisque seul l'un des parents est poly et que l'on ne vit pas tous ensemble (comme dans l'article (+) )

Toutefois, l'une de mes relation secondaire a déjà "pris en charge", ponctuellement, la surveillance de nos enfants [aller en chercher un en gare car nous étions indisponibles ; être présent en cas de besoin car les parents étaient en voyage en amoureux à l'étranger, ...]. Donc, oui, les enfants de poly ont la chance de pouvoir compter sur les amoureux de leurs parents.

Egalement, lorsque j'ai mis fin à une relation secondaire, la surprise fut grande de constater que cela affligeait aussi nos enfants. J'ai même cru qu'ils allaient m'en vouloir :-( . La réaction fut "qu'ils l'aimaient bien et qu'ils aimaient aussi passé du temps ensemble".

Ok nos enfants étaient ado lorsque nous leur avons expliqué, mais ils ont très bien compris et acceptés. La résistance fut plutôt en provenance de la génération d'avant la mienne qui ont tout de même fini par concevoir de rencontrer l'une de mes relations secondaires (+ sa relation principale) et ce repas de "famille-amis-amoureux-ses" s'est finalement déroulé dans une ambiance plus saine et sereine que j'aurai pu l'imaginer.

Je crois que toute personne qui reconnait l'amour sentimental comme bénéfique et bienfaisant, a la capacité de côtoyer des polys.

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Discussion : Café poly avec vue sur le lac - Genève

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bonheur

le mercredi 03 juin 2015 à 20h53

Bonjour.

Regarde dans la rubrique évènements puis clique sur Suisse. Je crois qu'il y aurait quelque chose de prévu en juillet à Genève sauf qu'il faut que tu sois membre pour t'inscrire (à moins que l'organisateur est une autre solution)

Il y a aussi quelque chose de prévu dans les jours à venir sur Lausanne. Idem pour l'inscription

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Discussion : Polyamoureuse qui s'ignore?

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bonheur

le mercredi 03 juin 2015 à 17h29

Plus concrètement, tu peux converser avec les autres membres en privé en cliquant simplement sur leurs pseudos puis sur "envoyer un message" (je conseille de cocher la case m'envoyer une copie). Aussi, les autres membres peuvent faire de même et tu recevras leurs messages directement sur ta boite mail (par contre, il arrive que ça arrive dans les spams ou indésirables).

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Discussion : Polyamoureuse qui s'ignore?

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bonheur

le mercredi 03 juin 2015 à 17h25

Et oui, le cruel dilemme : choisir l'amour au détriment de l'amour. C'est très con et c'est un choix impossible pour certain-e-s. Dans ces cas là, soit on joue la carte de l'honnêteté et de la franchise et on reconnait l'amour (affectif, émotionnel, sentimental) ouvertement (au regard des personnes que cela concerne), soit on garde cela pour soi (ce qui est le cas au départ le plus souvent je pense), soit on ne fait preuve d'honnêteté qu'envers la personne non officielle.

Donner des conseils est peu pertinent car ce qui a été bénéfique pour certains ne le sera pas pour d'autres. Il y a en présence 3 personnes qui n'ont sans doute jamais été confrontées à cette situation d'une manière concrète.

Oui chaque histoire est belle à vivre. Oui, blesser des personnes que l'on aime, c'est aussi se faire mal à soi. Sauf que fermer les yeux sur ses émotions, ses sentiments, c'est également se faire souffrir. Je dirais que dans tous les cas, la souffrance sera présente. Toutefois, il arrive, et ce fut mon cas, que cette souffrance permettent de poser les vrais questions, de réinventer son couple suivant ce que chacun-e peut ou ne peut pas vivre.

Si un dialogue serein, concret, explicite et non conflictuel peut s'installer, chacun-e sortira grandi de ce tournant de votre vie.

Dans le questionnement plus terre à terre : sais-tu ce qu'éprouve Y par rapport à toi ? D'une manière explicite, claire et nette !

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Discussion : En plein questionnement

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bonheur

le mercredi 03 juin 2015 à 13h53

le bonheur et l'amusement se marient très bien !

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Discussion : En plein questionnement

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bonheur

le mardi 02 juin 2015 à 09h50

(+) :-D super !

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Discussion : En plein questionnement

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bonheur

le lundi 01 juin 2015 à 21h32

Dans ta boite mail personnelle.

chacun a la possibilité de laisser un message personnel à un autre membre (sauf si celui-ci interdit cet accès). Pour ce faire, il suffit de cliquer sur le pseudo du destinataire, puis sur "envoyer un message" et en général, c'est conseillé de cocher la case afin qu'une copie du message envoyé vienne s'insérer parmi les mails de l'adresse dont tu t'es servi pour t'inscrire. Par contre, en général, ça vient se placer dans les spams ou indésirables (là où tu reçois la pub, notamment)

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