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Discussion : Le polyamour ça s'attrape

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bonheur

le mardi 26 septembre 2017 à 19h13

j'ignore si mon propos aura un sens ici, au sein de ce fil de discussion.

J'ai depuis un moment un homme qui j'aime, mais malgré les quelques perches tendues, rien que le bonheur de se voir ponctuellement, en "public" sur mon lieu de travail. Récemment, j'ai fait une rencontre époustouflante et mon moi s'envole constamment (en fait il n'a jamais atterrit depuis) et là mon élan, mon enthousiasme a redonner un nouveau souffle à ce lien jamais étendu. Comme un surprise n'arrive jamais seule, la vie (la providence, le hasard, ...) a replacé sur ma route un ex-affectif, avec une maturité nouvelle (liée peut être à mon adieu précédent, j'ignore) et aussi quelqu'un avec lequel on se tournait autour depuis peu et me voilà dans une spirale de wahoo !!!

Plutôt que de dire que le polyamour s'attrape, je parlerai de contagion d'un état qui entraine, qui embellit, qui correspond à ce qui peut sembler comme un modèle de vie. Si mon bonheur actuel peut permettre, au moins à ces personnes de se sentir au moins aussi belle que je me sens actuellement, alors oui, qu'ils attrapent le polyamour sans restriction :-D

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Discussion : Une relation secondaire peut-elle durer (vraiment) dans le temps ?

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bonheur

le mardi 26 septembre 2017 à 19h03

C'est, contrairement à ce que l'idée que l'on se fait se son discours, quand il nous semble confus qu'il apporte le plus. Il y a du bon dans le chaos, malgré la difficulté à le vivre (très souvent, pas toujours).

Merci, j'ai en effet toutes mes réponses.

Je recommande souvent les trois livres de YA Thalmann dont "les 10 plus gros mensonges sur l'amour et la vie de couple". L'auteur aborde cette frontière floue entre amour et amitié. Je m'y suis reconnue, à une époque, car je me disais qu'au diable les mots et leurs sens. Du coup, j'ai créée un énorme décalage entre moi, mes ressentis et mes relations.

Je crois que si l'on peut appelé amitié de l'amour, il est difficile d'être en pleine accord avec soi, sauf si on travesti notre vérité intérieure. L'histoire que tu me racontes me plait, bien que je ne serai jamais en mesure de la vivre. Je m'efforce au maximum de réduire les décalages, et essaie au maximum de trouver le juste mot, les justes mots.

D'ailleurs, ton histoire me conforte sur un autre point, celui de l'amour asexué, qui apporte monts et merveilles et j'admire votre force et votre respect, à tous les deux, de votre décision et surtout de vous y tenir. Je rejoins qu'au fond, le sexe n'est pas indispensable, s'il n'est pas l'élément (ou l'un des éléments) indispensable.

Merci pour ces explications qui m'ont amené à réflexion, surtout si tu te livres difficilement.

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Discussion : Eclairez moi....

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bonheur

le mardi 26 septembre 2017 à 13h01

Autrement, des lectures permettent de se découvrir :

Entre autres : trois livres de Yves-Alexandre Thalmann qui se complètent bien "vertus du polyamour - la magie des amours plurielles" ; "les 10 plus gros mensonges sur l'amour et la vie de couple" ; "garder intact le plaisir d'être ensemble - prévenir le désamour"
Egalement : "compersion : transcender la jalousie dans le polyamour" de Hypatia from Space

(et le livre dont j'indique les références dans mon profil :-) )

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Discussion : Eclairez moi....

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bonheur

le mardi 26 septembre 2017 à 12h56

Palomi. Il y a un peu plus de dix ans, je disais à mon mari (on se connait depuis tout petit, et on était marié depuis 18 ans, 3 garçons...) que j'aimais un autre homme. Cet ami, pour lequel j'étouffais mes sentiments à grand renfort de respectabilité et de belles oeillères bien comme il faut, a été hospitalisée et j'ignorais dans quel état de santé il était. Electrochoc pour moi, et la résultante fut évidence : je l'aime.

Comment faire ? Ne pas aimer ? En quoi ce que je ressentais était "mal" ? En quoi nos émotions sont à refouler, à enfouir ? En quoi j'étais malsaine ? J'ai exprimer cela à mon mari ET à mon nouvel amour (à quelques jours d'intervalles)... je devenais poly sans le savoir. Ce n'est que 4 années plus tard que j'ai découvert le terme polyamour et sa succincte définition.

Depuis, j'ai connu, mon coeur enfin libre d'aimer, d'autres amours et mes émotions m'en remercie à chaque pensées envers eux. Je n'ai jamais eu de sexualité avec ces hommes, je suis polyaffective. Parfois l'équilibre trouve son sens dans la bonne définition, celle qui nous convient.

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Discussion : Éloge de l'adultère

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bonheur

le mardi 26 septembre 2017 à 12h47

Entièrement d'accord avec toi voleur. J'espère que ta colère s'apaisera ! Sincèrement.

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Discussion : Une relation secondaire peut-elle durer (vraiment) dans le temps ?

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bonheur

le mardi 26 septembre 2017 à 12h44

Lanteans : juste une question afin d'éclairer ma compréhension. Au fond de toi, as-tu aimer cet ami ? Au fond de toi, cet amour perdure-t-il toujours (s'il existait) ?

Je crois que si je suis poly, c'est parce que je ne supporte le dénie ou la minimisation. Le fait est que je suis HPE (haut potentiel émotionnel), et que pour moi, une fois que le déclencheur de l'amour s'est produit, il m'est difficile de minimiser ce que je ressens. Ok, on ne peut rester continuellement en NRE, sauf que chez moi, ça ressurgit, même après des années, tellement d'années. Si je disais, ou même considérais une personne que j'aime, comme de l'amitié, alors je serais dans le dénie. Et personnellement, ça m'est impossible.

En tout cas, je trouve beau que cette amoureuse de ton "sexfriend" et toi ayez pu construire une belle confiance et une relation saine. C'est beau !

En aparté, le mot "sexfriend" n'a jamais eu de sens pour moi. Je me confie facilement et je peux créer de l'amitié, mais du sexe là au milieu ? Il faut dire que déjà, je ne peux avoir de relations sexuelles multipartenaires d'une façon rapprochée et que par conséquence mes relations secondaires sont toutes asexuées (ma vie sexuelle étant trop riche et trop importante pour mon couple).

Je suppose que je suis un cas relativement "rare". Je suis différente et mes ressentis amoureux précieux et omniprésent

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Discussion : Le polyamour ça s'attrape

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bonheur

le lundi 25 septembre 2017 à 08h09

Il existe une belle documentation sur le sujet. Indiquer les références et laisser autrui à sa volonté propre de s'instruire ou non. Après, celui-celle qui se lance dans l'aventure à l'aveugle, fait son propre choix, que personne d'autre doit assumer et encore moins se responsabiliser.

Tu t'épanouis, alors tu véhicules une image belle de ce que tu vis. Ca s'appelle rayonner et propager le bonheur que l'on ressent n'implique en rien qu'autrui trouvera le sien.

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Discussion : Ne pas annoncer et assumer...

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le dimanche 24 septembre 2017 à 13h10

Retrouve ta sérénité dans ta liberté personnelle ! Un roseau est flexible mais fini par cassé un jour...

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Discussion : Le polyamour ça s'attrape

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le samedi 23 septembre 2017 à 13h22

Ah oui ! en complément ! On peut présenter ce qui nous rend heureux et nous donne cet enthousiasme. Ce qui n'implique pas qu'autrui doive devenir comme moi, mais qu'il doit "m'adopter" telle que je suis. Après, si c'est se présenter à une personne que l'on aime, c'est évident que c'est délicat et n'implique en rien que cette personne doive devenir comme moi.

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Discussion : Le polyamour ça s'attrape

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le samedi 23 septembre 2017 à 13h19

Ma réponse va n'engager que moi. Chacun-e est responsable de ce qu'il vit et désire vivre. Si il fait un mauvais choix personnel, s'en prendre qu'à soi-même.

Je m'insurge contre cette façon de considérer le polyamour comme la formule miracle. Vouloir adopter le polyamour comme concept de vie, est à mes yeux aussi con que de dire que, si Pierre indique qu'il s'est essayé au parachutisme et qu'il a trouvé cela merveilleux et libérateur, alors tout le monde devrait s'y essayé.

Je ne prend pas cette comparaison par hasard... j'ai à une époque fréquentée les centres de parachutisme et pris mon pied en me jetant dans le vide avec ce bonheur de voler. J'ai aussi observé des personnes qui se lançaient ce défi juste pour se prouver en être capable... et qui parfois s'arrêtaient à ce saut suffisant, et qui parfois se juraient de ne plus jamais, mais alors plus jamais vivre cela. Personnellement, c'était un rêve. J'avais toujours adoré être dans l'air, l'espace et adoré parallèlement les manèges à sensation. Je savais que c'était fait pour moi.

Le polyamour, on peut s'obliger et y arriver. Le polyamour, on peut le vivre, car quoi que l'on fasse, l'amour ne remplace pas l'amour et aimer au pluriel s'impose comme seule source de bonheur affectif (dans mon cas, cela va de soi).

Avant de se jeter dans le vide, de vouloir un choix de vie, surtout s'il impacte autrui, il faut savoir si on l'on on aime être en altitude, si l'on aime déjà les sensations fortes.

Il existe des lectures sur le polyamour. Si en les lisant on se reconnait, que l'étincelle survient, alors s'impliquer plus avant devient comme impérieux, car ça nous correspond. Si ce que l'on lit nous est étranger, alors inutile d'insister. Après, une certaine résonance peut survenir sans que l'on se reconnaisse et là, évidemment, il faut approfondir.

Le polyamour n'a pas valeur d'être imposer à autrui, sauf qu'autrui n'a pas valeur à nous empêcher de vivre ce qui nous convient. Ca s'appelle un équilibre et le respect de soi.

Je suppose qu'il y aura d'autres réactions, en superposition à la mienne, ou en contradiction, peut-être.

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Discussion : Une relation secondaire peut-elle durer (vraiment) dans le temps ?

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bonheur

le vendredi 22 septembre 2017 à 07h08

Le temps ! Denrée rare ! Je reçois ce matin un sms d'une amie qui annule la soirée que l'on s'était programmée et suppose que tous ces week-end seront pris jusqu'à la fin de l'année. J'évite de laissé mon imagination supposée que c'est la découverte de ma polyaffectivité qui n'en n'ai pas à l'origine. Je vais laissé couler, elle a un agenda de premier sinistre (car ça l'est), elle n'a pas de place pour moi et ma famille dans sa vie.

Là aussi, l'auteure du livre sur la compersion aborde le sujet. Etre poly, c'est consacré du temps à sa vie relationnelle. C'est un choix de vie, que de prendre le temps de vivre. Favoriser la qualité de vie, pour moi, ce n'est pas amasser de l'argent et friser le burn-out.

Enfin, chacun-e sa vie. Par contre, un amour dans lequel on ne peut s'investir, je n'en veux plus. Je préfèrerai consacré du temps à moi-même.

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Discussion : Une relation secondaire peut-elle durer (vraiment) dans le temps ?

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bonheur

le vendredi 22 septembre 2017 à 07h00

Ou peut être (pour moi il est tôt mais c'est confus aussi) que ce que certaines personnes peuvent vivre, d'autres ne le peuvent pas.

Quand des incompatibilités se révèlent, ou surviennent, que ce soit en amitié ou en amour et que l'on est devant une impasse, il vaut mieux ne pas insister. Après, tout dépend de la réaction de la personne que l'on a en face de soi. Mes amours extérieurs ont toujours été dans une forme d'acceptation dénie (si, si c'est possible), donc les embûches leur glissaient dessus. Quand on est face à une non-réponse, à un "comme si de rien n'était", ben on tire sa révérence.

C'est très bien abordé dans le livre sur la compersion. Le "nous" est une avancée en équipe (ça ce sont mes mots à moi) et si l'autre reste sur le banc de touche, pensant que le match se gagnera avec ou sans lui, et bien adieu... on ne peut pas toujours tout endossé. Egalement, si notre co-amoureuse joue dans le camp adverse, et que l'amoureux commun ne bronche pas, ne réagit pas, ben on dit aussi adieu. Enfin, c'est mon vécu.

Egalement, j'ai vécu une histoire à épisode, répétition. Dans répétition il y a stagnation. Quand on donne un courrier indiquant son mal être et que pour toute ouverture de dialogue on se voit répondre "je le lirai" et plus tard "oui je l'ai lu" et c'est tout... et que rien d'autre ne se passe... on met un terme définitif à une histoire pourtant tellement...

Pour "entretenir" un nous, il faut la participation active de tous les protagonistes. Personne n'est surhumainement doté de telles capacités.

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Discussion : Une relation secondaire peut-elle durer (vraiment) dans le temps ?

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le mercredi 20 septembre 2017 à 08h11

J'ai peu de temps et une grosse journée de travail.

Oui, quitter ce qui pourrit, épuise... le "nous" et soi à travers ce "nous". Parfois on attire l'attention d'autrui sur ce qui fait mal mais on obtient rarement de retour (en tout cas pas dans les cas que j'ai vécu). Sans doute ai-je une mauvaise communication !

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Discussion : Une relation secondaire peut-elle durer (vraiment) dans le temps ?

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bonheur

le mercredi 20 septembre 2017 à 07h24

C'est aussi, pour ma part, dans un soucis de conservation que je quitte. Et justement également par soucis de la reconnaissance de ce qui a existé. Je crois que chacun-e à sa façon d'évoluer. Je ne suis pas du tout parfaite et ce n'est pas du tout un plaisir de demander à une autre personne de nous laisser la quitter. Simplement, quand c'est indispensable, il faut le faire. Peut être que je m'investis trop ?

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Discussion : Une relation secondaire peut-elle durer (vraiment) dans le temps ?

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le mardi 19 septembre 2017 à 21h59

Je précisais car je pense que la décision de quitter ou non ne doit pas être un frein à la conservation de cette beauté. Ce serait tellement dommage et pour le coup tuerai définitivement ce qui a existé. Je connais des personnes qui ont besoin de dévaloriser et même anéantir pour tourner la page et j'ai toujours trouvé cela "stupide" (enfin, moi je le considère ainsi. D'autres en on peut être réellement besoin, je ne sais pas).

Je comprends, finalement, tout à fait le ressenti de cet-te Autre.

Il est toujours difficile de s'exprimer sur ce qui nous touche et impacte notre vie sentimentale. C'est un chalenge de réussir...

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Discussion : Café Poly DIJON

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bonheur

le mardi 19 septembre 2017 à 21h53

Korial, si tu n'existais pas, il faudrait t'inventer :-D (+) Merci à toi et ce fut un plaisir de te découvrir ainsi que ceux que je n'avais jamais vu. Pouvoir mettre un visage sur un pseudo, c'est agréable. Et puis, il y a eu en effet des rires et même des éclats de rire. Ce fut convivial et j'en suis heureuse. Je pense que chacun-e a trouvé rapidement sa "place" au sein du petit groupe. J'espère que chacun-e a pu s'exprimer à la fois en quantité et en qualité. Ca fait du bien !!!

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Discussion : Une relation secondaire peut-elle durer (vraiment) dans le temps ?

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bonheur

le mardi 19 septembre 2017 à 20h17

Ce que j'ai exprimé également, c'est que si le "nous", le lien s'arrête (je quitte), le ressenti et donc l'amour lui reste, notamment à travers les souvenirs et ce qui est mis à ma disposition pour faire perdurer ces souvenirs (objets, photos, carte postale de vacances, symboles...). Je ne cesse pas "d'aimer", je cesse de me faire du mal quand le lien fait apparaitre des incompatibilités trop importantes pour être résolues et pour le bonheur réciproque perdure.

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Discussion : De la théorie à la pratique

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bonheur

le mardi 19 septembre 2017 à 20h13

@Camille_B : je suppose que le livre et le blog sont de la même trame, il est donc normal d'y retrouver des approches et propos similaires. Perso, je n'avais pas kindle mais dimanche matin mon mari et moi avons pensé qu'il était temps que je me mette au livre numérique alors il a pris les choses en main et je lis donc, soit sur mon ordi, soit sur sa tablette (je n'en n'ai pas) mise à ma disposition :-D . En fait il l'a fait pour montrer la couverture du livre aux participants du café poly qui se tenait à la maison (+) . Oui, c'est un très bon livre et je te souhaite de le découvrir avec autant d'appréhension et de joie que moi.

@Sunny. Dans ce livre, l'auteure parle de rythme et surtout de différence de rythme car nous ne sommes pas égaux à ce niveau-là. J'y ai personnellement lu, pas plus tard que cet apm, ce qui m'a fait défaut dans l'une de mes relations pour que celle-ci continue un développement heureux. On a toujours à apprendre de ce que l'on lit

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Discussion : De la théorie à la pratique

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bonheur

le mardi 19 septembre 2017 à 19h12

Je constate Camille_B que nous sommes sur la même lecture. Recommandons la à ceux à qui elle permettrait de trouver des réponses, car ce livre est une première (enfin pour moi) car elle permet aussi aux personnes qui découvrent de se situer.

"compersion - transcender la jalousie dans le polyamour" de Hypatia from Space

L'auteure indique toujours qu'entre la théorie paraissant ydillique et la pratique, il y a le monde que l'on créé et notre bonheur.

Dans l'histoire de Sunny, comment ne pas se sentir "délaissé" car non choisi alors qu'une expérience commune semblait se dessinée. C'est peut être cette "mise à l'écart" qui cloche ?

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Discussion : Une relation secondaire peut-elle durer (vraiment) dans le temps ?

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bonheur

le mardi 19 septembre 2017 à 17h22

Perso, c'est le vraiment (donc la parenthèse) qui me chiffonne. Une relation est de toute façon une construction à deux. D'autre part, on ne peut rester constamment à un niveau élevé de relationnel.

Je suis mal placée pour prôner la longévité puisque aucune de mes relations secondaires n'a perduré plus de 4 ans et c'est toujours moi qui ai faite mes adieux.

Cette question d'ailleurs est ce qui m'empêche actuellement d'aller de l'avant et de construire à nouveau des "nous".

Pour moi, c'est soit je quitte soit l'amour perdure, mais laisser place à une "amitié" après "l'amour", c'est impossible. J'aurai au moins appris cela. Je peux faire évoluer une amitié en amour mais certainement pas l'inverse ou faire un retour en arrière.

Il y a, par contre, ce qu'autrui m'aura laissé et ça c'est beau :-D . Je sais que ça, ça reste et ce n'est pas anodin. L'amour est conservé si aucun des protagonistes ne le renie ou ne le piétine.

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