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Lionos
entre poly et mono il peut y avoir un compromis?

Je ne parlerais pas de compromis, mais plus de respect d'autrui et surtout d'équité. La compréhension doit se faire dans le fait que s'aimer ne signifie pas se ressembler et vivre la même chose. On vit avec l'autre, mais on vit avant tout pour soi.

Le fait est que nous n'avons qu'une vie et malgré l'extension de l'espérance de vie, celle-ci demeure courte et passe vite. Personnellement, mais là ce n'est que mon optique, je considère que j'aurai gagné ce que j'enmènerai dans ma tombe : le bonheur. Le bonheur est à la fois immuable (le souvenir de mes émotions) et impermanent (mes émotions sont en perpétuelle mouvance).

Mon mari est mono. Devenir poly lui serait fatal et ne ferait pas son bonheur. Le fait est que l'amour émotionnel m'assaille souvent, je suis beaucoup à l'écoute de toutes mes émotions. Aussi, nous formons un couple mono-poly et s'il n'a pas besoin d'assumer son côté mono, j'assume mon côté poly.

Comme toujours, dans une transition mono-mono à mono-poly, je conseille toujours les mêmes lectures :
Tout d'abord trois livres d'Yves-Alexandre Thalmann (qui se complètent) : "vertus du polyamour - la magie des amours multiples" ; "les 10 plus gros mensonges sur l'amour et la vie de couple" ; "garder intact le plaisir d'être ensemble - prévenir le désamour"
Ensuite, un excellent livre récent d'Hypatia from Space "compersion : transcender la jalousie dans le polyamour"

Merci :-D

J'aurai tendance à dire que la compersion est libératrice, pas le polyamour... mais de toute façon l'un sans l'autre.

Si tu as une connexion internet (oui, évidemment) et 10 €, commande et lis le livre que j'avais indiqué. Tourner autour du pot ne sert pas à grand chose.

Dans l'immédiat, je fais plus ce qui me semble juste plutôt que d'entrer dans une notion de compromis. Mon conjoint, lui, a à coeur d'adoucir l'ambiance et de tenir compte du bien être d'autrui. Quand il y a une double volonté, la pertinence prend tout son sens et une spirale positive peut se développer et s'entretenir dans une belle dynamique commune.

Le jour où mon conjoint se comportera comme mes employeurs, je ferai ma valise. A mon travail, mes employeurs ne sont qu'un petit grain dans le rouage et n'ont pas valeur de dictat sur ma vie. Je ne leur laisse en tout cas pas ce loisir puisque je ne passe pas la majeur partie de mon temps avec eux. Après, oui, ils ont "ce dictat" sur l'affichage de mon emploi du temps. Je survivrais ! :-D

Message modifié par son auteur il y a 8 ans.

hihihi ! Désolée d'en rire ! Ne pas le prendre contre toi, ça doit être nerveux.

J'aime les gens, j'aime le contact et je ne veux peux plus avoir un boulot avec prise de tête, compte à rendre (autre que MES résultats personnels). Je suis devenue professionnellement quelqu'un de simple et je retrouve tout cela dans mon métier. Je l'aime pour cela et je m'y retrouve pour cela. Je suis hôtesse de caisse et j'offre un accueil à ma sauce et cette sauce on ne me l'a reproche pas puisqu'elle va au delà de ce qui m'est demandé à la base.

Oui, je suis dans mon bon droit et j'ai toujours fait preuve d'adaptabilité et j'ai toujours rendu service si mes collègues ont des besoins inattendus.

Ton offre est impossible. Pas dans la tête d'une propriétaire d'un supermarché qui a suivi le projet inconfortable et délirant de son mari et qui, je le reconnais, fait au moins le double de ce dernier. Cette femme tire sur la corde mais ne peut se permettre que celle-ci casse. Par contre, elle ne conçoit pas que la corde de ses employées casse. La mienne en est loin. Parce que justement, je ne laisse pas mon humeur influé sur ma façon d'accueillir les client-e-s.

Autrement dit, je n'ai pas d'autre choix que d'être tributaire du bon vouloir des personnes qui font les horaires... et ceux-ci sont très, trop souvent, fait en hâte au dernier moment. C'est contraire, complètement contraire, à la législation et le parfois c'est transformé en normes. Ca gronde en coulisse. En particulier pour celles qui ont des enfants et des contraintes de garde, d'écoles, etc. Par contre, et je commence à payer mon impudence, j'ai indiqué à haute voix le constat que beaucoup ont fait tout bas.

Conclusion, mon employeuse ne me fera pas de cadeau. Alors la CNV...

Je m'adressais à gdf (pour la cohérence)

Message modifié par son auteur il y a 8 ans.

Je vais aborder le sujet avec les personnes concernées... si j'y arrive. Je me vois difficilement envoyer des sms pour indiquer mes disponibilités au fur et à mesure que je prend connaissance de mon emploi du temps. Aussi, mon employeur se moque complètement de la législation indiquant que je devrais connaitre mon emploi du temps au minimum 15 jours avant.

Récemment (jeudi en fait) j'ai dit à mon employeuse que n'ayant toujours pas mon planning pour la semaine qui vient, ma vie allait devenir compliqué... elle m'a répondu que le compliqué était avant tout pour elle... comme si, n'étant jamais absente, j'étais responsable de l'absentéïsme débordant de mes collègues. Ca donnerait presque envie de prévoir ses sorties et de se portée absente si ça interfère avec l'emploi du temps perso. C'est fou de mettre sur le dos de ceux qui font ce qu'il faut, les défaillances des autres.

Merci elfi !!! J'ignore si ces personnes sont branchées technologies et pour ce qui est de savoir si elles tiennent à moi, ça serait en effet à définir.

Je comprend en tout cas que ton frère est choisi cette option... pas simple de savoir où il en est, en effet.

Comment j'ai pu râté ça (sans doute parce que je me suis sentie mise en cause par la précédente réaction)

Cecileclimbing
A me parle beaucoup de M, qu'elle souffre, qu'elle est jalouse de moi (on ne se connait pourtant pas, moi je refuse de la rencontrer), qu'ils reversent des crises, que c'est pas facile, qu'ils ont failli se séparer cet été quand ils sont partis en vacances.... mais qu'il ne la quittera jamais pour moi, parce qu'il l'aime et qu'elle est très importante pour lui... Moi, je suis pas jalouse, mais je ne sais pas si j'ai envie d'entendre tout ça.... Je trouve que ça ne me regarde pas...

Rencontrer l'autre permet parfois de faire la lumière, de démystifier.

Je confirme, déverser sur toi, qui est déjà mal à l'aise, les difficultés de son autre relation n'est pas cool. Tu n'as pas à gérer, bien que tu peux le soutenir, et à endosser les difficultés de sa (ou ses) autre-s relation-s.

Hypatia from Space consacre de nombreuses lignes à indiquer cela. Tu devrais lire ce livre ("compersion : transcender la jalousie dans le polyamour"). La situation idéale est que tout le monde soit dans l'accueil, et non dans le rejet. Elle indique que c'est une clé essentielle. Et pour en revenir à mon post précédent, elle indique également que la volonté de tous est souhaitable. C'est aussi une clé essentielle.

LeaBridou
bonheur je ne pense pas qu'on parle du même cas de figure en fait...

C'est probable !

Le fait est que l'on fait l'objet souvent de ce que l'on ne désire pas, et ceci par amour, parce que l'on veut y croire.

Autant je comprend ce qu'affirme Toinou (je ne donne pas tort à sa femme), autant on subie parfois, même dans l'honnêteté et la sincérité.

Exemple (puisqu'il est d'actualité dans ma vie). Un amour avec un passé relationnel tellement pauvre que j'avais mis un terme à ce relationnel, refait surface dans ma vie. Je ne m'y attendais pas du tout. Totale surprise et un énorme chamboulement émotionnel, au moins équivalent à la fois où j'avais découvert cette personne (façon coup de foudre, je ne peux regarder cet homme avec un regard "ordinaire"). Il me dit être heureux de me revoir, m'indique que son tel n'a pas changé, que je peux le joindre,... Ceci fait, je lui propose de se voir et là, bing ! On retombe dans le même schéma. En semaine il est occupé et les week-end, ben il est occupé. Par le passé, on se voyait une à deux fois maxi par an alors que nous habitons à 25 km l'un de l'autre.

Est-ce qu'il m'aime, oui... est-ce qu'il a une place pour moi (même une heure par semaine, ou même par mois), non... Je crois que ça va être la fin, disons la nouvelle fin de l'histoire. J'ai eu la mémoire courte, j'ai cru à un possible renouveau et il ne m'a fallu que moins de deux semaines pour comprendre qu'il veut m'aimer sans m'aimer. Face à ce constat, finalement, mon amour était moins mis à mal sans lien qu'avec.

Conclusion l'insatisfaite c'est moi. Le motif c'est sa non envie, son non enthousiasme. Il dit être seul, mais il y a des paroles d'une chanson qui dit que "quand nous sommes seul, c'est que nous rejetons". Il ne peut y avoir de lien (je parle de lien, pas de ressentis) sans volonté. Le pire, c'est qu'il aurait pu m'apercevoir et poursuivre son chemin... c'est lui qui a refait son apparition.

Ouaip, c'est ce que je me disais aussi. Il faut une volonté, dans tous les cas. C'est fatigant et non, la solution miracle... Merci gdf et merci doubt

Pour ce qui est de la bonne personne, celle qui est multiple en fait, il faut tenir compte de ce que l'on engage ou de ce que l'on laisse croire. Car oui, la souffrance sera alors au rdv. Se faire "dégager" (le mot est fort, mais dans certains cas juste) fait mal. Quand je dis dégager, c'est à la fois des sentiments et de la vie... on ne peut pas se servir des autres comme de bouche-trous, car autrui est humain. Donc pour moi être en relation avec X en attendant de découvrir Y, je trouve cela cruel et je ne vois pas ce qu'il y a de mal à dire cela.

LeaBridou
Et même si c'est une fin annoncée, c'est faire preuve d'une grande honnêteté que de reconnaitre que toutes les relations ne peuvent pas être éternelles. C'est à chacun de voir si accepter cela lui convient... tant qu'on est entre adultes consentants...

Comme nous sommes en accord sur ce point (+) :-D

Pour être clair, je n'ai nullement envie de faire intrusion dans la vie d'autrui, c'est plus pour ma vie à moi qui est un véritable cauchemar. En résume, je peux travailler du lundi au samedi de 8h30 à 20h30 le soir et des dimanches matins. Je n'ai aucun horaire défini et fait parfois des heures sup (prévues) à cause d'un absentéisme débordant. juste je travaille entre 34h et 37h par semaine sachant que mon employeur ne peut me faire venir pour moins de 3 h consécutives et en théorie sur 5 jours dans la semaine (ça arrive 6). Bon voilà pour la difficulté à gérer d'autant que les horaires sont parfois prévus de la fin de semaine pour la semaine d'après... Est-ce que chacun-e saisi le topo ? :-/

Donc, je voudrais mettre mes disponibilités en ligne, afin qu'autrui face de lui-même une proposition pour passer du temps avec moi. Ma volonté est simple. Si quelque chose est indiqué (disponible, non disponible) alors on peut s'investir pour passer du temps avec moi en toute connaissance de cause. J'en ai marre de devoir subir les aléas des uns et des autres alors que ma propre vie est ingérable. J'en ai marre de passer à côté d'une possible vie sociale (que j'aime, pas seulement pour des "amoureux").

J'ignore si c'est clair... je me demandais si c'était une solution. Pour ce qui est des enfants, mon "petit dernier" à 20 ans passé et se moque de l'agenda de maman. Là n'est pas ma préoccupation, bien que je comprenne qu'elle le soit pour d'autres.

Je n'ai pas une vie routinière, ce qui a des avantages et des inconvénients... et je ne peux pas envoyer constament des sms pour dire "qu'est ce que tu fais tel jour à tel moment ?", c'est lassant.

Aussi, en cas d'annulation (oui, il y a des gens comme ça), je simplifierai en indiquant disponible au lieu d'indisponible. Je crois aussi que ça "responsabiliserait" la notion d'engagement quelque soit la nature des liens.

J'ai mis ce fil dans "social" car il s'agit bien de cela, et pas seulement de la gestion de relations amoureuses.

Est-ce que certains d'entre vous pourrait me donner des indications et/ou conseils sur les agendas partagés ?

Je suis lasse des annulations de dernières minutes, du fait que l'on doive lire dans les pensées et savoir que oui ou non l'autre sera disponible. Je me disais qu'offrir mes disponibilités (ou non) aux autres et les laisser venir à moi en toute connaissance de cause de mes possibilités seraient une bonne idée...

Est-ce que l'on peut souhaiter "toute ma meilleure compersion" même si l'on n'est pas directement impliqué ?

J'aime le bonheur et pas que le mien.

Tu es la preuve incarnée que l'on peut "satisfaire" des exigences et non des moindre. Soit comblé (avec ses hauts et ses bas) et demeure ainsi, à tellement croire en l'Amour :-D (+) [gratuitement]

Pour Camille_B :

Greleon
...je suis amoureux d'une autre personne (que j'appellerai amoureuse B par simplicité) et c'est réciproque.

J'en ai personnellement conclu que la réciprocité avait été exprimée clairement et que donc, oui c'était partagé.

Je dirai que si la compersion existe, tout se passera pour le mieux. Le livre d'Hypatia from Space est ici intéressant, je dirai même indispensable.

Greleon
sa première réaction a été de me lire un conte sur une histoire de polyamour.

Si ce n'est pas indiscret, de quel conte s'agit-il ?

Comme toujours, pour une "transition" mono-mono en mono-poly (et s'offrir la rue de la Paix :-D ), et comme A est une lectrice, je préconise qu'elle découvre ses trois lectures de Yves-Alexandre Thalmann : "vertus du polyamour - la magie des amours multiples" ; "les 10 plus gros mensonges sur l'amour et la vie de couple" ; "garder intact le plaisir d'être ensemble - prévenir le désamour". En complément, je recommanderai "compersion : transcender la jalousie dans le polyamour" de Hypatia from Space.

Pour qui est des scénarios, il vaut mieux les évacuer de son esprit. C'est mon opinion en tout cas. Le fait est que l'on est pas en autrui, y compris, en particulier, aux personnes que l'on croit très bien connaître. Laisser à chacune prendre en main son destin. La résilience est souvent bien cachée !

Un truc très simple. Il s'est imposé à nous que notre déballage, nous avions des difficultés avec son aspect non-reproche désiré. Je ne me rappelle plus ce que mon mari m'a dit et j'ai répondu "tu rigoles là ?!"... et on s'est mis à rigoler. La tension nerveuse étant présente chez l'un comme chez l'autre, ça a détendu les nerfs. J'ai alors indiqué qu'à l'avenir, on devrait toujours rigoler de nos propos délicats. Et c'est ainsi qu'est né le jeu. A chaque fois que l'on allait annoncer un truc que l'autre pourrait mal accepter, on indiquait le mot "rigolade" avant la phrase et si on oubliait, on avait un gage. Ca parait con, comme ça, mais c'est de l'ordre du petit pas grand chose qui fait toute la différence. Ce jeu n'a de valeur que pour nous car il s'est développé spontanément entre nous. A chacun-e d'inventer son jeu.

Egalement, je suis fan de De Funès et mon mari gardait un bon souvenir de l'un des rares livres étudié au collègue et qui lui avait plu. Aussi, un soir, en regardant "la soupe aux choux", et devant ce duo de compères complices, dont l'un se prend un flèche à ventouse en plein front, nous avons décidé que nous serions "des vieux cons" dans le sens des complices inséparables. Il faut dire que peu avant, ma mère m'ayant descendu en flèche en découvrant ma nature polyamoureuse, ce côté "le reste du monde, on s'en fout" devait s'exprimer. D'ailleurs, je me suis longtemps sentie extra-terrestre et c'est marrant car dans ce film c'est un extra-terrestre qui libère ce couple de vieux amis, ayant eu pour seul amour, la même femme (au passage, il étaient métamour ou co-amoureux), dans une euphorie et un soulagement de quitter un monde irrationnel à leurs yeux.

Merci gdf pour la précision :-)

Pour Palomi. Cette histoire aurait été longue à raconter dans les détails... sauf que ce ne fut pas simple du tout. Ne pas oublier que j'ai un recul de 10 ans.

Quand je parle pour moi d'électrochoc, le mot est faible. Plus possible de dormir (une nuit sur 4 en gros, le corps reprends ses droits), je mangeais tout le temps, j'ignore comment j'arrivais à faire mon travail, à élever mes enfants, à continuer un quotidien... et personne ne s'apercevait de rien. A ce niveau-là, mon mari est aujourd'hui beaucoup plus attentif et attentionné. Plusieurs semaines, ça parait court, mais dans ces conditions c'est long, très long.

Lâcher à cet homme que je l'aimais et à mon mari que j'étais amoureuse d'un autre n'a rien de facile. D'ailleurs j'ai été dans cette incapacité et finalement, j'ai annoncé tout cela par écrit, à cet homme qui était à 400 km et à mon mari, bien que vivant sous le même toit.

Décrire l'état immédiat de mon mari : tout blanc, anéanti, briser, le ciel venait de lui tomber sur la tête. Et sa compréhension immédiate, malgré tout ce que j'avais écrit, "elle va divorcer, elle ne m'aime plus..." et immédiatement derrière "qu'est-ce que je n'ai pas fait, qu'est-ce que j'ai mal fait ou qu'est-ce que j'ai fait ?"

"Simple" n'est pas le terme adéquat. "Indispensable" et "faire face" me paraissent plus adaptés.

Nous sommes restés soudés (alors que parallèlement, l'autre homme m'évitait... une femme mariée qui tombe amoureuse de lui, vite la fuite) et avons déballé notre sac. Nous avions inventé un jeu afin de ne pas être dans l'accusation et dans le règlement de compte (ce qui est destructeur).

La suite n'est pas plus "simple". Chaque nouvel amour, met dans un état d'euphorie qu'aujourd'hui mon mari détecte bien. Cela ne résout pas mon incapacité à parler, à aborder le sujet. Par contre, je ne me met plus dans un état pas possible, car je connais cet état et je le positive.

Heu, amour entre frères et soeurs... je ne connais pas. Mes parents s'attachent, je le sais désormais, plus à l'image que je renvoie qu'à qui je suis réellement ou à si je suis heureuse ou non. J'ai eu heureusement des grands-parents merveilleux (d'un côté) et un oncle génial... tous morts trop tôt, sauf ma grand-mère. Je ne suis pas famille du tout et laisse mes enfants faire leur vie, également sans moi (100% sans moi, ce qui ne me dérange pas du tout)
Je crois que ce type d'amour, je le connais peu ou pas du tout.

Ceci explique certainement mon "incapacité" à une bonne compréhension.

Par contre si, "je me sens fondamentalement polyamoureuse", car ce sont les circonstances qui font que... ou pas (merci calinou696 !)

Après, je crois ma vie est faite d'alternance de période où je suis plus prédisposée à recevoir-donner, donc l'amour fait partie de cette impermanence de la vie, car notre vie est impermanence. Impermanence de l'état, de notre intérieur, et non désamour, qui est autre.