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Discussion : Liberté sexuelle de mes partenaires

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bonheur

le samedi 24 novembre 2018 à 10h19

Au passage, puisque je suis mère bouquin.

Un superbe livre de Yves-Alexandre Thalmann (oui, encore lui, il est productif cet homme !)

"Vive les plaisirs sexuels !"

Et il s'adresse aussi à ceux-celles qui ne lisent pas beaucoup, les images sont belles :-) .

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Discussion : L'important

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bonheur

le vendredi 23 novembre 2018 à 15h26

Nous avons certainement des similitudes nombreuses et des ressentis proches.

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Discussion : L'important

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bonheur

le vendredi 23 novembre 2018 à 14h36

Oui, des constats ne sont pas fait pour être en accord parfait. C'est l'envie d'avancer ensemble et de s'aider qui fait tout, le principal.

En fait, la conclusion, à ce stade n'est pas l'essentiel, ça viendra plus tard.

Il faut comprendre qu'une transition demande réflexion, temps et énergie. Des "compétences" aussi de communication.Ca ne peut pas être aussi simple.

La conclusion peut aboutir à des opinions différentes avec la compréhension de l'autre, pas toujours dans son intégralité. Respectez vous, aimez vous et l'avenir vous ouvre tellement de portes, inédites souvent ! Et non, je n'oublie pas la tierce personne. Car si communiquer à deux est essentiel, au bout d'un certains temps, à trois, ça devient indispensable.

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Discussion : Liberté sexuelle de mes partenaires

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bonheur

le vendredi 23 novembre 2018 à 08h35

L'acte sexuel non protégé peut engendrer la vie ET ramener des maladies ou infections.

Pour ce qui est d'amener la vie, c'est un choix à ne pas prendre à la légère. C'est impactant, comme prise de décision.

Pour les I/MST, c'est impactant également (ou pas si chacun-e est sain-e). Sauf que l'on peut assez vite développé un terrain propice, et rien qu'en allant dans des toilettes louches, alors la chaine de transmission ensuite... On n'inspecte pas à la loupe le sexe de son-ses partenaire-s avant chaque acte.

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Discussion : L'important

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bonheur

le jeudi 22 novembre 2018 à 19h26

alinea7
C'est pour ça que parfois le polyamour n'est pas possible sans faire violence à quelqu'un. Ce qui en fait alors tout autre chose que du polyamour.

Oui. Et si une personne ne peut m'aimer qu'en se faisant violence ou en me faisant violence, ben il vaut mieux tout arrêter, pour le bien-être de chacun-e.

J'entends par là qu'un lien que je ne peux vivre bien que d'une façon asexuée, et qui obligerait à cela, me ferait violence. L'amour doit se vivre bien et suffisamment en harmonie, sinon, ce n'est plus de l'amour, dans le sens où l'harmonie serait rompue.

Après, le polyamour n'oblige à rien, même pas à avoir plusieurs amoureux-ses. C'est justement la philosophie de la volonté du bonheur de tous qui me fait dire que je suis poly, avec des périodes de ma vie, où je n'ai qu'un seul amour. D'ailleurs, si j'étais célibataire, sans ce lien indéfectible avec mon chéri, je pense que je serai souvent sans relation amoureuse. Pourquoi ? Ben parce que tant que l'acharnement sera à m'aimer avec du sexe obligatoire, sinon ce n'est pas de l'amour, ben je ne me sentirais jamais bien dans mes relations, je les vivrais très, mais alors très très mal. Plus j'avance dans ma vie, et plus l'amour façon bisounours me convient le mieux.

Je ne suis certainement pas unique. Je suis peut être trop reconnectée avec mes émotions. Mais je reste partisane de l'amour comme émotion suivant ce que j'ai indiqué dans le fil de discussion : Emotions

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Discussion : L'important

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bonheur

le jeudi 22 novembre 2018 à 17h56

@Caoline. Je ne suis pas dans ton passé, qui ne me regarde pas.

Mais pour info, je peux dire que nous nous sommes rencontrés une fois, à l'occasion d'une rencontre poly (et en couples auparavant) et que nos maris, polyacceptants tous les deux étaient présents. Ni Caoline, ni moi n'avons obligés nos chéris de vie respectifs à participer. Nous sommes des grandes filles et aurions pu être autonomes. Nous avons parlé polyamour et polyaffectivité (dans mon cas) en leur présence et sans tabou. Les propos étaient libres pour tous.

L'acceptation n'est pas obligatoirement à 100%, que l'acceptant soit mono ou poly. Il ne faut pas se voiler la face. Par contre, sur l'échelle de 0 à 100, il y une grande diversité de %

Dans mon cas, mon chéri indiquera qu'il préfèrerait que je n'aime que lui... avant d'ajouter que ça l'amour me va très bien (au teint, certainement :-D )

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Discussion : Liberté sexuelle de mes partenaires

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le jeudi 22 novembre 2018 à 17h42

Je comprends. :-)

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Discussion : Liberté sexuelle de mes partenaires

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le jeudi 22 novembre 2018 à 16h35

C'est la saison qui veut cela. Le froid s'est invité assez brusquement. Lundi dernier (le 12) je faisais une rando (avec une poly d'ailleurs) et nous étions en tee-shirt. Il faisait 20°. J'ai fait la même rando samedi (avec une autre poly) et j'ai gardé mon blouson tout du long. Bon rétablissement bidi...

J'ai fait ressortir un paragraphe à ton intention dans la discussion sur les émotions

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Discussion : Emotions

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le jeudi 22 novembre 2018 à 16h32

Sif
Hello bonheur, toujours un plaisir de te lire!
Concernant la référence que tu cites, m'étant penché sur le développement personnel depuis la rupture avec ma première relation poly (et m'étant beaucoup remis à la lecture depuis), je me permettrais cet achat. Il ira se caler entre Salomé et Thalmann, mes lectures du moment.

Merci. J'apprécie également beaucoup ce que tu écris !

Salomé et Thalmann... et tous les autres en ce qui me concerne. Si tu le désires, je ferai un récapitulatif ici (si d'autres sont intéressés) ou alors, je te ferai parvenir en mp une liste faite sous excel (mais par le biais du site, pas de pj possible, alors il faudra échanger nos mails)

Sif
Non pas que les relations monos n'impliquent pas de développer son intelligence émotionnelle, mais quand on n'a pas à casser de normes, que l'on vit sur nos acquis mentaux et sociétaux sans se poser de questions, et bien justement on ne se pose pas de questions, donc on ne découvre pas de réponses ^^.

Je confirme. J'ai été "dormante" pendant 20 ans. Endormie dans une vie toute tracée que je qualifierai aujoud'hui de pas du tout malheureuse. Depuis, ma vie est heureuse et épanouie (sauf les 4 années de transition mono-mono en mono-poly)

Sif
C'est aussi ma façon d'extérioriser naturelle quand ça ne va pas. Mais on a beau revendiquer nos larmes, dire à l'autre qu'il n'a ni a les endosser, ni a se les affliger, ça arrive qu'il le fasse.. Pas toujours évident de communiquer en conscience, et d'être sur d'avoir été bien compris.

Moi, les larmes surviennent aussi quand je suis hyper heureuse. Aussi, quand j'ai une surcharge d'émotions, car chez moi, les émotions se côtoient. En particulier en matière de nostalgie de mes amours passés. Souvent je pleure mais c'est autant le côté "je ne vivrais plus jamais" que le côté "wahoo, ce bonheur que j'ai vécu, merci la vie !". Le mélange de tout ça fait que les larmes n'ont pas un sens, mais des sens.

Oui, être compris sur la réalité des larmes, enfin de nos larmes. La négativité comprise, alors qu'au contraire, ça fait du bien. On ne refera pas le monde, enfin pas celui immédiat. Il serait temps également que les mentalités évoluent à ce niveau-là. Il faut croire en l'avenir !

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Discussion : Emotions

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le jeudi 22 novembre 2018 à 16h01

@bidi....

bonheur
...

Je crois, et là encore ce n'est que mon "analyse", que devenir poly (affectif et/ou acceptant), c'est développé son intelligence émotionnelle et l'intégrer dans la communication au même titre que les raisonnements intellectuels ("mon corps m'appartient"). Les deux ne doivent pas se confronter, mais se mêler.

En lien avec un autre fil de discussion, je fais ressortir ce paragraphe :-) .

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Discussion : Liberté sexuelle de mes partenaires

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bonheur

le jeudi 22 novembre 2018 à 15h59

Put... d'antivirus :-/

Oui, j'en parlais justement.

J'en parle dans le fil de discussion que j'ai ouvert concernant les émotions. Le parallèle peut se faire, je crois.

J'avais en effet, senti chez toi un vocabulaire d'agacement. Ce qui te ressemble peu, enfin pas couramment.

Je te disais d'ailleurs, que si tu vivais actuellement un telle situation, j'en étais désolée... j'avais tenté de dire un truc bien et posé, mais du coup, aux oubliettes.

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Discussion : Liberté sexuelle de mes partenaires

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bonheur

le jeudi 22 novembre 2018 à 15h38

GRRR. Je viens de faire une réponse qui s'est volatilisée dans le méandre de la toile. Pas envie de recommencer ! Tant pis. :-(

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Discussion : Liberté sexuelle de mes partenaires

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bonheur

le jeudi 22 novembre 2018 à 15h09

@bidi...

Je fais un rappel de l'intégralité de mon propos. La petite phrase sortie de son contexte :-/

bonheur
La combinaison des deux est agréable, sauf si on le vit mal. Quant aux polyacceptants, il me parait essentiel que les polyamoureux aient à coeur de tenir compte d'eux. Aimer sans sexe, est dans ce cas, à mes yeux, la solution première, pour justement laisser le temps à cet "irrationnel" que nous avons tous au fond de nous.

On parle ici du cas précis où le polyacceptant vit mal quelque chose : la polysexualité.

bidi....
Ca part aussi du principe qu'il est plus facile d'accepter des sentiments en dehors du couple que de l'intimité sexuelle, ce qui n'est pas le cas pour tout le monde.

Oui, c'est de cela dont il est question, tout à fait et ça arrive.

bidi...
Et pour finir, elle fait une croix sur les désirs du métamour, qui lui n'a qu'a prendre les miettes qu'on lui laisse.

Je ne fais une croix sur rien ni personne. Sauf que quand deux ressentis ne peuvent être satisfait, si ce n'est au détriment de l'autre... que fait-on ?

Et bien, soit on divorce et on retrouve son entière liberté... ce qui va à mon sens à l'encontre du polyamour. Soit on ment... ce qui va à mon sens à l'encontre du polyamour. Soit on tente de concilier et on demande que le rythme d'avancée de la nouvelle relation s'adapte. Et puis, en polyamour, le métamour a son entière liberté, sinon, à mon sens, on n'est toujours pas dans du polyamour.

On m'a parfois dit que les polyacceptants étaient des polyamoureux. Inutile d'inventer un nouveau mot... ben là, on voit pourquoi il est important d'inventer un nouveau mot.

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Discussion : L'important

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bonheur

le jeudi 22 novembre 2018 à 14h56

Oui intermittent. Le consensus vient trop souvent après les actes et l'émotionnel du polyacceptant ne peut que subir au lieu de suivre. C'est pour cela que je désire être poly, pour ne surtout pas imposer mais pour vivre, heureuse, épanouie, avec un maximum de personnes que j'aime. Dans mon cas (et là, ce n'est que moi, mon ressenti perso), je ne peux être heureuse si je ne suis pas aimée, en rendant également heureux. La compersion, l'effet boule de neige augmente le bonheur commun, la dynamique commune... et la compersion ne suffit pas. Le polyacceptant doit savoir qu'il est sécure (et donc là, les menaces de divorce ou autres sont contre-productive : comment croire à un avenir commun, si l'autre ni croit pas lui-même) et que son ressenti est légitime.

Je viens d'initier un fil de discussion sur les émotions et j'ajoute ici qu'elles sont toutes légitimes.

Après, on fait parfois ce qui ne devrait pas, sauf que l'on ne prévoit pas toujours tout (l'interprétation d'un baiser, par exemple)

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Discussion : Emotions

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bonheur

le jeudi 22 novembre 2018 à 14h48

Les émotions. Je leur dédie ce fil de discussion.

Je regrette que les auteur-e-s n'aient pas abordé le dégoût ainsi que l'amour. Pour moi, ce sont également deux émotions primaires, cadeaux de la nature et signaux que quelque chose se trame en nous.

Je crois, et là c'est une "analyse" toute personnelle, que les émotions n'ont pas à être gérées. L'extériorisation de celles-ci est difficilement gérable. En particulier ce qui est de l'ordre du physiologique.

Des exemples. La joie implique un grand sourire au lèvres et un pétillement du regard. La tristesse enlève ce sourire et le regard brille peu. La colère nous donne cette couleur rouge et souvent on crispe des nerfs (moi je serre les dents) et on a envie de hurler. La peur peut paralyser complètement et inflige une énorme boule à l'intérieur. Le dégoût donne cette envie de vomir ou au moins d'écoeurement. L'amour, ce pouf (comme je l'appelle) m'emplit d'une chaleur et de troubles importants : bafouillage et/ou bêtises... bref, je ne suis plus dans un état "normal"

C'est le propre de l'émotion, que de nous révéler l'anormalité de notre condition intérieure et extérieure. Ressenti interne et externe. Notre âme, notre esprit, notre aura... sont impactés. Vouloir lutter contre cela me parait à la fois illusoire et inhumain. Retenir une émotion oblige l'intérieur comme l'extérieur à aller contre l'expression de l'émotion elle-même. Du coup, au lieu de s'évacuer, elle stagne (elle semble nous avoir quitté, mais en fait non) et un jour toute cette masse ressurgi et nous explose à la figure, faisant des dommages collatéraux (dans notre entourage et/ou à des inconnus).

Un exemple : la colère : prenons le cas d'une personne qui subit pendant ses journées de travail (stress, réprimandes, autres). Tous les jours, elle part pour rentrer chez elle en voiture. Si le trajet est court, c'est la famille qui prendra à son retour. Si le trajet est long, le comportement de l'automobiliste sera... dangereux... pour les autres. Et puis, dans certains cas, le trajet ne suffit pas pour "décompresser" et ce sont à la fois la famille, à la fois les autres qui subiront.

Dans notre comportement individuel, je pense qu'il faut accepter comme bienveillant de permettre aux autres de pouvoir libérer ses émotions sans "dégâts". Une personne qui veut pleurer doit pouvoir le faire. Je prône depuis un moment déjà le droit aux larmes, sans apitoiement extérieur, sans retenue intérieure. Je dis cela, car c'est ma façon d'extérioriser naturelle. Mon entourage sait désormais qu'il ne doit ni s'affliger, ni endosser mes larmes. D'ailleurs, elles sont mienne et j'en revendique la possession exclusive.

Bref, je vous laisse ce petit livre tout simple et tellement bien. Il en existe tellement d'autres.

Encore un mot pour indiquer qu'il existe, tout comme pour l'intellect, une "intelligence émotionnelle" ainsi qu'un Haut Potentiel Emotionnel. On a un QI et on a un QE

Je crois, et là encore ce n'est que mon "analyse", que devenir poly (affectif et/ou acceptant), c'est développé son intelligence émotionnelle et l'intégrer dans la communication au même titre que les raisonnements intellectuels ("mon corps m'appartient"). Les deux ne doivent pas se confronter, mais se mêler.

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Discussion : Emotions

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bonheur

le jeudi 22 novembre 2018 à 14h24

Je profite pour redonner les coordonnées d'un tout petit livre qui se nomme (à tord, enfin presque, comme les auteurs l'indiquent) "gérer ses émotions - des réactions indispensables" de Olivier Nunge et Simonne Mortera (préface de Vincent Lenhardt) aux éditions Jouvence développement personnel. 4,95 € ISBN 978-2-88953-014-4. Environ 90 pages (à une ou deux près)

4ème de couverture :
"Vivre, c'est avoir des émotions, c'est sentir ces "flux d'énergie" indispensables à notre organisme pour qu'il puisse fonctionner de manière optimale. Chaque émotion est une véritable source de vitalité nous permettant de mieux communiquer, au-delà de la complexité des mots.
Ce livre vous fera redécouvrir l'importance et le sens de la peur, de la colère, de la tristesse et de la joie. Vous apprendrez à les gérer pour éviter les pièges émotionnels grâce à un certain nombre de pistes concrètes permettant de maintenir une bonne hygiène émotionnelle et de mieux gérer vos émotions au quotidien."

Citation page 13 : "Qu'est-ce qu'une émotion ? Une émotion est un cadeau de la nature..."

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Discussion : Liberté sexuelle de mes partenaires

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bonheur

le jeudi 22 novembre 2018 à 14h14

@ Aina : tu peux t'acheter un punching ball ! Aussi j'avais lu dans un bouquin de développement personnel, que s'isoler et crier à pleins poumons. Je dirais que l'idéal est en milieu de rando, seul au milieu de la nature. Un environnement propice pour se débarrasser d'un surcroît d'émotions.

Je vais d'ailleurs, comme ici la discussion est dédiée à la sexualité, créer un nouveau fil de discussion, dédié aux émotions... je le fais de suite :)

@ IrisBubulle : je suis en accord avec toi. La combinaison des deux est agréable, sauf si on le vit mal. Quant aux polyacceptants, il me parait essentiel que les polyamoureux aient à coeur de tenir compte d'eux. Aimer sans sexe, est dans ce cas, à mes yeux, la solution première, pour justement laisser le temps à cet "irrationnel" que nous avons tous au fond de nous.

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Discussion : Liberté sexuelle de mes partenaires

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bonheur

le jeudi 22 novembre 2018 à 13h59

IrisBubulle
... mais tu connais déjà mon avis sur la question du lien entre ces deux point.

Oui. D'ailleurs je n'aurai pas dû intervenir ici, car pour moi, amour et sexe ne s'oppose pas mais ne s'impose pas non plus.

bidi....
D'abord, il faut savoir, dans son couple, trouver la force de partager ce qui est bon et ce qui l'est moins.

(+) Tout à fait !

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Discussion : Premices d’un Triplet

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bonheur

le jeudi 22 novembre 2018 à 13h53

Les nuances, justement, permettent d'être soi-même. Et puis, ne pas vouloir être parfait... et ne pas vouloir qu'autrui le soi. La communication permet de se sentir ensemble dans une dynamique commune. Après, il faut reconnaître que tout le monde ne sait pas communiquer positivement et tout le monde n'a pas toujours la patience nécessaire. Devenir poly (amoureux comme acceptant) demande beaucoup de "travail" et le relâchement se fait quand une fluidité s'installe.

Le positif, c'est comme tout, ça se travaille ET il faut se consacrer à soi-même pour l'avoir en soi. Ensuite, c'est un effet boule de neige, la transmission se fait à ceux qui le désire, sachant que ça ne s'acquière pas en un claquement de doigts.

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Discussion : Ca existe vraiment en pratique

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bonheur

le jeudi 22 novembre 2018 à 07h39

Le polyamour est inconnu et donc mal reconnu. Oui, ça fait fuir, je sais.

Oui, prend le comme une nouvelle vie, celle où enfin tu es toi-même !

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