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Discussion : Anecdotes plurielisantes, amoureuses ou amusantes
Siestacorta
le mercredi 17 février 2010 à 14h27
Trompettes, chœurs, cymbales et lancers de palombes.
Discussion : Des centaines de raisons de faire l'amour
Discussion : Des centaines de raisons de faire l'amour
Siestacorta
le mardi 16 février 2010 à 18h05
titane
faire l'amour en pensant au prochain match de foot... est banal... faire l'amour en pleine conscience du plaisir de sa ou son compagnon est sacré...
Mrf.
La transcendance c'est un passage obligé ?
C'est à dire que j'en demande pas tant, pour être heureux.
1.bp.blogspot.com/_CInODUbkjSw/R-1efFfh8HI/AAAAAAA...
Message modifié par son auteur il y a 16 ans.
Discussion : Des centaines de raisons de faire l'amour
Siestacorta
le mardi 16 février 2010 à 17h35
Il peut y avoir des choses naturelles et intenses, donc pas banales.
Mourir ou naître, à l'échelle d'un individu, c'est pas banal.
Ca dépend beaucoup de comment on investit la chose.
Et puis, si faire l'amour était aussi banal, il y aurait moins de monde pour en avoir envie.
Discussion : Aimer l'amour ou aimer les autres ?
Siestacorta
le mardi 16 février 2010 à 17h23
"Il n'y a qu'une tristesse, c'est de n'être pas des saints". Ecrivait Leon Bloy. Ca marche aussi avec ""des bisounours"...
Discussion : Au secours, des monothérapeutes !
Siestacorta
le mardi 16 février 2010 à 17h04
hm-hm... Quand tu es troublée tu t'efforces de pas rire ?
Pfou.
C'est compliqué les filles.
Discussion : Au secours, des monothérapeutes !
Siestacorta
le mardi 16 février 2010 à 16h55
Oui mais c'est quand je suis sérieux que je suis le plus amusant.
(sob...)
Discussion : Extrait d'une conversation entre quat'zyeux avec un pas convaincu - c'est son droit...
Siestacorta
le mardi 16 février 2010 à 16h53
Lam : on dirait moi quand on me parle d'évènements sportifs.
Discussion : Au secours, des monothérapeutes !
Siestacorta
le mardi 16 février 2010 à 16h51
Nope.
Je nie pas savoir me servir de ma "simplicité de parole" et du désir de défi pour la drague, mais je commence rarement par là.
Discussion : Extrait d'une conversation entre quat'zyeux avec un pas convaincu - c'est son droit...
Siestacorta
le mardi 16 février 2010 à 16h41
Gne veux pas savoir.
Et bon, je corrige pas, mes erreurs resteront gravées dans le marbre...
Discussion : Extrait d'une conversation entre quat'zyeux avec un pas convaincu - c'est son droit...
Siestacorta
le mardi 16 février 2010 à 16h32
On peux fantasmer en connaissance de cause !
Moi je suis encore bien persuadé qu'une jolie fille dans une librairie c'est une montagne de culture à qui je vais pouvoir parler de tout.
Alors qu'elle veut juste acheter "le diable porte du Prada".
Discussion : Aimer l'amour ou aimer les autres ?
Siestacorta
le mardi 16 février 2010 à 16h18
Nan, c'est parce que je l'ai un peu taquinée, elle a déjà posté ce lien plusieurs fois.
(clem, tu l'as en lien permanent sur ton blog ?)
Discussion : Extrait d'une conversation entre quat'zyeux avec un pas convaincu - c'est son droit...
Siestacorta
le mardi 16 février 2010 à 16h16
Moué.
Donc soit lui soit les personnes dont ils parlent ne connaissent pas le PA.
Enfin, je suppose que si notre comportement est source de fantasmes, c'est qu'il est en partie identifié, à défaut d'être reconnu.
Discussion : "Les mecs lourds" de Natacha Henry
Siestacorta
le mardi 16 février 2010 à 16h14
"mine de duègne espagnole"... Exquis.
Je vais essayer de m'en souvenir.
Discussion : Au secours, des monothérapeutes !
Siestacorta
le mardi 16 février 2010 à 16h11
Ca ne contre pas du tout !
Alors.
Je dis "je me drogue", c'est plus pour décrire la fonction de mon acte que sa réalité. C'est à dire que ce que je prend se vend en pharmacie (mais pas ailleurs).
Ce que je prends me rend (ou me donne l'impression d'être) plus disponible sexuellement. Avoir une érection plus facilement, alors que je suis pas très sensible spontanément.
Donc ça me fait pas devenir un "actif", je reste plutôt dans une attitude plutôt passive (heu, c'est pas immobile et sans partage, hein !), mais ça me permet de moins me prendre la tête sur ma réactivité érectile.
Parce que si je me prend la tête là-dessus, ce qui est déjà pas gagné devient incertain... Et non seulement je ne serai pas dans le rôle du vrai mec qui a de l'initiative et qui y va franco, mais en plus je pourrai arriver à ne pouvoir rien faire du tout.
Autant que je me sente bien sur cet aspect...
Sinon :
- j'en ai déjà parlé en thérapie, et même si ça semble bien être psychologique, ça n'avance pas depuis bien lngtemps, et c'est pas un sujet sur lequel j'ai envie de patienter
- ça dépend des amantes mais je ne deviens pas pour autant une sex machine avec l'une et une étoile de mer avec l'autre,
- je bois pas,
- e prend des antidépresseurs mais mes problèmes en la matière sont antérieurs. Ca a pas dû aider, mais c'est pas le centre.
Je veux dire que si ça pouvait se résoudre juste en se posant et en se faisant des massages... ça serait fait, parce que je suis pas inhibé à en parler, essayer de faire avancer la situation avec ma partenaire... J'ai essayé, quand ça marche pas, on cherche autre chose.
Message modifié par son auteur il y a 16 ans.
Discussion : Au secours, des monothérapeutes !
Siestacorta
le mardi 16 février 2010 à 15h51
Moi, je me drogue, du coup. Sans être certain de faire dans le placebo ou pas, d'ailleurs.
Ca me rend pas plus fougueux, mais moins flippé sur ma réactivité, ce qui est déjà ça.
Discussion : Au secours, des monothérapeutes !
Siestacorta
le mardi 16 février 2010 à 14h02
Junon
Quand on ne le partage pas, je ne trouve pas ...:/
Carrément.
Ca crée même quelques embrouilles.
(bon en fait je dis panda-sex, mais c'est une version atténuée du syndrome, que j'ai. C'est une façon de dire que je suis pas du tout un fougueux, quoi. Pas trouvé souvent d'amante qui aime tant que ça inverser les rôles comportementaux....)
Message modifié par son auteur il y a 16 ans.
Discussion : Café Poly à Strasbourg - en semaine (?)
Discussion : Au secours, des monothérapeutes !
Siestacorta
le mardi 16 février 2010 à 07h51
Nan, j'assume à peu près bien ce que je peux raconter sur moi, et pour l'instant on m'en parle pas trop souvent, donc pas de problème.
Discussion : Au secours, des monothérapeutes !
Siestacorta
le lundi 15 février 2010 à 13h40
De l'autre côté du spectre des sentiments amoureux, il y a des cliniques où on soigne les gens " souffrant d'addiction sexuelle".
Je dis complètement de l'autre côté, parce que, selon les exemple donné dans l'article,
www.rue89.com/california-dreamin/2010/02/15/aux-et...
ça concerne aussi les personnes qui trompent leur conjoint.
Bon, la définition de la frontière pathologique est donnée plus loin dans l'article : il y aurait intoxication quand notre volonté ne pourrait pas nous empêcher d'avoir des comportements sexuels destructeurs pour notre vie sociale, familiale, salariale (sauter sur tout ce qui bouge, mais aussi se connecter sur des sites de porno depuis le boulot).
C'est dommage que l'article ne soit pas plus touffu, l'exploration des limites finit toujours par nous apporter quelque chose...