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Discussion : Mon psy dit que.....

Siestacorta
le lundi 07 mars 2011 à 22h59
Bon, j'ai l'air de prendre la défense du psy, et si ça se trouve vous êtes plus proches du réel. Mais je prends ces posts comme occasion de réflexion, pas que comme problème -> résolution.
Wazaa : voué, mais faut prendre le "discours" comme une reconstruction de Ladymarlène. Les mots du psy ont une cohérence, celle de la déculpabilisation, mais leur contexte n'est pas nécessairement la continuité qu'on peut trouver dans le post.
Justement, on a pas la réflexion de Lady...
Par exemple, imaginons que le dialogue ait eu lieu comme ça :
LADY : je crains de me perdre dans l'immoralité, à aller comme ça régulièrement dans des boites échangistes.
PSY : mais non ! Ce qui serait choquant, c'est qu'il n'y ait pas d'amour. On peut imaginer que vous réfugiez vos désirs dans ces lieux parce que vos désirs échappent à la morale judéo-chrétienne, mais ça ne veut pas dire que votre amour est immoral... Ce n'est pas vous qui êtes anormale, c'est la société qui juges vos sentiments.
LADY : mais ce n'est pas de l'amour, enfin, pas avec le couple que nous voyons régulièrement.
PSY : dès l'instant où c'est régulier, il y a une relation...
LADY : c'est vrai que j'aimerai pouvoir vivre mes amours ailleurs.
PSY : mais oui : s'enfermer dans les boîtes, c'est la mort, la vie est dehors !
Bon, c'est une simplification, mais c'est pour dire comment un discours psy peut ensuite être reconstruit, et réattribué au psy, parce que l'empathie d'une séance tend à synthétiser les matériaux du patient et dy psy... Et si on écoutait un enregistrement, on serait étonné de voir que le sens des mots dont on se souvient et celui qu'on y a donné ne se superposent pas.
Souvent, le psy n'emet pas vraiment une théorie, mais nous en voyons une dans ses réponses.
Et, quand un psy propose une théorie, des valeurs persos, il a souvent la déontologie de dire "bon, là, c'est simplement mon opinion sur ce sujet, ce n'est pas le thérapeute qui vous parle mais la personne critique. Vous en faites ce que vous voulez".
Bien sûr, on est pas censé payer quelqu'un pour qu'il nous donne ses opinions. Mais la contradiction peut donner de l'énergie à une discussion psy... La neutralité n'est pas ce qui convient à tous ceux qui viennent parler : si elle structure l'ensemble de l'attitude du psy, la confiance fait qu'elle n'est pas totale, parce que les idées deviennent parfois plus vivante dans une plus grande chaleur, et dans un moment de confiance où le psy montre aussi ses opinions.
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : Mon psy dit que.....

Siestacorta
le lundi 07 mars 2011 à 21h14
Duchesse : le discours rapporté par Lady ne va peut-être pas forcément dans le jugement de valeur. Sur la phrase "faire l'amour avec un autre couple n'est pas choquant ni immoral, à partir du moment où il y a de l'amour" ne pose pas tout à fait la règle morale, même si cette formulation est ambiguë.
Mon interprétation, c'est que ce qui serait choquant, ici, c'est que le couple de Ladymarlène fasse l'amour avec un autre couple sans que Ladymarlène et son mari ne s'aiment plus entre eux. Que leur recherche soit devenu une fuite... Le danger d'immoralité serait que l'un des deux, ou le couple de l'autre côté, exploite la situation.
Bref, ce que je veux dire, c'est que ce "immoral" n'a pas forcément le sens moraliste qu'on pourrait craindre...
Lady, selon toi c'est quoi ?
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : Mon psy dit que.....

Siestacorta
le lundi 07 mars 2011 à 15h20
Ben si il dit ça à tous les échangistes, c'est con.
Mais si il te le dit à toi parce qu'il pense que sans ces cadres vous ne feriez pas l'amour, il est très fin, ton post-soixantehuitard.
Discussion : Poly ou Mono: Communiquer enfin au sein de son couple.

Siestacorta
le dimanche 06 mars 2011 à 13h34
Prodipe
C'est une bonne idée, mais modifier les comportements liés à l'évolution ne prennent que quelques milliers d'années ...
C'est imprécis, donc sans pertinence.
Il a fallu du temps pour changer noshabitude alimentaires en tant qu'espèce. Les changements de capacités d'apprentissage, ou notre resistance aux maladies, ça s'observe sur une génération.
Enfin, au niveau de la vie d'une personne, ses apprentissages sociaux et culturels sont assez spectaculaires. On est pas la même personne sentimentalement à trois ans et à soixante. Bref, l'evolution et la Nature ne sont pas des constantes, à l'échelle de nos valeurs morale et de nos comportement amoureux.
Prodipe
la liberté individuelle est précieuse mais dès lors que l'on est en couple, le schéma traditionnel et culturel de disparaît pas, vouloir faire évoluer cette liberté est séduisant mais séditieux.
Je crois qu'il va falloir que tu développes ce point de vue, parce que là tu portes un jugement lapidaire mais pas bien consistant.
Enfin, si aller chez un psy pour parler de problèmes de couple te semble "douteux", on ne peut que te féliciter d'être un modèle de bien-être. Good for you.
Mais, si tout va si bien dans ta vie amoureuse et que tu n'as aucun besoin du questionnement poly, je ne comprend pas du tout pourquoi tu viens lire, et encore moins pourquoi tu ressens le besoin de qualifier ces écrits de "jérémiades" "qui cherche à aller contre l'évolution". *
Surtout que tu ne contre-argumentes pas.
Discussion : Progressivité

Siestacorta
le samedi 05 mars 2011 à 11h52
Elfe66
Voilà la difficulté et quand je lis certaines interventions où dans le polyamour d'une femme ou d'un homme, l'amoureux est quasi imposé au conjoint, (...) je sais qu'il me serait totalement impossible d'imposer cela à mon mari. Cela releverait pour moi d'un profond égoisme, sachant que déjà n'étant pas polyamoureux, je lui impose mon polyamour, avec toutes les souffrances que cela peut générer dans sa tête, dans son corps même, à me savoir partagée avec d'autres ...
Pour le moment, pour toi, c'est "tout un", mais être honnête sur ses besoins poly et imposer un nouvel amant avec mille changements de modes de vie, c'est très différent.
Ensuite, tu ne veux pas imposer le polyamour, mais, du point de vue de quelqu'un qui a des besoins poly, c'est l'autre qui impose la monogamie.
La monogamie est présente avant, et tout autour, elle semble donc moins passer en force, mais comme dirait Brecht (quand il craque sur un pot de nutella), on parle de la violence d'un fleuve, mais pas assez de la violence de ses rives.
Quand on se sacrifie à la vision de l'autre (poly ou mono), on se voit plus vertueux et plus prudent. Mais à moyen terme, c'est cet oubli de soi qui amène le plus de violence.
On a rien dit pendant tellement de temps, quand on révèle sa jalousie ou son polyamour, on le fait soudainement, en tout cas l'autre nous a tellement pas vu venir...
Tu as déjà commencé un truc progressif, puisque du point de vue de ton mari, tu vois des gens pour toi, sans lui. Il n'est pas encore question de relations amoureuses, mais ton mari a déjà reconnu ton droit à une intimité, une indépendance.... que beaucoups de conjoints n'accordent pas, ou avec moults signes d'incompréhension.
Je voulais souligner qu'il ne s'agit pas de te pousser à parler tout à trac, hein. Mais devant toi, c'est pas forcément tout bloqué, ça dépend par quel côté tu le prends. Il n'y a pas tellement de différence entre un mur et un pont, ça dépend d'où tu le vois.
Discussion : Un couple à trois

Siestacorta
le vendredi 04 mars 2011 à 19h00
Aurelien, je viens de voir que tu étais admin sur le Facebook de tryad.info
Ca avance staffaire ?
Discussion : Polyamoureuse ... qui se cherche toujours ...

Siestacorta
le vendredi 04 mars 2011 à 18h30
blusher : heu, tu surinterprète pitett un peu le message de polypoli, qui dit juste "t'es pas obligée de tout dire, si tu doses la transparence ça ira".
La vérité n'est pas "une et entière", dans l'expression affective, c'est aussi important que ce que tu soulignes "faut pas tout garder pour soi, ça mine".
Elfe66 : : t'inquiètes pas des tensions entre forumeurs, c'est un phénomène naturel.
Les débats avancent comme ça, c'est rien de grave.
Ca pique parfois un peu, d'autres fois ça se congratule et se bizoute, quand on ne fait que l'un ou l'autre à la longue c'est fade, comme ne manger que des trucs à la vanille et jamais de piments.
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : Progressivité

Siestacorta
le vendredi 04 mars 2011 à 13h31
wolfram
en revanche, dans le cadre du partage et de l'échange, raconter ses joies prises ailleurs fait partie de la reconnaissance d'un lien fort !
C'est sûr ! Mais les besoins et capacités de chacun en empathie, donc en "compersion" pour être précis, c'est très divers. Il n'y a pas d'idéal de partage et transparence à atteindre, simplement un modus vivendi à trouver (et parfois remettre en cause).
Discussion : Progressivité

Siestacorta
le vendredi 04 mars 2011 à 10h56
Le dédouanage à bon compte peut aussi avoir lieu dans la confidence en elle-même.
Parler d'un de tes amours à un autres, en termes positifs, ça peut être mal motivé :
- jouer sur "faute avouée donc à moitié pardonnée", donc se soulager de l'éventuelle mauvais conscience d'avoir pris des plaisirs sans l'autre.
- vérifier que l'autre est toujours d'accord, donc lui faire prendre un peu de "responsabilité" sur ce qu'on continuera à faire...
J'ai eu la chance de faire cette part de mon parcours assez tôt donc assez vite, avant que cette délicatesse soit un grand changement dans un couple installé. Donc c'est vrai que ma position était différente !
Mais ce "après-coup", tel que tu le pratiques, est assez limitant... Et si ta femme t'as accompagné dans tes recherches, elle peut comprendre.
Je pense que face à cette situation, tu peux préparer autrement l'espace de vérité, faire que l'omission soit plus directe tout en coûtant moins.
Tel que je le vois, tu pourrais reprendre, sans que ce soit les rv amoureux qui le justifient, du temps libre, du temps où tu n'es pas là, amoureuses ou pas.
Dans le cadre du couple classique, on tend à croire que ce temps là n'est pas nécessaire.
Mais je pense notemment à cet article de libé.
L'article est très orienté vers la partie infidélité. Mais le constat me semble global, sur le temps dont on a besoin avec d'autres, ou "exclusivement avec soi" (de ces "vacuoles de solitude et de silence" que nous souhaitait Deleuze, un homme qui aimait les oeufs en omelette), bref, la possibilité de définir personnellement les marges de liberté de mouvement qu'on s'accorde par rapport à un conjoint.
C'est ce principe de besoin d'autonomie, que ton épouse a probablement déjà acquis, qui rend compréhensible que tu ne racontes pas tes aventures. Tu peux dire qu'elles existent, qu'il y en a une qui est plus continue, mais tu n'as pas à en rendre compte, puisque, par principe, le temps que tu prendrais pour toi ne la concerne pas.
Voilà, une piste.
Discussion : [Le site] Liste des participations d'un utilisateur
Discussion : Polyamoureuse ... qui se cherche toujours ...

Siestacorta
le jeudi 03 mars 2011 à 10h36
Elfe66 :
Bienvenue.
Tu aimes ou te sens capable d'aimer plusieurs hommes, et capable de passer le pas de l'interdit.
C'est déjà bien, le bonheur que tu prends et que tu donnes comptent infiniment plus que les mots.
Ici, il t'a été dit, de façon plus ou moins frontale, que tu mentais et trompais.
Il faut bien comprendre une chose. Il n'y a pas de jugement dans ces observations. Il y a beaucoup d'entre nous qui sommes passés par là, ou dont un amant est passé par là.
Quand on dit que la vérité n'est pas établie, c'est juste un constat, une partie réelle de la description de la situation.
Mais tu es parfaitement au bon endroit pour en parler, pour écouter !
Parce qu'on en est pas tous au même point dans nos histoires polyamoureuses, on est pas tous à un état "mâhairvailleux" ou tout le monde se love love sans tabous ni difficultés, et dans pas longtemps on aura atteint un état de conscience nous permettant de parler avec les arbres.
Le polyamour n'est pas ici toujours "ce qu'on fait" et il n'y a rien avant ! C'est parfois un passé pour certain, un horizon, un repère... Et on pratique pas tous l'honnêteté de la même manière. Ca dépend de nos vies et de nos amants. On cherche tous nos fonctionnements... Ce qui signifie bien qu'à un moment on en avait pas.
Donc pour toi, dans ta situation, l'honnêteté dont on parle n'est pas encore praticable. Mais personne ne mettra en doute que tu aies envie de t'y essayer, ou que tu regrettes de ne pas pouvoir le faire, tout en sentant que ce serait la bonne solution morale pour toi. Tout le monde ici te souhaite de trouver ton fonctionnement, celui qui te fera le plus de bien par la suite.
Ce qui a fait réagir les gens, c'est une confusion... Tu te sens polyamoureuse, mais tu ne vis pas un polyamour. Ce n'est pas du tout contradictoire, et surtout pas une situation qui fait de toi la méchante. Ici, on te considère comme tout à fait normale de te chercher dans cette direction !
Quand il t'a été répondu "le polyamour, c'est quand on fait ci et ça", c'est pas pour te dire "t'en es pas, t'es pas comme nous, vile pécheresse". Avec le recul, avec l'idée que les gens ne te jugent pas mais on envie de parler avec toi (tu vois bien que le fil que tu as ouvert s'allonge vite !), tu prendras leurs interventions comme "oui tu en es là, mais tu peux aussi penser à ça comme ça, déculpabiliser sur le double amour, et mesurer différemment la responsabilité sur la vérité, sur à quel moment elle peut sortir".
Donc ce que peut apporter la communauté ici, c'est des comparaisons, des repères, des exemples de motivation, des réflexions. Il n'y a pas de condamnation sur ce que tu es, sur tes motivations. Au pire, des points de vue, généralement accompagnés d'une comparaison avec d'autres vécus.
Désolé sinon pour ton histoire finissante... Mais, justement, en continuant ta réflexion, tu as l'espoir qu'en assumant mieux, peu à peu, tu donneras de la solidité à d'éventuelles autres relations.
C'est vrai que transformer ta relation actuelle ne sera pas facile (peut-être pas souhaitable au fond)... Il faut réaffirmer la confiance avec ton mari, car dans une relation classique, elle n'est pas tellement questionnée, puisque fondée sur la répétition de code soit-disant "normaux". Cette réaffirmation fait peur, parce qu'on la croyait acquise... Là, elle serait mise à l'épreuve d'une circonstance très nouvelle. Personne n'est complètement prêt à sauter là dedans sans complexe !
C'est un changement qui peut être très profond, comme si vous décidiez de rester ensemble mais de ne plus vivre dans le même appart'. Tout un tas de situations et de délicatesses à voir venir.
Bon courage, tous mes voeux d'amélioration.
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : Poly ou Mono: Communiquer enfin au sein de son couple.

Siestacorta
le mercredi 02 mars 2011 à 11h33
Prodipe
Ce néologisme de 'polyamour' n'est destiné qu'à ceux qui s'autorisent à "aller voir ailleurs" sans, pour autant, casser des assiettes au retour du conjoint.
C'est tout l'inverse, bien sûr !
La monogamie, ça n'est destiné qu'à ceux qui croient pouvoir se permettre de garder l'autre à portée de main en permanence sans qu'il lui envoie d'assiettes à la tronche.
Il est impossible de voir les choses autrement, ce serait de l'hypocrisie.
Hein ? Quoi ? Moi, je caricature ?
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : Je ne veux pas être dépendante, et ce fonctionnement fait que je le suis.

Siestacorta
le mardi 01 mars 2011 à 16h27
bon, "cacher la nature de ses sentiments", c'est quelque chose de soit très dur, soit très flou.
Par exemple, j'ai souvent du mal à dire mes sentiments avec des grands mots rendus célèbres par Lara Fabian, mais je sais marquer mon attachement.
Possibilités :
- s'il a son propre langage amoureux, écoute-le et essaie de le parler aussi... On peut avoir de l'attention et du respect pour quelqu'un sans expliquer ses sentiments en 4 exemplaires paraphés.
- il est très très bloqué, et t'as pas fini de ramer, et si tu en as marre maintenant, la suite sera pas mieux.
- dernière possibilité : c'est pas "cacher", c'est juste que c'est pas du grand sentiment, et tu lui fais trop d'honneur à croire qu'il "cache". Il ne montre pas parce qu'il n'y a pas grand chose à dire de plus...
Autre face du problème : quelles questions poses-tu ? Je me définis comme polyamoureux :je dis à peu près où j'en suis dans ma vie affective à celle(s) que je fréquente à tel moment, mais je ne dis pas forcément qui, combien de fois, jusqu'où... Sauf si ça changera quelque chose à la relation.
Pour "comment ça se passe quand il est ailleurs"... ca dépend vraiment des personnes. Pour le coup, on ne se cache pas, mais on va pas s'obliger à se montrer non plus. Ca dépend de ce qu'on considère comme intime ou partageable avec l'autre.
Quels contacts peut il y avoir entre vous, lesquels ne peuvent pas avoir lieu, lesquels souhaiterais-tu ?
Discussion : Moyens éprouvés ou à tester pour rencontrer d'autres polyamoureux

Siestacorta
le lundi 28 février 2011 à 14h35
Ok.
Mais tant qu'elle est d'accord, et que, même si elle n'en a pas l'usage, tu lui accordes la même liberté, tu tends beaucoup vers un fonctionnement polyamoureux.
La notion d'adultère, c'est plus par rapport au couple au sens "juridique", le fait conjugal.
Si quelqu'un te confronte à la loi ou à un ordre moral, c'est ton propre regard critique, pas ta femme, ou ta famille, si je comprend bien. Utiliser ce mot "dur" est une façon, sans doute, de gérer la culpabilité de faire souffrir ton épouse.
Discussion : Faut-il accepter le polyamour même si on sait qu'il en préfère une autre?

Siestacorta
le dimanche 27 février 2011 à 22h13
Oui, comme Wazaa, même situation, même question, même réponse :
tu penses par ton rapport à lui, "oh je veux qu'on soit ensemble".
Les polyamoureux n'avons pas de technique pour faire que l'autre aime quand on l'aime. Le polyamour ne fait pas plus ça que la promesse de fidélité.
Et il n'y a pas de "défauts" ou "qualités" essentiels, qui changeraient tout à l'histoire.
A part accepter ses sentiments tels qu'ils sont (pas aussi forts que les tiens) et t'éviter le plus possible de moments frustrants (donc continuer à faire autre chose que penser à lui), il n'y a pas d'initiatives vraiment nouvelles à prendre...
Enfin, un truc, tu n'es pas lassante, contrairement à ce que tu pourrais croire en lisant ces derniers posts. Ce n'est pas toi comme personne qui est lassante, c'est une conception de l'amour que tu partages avec énormément de gens, et qui finit si souvent par en faire souffrir la majorité.
Quand l'individu s'oublie dans une passion, quand, consciemment ou non, il met l'Hâmour qu'il ressent pour l'autre tellement au centre de tout que, nécessairement, tout le reste s'appauvrit.
Souvent, ne pas s'attaquer directement à la misère (ou à ce qu'on ressent comme tel) est le but...
Bon, désolé pour cette "sortie", c'est un ressenti que j'ai sur le coeur pour plusieurs récits amoureux, ici ou ailleurs. Désolé si c'est déplacé.
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : [Le site] Amélioration de l'annuaire des membres
Discussion : Maitresse

Siestacorta
le dimanche 27 février 2011 à 13h00
Tigre, où sont les références qui te gênent aux entournures ?
Soit je les ai trop intégrées pour les voir, soit j'ai zappé les lignes...
Discussion : Moyens éprouvés ou à tester pour rencontrer d'autres polyamoureux

Siestacorta
le vendredi 25 février 2011 à 20h43
Si ta femme est au courant et qu'elle t'a aidé à sortir des carcans, je ne comprend pas bien où c'est adultérin ?
Je comprendrais si elle était au courant mais en désaccord et malheureuse, mais avec ces détails là...
Et sinon, touche pas à mon pote Nietzsche, sinon il va t'arriver des bricoles.