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Discussion : Un polyamour peut-il durer ?

Siestacorta
le jeudi 24 mars 2011 à 17h27
On en parle pas assez souvent dans Elle pour que je me fasse un avis.
Discussion : Un polyamour peut-il durer ?

Siestacorta
le jeudi 24 mars 2011 à 16h29
Dans le topic sur Bordeaux, on est parti assez loin en HS (même si ça intéressait les intervenants) et Eric m'interpelle sur ce thème :
Eric49
Cela dit, j'attendais Siesta sur le registre du CDD polyamoureux. Car il me semblait qu'il pouvait apporter un éclairage à Arkbis sur ce sujet. D'après ce que j'ai compris d'une des nombreuses différences de fond entre Siesta et moi, c'est que j'ai plutôt le fantasme CDI alors qu'il a plutôt celui de CDD (plus pragmatique ? ou est ce un idéal ?). Autrement dit, le CDD existe aussi chez les polyamoureux (certains trouvent cela évident mais moi je ne trouve pas). Le CDI existe aussi chez les polyamoureux (pour moi c'est évident mais d'autres n'envisagent même pas que le polyamour puisse être un engagement, par exemple certains psy voit le polyamour comme une légèreté). Bref, le polyamour n'a pas de rapport direct avec la durée des relations, vous l'avez très bien exprimé de façon différentes ci-dessus, on a donc l'air d'être d'accord entre nous sur ce point.
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : Un polyamour peut-il durer ?

Siestacorta
le jeudi 24 mars 2011 à 16h28
Je pose la question.
Je dis "plutôt non".
Parce que je crois pas que l'état amoureux puisse durer, déjà.
A deux, je pense que c'est pas gagné, et que si la relation dure, le sentiment aura sans doute beaucoup changé. Le "comme au premier jour" des vieux couples idéaux pour romans et articles mal torchés me donne le plus souvent autant d'émotion qu'un autocollant de mickey et minnie.
Alors quand il y a trois personnes concernées, avec chacun leurs émotions, situations, vies en dehors de la (/des) relation(s)... Mathématiquement, la probabilité me semble réduire.
Et pourtant... je sais bien que si quelqu'un me donne la simple liberté d'aimer quand et qui je veux, je vais y être plus attaché. Plus durablement, parce qu'on s'entend sur quelque chose d'essentiel, et que je peux y voir un sens. Et parce que concrètement, les bifurcations de ma vie amoureuse n'aboutiront pas nécessairement à une impasse pour la relation. J'ai le choix de la faire continuer, il n'y a plus à cette option l'impossibilité de principe exigée par la monogamie.
C'est vrai, ça peut faire durer. Mais disons que je conçois mon fonctionnement et ma liberté comme assez discontinus... Je vais y revenir après une page d'Eric49.
Discussion : Images mentales fantasmatiques et féminisme

Siestacorta
le jeudi 24 mars 2011 à 15h47
Rho...
Ya un super passage, là, sur "le point godwin du féminisme" où un mécréant comme moi trouve quelque consolation rhétorique :
Discussion : La souffrance une trahison ?

Siestacorta
le jeudi 24 mars 2011 à 12h49
Assez d'accord avec illitch sur l'idée que la médecine crée une vision totalisante de la santé, où il y aura toujours un mal à soigner.
Mais je ne place pas la santé et la médecine comme valeurs. Je veux choisir, à mon échelon d'individu, "mon imperfection", et celle de ma santé. Mon imperfection sera toujours là, elle fait partie de ma condition d'être vivant et attaché au monde matériel.
Même à mon meilleur, je serai très très imparfait.
Le truc, c'est que je serai très content de l'être !
Ce que je veux améliorer dans ma santé et mon bien-être, c'est par morceaux et par essai/erreur/réessai. Je n'ai aucun désir d'arriver à un moment à un ensemble "Siestacorta" totalement stable, solide, arrivé... achevé.
Si je peux arriver à une étape de ma vie meilleure que celle dont je viens, je sais que celle-ci aussi aura ses difficultés, ses peines. Pas d'âge d'or, pas de "Happy ever after".
Et peut-être devrai-je revenir sur une étape passée pour être mieux. Mais en attendant, essai/erreur.
Si ça marche pas tant pis, si ça marche tant mieux. Oui, ça vaut pour les médocs. On a le droit de commencer et d'arrêter, chaque choix annule ce qu'on aurait pu faire à la place. Jusqu'au choix suivant... Qui peut être sera de défaire ce qu'on a fait, de plus prendre le médoc qui ne nous a pas fait de bien. Ya pas d'actes purs, et tout ce qu'on fait à sa propre échelle est corrigible presque à volonté.
C'est avec cette imperfection que je suis pour le droit à la toxicomanie, au suicide, à la bouffe pas saine, à la médicalisation self-service, aux conduites à risque - dans un cadre où on peut s'informer, et où l'institution prend cette responsabilité en charge plus à coeur que son obstination à essayer de me faire flipper sur ces sujets.
Je ne cherche pas de perfection, je revendique ma liberté d'évoluer à ma façon, la possibilité de faire des erreurs (et même de n'arriver à rien de bon. Du moment que je n'ai entraîné personne dans mes conneries...)
.
Ce que je trouve plus dommageable, c'est de ne pas essayer, ou de ne pas tenir compte de ses erreurs.
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : La souffrance une trahison ?

Siestacorta
le jeudi 24 mars 2011 à 12h08
BenjaminL
Mais je me le disais probablement trop, du coup, et c'est bloquant aussi.
Comment est-ce bloquant ? Dans quelle situation ?
Discussion : La souffrance une trahison ?

Siestacorta
le jeudi 24 mars 2011 à 12h02
Théorique ? ni plus ni moins que l'attitude que tu as choisi d'avoir face à tes difficultés jusqu'ici. Si, jusqu'ici, tu as conservé ton libre-arbitre comme tu penses le faire encore en ne te médicalisant pas, c'est bien cette attitude qui a servi de contexte aux difficultés que tu souhaites affronter, non ?
Si cette attitude n'était pas la solution, puisque les mêmes difficultés demeurent, essaie de la traiter comme une partie du problème. A l'essai. Ca, c'est une démarche rationnelle, en tout cas.
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : Café-Poly - Paris - samedi 2 avril 2011

Siestacorta
le jeudi 24 mars 2011 à 11h57
Smells like beer spirit...
Ca semble un bon plan, vais tenter de dégager l'horaire pour moi (30 % de proba)
Discussion : Happy Few - ceux qui ont vu le film

Siestacorta
le jeudi 24 mars 2011 à 10h15
heu...je peux pas le jurer là j'ai pas ma doc, mais il me semblait que le réalisateur et sa co-scénariste étaient ensemble aussi à la ville...
Et exposer la peur que l'autre amant soit meilleur, c'est pas forcément la cautionner ! C'est une question que se posent plein de gens face à l'infidélité ,au polyamour ou à l'échangisme...
C'est une des raisons qui fait que l'échangisme m'intéresse pas : c'est un lieu où mes doutes et ceux des autres, brefs les racines de la jalousies sont finalement encore plus fortes, parce qu'on est là aussi pour surveiller, compenser...
Pas envie de laisser le réflexe de comparaison (celui des autres ou le mien ) entrer dans l'alcôve. J'en reconnais l'existence. Mais je ne veux pas y accorder une importance tellement "garantie" par la présence de tout le monde en même temps.
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : La souffrance une trahison ?

Siestacorta
le jeudi 24 mars 2011 à 09h55
Je vais te suggérer quelque chose d'antiromantique... Je le fais qu'avec modération.
Pour moi l'amour est, pour une bonne part, une "illusion nécessaire". Je suis ravi d'être parfois berné par elle, je suis d'accord aussi que certaines rencontres nous offrent tellement qu'on peut les désirer sans pour autant avoir balancé tout réalisme...
Les mécanismes de l'illusion sont identifiables, même si elle est parfois souhaitable et bénéfique..
L'illusion serait que le sentiment amoureux se justifie seulement par lui-même,qu'il n'apparait pas aussi quand notre vie lui offre un terrain ; on tomberait amoureux de quelqu'un parce que "il y a un trésor d'amour à découvrir" et ce serait plus de la magie que du contexte qui ferai qu'on ressent quelque chose d'aussi fort alors qu'connait encore mal la personne, ou qu'on sait parfaitement que ça ne va pas.... Coup de foudre, "je te connais pas, mais tu vas devenir un élément prépondérant dans mon coeur", ou destinée "je ne renoncerai pas à notre Histoare d'Hamour".
Cette illusion naît souvent dans un contexte qu'on minimise. Tu décris une relation très fusionnelle avec ton mari. Tu n'envisages pas qu'elle se termine, tu n'évoques pas cette possibilité, il n'y a sans doute aucun signe que ça puisse arriver, mais tu sembles le craindre malgré tout.
Je ne sais pas pourquoi tu n'as pas la "confiance tranquille" sur ça. C'est peut-être toi qui doutes facilement, puisque tu as aussi des barrières morales au moment de parler à ton amant... De la timidité ? Ta souffrance est dans ce doute et ces peurs, plus que dans la situation réelle (où tu as un mari qui t'aime et un amant possible, c'est plutôt enviable).
L'illusion de l'intensité amoureuse peut se nourrir de ton contexte, et avoir une utilité paradoxale. Tu ressens une forte intensité parce que ta liberté est grande, tu as donc un grand enjeu à tes choix amoureux. ("souffrance, trahison"... Ton questionnement est balèze.). Il y a peut-être d'autres contextes (ta propre histoire, ta vie pro, familiale, intra-mariage)...
On tombe intensément amoureux parfois parce que ça donne un catalyseur à toutes nos émotions. On se raconte une histoire amoureuse parce qu'elle nous est plus facile à imaginer, à nous donner comme rôle que la responsabilité de quelqu'un qui prend à bras le crops tous les aspects de sa vie où il bloque(surtout s'il est passif et "souffrant", l'amour impossible ou la résolution presque-impossible, ça donne de la place et du temps à notre psyché pour bouger) .
Ce n'est pas masochiste de vouloir souffrir, parce que notre peine nous donne un beau rôle. On ne se fait pas mal, on se fait éprouver le sentiment en se plaçant dans le rôle...Et on le fait parce que travailler sur le contexte qui pousse notre sentiment serait plus long, plein de moments creux et immobiles... sans ressenti.Pas facile à affronter, peu à peu, par petits pas. On préfère avoir des vertiges, ça nous donne plus l'impression d'être face à de l'essentiel.
Ca n'est pas une question d'optimisme, mais de sensibilité. On ressent de la souffrance parce qu'on ne sait pas vivre en ressentant moins, en distinguant nos sentiments, nos besoins et nos émotions...
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : La souffrance une trahison ?

Siestacorta
le mardi 22 mars 2011 à 23h29
Benjamin, si je me souviens un peu, tu as des bases scientifiques...
Certains états d'esprit sont bien plus des entraves au libre-arbitre que les remèdes psy.
La dépression, pour parler de ce que je connais... C'est une spirale de dysfonctions psychiques. Et rester dans cet état, c'était comme prendre des drogues qui ne te donnent que des descentes.
Aller mal devenait un mode d'existence, une façon de me sentir vivre. La dépression, chimiquement, c'était mon cerveau qui produisait pas bien ses neurotransmetteurs. Dans ma esprit, c'était de l'autocritique, des angoisses, des tristesses...
Le phénomène chimique et le phénomène moral étaient le reflet l'un de l'autre. Nos idées et nos états se correspondent. Comprendre ça, c'est être un peu moins "un obscurantiste de soi-même".
J'ai pas soigné ma dépression uniquement avec un traitement. Mais le traitement me donnait la possibilité de réfléchir plus librement, que ma raison ne résonne pas comme un pot de chambre sous le cul d'un malade.
Si ne pas prendre de traitement, ou même plus largement ne pas travailler avec un psy sur la matière de nos pensée, c'est conserver la liberté de souffrir, de ne pas parler et de ne pas agir sur les racines de sa souffrance, alors c'est la liberté de l'humidité dans du bois : celle qui fait pourrir sur pied...
Bref : la souffrance, c'est un signe, ça s'écoute, ça parle, mais une fois qu'on a fait le tour, on a le choix de commencer à se sentir autrement. Ne pas se donner les moyens de passer à un autre état, c'est pas nécessairement suivre un chemin personnel, c'est choisir de se laisser porter par le courant. Parfois, c'est comme s'accorder pour de confiance pour se faire souffrir que pour aller bien.
Ya des moments où faut choisir entre une liberté et une autre, et le bon choix, celui qui fait avancer, c'est ce qui nous rend responsable... Et généralement, c'est pas le choix qu'on a fait tous les jours précédents.
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : Mon psy dit que.....

Siestacorta
le mardi 22 mars 2011 à 07h33
Mais quels seraient les scénarios, raconte comment ça pourrait mal se passer ?
Tu parles. Il te rejette... Et puis, ensuite, que ce passerait-il ? Comment tu te sentirais, comment tu crois qu'il se sentirait ? Jusqu'où tu imagines un bon déroulement des choses, quand deviendrait-il "trop" ?
Ou
Tu parles, ça se passe trop bien... Et ensuite, quels sont les risques, comment tu te sentirais, qu'est-ce que tu peux imaginer de néfaste ?
De quoi as-tu peur ? Tu "meurs de trouille" alors que tu n'as pas commencé à agir. Cette trouille-là, de ta chambre, tranquillement, tu peux la rendre inopérante.
Discussion : Mon psy dit que.....

Siestacorta
le lundi 21 mars 2011 à 23h08
ladymarlene
Au fait siestacorta, en d'autres termes c'est exactement mais exactement ce qu'il m'a dit
(il va bientôt être temps que je me retire dans un bled et dispense des enseignements... j'hésite entre El Fallous Capricioso et Misanthropus Maximus, comme nom de leader de se... d'initié aux traditions).
Bon, ta situation est très différente de ce que je peux connaître. Déjà avec une amoureuse je ne la vois pas tous les soirs, alors avec une amoureuse prime...
Donc je ne peux pas tout à fait me mettre à ta place.
Barrière morale ? Ou émotionnelle ?
Ca me titille quand même. Le bien, le mal, j'ai toujours quelques menues difficultés si on m'explique pas clairement.
"Barrière", le truc qui t'empêche d'agir... même bourré... C'est pas seulement "moral", souvent. Est-ce que quelque chose de mauvais pourrait arriver si tu parlais d'amour à ton amant ? Ce serait quoi ta (tes) réponse(s) à ça ?
Discussion : Faire évoluer son couple, du standard "socialement reconnu" au PA... patience...

Siestacorta
le lundi 21 mars 2011 à 10h51
Oui, et prioritaire : avec un psy ou autrement si tu en as l'idée, commence une sorte de bilan sur la souffrance personnalle qui t'amène là.
Fais le ménage dans ta tête, pas seulement dans l'optique "je veux ça, comment l'obtenir" mais aussi "pourquoi / comment je souffre de vouloir ça".
Discussion : Images mentales fantasmatiques et féminisme

Siestacorta
le dimanche 20 mars 2011 à 17h38
Boucledoux, King Kong Theory, je connais et j'adowre, parce que pour moi c'est un éloge du particularisme, une gueulante pour s'assumer "imperfections incluses". Ca m'a tout de suite beaucoup plus parlé que ce dont j'ai pu entendre parler en textes féministes, à l'ascendance plus "universaliste".
Par contre, Lam, les féministes pro-sexe, ça, je veux bien en entendre parler plus. Yavait un texte un peu trash, queer, assez combatif, plutôt pamphlétaire... Et cette auteure qui avait pris de la testo, pour voir l'effet sur sa conscience.
C'est dans cette veine ?
Discussion : Comment gérez-vous les écarts entre vos désirs sexuels et ceux de vos partenaires ?

Siestacorta
le samedi 19 mars 2011 à 15h40
Boucledoux
ben moi je fais [le clivage], nettement. Pas dans le fait "d'avoir envie" mais dans la réaction au "non"...
Oui, notre société éduque mal les hommes à gérer la frustration, me dit-on dans l'oreillette.
J'imagine qu'on dit aux petits garçons de redoubler de hargne pour obtenir ce qu'ils veulent, et que s'ils obtiennent pas la médaille, c'est pas vraiment des mecs ?
Quelque chose comme ça...
Discussion : Comment gérez-vous les écarts entre vos désirs sexuels et ceux de vos partenaires ?

Siestacorta
le samedi 19 mars 2011 à 12h57
Ben ça, c'est un des problèmes très présents à propos du côté couillu de la Force, mais je crois que ça dépasse quand même le clivage masculin/féminin, ou, au moins, ne le recoupe que partiellement.
C'est le mélange "sexe affamé n'a pas d'oreilles" et "avoir envie de sexe, c'est signe de bonne santé et d'amour".
Le moment où un amant est baigné d'hormones, qui lui font ignorer tout ce qui contredit sa pulsion, et le côté "légitime" du désir : "c'est bon, c'est Bien, si tu m'aimes comme je t'aime c'est le moment de piocher dans mon abondance infinie (et en plus le désir c'est de Gauche, donc c'est cool)".
Le rôle de l'autre, là ? Lors, s'il ne baigne pas autant dans la testo et la cyprine, il est soit complexé, soit pas assez amoureux, soit rébarbatif et plus ou moins agent de la répression judéo-chrétienne. Il est très exposé à être culpabilisé. Il est pas en phase avec la Nature, le couple, l'harmonie, sa propre psyché.
Après un petit va et vient des familles, il verrait, s'il voulait bien se détendre, allez, quoi.
L'amant, quand sa démarche s'inscrit dans une recherche de de respect de l'autre, devrait idéalement être capable de ne pas penser seulement en amoureux toujours ivre de ses désirs et passions, mais aussi en personne aimante, parfois moins vaillant que bienveillant.
Pour moi, les polyamoureux devraient - idéalement si on était tous des super-héros de l'amour avec des super-pouvoirs génitaux et mentaux - être plus capables de ce respect-là, de cette compréhension. Justement parce que leur libido, moins policée par les règles socio-sexuelles communes, serait finalement moins sensible à la frustration... Optimiste ?
Discussion : Groupes poly, rencontres poly sur Bordeaux

Siestacorta
le samedi 19 mars 2011 à 11h28
Conditions économiques... Ben si on sort plus souvent du tout-privé (plus de covoirturage, pressing plutôt que machines individuelles, colocations, jardins partagés....), on a une mutation de l'intime que le PA peut refléter.
Hypothèse, hein.
Discussion : Groupes poly, rencontres poly sur Bordeaux

Siestacorta
le vendredi 18 mars 2011 à 19h06
Je me demande si les "raisons" économiques et psychologiques ne sont pas des conditions plutôt que des motivations, dans le message de arkbis ?
Ca peut se lire "en 2011, la société blablablabla, ce qui ouvre plus sur le polyamour qu'elle ne le faisait avant".
Et, pour le coup, le pli que prennent les individus à changer plus souvent de partenaire, que ça soit moins mal vu, est une condition qui peut amener au PA
Bon, j'y met de la bonne volonté et c'est un débat régional ;-) dont je devrais pas me mêler, mais ça peut, ça peut.
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
Discussion : Hétéros passifs ?

Siestacorta
le jeudi 17 mars 2011 à 17h12
"rien ne choque personne", c'est beaucoup dire... On a vu naguère des réactions épidermiques.
Mais disons qu'on peut souvent sortir ici des trucs qui feraient hurler à l'infamie ailleurs. Moi aussi ça me plait, qu'on puisse sortir du ronron.
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.