Polyamour.info

Siestacorta

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Discussion : Café Poly au Bubble Bar - Paris - lundi 19 septembre 2011

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Siestacorta

le mardi 20 septembre 2011 à 22h46

very happy content d'avoir rencontré / retrouvé les uns et les autr(e)s.

Youpi spécial pour Janis, Miryam, Nacara, Benjamin mais c'est pas pareil vu que bon je l'héberge.

Quand j'aurai fini de chercher des noises aux banques et à la police, j'espère vous retrouver plus souvent...

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Discussion : La sexualité avec un A

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Siestacorta

le mardi 20 septembre 2011 à 03h43

Ben, si, ça m'embête moi qu'on supprime0.
Techniquement, tu as le droit de demander qu'on vire tes posts à toi.
Mais qu'on vire les réponses auxquelles plein de gens pourraient trouver de l'intérêt (du particulier au général...), c'est dommage.

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Discussion : Café Poly au Bubble Bar - Paris - lundi 19 septembre 2011

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Siestacorta

le lundi 19 septembre 2011 à 01h09

Bon ben là, les indignés ont pas réussi à camper pour cause d'assez forte présence policière, donc je suis pas décalé de fatigue, et comme j'héberge Benjamin, on vient ensemble, et je promet de moins faire chier en réel qu'en virtuel...

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Discussion : Citations sur le polyamour

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Siestacorta

le lundi 19 septembre 2011 à 00h59

Oh, une citation de Siestacorta (qui parle à la troisième personne, qu'est pas mégalo)

Message modifié par son auteur il y a 14 ans.

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Discussion : Polyamoureuse hyperheureuse en manque… d’exclusivité !

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Siestacorta

le jeudi 15 septembre 2011 à 23h19

"De chacun selon ses moyens, à chacun selon ses besoins", si c'est pas Marx c'est Proudhon, je sais plus...

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Discussion : Un couple à trois

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Siestacorta

le jeudi 15 septembre 2011 à 22h22

ben, disons que tant que toi tu te donnes autant le droit que lui d'avoir plusieurs amoureux, tout va bien. Je pensais pas qu'un musulman autoriserait cela dans "ses" mariages, mais s'il le fait, tant mieux !

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Discussion : Polyamoureuse hyperheureuse en manque… d’exclusivité !

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Siestacorta

le jeudi 15 septembre 2011 à 22h17

rho, oui. Imagine, tu cumules un enfant qui nait et un autre qui entre en CP. IM-PO-SSIBLE.

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Discussion : Du mensonge dans les relations

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Siestacorta

le jeudi 15 septembre 2011 à 12h28

"Il y a des vérités triviales et des Grandes Vérités. L'opposé d'une vérité triviale est l'erreur. L'opposé d'une Grande Vérité est la vérité." Robert Anton Wilson

Ce que je veux dire, c'est que la vérité est aussi une situation pratique, et parfois tout ce qu'il ya de plus empathique.

Le Mensonge peut être une bonne solution. Vraiment. Ya des tas de moment où mentir est la chose à faire, parce que sinon on crée des situations inextricables.

Mais, à long terme, quand trop de choses se construisent dessus, mentir en amours plurielles, même par omission, c'est je pense un mauvais calcul. L'autre se sent trahi ("tout ce temps tu m'as caché un truc aussi essentiel ?"), ou soi-même on finit par s'emmêler les pattes, le mensonge entrainant d'autres mensonges ("non, là j'étais pas à Disneyland, c'st un sosie sur la photo, et les filles qui m'appellent à deux heure du mat je t'assure je les connais pas")

Message modifié par son auteur il y a 14 ans.

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Discussion : La sexualité avec un A

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Siestacorta

le jeudi 15 septembre 2011 à 02h48

Alligator, tu te creuses, et tu travailles sur toi, tu te "disséques", c'est bien.

Bon, je vais te faire une métaphore soufi, ou taoiste, je sais plus, pour te répondre

- l'esprit est une maison vide. Je n'ai jamais rencontré le propriétaire.
- d'accord, mais QUI a conduit les recherches ?

En gros : tu peux t'autoanalyser tout le temps, tu ne peux pas t'observer en train d'analyser. Donc, si tu cherches à trouver ce qui déconne dans ta tête, chercher avec quelqu'un qui te dit "là, c'est toi qui regarde mais tu te rends pas compte de ta maniière de regarder", ça te permet de ne pas te cacher des trucs à toi-même, à ne pas oublier ce que tu trouves, à ne pas rater "l'éléphant dans le salon".

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Discussion : Café Poly au Bubble Bar - Paris - lundi 19 septembre 2011

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Siestacorta

le mercredi 14 septembre 2011 à 01h08

amantparisien
Y a un bizutage ?? ? ;-)

Pas grand chose. Une fois le truc avec les chaîne et le godemichet à épines passé, ça va...

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Discussion : Comment le dire ?

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Siestacorta

le mercredi 14 septembre 2011 à 01h06

Quadrature du cercle :
- dire la vérité juste pour s'en décharger, c'est nul.
- cacher la vérité pour protéger l'autre, c'est, heu, parfois un peu une façon de s'auto-bénir gratos. On se protège aussi ainsi de l'autre en train de souffrir et de nous le faire sentir
- décider que l'autre a besoin d'être protégé, sans lui demander de participer au réel de la situation, c'est aussi, un peu, prendre les décisions à sa place.
- dire la vérité peut être parfaitement inutile, surtout quand, comme dans le cas de noone, la vérité est juste un truc léger
- mais devoir dénoncer le mensonge qu'on a fait longtemps après, c'est vraiment un plan coton.

Voilà : je crois que le choix n'est pas simple.
Mais que le polyamour peut, parfois, aider à le faire, parce qu'il donne une perspective constructible.

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Discussion : La sexualité avec un A

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Siestacorta

le mardi 13 septembre 2011 à 02h03

J'ai vu, ho, 7 thérapeutes dans ma vie. Pas de sexologue encore, mais j'y songe, si, si.

ALygator : sur ces 7 thérapeutes, aucun ne s'est infiltré dans ma tête. Tous ont travaillé sur ce que je disais, pas sur ce que j'étais censé penser. Fantasmer sur la puissance manipulatrice "des psy en général", c'est oublier qu'on se manipule soi-même, qu'on se ment soi-même, qu'on crée très souvent soi-même les situations qui nous nuisent le plus.

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Discussion : Comment le dire ?

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Siestacorta

le mardi 13 septembre 2011 à 01h52

Clown_Triste

Dans notre société, la personne vivant une autre relation est "la méchante". C'est elle qui fait souffrir l'autre. Or, la réalité me semble plus complexe. Oui, nos actes peuvent provoquer une réaction de souffrance chez l'autre, mais l'exclusivité imposée peut aussi être source de souffrance, à ceci près qu'elle est considérée comme "normale" ou un "devoir" par beaucoup de gens.
Je cherchais à démontrer qu'en regardant les choses sous un angle différent, elle n'était plus la "méchante" et certainement pas la seule responsable de la souffrance potentielle de son compagnon.

+1, rarement vu ça aussi clairement exprimé.

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Discussion : 80 députés UMP réclament le retrait de manuels scolaires abordant la notion de genre

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Siestacorta

le vendredi 09 septembre 2011 à 23h24

voué, pas le temps encore de suivre les liens, mais on va pas s'obliger à être d'un autre genre une fois qu'on a compris le concept, non plus.

J'accepte avoir plein de comportement genrés féminin, mais bon, je désire quand même des femmes. Ca s'oppose pas, si ?

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Discussion : Votre opinion m'intéresse...

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Siestacorta

le vendredi 09 septembre 2011 à 11h19

Eclisse
"un profond manque de respect des personnes

Beaucoup moins que de dire : "renonce aux autres" pour moi. Là, on irrespecte aussi, on fait souffrir aussi, on se fait souffrir, et on va devenir très difficile à vivre...

Message modifié par son auteur il y a 14 ans.

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Discussion : 80 députés UMP réclament le retrait de manuels scolaires abordant la notion de genre

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Siestacorta

le vendredi 09 septembre 2011 à 11h15

lam


Si on ne crée jamais de nouvel étiquetage le langage cesse d'être vivant, non ?

Toutafé.
Mais quand je dis "quand on montre un nouvel étiquetage", je désigne, en fait, pasle moment où on en ajoute un en plus, mais celui où on souhaiterait que ce nouvel étiquetage remplace les précédents, parce qu'on en a un trop meilleur : mais non, je suis pas bourgeois éduqué, je suis bobo !
Mais non, vous n'être pas une femme, vous êtes de genre féminin avec un peu de masculin dedans.

Je sais, je compare les torchons et les serviettes.
Mais c'est pour dire que le étiquettes ne sont pas appauvrissante si tu prends le parti qu'elles s'empilent, que tu t'en connais plein, plein ; et si tu sais aussi que toutes ces étiquettes ensemble ne sont pas encore toi, ne le seront jamais.
Mais... Qu'il faut bien qu'elles soient là, que critiquer leur existence c'est souvent une défense narcissique : je veux pas que tu me colles une étiquette quand tu parles de moi, parce que comme ça tu n'as jamais de légitimité à parler de moi.

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Discussion : Mon compagnon me quitte, je culpabilise....

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Siestacorta

le vendredi 09 septembre 2011 à 02h46

Ah, non, je dis pas que "ça" fait pas mal.

Je dis que "ça" n'est pas "moi".

Que le "ciel bleu" douloureux, il est douloureux dans la tête de la personne, pas activement agressif dans ma conversation.

Donc : si la douleur est déjà dans la personne, comme, mettons, une blessure déjà sensibilisée avant que je pense à poser la main dessus sans la voir parce que ya un vêtement qui la cache à ma vue, je ne vais pas pouvoir effacer le geste qui a fait mal, ni même soigner la personne.
Je ne peux que présenter mon excuse (désolé je savais pas), et tenter de pas recommencer, et par ailleurs, conseiller à la personne de bien s'occuper de sa blessure.
Ce n'est pas juger la personne qui a mal que de dire ça : c'est lui donner un conseil parfaitement sensé.
Par contre, si elle se soigne pas du tout, oui, là, je peux juger un peu, qu'elle est en train de se faire mal elle-même. On est pas toujours responsable de ce qui nous arrive, mais toujours de comment on y réagit, surtout au long terme.

Enfin, le cas dont on parle ici est un cas de communication, pas d'intimité. En gros, dans un forum, si tu te balades avec tes blessures morales sursensibilisées, vient pas hurler qu'on doit pas y toucher : de fait, fréquente pas un endroit où tu seras plus bousculé que tu ne le souhaites, de la même façon que tu songeras jamais à aller jouer au rugby si t'as d'énormes plaies saignantes partout.

Message modifié par son auteur il y a 14 ans.

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Discussion : Mon témoignage

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Siestacorta

le vendredi 09 septembre 2011 à 01h48

j'espère pas tomber trop à côté (rho que de géométrie dans une seule phrase), et pas vexer : Sticky, apparemment tu as commencé un peu l'autocritique, sur le mode "j'avoue j'ai été pressant", donc est ce que tu vois venir aussi que tu as un fonctionnement qui peut attirer le problème ?

JE te demande ça parce que tu dis deux-trois choses :
- "réponses laconiques" de ta femme, et, avec le côté "chronologie sur le long terme" de ton récit, je me dis que ça signifie aussi que, sur ce même long terme, toi-même tu n'as pas bien su créer le dialogue. Oui, ta compagne est sûrement en cause, mais ta part à toi du truc, c'est quoi ? Tu sais aborder les sujet en face, avec honnêteté, mais qu'est-ce qui fait que tu ne les traites pas toujours vraiment ? Parce que, quelque part, l'histoire avec ton amante a ça aussi : tu commences en abordant le sujet de l'ambiguïté, en ayant pas en tête de draguer, mais c'est quand même ce à quoi tu arrives. Tu sais être franc, mais que manque-t'il pour que les choses aient tellement plus l'air de t'arriver plutôt que d'être décidé par toi ?

- tu dis aussi "je la vois comme la mère de mes enfants". Plus le côté "on fait un deuxième" sans prendre en priorité cette libido qui semble te travailler pas mal. Ce que je veux dire, c'est que tu as peut-être programmé dans ta tête un fonctionnement avec elle. Tu voulais DES enfants, a priori c'est quelque chose qui te semble évident dès le départ... Et ça devient tellement évident que ça dissimule les autres questions, à savoir, "à part ça, qu'est-ce qui va faire ton bonheur, et est-ce que tu t'étais bien posé la question avant que t'arrive cette histoire qui fait tout ressortir ?

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Discussion : Comment le dire ?

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Siestacorta

le jeudi 08 septembre 2011 à 20h03

Deville
C'est la diversité des réponses que quelqu'un reçoit qui fait la richesse du feedback fourni par ce forum. Faudrait pas l'aseptiser en un service social politiquement correct bisounoursisme de rigueur subventionné par la Sainte Fondation Miséricordieuse Abbé Pierre et Soeur Théresa d'ou le sarcasme sont réprimandables en réponse à des premiers participants...

+1

Message modifié par son auteur il y a 14 ans.

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Discussion : Votre opinion m'intéresse...

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Siestacorta

le jeudi 08 septembre 2011 à 20h01

wolfram

séduire un homme ou une femme qui n'est pas ouvertement poly et qui vit en couple, c'est nier sa propre morale et prendre le risque de le mettre en souffrance lui ou son couple... il ne semble pas que ce soit ça le polyamour...

Autant pour le risque de souffrance, j'admet, mais je crois que toutes les conditions de relation ont leur risque de souffrance, même quand on est dans un cadre monogame : si l'autre souffre pas ou ne fait pas souffrir parce qu'il est déjà en couple, il va souffrir ou faire souffrir parce qu'il peut refuser à d'autres amoureux une relation, parce qu'il va devoir choisir entre sa famille et ses amours, parce qu'il y a des gosses qui comprennent pas que leurs parents continuent à vivre...
Bref.

Pour ce qui est de "le polyamour c'est pas ça"... C'est à dire : "pas un truc avec une personne adultère", et donc forcément un polyamoureux ne rencontre que des poly ou des célibataires : NON.
Il mesure ses actes dans la rencontre (comme le fait bettina en ne cherchant que des "aventures", par exemple), il cadre en fonction de la sensibilité, de la situation si possible, mais on va pas se faire une règle de contrainte aussi bête et rigide que la fidélité mono. Jouer "tout le monde pareil ou rien".

L'égalité sentimentale entre un polyamoureux et un de ses amoureux ne se situe pas dans l'équivalence des situations, mais dans la liberté d'action de chacun... (oui, ça se relit et on en fait une constitution, tiens...)

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