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Siestacorta

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Discussion : Candaulisme

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Siestacorta

le mercredi 05 mars 2014 à 08h43

Vivi, mais comme ça fait un contenu variable, le rapport au poly lui non plus n'est pas univoque.

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Discussion : Candaulisme

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Siestacorta

le mercredi 05 mars 2014 à 00h51

Le rapport entre candaulisme et humiliation n'est pas obligatoire, mais il est assez fort.

Le candaulisme, une des façons de le dire, c'est "jouir du fait d'être fait cocu". Et j'insiste, le terme "cocu", un mot péjoratif décrivant l'inverse de la fidélité conjugale classique, est important pour décrire ce qui est désiré et vécu. Quelqu'un qui désire être dans une position où il est "bafoué" dans ce qu'on considère comme ses droits d'époux, dans l'exclusivité promise par la norme.

Quand on est maso/soumis, on aime se sentir humilié même si en réalité on l'est pas, puisqu'on joue à ça avec un consentement.
Madame, marchez moi dessus, mais ça veut pas dire que je trouverais ça bien que tu trouves ça parfaitement normal.
Chérie, trompe-moi avec un mec et montre-moi qu'il t'attire plus que moi, même si en vrai nous ne ferions jamais ça sans un consentement mutuel.

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Discussion : Candaulisme

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Siestacorta

le mardi 04 mars 2014 à 17h04

Compersion =/= empathie, je crois, parce que justement, plein de monos sont tout à fait capable d'empathie, mais ne lui laisseraient pas une place importante dans ce cadre précis.
On jargonne un peu parce qu'il y a de la précision à donner.

Ceci-dit, oui, c'est le même ressenti, au départ ! Et utiliser le mot empathie avec des gens qui ne connaissent pas le polyamour, ça marche aussi très bien.

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Discussion : Mardi, c'est Poly (mars)

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Siestacorta

le mardi 04 mars 2014 à 15h44

ahoui tiens j'ai formulé comme un manche...

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Discussion : Candaulisme

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Siestacorta

le mardi 04 mars 2014 à 15h17

Je suis pas sûr que le plaisir érotique du candaulisme soit nécessairement maso ?
Je crois qu'il peut être voyeur, aussi.
Cela dit, les raisons pour lesquelles quelqu'un s'oriente vers le poly, c'est pas forcément un truc avec des lapins roses et des papillons, hein.

Par ailleurs, c'est comme le rapport à la jalousie : c'est pas que les poly n'en ressentent pas, c'est qu'ils tentent de ne pas y réagir de la manière prescrite par la société.
Donc bon, même si à la base je suis d'accord que le candaulisme est limitatif pour les rapports poly, et que mal pensé ça serait un déséquilibre entre un partenaire qui vit ça pour l'érotisme et un autre qui le vit autrement (en obligeant les autres à suivre le protocole du premier, par ailleurs), ça me semble une entrée plausible.

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : Mardi, c'est Poly (mars)

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Siestacorta

le mardi 04 mars 2014 à 15h13

Tu peux, mais ça n'est pas nécessaire, sur les cafés poly cantada.
En boisson, leurs prix sont super raisonnables. Pour le manger,le bar en vend aussi, mais si tu veux amener un truc à faire tourner, tu peux, prévois les éventuels couverts utiles !

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : Mardi, c'est Poly (mars)

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Siestacorta

le mardi 04 mars 2014 à 09h33

Ah, bonne question.
Je trouverai bien un moyen après de dire qu'elle est pas bonne, mais ça fera partie d'une série de réponse, donc ce sera quand même une bonne :-)

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Discussion : Candaulisme

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Siestacorta

le lundi 03 mars 2014 à 17h15

C'est une option, mais c'est très loin d'être l'unique ou même la plus courante, pour ce que j'en sais.

Beaucoup de poly n'ont pas d'excitation sexuelle par rapport àce que font les deux autres. Et même, parfois, plutôt la crainte de se gâcher la vie s'ils en savaient plus que le strict minimum ("je vois quelqu'un").

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Discussion : Mardi, c'est Poly (mars)

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Siestacorta

le lundi 03 mars 2014 à 15h23

Bon des questions, des thèmes, des "je serai pas là mais j'avais un truc à dire" ?

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Discussion : Poly par défaut? et la jalousie, l'asymétrie?

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Siestacorta

le lundi 03 mars 2014 à 10h13

Juliette1308

Dans polyamour, amour est sans doute plus important que poly :

Pour reprendre le leitmotiv de Littlejohn sur ce thème, l'amour n'est ni suffisant ni nécessaire pour parler de polyamour.

Si tu te prends la tête parce que les mecs à plans Q t'attirent plus que les mecs plus sérieux, c'est peut-être aussi que tu te protèges de tes propres désordres sentimentaux et sensuels.
Tu voudrais être dans un polyamour sécurisé, où chaque type de relation est à la bonne place... Disons qu'on aimerait tous arriver à une harmonie facile à vivre, mais ce serait pas pragmatique du tout de croire qu'on peut organiser sa vie affective comme on aménage une pièce à vivre. Pas pragmatique, voué à mal ressentir ce qu'il va se passer, et à en être déçu à cause d'un idéalisme de "c'est honnête, réfléchi donc ça va bien se passer". Donc si ça se passe pas comme prévu, c'est mauvais. Donc en planifiant le "je veux l'HAAAAR- MO - NIE, on trouve le moyen de dissonner encore plus vite. En choisissant l'autoroute, on va bien droit, mais c'est une vitesse qui est plus violente au premier incident.

C'est des relations humaines, faut donc vraiment pas parier sur le pavage de bonnes intentions. Faire au mieux avec ce qui se passe, pas avec "comment il faut que ça se passe si on suit le manuel (des princesses, ou celui des salopes ethiques, ou même un mode d'emploi individuel de juliette définitivement mis noir sur blanc que t'aurais plus qu'à donner à chaque nouveau partenaire). µ
Cherche pas à éviter trop d'en baver, ça marche pas, "éviter les péages et jamais souffrir" comme chantait Bashung... c'est chouette quand on peut, mais si tu fais une carte de la route pour éviter les problèmes, c'est que les problèmes sont encore plus fort qu'avant, non ?

Si tu es "abrupte", tu peux au moins apprendre à écouter l'autre sincèrement. Pas juste être en empathie fusionnelle ou t'empêcher d'y être, juste écouter ce qu'il dit, regarder ce qu'il fait, non pas par rapport à toi, mais ce que ça veut dire sur sa façon d'avancer en général. Si t'arrive à sentir le fond de la personnalité comme ça, t'auras moins de mal à être plus délicate dans ta façon de parler dans la relation, tu parleras de ce qu'il se passe, tu pourrais dire "je crains ceci, je voudrais cela", et pas au lieu de te retrouver à réagir parce que tu crains ceci ou veux cela.
Bref, dialoguer...

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : Poly par défaut? et la jalousie, l'asymétrie?

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Siestacorta

le dimanche 02 mars 2014 à 19h48

Ben ya deux côtés à ton récit, Juliette.

Toi en train d'essayer de trouver un rapport sain à la différence entre s'engager et demander l'exclusivité à l'autre.
Et toi en train d'aller vers un partenaire poly comme une expérience "sécurisée".
Ce qui est sécurisant, sur le papier, dans un rapport polyamoureux, c'est pas la possibilté ce soit un moyen terme entre grand amour et plans culs. C'est que, quoi que t'en fasse, ou qu'on te fasse, on est censé en avoir parlé avant, juste pour pas tomber dans des rapports "par défaut", que ce soit super léger ou exclusifs. Ca parle beaucoup (sans doute parfois trop), ça donne des repères, ça aide à gérer l'avenir.
Ce partenaire avec qui tu commences, même en disant "poly", tu n'as pas dit encore grand chose sur ce que vous pouvez attendre ou pas l'un de l'autre. Ce que tu dis ensuite "je veux bien passer des WE et coucher avec toi mais pas que tu sois officiellement avec moi; je veux bien explorer de la sensualité avec toi mais pas entrer dans une relation romantique exclusive etc..." est bien plus important que le mot polyamour.

Par ailleurs, avoir nos concepts permet de mieux comprendre nos désirs et ceux des autres, mais ne garantit pas du tout que les désirs et les sentiments restent dans les tracés qu'on leur a prévu.
Du coup, non seulement tu pourrais te trouver plus engagée que tu ne l'imaginais, mais également, et je sais pas si tu y as pensé, c'est pas parce que dès le départ tu as dit au gars "on va être poly, y aller léger en attendant que je tombe sur un vrai truc sérieux" que, si tu trouve le mono qu'il faut, ton poly de transitition va pas se sentir abandonné, malgré l'élasticité des sentiments poly.

Si t'as besoin que le gars soit un rebound guy, dis-lui, hein. En tout cas moi je préfèrerais être prévenu !

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : Je suis un nazi

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Siestacorta

le jeudi 27 février 2014 à 14h47

C'est un rapport au sens.
Il n'y en a pas ? Bon, très bien, il n'y en a pas, fin de la discussion. Mais pas fin de vie. Donc cette réponse est une impasse, tu ne peux y exercer aucune volonté. Ce qui est contraire au constat que dans la vie, on a des alternatives tout le temps, donc l'impasse n'est pas aussi absolue que le désespoir le laisse croire.

Il y un sens ?
Si on t'en donne un tout bien packagé, c'est a priori du pipo, on est d'accord là-dessus je crois.

Il y a un doute à la con sur le sens, qui gratouille et empêche de vivre ou crever tranquille ?
C'est à dire, des alternatives, et le corps qui veut exulter sans mode d'emploi, et tout ça. C'est dégueulasse, on a dans notre tête la capacité de voir l'infini, et on se bute à l'intérêt de parler à son voisin. Ca fait mal.
Mais même une fois qu'on l'a dit, on a encore besoin de gratouiller.

Donc considérer que t'intéresser à tes choix a sa propre portée concrète, résoudre ce problème de "désirer / vouloir / accepter / refuser" par l'idée que de toute façon il faut se le tapper, autant le faire avec ce que tu as, ça dure plus que quelques secondes.

(bon après ya la physiologie de la dépression et de sa médication, mais c'est une complication, pas une impasse).

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : Je suis un nazi

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Siestacorta

le jeudi 27 février 2014 à 14h20

Apsophos
Et puis je peux y rajouter des règles, par exemple autant que possible faire comprendre aux gens que leur existence me déplait.

Il y a des plaisirs misanthropes.
J'en éprouve certains.

Qu'est-ce que ça te donne à toi, de dire à des gens que tu ne les apprécie pas ? Je veux dire, qu'est-ce que ça te donne de plus que de marquer seulement (sic) de l'indifférence ?
Tu te sens agressé par des "platitudes" : quelle idée de toi affirme-tu en te démarquant ostensiblement ? Pourquoi en prendre la peine ? Ne pas réagir, l'ataraxie (ou la dissociation) ça serait sans doute bon, alors pourquoi ce jeu-là et ce plaisir-là ?

Encore une fois, je pars pas simplement d'un point de vue "la gentillesse c'est la santé", hein. Je vois très bien quels intérêts je peux avoir à être désagréable.
Mais on parle de ta propre durée, de pas "se pendre" (je crois pas que c'était seulement de la provoc').

Et sinon

Apsophos
J'aime jouer signifie que j'y trouve du plaisir.

plus précisément, sur une scène que tu n'as pas choisie, que tu décides d'en prendre. Puisque le monde est "pour de faux", alors on fait semblant. A la fois en comédien et en joueur.
Tu peux décider que tu n'aime pas faire semblant, pour rester plus proche du "Vrai Non-sens du Monde ™". Mais c'est une décision. Et malgré cette décision, que chacun pourrait prendre, chacun est encore là, à vivre plutôt que de ne pas exister.
Alors, si on décide qu'on va pas mettre fin à son existence, et que celle-ci continue suite à cette décision, autant prendre des décisions d'être qui va continuer à décider.

(oui je sais c'est chiant, à lire comme à penser, mais moi ça m'intéresse, na.)

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : Je suis un nazi

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Siestacorta

le jeudi 27 février 2014 à 01h39

Apsophos
J'imagine que [les philosophes de l'antiquité] estimaient que leur existence était voulue par une entité supérieure, ce qui suffisait à la justifier. Ce n'est pas mon cas.

D'accord, tout est absurde.
Ne pas vivre étant aussi absurde que vivre, on part du fait que, entité supérieure ou non, t'es là, c'est comme ça.
A partir de là, t'as le choix entre continuer à trouver tout ça absurde et t'en lamenter, ou décider toi-même de l'importance que tu donnes à ce que tu fais. Puisque le "Vrai Authentique Réel Indéniable que je peux toucher avec mon esprit rationnel ™" est absurde, je n'ai plus qu'à jouer. Faire semblant de croire. Jouer à être déprimé, jouer à être gai, jouer à être sociable, jouer à être antisocial à sang tiède.

Si tu t'emmerdes dans une vie absurde, pourquoi souffrir aurait un sens ? Si tu peux avoir autre chose que de la souffrance, pourquoi pas ?

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Discussion : Mardi, c'est Poly (mars)

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Siestacorta

le mercredi 26 février 2014 à 21h05

Bon alors, spatouça, mais si vous avez des sujets, questions, idées de débats, on est preneurs.

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Discussion : Je suis un nazi

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Siestacorta

le mardi 25 février 2014 à 19h45

Considère, considère. Après, pour ce que t'as à perdre d'essayer de voir les choses autrement ?

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Discussion : Je suis un nazi

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Siestacorta

le mardi 25 février 2014 à 16h31

Ben ouf, alors. Et je confirme qu'il y a un gros nombre d'expériences intéressantes possibles entre "la vie amoureuse idéale" et "pas de vie du tout".
Pas dit que c'était facile, hein, mais ça mérite assez de donner le bénéfice du doute à la valeur amoureuse.

Content aussi qu'on ait pas pris le trolling de travers.

Et meilleurs vœux pour la suite.

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Discussion : Je suis un nazi

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Siestacorta

le mardi 25 février 2014 à 13h40

Oué mais il ya une quantité difficilement mesurable de qualités de relation possibles (ya pas qu'un type de relation), et pendant le temps (potentiellement infini) où on tente de les dénombrer, le nombre d'individu continue à croître.

On s'approche pas un peu plus de l'infini, là ?

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : Comment dire à son "premier partenaire" qu'on veut etre polyamoureux ?

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Siestacorta

le mardi 25 février 2014 à 13h35

Laura
Cependant il me dit qu'il ne serait pas pret non plus a vivre une relation poly car cela voudrait dire que la situation resterai en statu-quo alors que lui aimerait m'avoir pour lui seul et pouvoir compter sur moi tous les jours sans se demander si cette semaine je suis avec lui ou avec mon premier...

Quand j'entend raconter ce genre de situations, je suis toujours un peu perplexe. Qu'au final, les amants et maîtresses préfèrent fantasmer sur une vie de couple hypothétique que tolérer le polyamour ou même le pratiquer.
Le couple exclusif est à ce point ancré dans l'imaginaire que même quand on est en train de faire autre chose, on se le raconte comme une étape avant le couple exclusif.

Alors qu'en réalité, pleins de relations apportent déjà tellement dans le fait qu'elle soient d'autres relations plutôt que les relation suivantes.

Je comprend bien la crainte de manquer de contrôle sur la vie en laissant l'autre aller et venir à sa volonté, mais c'est quand même ce qu'il se passe en réalité, poly ou pas... C'est possible quand même, d'aimer ce qu'on a, comme on l'a, pas comme on le voudrait !

Laura
je l'aime et je ne compte pas briser notre couple pour etre plus en accord avec moi meme.

Ca se comprend, c'est un raisonnement raisonnable et sain, mais il vaut la peine d'être contrebalancé par un autre : est-ce que tu irais, si nécessaire, te gâcher le cœur pour être plus en accord avec ton couple ?

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Discussion : Comment dire à son "premier partenaire" qu'on veut etre polyamoureux ?

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Siestacorta

le mardi 25 février 2014 à 01h47

Cendre
Oublie l'idée de ne pas le blesser. Il va avoir mal. Sinon, tu te serais pas posé la question et ce serait déjà dit entre vous.

(+)

Je redonne une comparaison entendue lors d'un café poly.

Les premières rentrées des classes d'un enfant. Le premier jour. Il pleure tout ce qu'il sait. Etre séparé de moman, c'est inconcevable, impossible, il ne survivra pas. Et même les quelques jours après, c'est pas ça. Mais ca se calme. Et puis...cette peine d'être séparé, elle n'est plus. Ca ne s'est pas passé dans un monde sans heurt, mais ça s'est passé. La peine laisse place à tout un tas d'autres trucs, le gamin irait jusqu'à plus vouloir partir et quitter ses nouveaux copains.

Ben il y a de ça dans l'apprentissage de la non-exclusivité. C'est un autre monde social, mais les polyamoureux, qu'ils le vivent bien ou non, peuvent te dire que pour eux ça vaut le coup d'y aller. On aime évidemment pas les moments où ça tire, mais on regrette pas pour autant.

Par contre, un truc, c'est que c'est une remise en cause forte, le point de vue du mono en face qui ne veut pas que ça arrive, il se tient, il se comprend, c'est pas son choix, il s'estime un peu trompé sur la marchandise.
Mais bon, la "marchandise", c'est toi et votre relation, c'est à dire que ce n'est par définition, pas figé, mais humain, mouvant. Est-ce qu'il aime aussi ta façon de "devenir", pas juste une photo de vous deux figée dans le temps.
Il aurait pas tort de ne pas vouloir ce devenir là, il a ses choix et tu devras faire avec (ou non), par contre, il y a une chance qu'il y a des choses en toi qu'il aime et qui soient des qualités qui t'ont conduite à la non-exclusivité, et qu'il en comprenne la cohérence.

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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