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Siestacorta

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Discussion : L'amour Libre (texte)

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Siestacorta

le lundi 22 septembre 2014 à 13h13

Bon, au delà de mon vieuconnisme spontané, le texte a selon moi deux défauts qui peuvent l'empêcher d'être bénéfique :

- il affirme, ne pose pas vraiment de questions. Il n'est pas pointilleusement dogmatique, je partage une bonne partie de son fond. Mais il donne les arguments qu'on a déjà soi-même validé en aimant plus qu'un amoureux ou en laissant un amoureux aimer ailleurs. Il met des bons mots sur quelque chose qu'on ressent, c'est la valeur que je lui reconnais - mais pour un lecteur qui n'est pas convaincu, pas en situation de devoir faire nos choix, ce sera comme parler de l'intérêt de la plongée sous-marine à quelqu'un qui préfère la montagne. Il ne cherche pas à créer ou subvertir des références communes, il fait la promotion des siennes, sans tendre la main à d'autres gens que son public acquis.

- il pose, plus ou moins explictement, le polyamour comme un "mieux" par rapport à l'amour monogame. Déjà, si le lecteur sent que ses valeurs sont d'emblée écartées, on peut mettre en avant tous les bon aspects qu'on aime et qui nous paraissent séduisants, on lui a surtout dit que lui, il faisait pas ce qu'il faut. Ca risque de renforcer l'antagonisme entre conceptions amoureuses, quand en réalité il y a des passerelles, des parcours individuels, qui ne correspondent réellement à aucun des "deux" modèles opposés. C'est important, quand on veut expliquer nos vies poly, de prendre en compte ces expériences diverses qui ne correspondent à aucune norme amoureuse, actuelle ou idéale.

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Discussion : L'amour Libre (texte)

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Siestacorta

le lundi 22 septembre 2014 à 07h55

Hm, mais on peut ausi avoir le raisonnement d'après encore : l'illusion est une force dont on peut se servir aussi, quand on la connait bien.

Use you illusion , c'est le titre d'un très bon dyptique de rock.

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Discussion : Ouvrir des horizons non-normatifs non-genrés aux enfants

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Siestacorta

le lundi 22 septembre 2014 à 07h53

Je sais pas quel âge ont tes gamins.
J'ai trouvé "La princesse et le dragons" et "La révolte des cocottes", chez Talents Hauts, un éditeur qui bosse beaucoup sur les normes, les genres...
Même si je les ai trouvé un peu tard par rapport à son âge de lectrice, ma fille les avait beaucoup aimé : c'est la princesse qui embrouille et vire le méchant dragon, elle épouse pas le prince à la fin parce que c'est un petit crétin, et les poules réinventent les suffragettes et le syndicalisme avec bonhommie (y font quoi les coqs de leur journée, hein ? S'en occupent de la marmaille ?).

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Discussion : Désir ou amour ?

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Siestacorta

le dimanche 21 septembre 2014 à 19h33

Je vois quand même le raisonnement avec "exploitation" des ressentis...
Je veux dire pourtant qu'un individu est rarement assez... 100 % autonome (affectivement), ou fortement moral, pour éviter à chaque fois d'exploiter ce qui nous lie à l'autre.
Et c'est, pour moi, plus sur cette conscience que ça se joue, plus que sur le ressenti amoureux.

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Discussion : Désir ou amour ?

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Siestacorta

le dimanche 21 septembre 2014 à 18h53

Ce qui influe beaucop le contenu moral de "Je t'aime", c'est "JE".

La plupart des gens peuvent ressentir des sentiments amoureux, mais ce qu'ils en font change énormément d'un cas à l'autre.
Du coup : on peut dire "je t'aime" parce qu'on veut se rassurer et entendre la même chose en face. Pour exprimer très fort le JE et ses attentes ("ne déménage pas, je t'aime !). Pour dire que tout va bien, t'inquiète si je te traite mal, parce que je t'aime, et c'est pour ça, qui aime bien chatie bien, ramasse tes dents mon amour. Parce que tu as pas le droit de me laisser seul quand j'exprime l'existence d'un lien si beau et si fort vers toi, ce serait injuste que tu penses pas à moi quand j'ai dit si fort que je pensais à toi.

Bref... Aimer me fait bien sûr tendre vers l'autre, et donne une chance de faire autre chose que de m'intéresser uniquement à mon nombril. Mais si déjà on a pas une conception de l'autonomie de l'autre, que c'est d'amour qu'il a besoin et pas nécessairement de notre amour, on peut être très peu moral en ressentant et exprimant un amour fort.
Je m'dis.

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Discussion : L'amour Libre (texte)

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Siestacorta

le dimanche 21 septembre 2014 à 18h12

On a eu une impression similaire.
Même si les lieux communs, c'est pas forcément négatifs, hein, s'ils sont communs c'est aussi qu'on s'en sert.
Et j'imagine sans mal qu'écrire ou lire ça, quand ça apparait, ça fasse du bien.
Après, peut-être que mes propres lieux communs sont sur un terrain (un peu) plus pessimiste, c'est pas forcément mieux.

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Discussion : Désir ou amour ?

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Siestacorta

le dimanche 21 septembre 2014 à 18h08

MagentadeMars
La capacité de s'envoyer joyeusement en air indépendamment de cette acharnement bestial de faire des enfants est la réserve de très peu d'espèces... :-)

C'est vrai, mais est-ce que pour ces espèces ce n'est pas juste une autre stratégie de survie ?

Ceci dit, l'amour et le désir ne sont ni hauts ni bas, à mon avis. Ils sont là, ça nous mène vers les gens, épicétou.
Après, l'un comme l'autre nous font faire des choses bonnes ou moins bonnnes (oui, on peut faire souffrir "au nom de l'amûr". Oui, même les polys je crois : j'aime l'amour de tous, donc le tien n'est pas spécial pour moi, donc tendre vers l'amour spirituototal avec les rayons magiques que je peux envoyer depuis mon ventre de bisounours (en fait les bisounours c'est une métaphore supersexuelle), je vais atteindre le Grand Bol de Soupe Originel, et si t'es malheureuse c'est que tu regardes pas du bon côté.

Bref. Juste pour dire que les beautés respectives de l'amour et du désir ne se placent effectivement pas sur une échelle morale.
Sinon, accrochez-vous au pinceau (oui, hem, bon, je ->[] )

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Discussion : Mardi, c'est Poly (septembre)

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Siestacorta

le dimanche 21 septembre 2014 à 11h57

Tcheloviekskinoapparatom
quelqu'un qui ne le dit pas à son conjoint mais qui est par ailleurs poly.

C'est envisageable d'être engagé en mono, adultère, et désirer être poly, mais c'est deux motivations tellement contradictoires que la situation doit pas être pérenne pour être bien un cas de poly, et pas "seulement" un cas de relations plurielles, non ?
(bon mais je devrais garder ça pour le débat :-) )

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Discussion : Désir ou amour ?

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Siestacorta

le dimanche 21 septembre 2014 à 10h12

Apsophos
Que ce soit pour distinguer les ales des lager, ou le black metal du death metal, j'y vois en gros deux positions possibles : celle du puriste, qui aurait tendance à considérer que l'un est plus désirable (ouais, pour parler de désir, c'est foireux, quelqu'un a un meilleur mot ?) que l'autre, et celle du critique, qui a peut-être une préférence mais qui veut avant tout communiquer son goût et sa sensibilité, et pour ça malheureusement il a besoin de mots et probablement de stéréotypes.

- Doctor... Ce troll est au plus mal. He's showing feelings of an almost human nature.
- ses idées sont rationnelles, mais il parle de bière avec insistance... Je crois que c'est le sevrage d'alcool qui le met dans cet état. Ramenons le à son terrier.

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Discussion : Est-ce de l'amour ?

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Siestacorta

le dimanche 21 septembre 2014 à 10h05

Au moins celle d'une autonomie bien vécue qui leur est souvent favorable :-)

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Discussion : Mardi, c'est Poly (septembre)

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Siestacorta

le samedi 20 septembre 2014 à 15h29

Alors, on vient de m'envoyer ça en MP :

Moi je sais qui c'est tralalalère !
les relations mono-poly, le cas de l'adultère. Vous empêchez vous de le vivre ? Et auquel cas comment sortir du rapport moralisant que la société fait peser sur ces couples ? Comment le gérez vous ? Quel lien est possible entre les deux personnes ? Est il possible de se sentir en confiance dans ce cadre là.

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Discussion : Rencontres à Paris

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Siestacorta

le samedi 20 septembre 2014 à 13h09

C'est chouette que les gens aient envie de papoter et fassent leurs propres rencontres spontanément.

Pour être sûr de croiser beaucoup de gens, je recommande aux gens qui ont pas encore un usage régulier du forum (mais comment faites-vous ???) le rendez-vous parisien qui aura lieu tout juste deux jours après (voir l'onglet évènements en haut)
On y attend beaucoup de monde, c'est vrai que papoter en tête à tête sera pas tout à fait évident la plupart du temps.
Les goûters polys, qui ont lieu toujours à peu près deux semaines après les cafés, en w-e, sont plus agréables aussi.
Ca me fait penser que je vais prendre la date, tiens.

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Discussion : Désir ou amour ?

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Siestacorta

le samedi 20 septembre 2014 à 01h14

MagentadeMars
Je ne disais pas qu'il faille répondre à l'appel...

Oui, my bad, j'ai surinterprété.
Bon, dans la phrase, c'était l'action qui était appelée, pas le désirant, du coup, j'ai cru à plus d'automatisme que de choix.

Donc si je comprend ce que tu disais vraiment, c'était plutôt que pour satisfaire un désir on peut agir, tandis qu'avec l'amour, l'intensité du ressenti ne dépendra pas de ça.
Je suis à peu près d'accord, même si je crois qu'agir par amour développe le sentiment (je pousserai pas l'optimisme jusqu'à dire qu'il le grandit à chaque fois).

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Discussion : Désir ou amour ?

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Siestacorta

le vendredi 19 septembre 2014 à 21h57

MagentadeMars
L'amour, c'est mon état par rapport à une personne, il n'appelle pas forcément à une action. Le désir, si.

Bon, je sais que c'est pas dit dans ce sens là, mais en fait, le désir qui appelle forcément une action, c'est pas tout à fait vrai. C'est même quelque chose d'assez courant en vie en société, de pas réagir à chaque désir.
Si je devais aller tenter de séduire toutes les femmes pour qui je ressens du désir dans une semaine, je deviendrais probablement un mec très lourd. Si à chaque fois que je désirais une partenaire à un moment où elle a autre chose à faire que de s'occuper de moi, j'allais quand même lui exprimer mon état, il y a beaucoup de moments où ça serait mauvais pour moi ("Siesta, essaie de te concentrer sur ce que nous dit monsieur l'agent"). Il y a donc beaucoup de moments où je ne fais rien de mon désir (je peux même vous dire que je suis très fort à ce jeu-là). Où je ne ferai rien parce que je sais que je ne serai pas satisfait ("oui, c'est la femme de ton pote, et là, elle est en train de parler à un curé, tu vois").

Par ailleurs, l'amour sans action aimante ou amoureuse, je sais que ça existe (amoureux transi, amours impossibles, tout le toutim romantique), mais en général, si je vis un sentiment amoureux un peu prolongé, un peu plus fort qu'une petite sensation de chaleur au niveau des oreilles, je vais justement avoir tendance à réagir et à le montrer, à faire que ma vie tende vers un rapport avec la personne. C'est un état, l'amour, je veux bien, mais s'il ne devient pas action et relation, je ne vais éprouver qu'une partie de la vie amoureuse possible avec la personne aimée...

Rester comme ça dans mon coin à rêver à l'amour comme je peux rêver à Wonderland, ça peut être très beau, profond, puissant, mais ça n'est qu'une petite partie de l'expérience

Quand on est entré dans une relation avec quelqu'un qu'on aime, ça ne fragilise pas notre sentiment, on ne cesse pas de l'aimer parce qu'il ne s'agit pas d'être "repu", puisqu'il n'y a pas de moyen concret de consommer l'objet d'un sentiment. Donc, ça peut aussi se définir par l'action, à mon sens.

En revanche, une fois qu'on a eu ce qu'on a désiré, il est tout à fait envisageable de ne plus le désirer. Le désir peut bien durer, revenir, changer, mais il peut aussi changer très vite d'objet, ne plus être ressenti, être simplement satisfait (pas la peine d'attendre l'andropause, essayez les antidep. Ou le stress professionnel.)

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Discussion : Mardi, c'est Poly (septembre)

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Siestacorta

le vendredi 19 septembre 2014 à 17h34

Le rv mensuel approche !
Le nombre d'inscrits sur FB est assez impressionnant, ça va être chouette mais je vais devoir faire plein d'exercices de décontraction avant, je sens, pour pouvoir bien faciliter les échanges de plusieurs dizaines de participants.

Bon, en attendant !
- Tentacara / Meta nous présentera de chouettes nouveautés pour organiser d'autres rendez-vous
- j'évoquerai brièvement les cafépoly-confidentiels pour lesquels on essaie de créer un cadre

-et... proposez moi, comme d'hab, des sujets que vous aimeriez entendre débattus, soit que vous avez formulé là, soit que vous avez récupéré sur le forum et aimeriez voir plus développés.

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Discussion : Désir ou amour ?

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Siestacorta

le jeudi 18 septembre 2014 à 22h28

Ou sinon, le désir est une émotion, et l'amour un sentiment.
Ca se confond pas et ça s'exclue pas, ça se recoupe souvent mais ça ne répond pas toujours de la même manière. Ca a quelques circuits en commun, et quelques circuits pas du tout communs, un peu comme la faim et l'appétit.

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Discussion : Vos pseudonymes !

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Siestacorta

le jeudi 18 septembre 2014 à 17h57

bodhicitta
j'prends pas beaucoup de risques j'ai cru comprendre que c'est pas facile de te sortir de tes murs... :-/

Yen a qu'ont essayé.
Ils ont eu des problèmes. :-)

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Discussion : Est-ce de l'amour ?

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Siestacorta

le jeudi 18 septembre 2014 à 11h26

Et sinon, fais moi plaisir si tu peux, un petit développement sur le supposé "égoïsme" que tu évoquais plus haut, ça m'intéresse beaucoup, comme tu vois ?

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Discussion : Est-ce de l'amour ?

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Siestacorta

le jeudi 18 septembre 2014 à 11h20

Jezebel

Je me rend bien compte que je fais encore beaucoup de choses en fonction de lui, et il va certainement falloir beaucoup de temps avant que ça n'évolue, mais j'ai aussi peur que cette indépendance l'éloigne de moi. S'il se rend compte que je peux vivre plus ou moins sans lui, il pourrait finir par se dire qu'il n'a plus à être dans ma vie.

Déjà, réfléchir autrement, chercher/nommer/écrire tes pensées c'est pas comme ajouter une brique sur une construction en déséquilibre : tu peux réfléchir et te creuser autant que tu veux en maintenant matériellement l'équilibre actuel.
Sauf s'il n'est déjà plus un équilibre avant même que tu l'aie dit : "bon si je marche sur aucune ligne avant d'arriver à la maison, je serai pas punie pour avoir tiré les cheveux de zézette qui m'avait filé un coup de pied avant". Dans ce cas, ne pas réfléchir aux implication concrètes de ta situation n'empêche pas la situation d'être réelle...

Ensuite, et si ton indépendance te rendait plus désirable ? Quand il a rencontré une nouvelle personne, celle-ci n'était pas dépendante de lui.
Et si être indépendante t'enrichissait, te donnait une énergie que tu trouverais le moyen de partager, et que lui voyait dedans des développements de choses qu'il aime déjà chez toi ? Et si ça contribuait à donner de la consistance à vos rapports à venir ?

L'indépendance peut vous éloigner quand tu restreint ta disponibilité, mais
- il y a un effet tango, quand je fais un pas en arrière l'autre fait un pas vers moi pour pas que je lui manque trop. Ca se danse, ça s'apprend, à se connaître, à écouter l'autre, à prendre plaisir et bouger ensemble sans se marcher sur les pieds et à se séparer 10 fois sans se quitter jamais.

- si, malgré l'indépendance, tu arrives à valoriser les moments où tu peux être disponible pour lui, exprès, tu lui donnes l'occasion de te montrer son désir de relation avec toi en garantissant avec toi que ces temps aient lieu. Si c'est juste du "je passe quand par hasard j'ai du temps et que l'autre m'a pas encore donné une directive qui me dédouane de mes décisions", ben vous entretenez une dépendance de ta part, où c'est le doute raisonnable sur ses intentions et ton indulgence qui ajoutent une valeur amoureuse, pas une démarche commune.

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Discussion : Est-ce de l'amour ?

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Siestacorta

le jeudi 18 septembre 2014 à 10h28

Jezebel
Je crois qu'il ne sait nouveau plus ce qu'il veut.
Ou surtout qu'il ne sait pas imposer ce qu'il veut.

Sans blaaaaague... :-P

Jezebel
comme moi je gère, j'ai l'impression qu'il en profite en se disant que je vais m'adapter. Seulement, des jours comme celui-ci me décourage. Mais je ne veux pas le perdre, c'est égoïste je sais.

"Egoïste" d'être fatiguée de savoir à sa place ? Heu, non, c'est tout à fait normal et sain de considérer que notre propre vie est déjà pas facile à gérer, qu'on va pas en plus prendre en charge d'autres juste parce qu'ils pensent qu'on peut et qu'ils aiment nous regarder ramer et prouver notre attachement ; ou parce qu'ils jouent à "qui va craquer le premier" sans prendre eux-même en charge leur souffrance ou leurs besoins.

"Egoïste" de vouloir le garder ? Si se donner les moyens de faire ce qu'on veut et en donner aux autres pour que ça coincide avec ce qu'ils veulent, c'est égoïste, l'égoïsme ça me parait très sain aussi.

Dans le sens que tu donnais à "égoïste" dans ta conclusion, qu'est-ce qui ne serait pas "égoïste", qu'est-ce qui serait vertueux ; et à qui ça ferait du bien ?

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