Réactions à l'article
Luc Ferry, en retard d'une révolution
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LuLutine
le lundi 01 novembre 2010 à 11h55
Siestacorta
je crois que je devrais jamais essayer d'être subtil, ça me réussit pas du tout, je manque trop souvent mon effet.
Ah mais non, moi j'avais compris ! :)
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Goffio
le mardi 02 novembre 2010 à 12h25
ladymarlène
Désolée, je répondais juste à un commentaire que j'ai lu plus haut qui disait en gros "que ce n'était pas étonnant en écoutant luc ferry que la gauche ait toujours fait une politique de droite." Je rappelle juste que Luc Ferry est à l'UMP, moi non plus je ne confonds pas amour et politique.
Mea culpa quant au déclenchement du débat politique : c'est moi qui croyais que Luc Ferry était de gauche, et l'ai insinué dans le fil. J'étais persuadé qu'il avait fait partie du gouvernement Jospinou, alors que c'était sous Raffy qu'il était passé à l'Educastron...
Alors je m'excuse pour l'erreur, mais c'est pour mieux rebondir : depuis la droite jusqu'à la gauche ou inversement, je ne perçois pour ma part que des sensibilités politiques. Et l'on peut avoir les intentions les plus humanistes, dans la pratique de notre civilisation comme depuis bien plus de 2000 ans : cela se termine toujours sous un régime totalitaire, parce que la loi s'architecture autour de l'induction au besoin, de répression sexuelle. Il est pleinement là, dans l'essence comme dans les sens, l'endoctrinement néfaste !!!
De nos jours : c'est totalitarisme financier globalisé, sans plus aucune considération de réflexion en fonction des réels besoins humains. C'est justement ce que Luc Ferry balaie d'un revers de la main, en bon sophiste comme s'il détenait l'évidence de la Raison. C'était là je crois savoir, l'origine de ce fil !
Sur le fil de mon projet l'autre jour, j'ai essayé de démontrer que Charlotte, Rosalie, Gin et Siesta revendiquaient chacun(e) à leur manière : le besoin d'une architecture sociale basée sur le droit de la répression sexuelle... Ne serait-ce qu'au nom du "besoin d'intimité" !
Alors on peut débattre éternellement, quant aux degrés de sensibilités politiques... Mais tant qu'on élude cette question fondamentale : on en reste à une querelle de chapelles ! Parce qu'on ne définit pas de référentiel symbolique du discernement : quant à ce qu'est effectivement un état réellement démocratique, à la différence d'une société policière et sécuritaire.
Euh... Pour l'instant "droitistes" ou "gauchistes" : je n'ai vu personne vouloir se passer d'un état policier, autour du thème de la nudité ou de la sexualité !!!
Quitte à avoir initialisé malgré moi le débat quant à la politique : autant le faire tourner maintenant, autour de son axe central :-)
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
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Gin
le mardi 02 novembre 2010 à 20h56
la liberté sexuelle, oui !
la répression sexuelle, non !
mais l'obligation sexuelle, non plus !
c'est à dire que je ne veux pas être obligée (moi adulte aujourd'hui, ou moi enfant ou ado avant) de détourner mon regard si je croise des copulateurs en liberté... je persiste et signe.
allez vas-y Goffio, déchaine-toi !
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Goffio
le mardi 02 novembre 2010 à 21h40
Alors Gin regarde et régale-toi, fais-toi plaisir ou viens carrément participer ! Il n'y a aucune raison d'avoir mal devant le spectacle...
Eparsentiére a raison de se méfier, sur l'autre fil : tu n'es qu'un suppo de Satan ;-) !!!
Message modifié par son auteur il y a 15 ans.
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amantparisien
le mercredi 02 mars 2011 à 14h18
Nouveau ici, je decouvre ce post, et cette "reaction de ministre".
Je suis étonné en fait, que vous soyez étonnés. Un ministre (même s'il se targue d'être philosophe, ou d'écrire des livres) ne peut faire qu'une réponse de ministre....
1 Moi je sais.
2 Moi, je suis un grand penseur, je vais vous expliquer.
3 La société doit être comme çà, sinon c'est le bordel.
4 Merci d'être venus.
Qu'espériez vous ? qu'il dise que vous l'avez converti, ou qu'il est infidèle a sa femme ?
Si vous voulez connaitre l'envers du décor politico sexuel, il faut absolument que vous lisiez "sexus politicus". Vous y découvrrez comment DANS LE MONDE ENTIER, et particulièrment en France, le sexe est a la fois le moyen et le but de toute action politique.