[Musique] Chansons, poèmes, divers poly
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Junon
le dimanche 18 avril 2010 à 00h06
Une découverte, le film quasi clandestin de Lou Ye, Nuit d'ivresse printanière. Une errance sensuelle dans la chine d'aujourd'hui où les couples homos et hétéros se font et se défont.
Poignant mais il m'a trop touché pour que j'en parle maintenant car il me parle trop, de moi et mes histoires.
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(compte clôturé)
le dimanche 18 avril 2010 à 00h18
Junon
Une découverte, le film quasi clandestin de Lou Ye, Nuit d'ivresse printanière. Une errance sensuelle dans la chine d'aujourd'hui où les couples homos et hétéros se font et se défont.
Poignant mais il m'a trop touché pour que j'en parle maintenant car il me parle trop, de moi et mes histoires.
Il est en DVD ?
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Tchu
le dimanche 18 avril 2010 à 20h24
Tu l'as vu où Junon ? On se cherche un film pour mardi soir.
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Junon
le dimanche 18 avril 2010 à 23h06
Au Star, je pense qu'il y est encore jusqu'à mercredi.
Ça va vous parler, je crois
(et désolée pour aujourd'hui et merci pour le petit mot adorable)
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Romy
le lundi 19 avril 2010 à 23h10
Cette chanson des années 70 qui est très jolie... Le temps est bon... le ciel est bleu, j'ai deux amis qui sont aussi mes amoureux.
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Junon
le lundi 19 avril 2010 à 23h42
Tchu
Merci bien, noté :) Tu vas mieux ?
Oh oui. Des mojitos en terrasse avec mon amoureux numéro un, des tapas, une belle discussion. Le bonheur.
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Romy
le mardi 20 avril 2010 à 03h57
Un film tout récent: Breaking upwards.
Voici le synopsis (en anglais): 'Breaking Upwards' explores a young, real-life New York couple who, four years in and battling codependency, decide to intricately strategize their own break up. Based on an actual experiment devised by director/actor Daryl Wein and actress Zoe Lister-Jones, the film loosely interprets a year in their lives exploring alternatives to monogamy, and the madness that ensues. An uncensored look at young love, lust, and the pangs of codependency, 'Breaking Upwards' follows its characters as they navigate each others' emotions across the city they love. It begs the question: is it ever possible to grow apart together?
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Tchu
le mercredi 21 avril 2010 à 09h29
Junon
Une découverte, le film quasi clandestin de Lou Ye, Nuit d'ivresse printanière. Une errance sensuelle dans la chine d'aujourd'hui où les couples homos et hétéros se font et se défont.
Poignant mais il m'a trop touché pour que j'en parle maintenant car il me parle trop, de moi et mes histoires.
Tu as eus mon texto ? Ben tout pareil hein. Il nous a bouleversés ce film.
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(compte clôturé)
le mercredi 21 avril 2010 à 09h51
J'ai regardé de quoi il parle. Ca a l'air d'un film que je ne pourrais voir qu'avec un moral en béton armé ! Et pas toute seule.
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Junon
le mercredi 21 avril 2010 à 09h56
Tchu > Oui ma belle. On en reparlera, promis.
Insognare > C'est bien de le partager, celui-là.
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(compte clôturé)
le vendredi 30 avril 2010 à 09h32
Le tout dernier épisode de « Docteur House » (S06E18) intitulé « Open and shut », parle de libertinage et d'amours hors du couple, avec des arguments qu'on peut voir de temps en temps par ici, qu'ils soient pour ou contre les amours pluriels.
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(compte clôturé)
le vendredi 30 avril 2010 à 10h48
Le dernier qui est passé, quoi. :P
Quoi que je doute qu'ils aillent plus loin que la saison six, donc encore quatre ou cinq épisodes.
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Junon
le vendredi 30 avril 2010 à 10h57
Rhaaa...déjà qu'il ne me reste que 6 épisodes de Lost avant la fin....rhaaaa
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Siestacorta
le vendredi 30 avril 2010 à 11h02
Junon
Le tout dernier dernier ? Nan hein ? (voix tremblante)
Minute nawak : haha, Junon.
Souffre : Serenity... John Doe... Dollhouse... Studio 50... Pushing daisies...
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Junon
le vendredi 30 avril 2010 à 11h29
Ah ah, je me gausse, je n'aime aucune de ces séries (quoique Pushing, j'aurais pu...mais non, trop visuellement acidulé).
Et à vrai dire, je ne connais même pas Serenity et Studio 50...raconte!
(là moi je torchwoode, je damage, je littlebritaine, je madmene et c'est déjà pas mal)
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Siestacorta
le vendredi 30 avril 2010 à 11h45
Studio 50 : c'est un peu comme 30 rock, mais en un peu plus intello. LEs coulisse d'une émission d'humour, ce qu'on peut dire ou pas...
Serenity... La série avortée de Whedon. Un western dans l'espace, c'est vachtement plus décontract que d'y envoyer des samuraï, non ? Des dialogues qui tuent (VO ou rien, pour celle-là). Des personnages excellents. Le capitaine (qui est le super-gentil lourd dans Dr Horrible) du vaisseau, un poème.
QUOI T'AIMES PAS DOLLHOUSE ? Impie.
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(compte clôturé)
le vendredi 30 avril 2010 à 12h11
Dr. House? Les producteurs m'ont contactée pour que j'entre dans la série, et qu'un spin-off en sorte, et me donner le rôle principal.
Ca s'appellera "La digne fille de son Dr. H. de poupa, celui qu'on adore détester; elle aussi, du coup"
Nyèreque nyèrque.