Un cas de figure comme un autre ?
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Evavita
le mardi 21 avril 2015 à 22h43
Bonsoir Pseudoi,
Je ne vois cette discussion que maintenant mais malgré le choix de A, je pense quand même qu'il y a quelque chose à en tirer.
Pseudoi
Malgré beaucoup d'ouverture d'esprit, la jalousie des deux autres roues du carrosse nous fait passer près de la casse en mille morceaux (de l'amitié intercouple et des couples eux-mêmes)
Ici, tu nous explique clairement que la raison pour laquelle 1 et B n'ont pas pu vivre de manière intime l'amour qu'ils se portent (en tout cas de manière ouverte), c'est parce que tu t'y es entre autre opposé. Puis, au vu d'une possibilité de vivre toi même quelque chose de similaire avec A, tu t'es mis à l'envisager. Bref, pour moi tu as mis ensemble deux chose qui devraient être traitées de manière distincte.
Aujourd'hui, A te dis qu'elle ne veut pas vivre cette relation avec toi et c'est son choix. Néanmoins, tu étais prêt à laisser cette option là à B et donc tu peux toujours le faire (avec qui que que ce soit, pas 1 en particulier) ; en mode "test" en s'offrant la possibilité de faire marche arrière si c'est trop dur pour toi. D'ailleurs, je crois que si tu ne te sens pas aujourd'hui de lui autoriser ça sans avoir ta "contrepartie", c'est que très probablement tu aurais mal vécu la situation A ou pas A à la clef.
En somme, il serait peut-être intéressant de profiter du fait qu'il n'y à plus "d'enjeux" pour indiquer à B que tu serais d'accord pour une ouverture. De la sorte, tu peux voir comment tu le vis et si ça s'avère concluant, savoir que ce travail a été fait. Ainsi au moment où une nouvelle interaction amoureuse se profile à l'horizon (si A change d'avis ou si tu rencontre quelqu'un d'autre), tu te retrouveras pas dans la même situation que tu nous décris dans ton premier post : "puis-je proposer à B une ouverture au moment où ça m'arrange sachant que je lui l'ai refusé auparavant?".