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Romy

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(Canada)

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Discussion : Découverte?

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Romy

le jeudi 17 juin 2010 à 19h11

Tu as le syndrôme de l'infirmier, Titane?

@Verdad... Ce que j'ai écrit était pour tenter de te convaincre que ce que cherche et trouve ta copine avec son amant n'est peut-être pas aussi menaçant que tu ne le crois et que tu ne dois pas en vouloir à ta copine de vouloir faire du bien à d'autres personnes qu'à toi. Que cela la rend heureuse et du coup, elle est plus heureuse avec toi aussi (à moins que tu ne l'empêches de vivre ça, et alors, elle te verrait comme un obstacle à son bonheur).

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Discussion : Découverte?

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Romy

le jeudi 17 juin 2010 à 18h59

D'ailleurs, c'est étrange...J'ai cette petite théorie.
J'ai tendance à être attirée par les hommes vulnérables, pas nécessairement beaux, ceux qui cachent une petite tristesse, une petite insatisfaction. Alors que mon mari est un type assez (euh...très) sûr de lui, qui a certaines vulnérabilités, mais qui les cache (vraiment) très bien. Et c'est ce qui fait son charme, son intelligence. J'ai déjà écrit ici combien j'ai d'admiration pour lui, pour sa façon de vivre, sa façon d'être. C'est aussi un très bel homme (Bon là ça va :-)). Je me suis déjà demandé si mon intérêt envers les autres hommes me venait d'un manque dans mon couple, et j'en ai conclu que non, car je suis très heureuse avec mon mari à tous les points de vue. Mais des fois je me dis qu'il y a peut-être cette idée qu'avec les autres hommes, je suis celle qui est forte, celle qui soigne les vulnérabilités, celle qui fait du bien à l'autre. Par contre, l'admiration pour l'autre est moins forte que celle que j'ai pour mon mari.

Alors voilà ce qui est étrange: je crois avoir besoin de satisfaire mon syndrôme de l'infirmière, mais je ne veux pas d'un mari qui a besoin de "soins", ni être l'infirmière de mon mari... :-)

Message modifié par son auteur il y a 15 ans.

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Discussion : Découverte?

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Romy

le jeudi 17 juin 2010 à 18h24

Sur ce...j'interviens :-)
C'est à Verdad que je m'adresse surtout.
Jusqu'à présent, j'intervenais surtout sur ce forum pour faire part de mon expérience à titre de femme dont le mari a une copine (donc celle qui doit jongler avec les amours de l'autre).
Là, je veux donner le point de vue de la femme qui a un ami (et qui doit jongler avec les inquiétudes de son mari).

Voilà. Dans ma tête, il est tellement clair que mon ami n'est pas menançant pour mon mari, qu'il ne prendra jamais la place que mon mari a dans ma vie, et qu'il n'affecte en rien l'amour et le désir que j'ai pour lui. Je crois que les inquiétudes viennent du fait que le mari se sent menacé (dans mon cas, je crois que c'est l'aspect sexuel qui inquiète le plus, la grande crainte que j'aie plus de plaisir avec un qu'avec l'autre). Or.... ce qui plaît le plus à Rosalie c'est de donner du plaisir et d'apporter du bonheur dans la vie des hommes que j'aime, d'amour ou d'amitié. Ce qui me procure le plus de joie, c'est quand je sens que j'apporte quelque chose à la personne. C"est ça qui fait que j'aime: la gratitude que l'autre me témoigne. C'est égoïste. Mais j'ai envie que l'autre se sente bien grâce à moi. J'ai déjà dit que je pensais être atteinte du syndrôme de l'infirmière. C'est peut-être vrai. Tout ça pour dire que je ne comprends pas en quoi le bonheur que j'apporterais à d'autres serait menaçant pour mon mari, alors que c'est avec lui que j'ai décidé de faire ma vie.

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Discussion : Assumer ou pas

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Romy

le vendredi 11 juin 2010 à 23h42

Bonjour Tigrecroche. Juste pour te dire que je lis ton histoire et que c'est très émouvant. Ce qui me vient à l'esprit quand je te lis...je me demande comment on peut en arriver à croire que les personnes qui nous aiment (Cécile et Anne) ne puissent vouloir comprendre que ce qui te guérirait, ce serait qu'elles te laissent vivre ce que tu as à vivre. Cécile t'aime et ne veut pas te voir malade, il faut lui dire que tu connais le vrai remède.

Message modifié par son auteur il y a 15 ans.

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Discussion : Bienvenue

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Romy

le vendredi 11 juin 2010 à 02h11

Bonjour,
Je suis pas une nouvelle. Mais j'ai modifié mon profil. Ça se bouscule dans ma tête.
Voici la nouvelle Rosalie, mon nouveau profil:

Mon mari et moi sommes ensemble depuis plus de 15 ans. Nous nous aimons toujours autant, sinon davantage. Je considère que nous vivons sous le modèle fusionnel. Un couple traditionnel, mais un peu transgressif. Nous avons exploré le libertinage, mais n'avons jamais vraiment vécu d'expérience extraordinaire. Je considère que la complicité et la compatibilité sexuelle est aussi difficile à trouver que la complicité amoureuse. Je ne suis pas tombée amoureuse souvent, mais ça m'est arrivé deux fois au cours de mon mariage. Ces relations n'ont pas évolué à cause de la complexité des situations de chacun. Mon mari a eu plus de chance...il a poursuivi deux ou trois relations qui ont duré environ deux ans. Il fréquente présentement une amoureuse. J'aime parler de sexe, d'amour, de pluriamour et de non-exclusivité sexuelle de manière candide à des moments inopportuns. J'aime déstabiliser les gens à ce sujet. J'ai eu des amants dont je n'étais pas amoureuse et dont la complicité sexuelle n'était pas au rendez-vous, et ce n'est pas pour moi. Mon mari a plus de difficulté à accepter mes amours. Mais comme ceux-ci n'ont pas évolué en soi, je ne m'en soucis pas trop pour le moment. Et je ne tiens pas à être une polyamoureuse pratiquante s'il n'y a pas d'amour. Pour le moment, le simple fait de pouvoir désirer et fantasmer en toute impunité me comble.

bisous à tous

Message modifié par son auteur il y a 15 ans.

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Discussion : Assumer ou pas

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Romy

le lundi 07 juin 2010 à 00h11

Ceci dit Tigrecroche, je compatis, et je ne trouve absolument pas que tu es sur le mauvais site. Tu fais avec ce que tu peux, tu mens peut-être, mais tu es honnête. Ça fait tellement mal de mentir, c'est atroce. Ça fait mal au ventre, on se sent comme de la m.... et plus ça va, plus ça devient pire. Si tu crois que ta relation avec A va se terminer, peut-être vaut-il mieux continuer à garder le tout caché. Mais reprendre les discussions avec C à tête reposée au cas où ça se produirait à nouveau ou au cas où C rencontre quelqu'un...
Mais si tu crois que c'est fait pour durer, et que tu ne supportes pas de mentir, je crois qu'il faut affronter le discours avec C.
Pour avoir été dans la situation de C, je te dirais que ce qui m'a aidé énormément, ce sont les je t'aime de mon mari, les caresses et le fait qu'on continuait à faire l'amour et que je ressentais qu'il me désirait toujours, sinon encore plus. Et quand je lui disais: mais elle plus jolie que moi, plus si, plus ça...Il me disait: tu es malade! Tu es la fille la plus extra, elle ne savait même pas qui était truc chouette, elle est hyper complexée... C'est con, je savais bien qu'il en mettait plus qu'il fallait. Mais ça me faisait un bien fou.

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Discussion : Assumer ou pas

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Romy

le lundi 07 juin 2010 à 00h01

Siesta, laisse-moi te témoigner encore une fois mon admiration! Tu touches toujours le juste point. Tu as dit: "il faut arriver à se convaincre que l'autre nous aime plus qu'il n'aime les principes."
C'est tellement ça.
En fait, j'ai écrit, pas plus tard qu'avant-hier, dans mon carnet: "Je ne veux pas m'opposer par principe. Les principes ne m'intéressent pas s'ils ne font aucune place aux nuances et aux exceptions. Je n'irai nul part avec des principes, que du statu quo. Avec des principes, je m'empêche d'être vraie. Ma tête ne connaît pas les principes et je lui fais confiance. Il n'y a que ma vérité qui m'intéresse"
Ah! Quelle philosophe que je suis! Et tu auras bien sûr compris Siesta que je t'admire parce que tu penses comme moi :-)

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Discussion : Monogamie des couples, célibat des prêtres

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Romy

le mercredi 02 juin 2010 à 22h22

@Titane: Moi j'en ai des interdits dans le sexe. Quand je lis Sade, je me rends compte que j'en ai. Et c'est bien que le sexe reste sans moralité et sans limite aucune (jusqu'à la mort), pour que l'on puisse fixer nous même nos propres limites.

@Milan: d'accord avec toi. Ça prend des ascètes pour qu'il y ait des hédonistes. Le problème n'est pas le célibat des prêtres, le problème c'est que l'Église culpabilise et condamne des innocents (enfants illégitimes, femmes qui défroquent les curés...).

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Discussion : Monogamie des couples, célibat des prêtres

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Romy

le mercredi 02 juin 2010 à 21h50

Mais Titane, qu'est-ce que ça te fait quand tu lis Sade? Est-ce juste du sexe? ou si ça vient chercher quelque chose en toi? Sade fait quand même mourrir certains de ses personnages...Et ça reste excitant. C'est nous qui devons fixer nos limites, selon notre porpre moralité. Mais le sexe lui n'a pas de morale.

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Discussion : Monogamie des couples, célibat des prêtres

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Romy

le mercredi 02 juin 2010 à 21h28

Titane, il reste que dans ma tête, j'aime bien que le sexe soit le diable, la limite, la mort. Je sais pas comment expliquer. Je me suis posé la question à savoir pourquoi quand je lis Sade je suis excitée. Il décrit pourtant des trucs horribles. Bien sûr, je ne suis pas excitée parce que je crois vraiment qu'il décapite et que les esclaves sont martyrisés ou les jeunes filles violées. Mais ça me plonge dans un état second.

Et Compte Sponville explique bien ce qu'est le sexe pour moi:
"L'horreur est en nous, en nous la bête et le bourreau. Si nos gauchistes avaient lu Sade d'un peu plus près ou s'ils l'avaient pris un peu plus au sérieux, il y a quelques naïvetés optimistes qu'ils auraient évitées (...) Qu'il faille déculpabiliser la sexualité ou qu'on ai eu raison de le faire, c'est une évidence. Mais faut-il pour autant n'y voir qu'un loisir agréable? (...) "Il est interdit d'interdire", "Vivre sans entraves"...comme il faut avoir des petits désirs bien sages pour écrire ça sur un mur! Comme il faut avoir interiorisé la morale pour imaginer sans passer!"

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Discussion : Monogamie des couples, célibat des prêtres

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Romy

le mercredi 02 juin 2010 à 18h27

Et puis s'ils se mettent à aimer le sexe les curés? Le sexe qui est sensé être le Diable et qui deviendrait le bon Dieu... Le sexe n'a pas de morale et est un espace de liberté totale, une perte des repères. Là, je paraphrase pas mal Comte-Sponville.

Il ne manquerait plus que les curés viennent nous dire comment faire l'amour...Je préfère que le sexe reste le Diable et que je me débrouille avec ma propre moralité.

Message modifié par son auteur il y a 15 ans.

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Discussion : Recherche films dont "Pourquoi Pas" de Coline Serreau

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Romy

le lundi 31 mai 2010 à 21h26

Au risque de me répéter: César et Rosalie.
Puis il y a un film de répertoire américain, tout nouveau, que je n'ai pas vu: Breaking upwards (http://www.breakingupwards.com/synopsis.html)
Gazon maudit peut-être.

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Discussion : Cultiver son indépendance affective dans une relation fusionnelle

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Romy

le lundi 31 mai 2010 à 16h59

Oui! C'est une très bonne analogie, l'addiction à l'autre. Je souffle, car je ne suis pas addict! Ça aussi j'en suis certaine!
Vous faites mon bonheur ce matin.

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Discussion : Cultiver son indépendance affective dans une relation fusionnelle

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Romy

le lundi 31 mai 2010 à 04h56

Bonjour et bonsoir,
Je lis tous les post à l'instant. Merci à ceux qui m'ont donné leur point de vue sur la question.
Eric, bien sûr que j'admire d'autres personnes que mon mec, mais en toute sincérité je n'ai jamais rencontré un autre homme qui me fasse autant d'effet. Ça m'étonne à tous les jours. J'ai des amis hommes que j'aime énormément mais je ne me verrais pas vivre au quotidien avec eux. J'essaie de comprendre comment je peux ressentir cette fusion sans être dupe. Je suis pourtant une polyamoureuse! La seule chose qui se rapproche c'est ce que je ressens pour mes enfants. Bon, pour l'instant ils sont jeunes, mais mes enfants seront éventuellement libres d'aller, pourtant, le lien qui me rattache à eux est fusionnel. C'est ça que je ressens avec lui. On est rattachés l'un à l'autre, libres d'aller et de revenir, mais pour moi, il sera toujours le plus beau, comme mes enfants. Je sais que tout ça peut se terminer, mais dois-je vraiment me le rappeler tous les jours et me dire: attention! tu es trop fusionnelle là....

Et oui Françoise tu as raison: beaucoup de temps passé à parler de polyamour, et peu de temps pour les autres passions. Dans mon cas, c'est devenu plus intense cette fixation sur le sujet de relations amoureuses depuis environ deux ans. Si c'est comme la passion amoureuse, cette passion pour le sujet devrait se terminer dans un an! L'année prochaine je me mets à la peinture ou à l'ébénisterie :-) Mais pour le moment, je dois aller au fond du sujet.

Message modifié par son auteur il y a 15 ans.

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Discussion : Cultiver son indépendance affective dans une relation fusionnelle

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Romy

le jeudi 27 mai 2010 à 15h56

Je ne sais pas Siesta... c'est pour ça que je pose la question. Le fait est que je vis dans une relation fusionnelle. Par là, j'entends... nous nous parlons régulièrement au cours de la journée, je sais toujours où le trouver et il sait toujours où me trouver. Nous voyageons presque toujours ensemble, nous avons généralement des amis en commun. Nous effectuons généralement nos sorties ensemble. Je lis un livre et il le lit après, et vice versa... Nous discutons de tout avec le plus d'ouverture et de franchise possible. Mais... je ne sens pas que tout ça me pèse ou m'est imposé. Ni qu'il est vexé quand j'ai envie de faire des trucs toute seule. Puis nous avons quand même chacun nos amis intimes. Voilà. Je ne me sens pas dépendante affectivement. Je sens simplement qu'on choisit de passer la plupart de notre temps ensemble. Mais je me demande si je me gourre et que c'est de la dépendance affective.

Et il faut dire que je n'ai jamais encore ressenti qu'une autre fille pourrait éventuellement lui faire abandonner notre projet de vie. Il aime sa copine, mais je ne l'ai jamais vu amoureux passionné, ébranlé etc. Je sens que je suis la relation primaire et que ses autres relations sont secondaires (c'est la même chose pour moi face à mes amants). Si les choses devaient s'inverser, je crois que je serais très triste, mais pas démolie.

Message modifié par son auteur il y a 15 ans.

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Discussion : Cultiver son indépendance affective dans une relation fusionnelle

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Romy

le mercredi 26 mai 2010 à 16h35

Merci pour ton message Love Fifteen...
Je suis assez d'accord avec toi (ben disons, entièrement d'accord, mais c'est pour me garder une petite touche d'indépendance :-D )
En fait, je ne me sens pas dépendante affectivement, je ne dépens pas de lui, même si ma vie tourne beaucoup autour de lui parce que j'aime faire partie de la sienne. Mais je crois avoir appris à développer mon esprit critique, mes propres goûts, ma propre vision des choses. Par contre, je ne peux m'enlever de la tête que nous formons un couple fusionnel (même si nous vivons des amours parallèles) et que je perderais probablement mes repères si nous nous séparions. Aussi, je n'ai jamais rencontré quelqu'un qui ait remis en question mon projet de vie avec mon mari, même si j'ai vécu une ou deux relations passionnelles très prenantes.

Quant à l'indépendance materielle, je la perçois de deux façons: être indépendante parce qu'on fait soi-même des bidous, ou/et être indépendante par rapport à l'argent (ne pas être attachée aux choses matérielles). Les deux aspects me correspondent!

Message modifié par son auteur il y a 15 ans.

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Discussion : Cultiver son indépendance affective dans une relation fusionnelle

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Romy

le mercredi 26 mai 2010 à 15h17

C'est un post de Françoise qui m'a interpellé où elle référait à la relation polyamoureuse de Besson/Brunel. Elle explique (je résume grossièrement) que selon elle, le couple n'était pas dans une relation polyamoureuse, car Brunel était dépendante affectivement et très admirative de son homme: elle avait toujours l'idée que c'était elle qu'il préférait parmi ses amoureuses. D'où l'effondrement de Brunel lorsque son mec l'a quittée.

La question m'interpelle, car je suis moi aussi très admirative de mon mec et je vis effectivement avec cette idée que c'est moi qu'il préfère...qu'il n'aura jamais une complicité aussi grande avec une autre. C'est d'ailleurs ce que je ressens à son égard. C'est quelque chose que je ressens viscéralement, même si je sais bien qu'on ne peut jamais être sûre de rien. Je crois que j'ai besoin de ce point d'ancrage pour vivre le polyamour (les siennes et les miennes). Je voudrais cultiver mon indépendance affective, mais je me demande pourquoi je devrais artificiellement me mettre en position d'indépendance lorsque la relation est fusionnelle et que cette dépendance affective est réciproque. Pour le moment, je me contente d'imaginer ce que ce serait si mon mari me quittait, comme je le fais pour la mort des êtres chers (j'essaie de vivre les émotions avant coup pour que je sois immunisée lorsque ça se produira!). Avez-vous d'autres idées de la façon de cultiver son indépendance affective dans une relation où tout nous porte à la dépendance (notamment le fait que ce soit réciproque)?

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Discussion : [Livre] Aimer plusieurs hommes de Françoise Simpère, 2004

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Romy

le mardi 25 mai 2010 à 20h36

Plus facile pour moi d'accepter que quelqu'un d'autre aime mon compagnon, que d'accepter que mon compagnon en aime une autre. Je suis donc pas possessive de mon mec, mais envieuse des autres filles qui plaisent à mon mec :-)
Mais j'y arrive. Et je rejoins Françoise sur la question de l'inégalité des désirs vs l'égalité de traitement des désirs. J'en suis à cette étape dans mon couple.

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Discussion : Nouveau sur le site

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Romy

le jeudi 20 mai 2010 à 16h03

Oui vraiment bien ton blog Milan.

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Discussion : Découverte?

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Romy

le lundi 17 mai 2010 à 21h30

Miam, le cognac!
Puis tiens même, je t'embrasse! Je suis trop de bonne humeur aujourd'hui. (ah la vilaine dragueuse que je suis!)
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