Polyamour.info

titane

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Phnom Penh (Cambodge)

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Discussion : "Les mecs lourds" de Natacha Henry

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titane

le mardi 16 février 2010 à 17h34

Ah... Séduction vs Compétition en filigrane, ou bien j'y suis pas du tout? Merci d'apporter un regard d'homme à cette discussion :-)

Tu vas juste un peu trop vite en besogne... envie (pas besoin) de séduire oui... hommes ET femmes... en tant qu'homme je ne séduis pas les hommes de la même façon que les femmes... une certaine vigueur entre hommes peut-être ressentie comme une certaine délicatesse ou "tendresse"... entre frères on ressent bien cela...

Donc je m'arrêterai à "séduire"... avec plaisir et sensualité... mais sensualité différente.

Le genre n'exige pas l'égalité entre les sexes, mais une différenciation selon les spécifictés... et pas seulement celles des femmes et des hommes mais aussi parmi les femmes et parmi les hommes car le groupe "femmes" est très loin d'être homogène !

Le genre se construit avant tout sur la culture et de moins en moins sur la physiologie...

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Discussion : Aimer l'amour ou aimer les autres ?

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titane

le mardi 16 février 2010 à 17h27

pas de contradiction mais deux attitudes qui se nourrissent l'une l'autre:

1- lâcher prise sur ma construction égotique (ma personnalité ou mon idée de moi) pour m'ouvrir aux autres plus spontanément
2- donner sans chercher à recevoir la même chose... aimer librement (libre de mes attentes)... et accueillir ce qu'on me donne avec le plaisir de l'abondance (aimer gratuitement) et se redécouvrir dans cette paix renouvelée d'avoir donner pour donner et d'avoir reçu comme un cadeau...

pas forcément besoin de se "chercher"... avant ... comme l'alchimiste... juste "s'exprimer" avec confiance... déjà dans le plaisir de le faire...

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Discussion : Aimer l'amour ou aimer les autres ?

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titane

le mardi 16 février 2010 à 17h23

je ne vois pas la contradiction... ce que je propose est de se décrisper sur son soi-disant "soi"... notre personnalité est une structure égotique en réaction de nos craintes et nos "traumatismes"... s'auto-analyser revient souvent à changer de structure égotique pour une autre... d'une névrose à une autre... le temps d'échaper à un inconfort et avant d'en tomber dans un autre...

lâcher prise sur cette quête de construction ou développment personnel me parait plus "rapide" et sincère... il s'agirait de se "déconstruire" pour libérer ce qu'il y aurait de plus profond en soi, de plus intime... ce qui nous dit justement lorsque notre "contruction" ne correspond plus ou a fait son temps... cette déconstruction est réalisable dans les relations avec autrui si elles sont "désirées" spontanément (pas au hasard !) et non dans la satisfaction d'un besoin ou dans une "protection" ou "assistance affective mutuelle"...

Je me libère lorsque j'accepte d'aimer quand j'aime tout en étant prêt de ne pas forcément être aimé comme j'aime... moi au moins je veux être sincère, gratuit, libre et spontané... et je crois (acte volontaire!) que leq autres autour de moi et de cette façon d'aimer vont pouvoir lirement se positionner et choisir de m'aimer aussi probablement le plus librement, spontanément et gratuitement que possible... cette confiance qui finalement m'encourage (un cercle vertueux) à persévérer... et sans juger ceux qui m'aiment avec une tendance à a possessivité, exclusivité même relative ou peur de manquer... et même les aimer malgré cela...

ainsi aimer une femme qui découvre ma capacité d'aimer au pluriel mais qui le "refuse" et ne le "comprend" pas et qui malgré tout veut m'aimer... et bien oui je peux partager des instants uniques et sincère... sa souffrance me touche et ne me donne pas une excuse pour y renoncer... elle seule peut faire son bout de chemin comme elle l'entend... j'ai fait le mien dans des beaux instant et dans des instants de souffrance... mais voilà... je ne reviendrai pas en arrière !
Je peux donner et ce que je peux donner je le donne vraiment... je suis heureux de donner même si je ne reçois pas forcément en retour ce que je pourrais espérer... mais je me sens bien mieux de donner ainsi... car c'est MOI que je libère et qui s'exprime... moins mes craintes et mes "jugements"...

pas plus clair hein?

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Discussion : Aimer l'amour ou aimer les autres ?

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titane

le mardi 16 février 2010 à 17h10

Je relis avec attention ceci au-dessus, et je suis d'accord avec toi Titane. Mais du principe à la réalité...il y souvent plusieurs mondes !

J'entends souvent ça et c'est souvent brandi comme un trempart, comme un mirroir qui cherche à nous aveugler de quelque chose qu'on aurait compris et même accepté mais dont on a peur... c'est plus facile à vivre que tu le pense et tu l'as déjà vécu dans des instants volés, des instant de "grâce" innattendus... c'est pour cela que tu es "d'accord"... pas avec moi TItane... mais avec TOI avec ton TOI qui te dit que ce serait bien... mais voilà le petit ego veut te faire froire que c'est impossible et sa réalité illusoire il te la présente comme la REALITE...

amusant... il ne s'agit pas de "principe"... mais de vécu... libre à toi d'y croire ou pas... y croire est acte volontaire... toi seule peux faire cet acte ou pas...

Ces moments gratuits avec quelqu'un, tu as en a connu certainement.. des moments intimes spontanés aussi... des instants de libérté réciproque aussi... donne des examples ici... fouille et tu verras que tu en a vécu plus que tu le penses.

Repousser cela d'un revers de la main me parait trop facile... même au nom d'une vague idée du pragmatisme... je ne parle pas d'instants forcément extraordinaires... des instants d'amitié, des instants d'amour serein... parfois quelques minutes... parfois quelques jours... même dans une vie il nous suffit de vivre de tels instants de temps en temps pour la remplir... comme des étoiles remplissent la nuit (et même s'il y a plus de nuit que d'étoiles, se sont les étoiles qu'on admire)... s'imaginer une continuité idéale et intense est un reliquat de romantisme surement... mais je ne parle pas de ça... je parle d'une vie de plus de 20 ans avec une personne avec qui on accumule de tels instants, et puis avec d'autres plus ou moins longtemps... et avec certaines juste le temps d'une nuit...

du vécu, du réel... là autour de nous, de vous... c'est fou comme on refuse de croire et comme on veut faire d'une insoutenable légèreté de l'amour une complexité et un idéal impossible pour excuser nos peurs de se lancer et de lâcher prise... "insoutenable légèreté de l'être et de l'amour"... Kundera en présentait un prémisse mais la peur fait finir l'histoire dans la souffrance... pour rien...

Une Carmen ? on la poignarde et on trouve ça beau... ! "romantique" !... l'amour de Carmen était trop simple ! insuportable de légèreté et de liberté...

Ta réflexion innocente et surement sincère... voilà le coup de couteau du Guardia Civil dans le ventre de Carmen...

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Discussion : Aimer l'amour ou aimer les autres ?

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titane

le mardi 16 février 2010 à 16h53

Bref, faire la paix avec soi-même. Les autres ainsi que nos émotions peuvent nous y aider. Mais bon, je découvre juste, difficile d'en dire plus sans faire mon auto-analyse

Faire la paix avec soi-même commence et finit par soi... et il est vrai que les autres ainsi que nos émotions... et donc multiplier les opportunités par l'amour pluriel, peuvent nous aider... et elles peuvent d'autant plus nous aider, je crois, qu'elle peuvent nous éviter de faire d'éternelles auto-analyses... mais des analyses mutuelles au mieux... témoigner de soi-même est trop souvent un autre montage égotique... un autre mythe... une autre mythomanie... peut-être plus supportable pendant un temps... mais pas forcément une réelle libération du SOI... se décrisper et lâcher prise dans des relations que nous décidons nous de sincères et de spontanées au moins de notre côté, en acceptant qu'on ne peut pas exiger que l'autre ou les autres nous aiment de la même façon... est déj une grand "soulagement"... une paix avec soi même sans se donner comme excuse que les autres fasse la paix avec moi d'abord...

enfin...

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Discussion : Aimer l'amour ou aimer les autres ?

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titane

le mardi 16 février 2010 à 16h47

no comment...

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Discussion : "Les mecs lourds" de Natacha Henry

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titane

le mardi 16 février 2010 à 11h36

Moi j'aime bien biser homme ou femme... Mais pour les femmes je n'y mets pas la même délicatesse... Non pas quelles soient plus fragile, mais j'avoue y prendre un plaisir plus sensuel... Avec les hommes se sera avec une étreinte plus vigoureuse.

Deux présences différentes.

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Discussion : Aimer l'amour ou aimer les autres ?

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titane

le mardi 16 février 2010 à 11h31

L'aimé ne peut être une source d'amour pour moi et je ne peux être un simple consommateur de cette eau fraiche. Je suis acteur de cet amour partagé et je sais que l'amour de l'autre n'est pas un dû. C'est un amour à renouveler sans cesse sans pouvoir le maitriser: je participe mais je ne contrôle pas et chacun de mes "je t'aime" sont des premières fois sans cesse renouvelées.

Une spontanéité désirante... Voilà la source de l'amour... Désirante et créatrice car renouvelée.

Un peu cucul? Pas quand c'est vécu!

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Discussion : Aimer l'amour ou aimer les autres ?

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titane

le mardi 16 février 2010 à 11h25

Le besoin d'amour reste pour moi une illusion égocentrique. Elle émerge justement dune projection sur l'autre de notre peur de n'être plus aimé ou d'être abandonné. Alors on se crispe sur cette notion de besoin qui voudrait légitimer notre attachement, possessivité voire exclusivité.

Des qu'on se décrispe, des qu'on reprend confiance en l'amour au delà de l'aimé, on glisse du besoin illusoire à l'envie assumée. Je t'aime parce que j'en ai envie et non parce ce que tu es un besoin. Et hé veux que tu maimes par envie: gratuitement, librement et spontanément. Sans calcul et avec confiance. Cette confiance qui me libère et qui régénère mon envie au lieu de sentir une obligation même compassionnelle.

Non je veux être aimé avec joie et légèreté. Sans lourdeur générée par la peur et un "contrat de mutuelle assistance amoureuse".

Pas de besoin et pas de manque. La source n'est pas projetée sur l'autre. Elle émerge comme une étincelle entre deux silex. Et j'ai confiance quelle puisse émerger plusieur fois. L'autre ne peut être une source d'amour pour moi. Elle ne l'était pas avant et peut ne plus le devenir. L'autre est une opportunité, pas une source.

Inutile de s'y accrocher. Mais aimer tant que l'envie mutuelle existe.

Je refuse l'idée de besoin en amour... Car c'est pour moi la source d'illusions qui justifie nos souffrances et déviances.

Essayer d'aimer gratuitement, librement et spontanément. Une fous qu'on y a gouter... Mmmmm ... Difficile de passer à autre chose! Et ce n'est pas si difficile: on peut y arriver en réhabilitant les vertus de l'amitié en l'amour. Par exemple.

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Discussion : Aimer l'amour ou aimer les autres ?

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titane

le lundi 15 février 2010 à 23h08

on s'est croisé et on se recoupe je crois... avec des mots différents:

Je lis le "manque", la "peur"... la "confiance"...

Qu'une forme d'amour est une fonction ne répond pas à la question pourquoi: pourquoi cette fonction?... une fonction répond plutôt à un comment... c'est le dfameux mythe de la science qui ne répond qu'à des "comment" en nous faisant crioire qu'elle répond à nos "pourquoi"... elle nous prend pour qui?... La science n'est pas une mythologie performante puisqu'elle se contredit de plus en plus rapidement... alors que certains mythes durent depuis des milliers d'années et semblent apporter des réponses à nos "pourquoi" ou tout du moins nous soulager devant l'angoisse de nos "pourquoi"... ce qui est déjà bien en soi... soulager...

l'amour des autres ou de l'autre reste pour moi un amour "relationnel", "écologique"...un besoin... alors que l'amour de l'amour serait plus "transcendant"... essayer de prendre conscience de qui ou quoi aime lorsque je dis "je t'aime" (comme dirait l'autre)... au delà de son expérience "corporelle" (physique ou psychologique, voire anthropologique)...

et là on passe de la confiance en l'autre (ou de la méfiance en l'autre) à la confiance en la vie ou l'amour (en soi? en sa nature "humaine")... et là il devient plus facile d'aimer au pluriel car on se détâche plus facilement des démonstrations ou preuves d'amour pour en apprécier les manifestations spontanées, libres et gratuites... dans l'amour pluriel on apprends à dire aux autres: "va, je t'aime, va vers les autres et vers toi même... je "reste" avec toi avec confiance"

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Discussion : Aimer l'amour ou aimer les autres ?

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titane

le lundi 15 février 2010 à 22h54

voilà j'ai corrigé mes fautes de frappe mais pas facile avec un téléhone !!!

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Discussion : Aimer l'amour ou aimer les autres ?

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titane

le lundi 15 février 2010 à 22h31

je pense qu'il y a deux questions pour lesquelles le "pourquoi" ne me semble pas être une question "juste", car je crois qu'on ne sera jamais capable d'y répondre:

1- pourquoi vit-on?
2- pourquoi aime-t-on?

La question "juste" serait plutot "comment"?... d'accord on arrive dans la vie comme ça sans rien demander... bien souvent l'amour nous "tombe dessus" également sans rien demander... on peut vivre pour survivre... ou aimer pour être moins seul... mais la question ne serait-elle pas: comment "mieux" vivre ou comment "mieux" aimer ? comment vivre et aimer avec plaisir et sérénité (paisiblement... sans se prendre trop de choux)?

et je crois ceci: aimer l'autre ou chercher à être aimé ressemblerait à de la "survie amoureuse" où l'on resterait dans le "besoin" ou le triangle "manque - production - accumulation": peur de manquer, recherche de "production" de preuves d'amour, accumulation ou possessivité ou exclusivité... même en aimant plusieurs personnes, la possessivité, une certaine exclusivité élargie et la peur de manquer existent: le polyamour officiel et labellisé en est une forme sociale établie... un triangle plutôt hominidien!

Par contre si on y ajoute l'amour d'aimer... avec joie, respect et liberté, gratuité et spontanéité voire même équanimité alors on passe à un niveau de conscience "supérieur" où règne l'abondance, la transformation et le partage... l'autre triangle plus "humain"... et là l'amour pluriel dans sa potentialité (y inclus un mono ouvert) y prend une toute autre signification et offre d'autres sources de plaisirs, bonheurs et bien-être...

Mais on va me traiter de messianique ! ou de philosophe... quelle horreur !!!!! :-)

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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Discussion : Extrait d'une conversation entre quat'zyeux avec un pas convaincu - c'est son droit...

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titane

le samedi 13 février 2010 à 17h56

L'amour pluriel peut se vivre ainsi: en sappuyant sur le "JE" essentiellement. Le libertinage serait pas mal utilitariste de ce point de vue.

Autour de ce JE d'autres JE verront clair et accepteront ou pas. Su cela a le mérite d'être clair cela ressemble davantage à de l'hygiene qu'à de l'éthique ou même de l'amitié. Alors parler d'amour?

De soi!

Je ne nie pas que cela peut permettre de surfer de plaisirs en plaisirs... Et alors?

On raterait tellement de petites choses sympas...

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Discussion : Extrait d'une conversation entre quat'zyeux avec un pas convaincu - c'est son droit...

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titane

le samedi 13 février 2010 à 11h25

Tu as raison... Et il ne s'agit pas du tout de polémique mais de partage de sentiments face à des interprétations possibles au delà de nos intentions premières.

Eiric peut s'exprimer en effet, mais c'est moi sui zi voulu le faire. Librement, spontanément et gratuitement.

Mais je crois que tout le monde a compris donc échange clos.

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Discussion : Extrait d'une conversation entre quat'zyeux avec un pas convaincu - c'est son droit...

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titane

le samedi 13 février 2010 à 07h55

Ton "je ne veux pas être impliquée là"... Alors que tu ne l'étais apparemment pas a un petit goût possible de... Tu dis des conneries et je te le dis de façon déguisée... Pas très gentil et sûrement pas ton intention.

Mais comme dans ton sillage il y a une petite masse critique de cops ben voilà... Ça peut ressembler à un jugement gratuit surtout qu'il n'est pas expliqué. Si tu ne veux pas être impliquée, ne t'impliquer pas, non?

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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Discussion : Extrait d'une conversation entre quat'zyeux avec un pas convaincu - c'est son droit...

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titane

le samedi 13 février 2010 à 07h49

Clem... Pourquoi te sens-tu heurtée? Ce "nous" n'engagent que Eric, il le sait et n'a aucune mauvaise intention...

Tu n'es pas obligée de te sentir impliquée... Pourquoi? Comment?

Je ne comprends pas... Il y a des "non, pas d'accord" sans explications qui sont bien plus heurtants...

Éric s'exprime et on est tous assez grand pour notre part des choses...

Pourquoi imposer qu'un seul "style"? Il ne s'agit pas de donner des leçons de style ou de forme. Mais de les accueillir et de laisser les autres réagir comme ils le sentent. Personne ne s'en prive!

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Discussion : Je veux en parler au monde entier !

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titane

le vendredi 12 février 2010 à 22h42

C pas mal le miracle aussi... Tous à genoux!

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titane

le vendredi 12 février 2010 à 22h41

Se mentir à soi surtout oui!!

Perdre des années... Tu ne les as pas perdues puisque tu es là! Avec nous! Mon Frere!!!

Tu n'as pas perdu ton temps... Juste celui des autres qui t'attendaient ! :-D

Aller bois un coup... Faute de le tirer... Euh... Keske g dit là? C'est pas ça le dicton, si?

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Discussion : Je veux en parler au monde entier !

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titane

le vendredi 12 février 2010 à 22h36

un peu moins grave de ne pas dire, mais ça laisse quand-même croire l'autre quelque chose que l'on pourrait démentir.... Chacun est libre de croire ce qu'il veut! En quoi j'en serai responsable?

Peut pas être le Jiminy Cricket de tout le monde!

Non mais screugneugneu...

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Discussion : Je veux en parler au monde entier !

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titane

le vendredi 12 février 2010 à 22h33

Oui je comprends Eric ... Faire réaliser aux autres que finalement on vit tous dans des non-dits... En effet et heureusement !

Et delà vivre dans le mensonge convivial, confortable, de ceux qui veulent bien se faire croire qu'ils croient à ce qu'ils prétendent croire...

Un ibuprofen? Pour suivre ce raisonnement hautement chiadé?

Donc j'en reviens au mécanisme étrange qui amènent les uns et les autres à se mentir et à se demander de se mentir. Pour que tout aille bien... Ouf!

Repondre à la demande de l'autre à nous mentir est-il encore un mensonge? Oui, mais qui ment?

Un ballon de rouge pour le Monsieur au fond !

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