Participation aux discussions
Discussion : Café Poly Genève
Discussion : Partager sa vie avec deux femmes monogames

Charlestcoco
le samedi 09 juin 2018 à 11h59
Je crois que c'est une bonne piste de réflexion Bonheur. Si je résume, je dois aussi me poser la question : est-ce qu'être quelqu'une qui a quelque chose à surmonter, comme une tare, me convient. Je n'avais pas vu cela sous cet angle. Je dois y réfléchir, mais je crois que c'est effectivement un point qui me parle. Merci!
Discussion : Rencontre & Papotage

Charlestcoco
le vendredi 08 juin 2018 à 23h39
Je ne serai en Suisse qu'à partir du 9 juillet... J'aurais bien aimer participer...
Discussion : Partager sa vie avec deux femmes monogames

Charlestcoco
le vendredi 08 juin 2018 à 23h37
Il me semble y avoir un fond de gros bon sens dans ce que Siestacota souligne. Mais justement, ma question c'est : quand passe-t-on du "j'essaie d'ouvrir ma relation" à "je continue malgré tout pour XYZ raisons à entretenir des relations multiples même si ça ne convient pas aux autres"? Je ne veux pas passer les prochaines années à convaincre mes amoureuses que le polyamour est une option : je veux vivre cette option comme un fait... Déjà, juste l'idée de les "convaincre" me répugne beaucoup, mais je comprends que puisque l'idée vient de moi, je dois minimalement être celui qui propose quelques bases. Non? Je suis un peu perdu... Merci de vos commentaires...
Discussion : Partager sa vie avec deux femmes monogames

Charlestcoco
le mercredi 06 juin 2018 à 15h07
Je suis encore nouveau dans ce monde, mais j'abonde dans le sens de Siestacorta. J'ai l'impression pour l'instant de "justifier" ma situation à l'aide d'une façon de voir l'amour qui me convient tout à fait, mais qui ne convient pas à mes amoureuses... D'où mon autre post sur le fait d'être le seul qui désire que ça marche... Après plus ou moins un an de réflexion sur la question, je crois que le polyamour est pour moi, mais je ne suis pas sûr qu'il convienne à mes amoureuses qui m'ont accompagné malgré elles dans mon cheminement... C'est pour cette raison que je me demandais : quand passe-t-on de la transition à la contrainte pour les autres qui nous aiment. Peut-être tout cela vous paraîtra un peu naïf comme réflexion... Mais ça fait émerger des sentiments paradoxaux qui rendent, tout comme pour Okyouwin, les relations compliquées. Je ne crois pas avoir la patience de Okyouwin, même si mes amours ne veulent pas que je les quitte, même si je sais qu'il n'est pas de ma responsabilité de choisir pour elles, je crois que je ne pourrai pas vivre des relations qui "tolèrent" mes choix encore longtemps. Je crois que je veux des femmes qui m'accompagnent sur le chemin, pas des gens qui me suivent de loin par dépit... 6 ans de cela, ça me paraît ou courageux ou aveuglément amoureux...
Discussion : Partager sa vie avec deux femmes monogames

Charlestcoco
le mercredi 06 juin 2018 à 00h57
Okyouwin,
J'admire ta patience, pour ma part, tel que poster il y a quelques jours, jtente depuis déjà quelques mois d'ouvrir ma relation depuis que j'ai rencontré une autre femme au mois de juillet l'année dernière. Je n'ai pas voulu dès le départ que cette nouvelle relation soit cachée et je voulais continuer ma relation avec la femme qui partage ma vie depuis 22 ans. Bien que je ne connaissais rien du polyamour, si ce n'est que le nom, j'ai proposé à ma partenaire historique et ma nouvelle amoureuse de vivre les deux relations ouvertement. Après plusieurs mois de discussion, mon amoureuse primaire accepte toujours mal la situation et la nouvelle s'en accommode tant bien que mal. Une chose récurante dans les deux relations, mes deux partenaires, quand les discussions se corsent, me disent que ce n'est pas leur choix, que cette idée de polyamour est la mienne et je ressens souvent une espèce de solitude dans mes émotions. Je ne me sens pas à l'aise de leur parler de certains de mes sentiments, positifs et négatifs, ou encore de certaines difficultés reliés à la logistique qu'implique le fait d'avoir deux relations, car je sens qu'elles ne sont pas responsables des difficultés que nous rencontrons et je sens qu'elles se délestent d'une partie de leur rôle au regard des difficultés à surmonter pour faire en sorte que cette idée de polyamour fonctionne. Pour le dire abruptement, j'ai le sentiment d'être le seul des trois qui veut que ça marche et je ne me sens pas légitime de le le dire ni même de le penser... Même de l'écrire ici sur le groupe de discussion me rend inconfortable. Je voulais le partager parce que je sens dans ce que tu dis qu'il y a de cela, mais en 6 fois plus long et, j'imagin, 6 fois plus de frustrations...
Discussion : Quand on est le seul qui veut que ça marche...

Charlestcoco
le vendredi 01 juin 2018 à 03h07
Je tente depuis déjà quelques mois d'ouvrir ma relation depuis que j'ai rencontré une autre femme au mois de juillet l'année dernière. Je n'ai pas voulu dès le départ que cette nouvelle relation soit cachée et je voulais continuer ma relation avec la femme qui partage ma vie depuis 22 ans. Bien que je ne connaissais rien du polyamour, si ce n'est que le nom, j'ai proposé à ma partenaire historique et ma nouvelle amoureuse de vivre les deux relations ouvertement. Après plusieurs mois de discussion, mon amoureuse primaire accepte toujours mal la situation et la nouvelle s'en accommode tant bien que mal. Une chose récurante dans les deux relations, mes deux partenaires, quand les discussions se corsent, me disent que ce n'est pas leur choix, que cette idée de polyamour est la mienne et je ressens souvent une espèce de solitude dans mes émotions. Je ne me sens pas à l'aise de leur parler de certains de mes sentiments, positifs et négatifs, ou encore de certaines difficultés reliés à la logistique qu'implique le fait d'avoir deux relations, car je sens qu'elles ne sont pas responsables des difficultés que nous rencontrons et je sens qu'elles se délestent d'une partie de leur rôle au regard des difficultés à surmonter pour faire en sorte que cette idée de polyamour fonctionne. Pour le dire abruptement, j'ai le sentiment d'être le seul des trois qui veut que ça marche et je ne me sens pas légitime de le le dire ni même de le penser... Même de l'écrire ici sur le groupe de discussion me rend inconfortable. Je voulais le partager avec vous parce que plusieurs d'entre vous m'ont beaucoup aidé à cheminer par le passé et vos rétroactions ont toujours éclairées des zones d'ombre et des angles morts que je n'avais pas vus. Merci de vos commentaires, partage d'expérience, questions...
Discussion : Quand passe-t-on de la transition à la contrainte?

Charlestcoco
le samedi 21 avril 2018 à 17h47
Merci Artichaut de cette rétroaction. J'oublie souvent cela dans mon processus: me mettre en dialogue. J'ai souvent le sentiment que c'est seulement ma responsabilité de trouver des solutions aux problèmes. Merci de me rappeler ce principe de base à toute relation saine, poly ou pas. J'ai beaucoup pensé à faire se rencontrer mes deux amours, et il y aurait peut-être une possibilité cet été. Mais j'aurais besoin de l'imaginer... Y a-t-il des témoignages sur cette question qui pourraient m'aider à me faire une idée de comment pourrait se dérouler ce genre de rencontre...? Merci encorepour ce précieux commentaire.
Discussion : Quand passe-t-on de la transition à la contrainte?

Charlestcoco
le samedi 21 avril 2018 à 03h35
Il y a un mois, j'ai témoigné de mon désire de transition vers le polyamour. Ce processus, qui a débuté par la rencontre d'une autre femme, en est maintenant à son 10e mois. Ma partenaire historique est toujours en questionnement par rapport à mon désir de poursuivre les deux relations et me dit qu'elle accepte la situation parce qu'elle n'a d'autre choix. J'ai suivi les conseils de certains d'entre vous et j'ai commencé à lire "La salope éthique". La partie sur le consentement m'a particulièrement touché ainsi que celle sur la souffrance des autres. Je vois très bien que ma partenaire historique souffre de mon désir de vivre ouvertement mes deux relations et je sais très bien qu'elle ne consent qu'avec un astérisque. Elle me dit qu'elle ne veut pas que je la quitte, mais en même temps, elle n'accepte pas la nouvelle situation. Je m'étais donné un an pour faire la transition, pour évaluer si c'était possible de l'aimer et d'aimer l'autre femme qui est entrée dans ma vie, mais là je me demande si ce n'est pas une erreur d'attendre si longtemps et de faire souffrir une personne que j'aime tant. Je sais que je ne peux pas penser à sa place, mais devant sa souffrance et son demi-consentement, n'ai-je pas la responsabilité de mettre fin à la relation pour son bien? Ça me ferait énormément souffrir (elle aussi puisqu'elle ne veut pas que je la quitte), mais peut-être seulement à court terme... J'ai toutefois très envi que ça fonctionne, mais je ne le veux pas à tout prix. Je ne veux pas abandonner ma démarche, mais en même temps je me dis :"à quoi bon, elle n'acceptera peut-être jamais". Je suis un peu perdu, pourriez-vous m'aider? Quand doit-on mettre fin à la "période de transition"? Combien de temps donne-t-on à une relation monogame qui a durée 20 ans pour transiter vers le polyamour? Je comprends qu'il n'y a jamais rien de donné une fois pour toute, mais s'il n'y a pas un vrai consentement et de la souffrance, suis-je un salope éthique? Ou bien ne suis-je qu'un autre homme qui trompe sa partenaire, mais en le lui disant? Merci de vos commentaires...
Discussion : Deemandeeeez Le café-poly Formule Confidentielle, Edition Spéciaaaaale !

Charlestcoco
le vendredi 30 mars 2018 à 19h11
Je suis nouveau dans votre groupe et je suis géographiquement très isolé. Toutefois, je prévois me rendre à Paris cet été, donc la perspective d'un café plus intime me réjouie. J'espère seulement qu'il restera du monde, car j'y serai au début juillet... Croyez vous que ce soit jouable?
Discussion : Un autre nouveau se questionne

Charlestcoco
le dimanche 25 mars 2018 à 19h00
Je lis avec attention chacun de tes mots. Ils me parlent beaucoup. Je suis effectivement quelquefois tenté de me rendormir, parce que je sens que le choix qui m'attire bouscule et fais mal. Je ne suis pas comme ça. Je n'aime pas infliger de la souffrance aux autres, surtout à ceux que j'aime. Je sais que cela leur appartient, mais j'ai de la difficulté à m'en détacher. Mais je me suis fait la promesse de ne pas reculer. De ne jamais revenir dans l'état où j'étais il y a + ou - un an. Souvent, j'aimerais faire bruler les ponts, mais comme tu le disais si bien, les souvenirs sont précieux. Je crois surtout que c'est par manque de courage que je veux faire une coupure. Affronter ses paradoxes c'est beaucoup plus complexe que de vivre selon des conventions. Pour l'instant, ma démarche ne m'apporte pas comme telle de bonheur, car elle est accompagnée de grandes anxiétés qui me rongent quelquefois le moral. Je crois que je réussi à les gérer. Mais j'ai effectivement comme horizon la liberté. Dès que j'ai fait le premier par, c'est comme si on avait briser un lien qui me retenait à 100 kilo de brique. Maintenant j'avance et je ne fais plus du sur place. Mais c'est quelquefois angoissant de se poser, à mi chemin d'une vie, des questions qu'on avait mises de côté depuis la fin de l'adolescence. La personne qui m'a le plus nuit dans ces débuts de liberté, c'est moi-même. Je me suis rendu compte que je ne m'autorisais presque rien, même pas rêver à d'autres femmes... Je continue de lire ce que le groupe de discussion a à dire et ça m'encourage. Je me reconnais. Surtout, je ne me sens plus isolé. Merci bonheur encore une fois...
Discussion : Un autre nouveau se questionne

Charlestcoco
le dimanche 25 mars 2018 à 12h37
Wow, effectivement, on se ressemble sur certains points. Ta rencontre avec cette personne pendant dix minutes... Je l'ai vécu plusieurs fois. Mais avec le temps, je me suis comme fermé à cela, je crois par peur. Par protection aussi je crois. Je crois que je ne sais pas toujours comment gérer ce goût d'être vrai avec les autres. Je redécouvre l'écriture qui me donne un écran pour composer avec mon désir d'être authentique qui est souvent, du moins c'est ce que je ressens, de trop. Enfin... Merci de cette stimulante discussion!
Discussion : J'y vais ou j'y vais pas ?

Charlestcoco
le samedi 24 mars 2018 à 13h04
Sidony,
Je suis très nouveau dans ce monde de réflexion sur poly-mono, mais franchement ton expérience m'a beaucoup parlé. Je vis les même choses que toi, cette anxiété quand je suis avec l'une et que je sais que l'autre est là. Je me retrouve dans toutes les justifications et les raisonnements que tu donnes. Je me suis posé toutes les mêmes questions! Je te remercie de ce partage. Je n'ai rien à te conseiller, je suis moi-même en train de dealer avec tout ça... Mais merci. Je vais continuer à vous lire et à être le plus honnête possible avec moi-même.
Discussion : Un autre nouveau se questionne

Charlestcoco
le samedi 24 mars 2018 à 12h38
Merci Bonheur de ta question. J'ai beaucoup, beaucoup réfléchi à cette question, mais je crois que je l'ai fait comme les affamés pensent à leur prochain repas. Ainsi, ma réponse paraîtra peut-être un peu banale... Pour moi, l'amour est un élan vers l'autre, c'est le désir de le connaître, de ce mettre en connexion avec elle pour ce qu'elle est tout en dévoilant ce qu'on est à l'intérieur. Ça se fait graduellement, mais continuellement. L'amour c'est, comme tu le disais dans mon autre post, une émotion comme la tristesse qui envahi tout l'être à un moment donné, lorsqu'on pense à l'autre ou à quelque chose qui se rapporte à elle. Ça me rend fébrile, enjoué et "aérien". L'amour, ça me donne l'envie d'écrire pour l'autre, lui dire des mots qui lui feront plaisir, qui lui feront sentir qu'elle est importante pour moi. L'amour, c'est un sentiment qui pousse vers l'autre, qui nous donne le goût de nous dévoiler, de rentrer en connexion. Une fois que cette première connexion s'établit, l'amour pour moi, c'est aussi un jeu de séduction au sens où on essaie de se faire beau pour l'autre, on a le goût de le regarder, de le toucher. L'amour c'est donc pour moi aussi une pulsion corporelle, le goût du corps de l'autre, le goût d'être l'objet d'un désir charnel et de désirer à son tour. Des regards, des mots et des touchés vrais et profonds qui utilisent le corps, mais qui visent l'âme... C'est peut-être un peu naïf comme façon de voir l'amour... Je te renverrais une question: qu'est-ce que ça suscite chez-toi l'amour?
Merci encore pour la question...
Discussion : Ultra conservateur passe au polyamour...

Charlestcoco
le vendredi 23 mars 2018 à 20h09
Oui, tu as bien raison. Je vivais avec un lourd fardeau, celui de ne pas être en dialogue. Je crois que la longue de ma réponse en dit long sur ce fardeau... Merci à votre groupe!!! L'isolement est souvent difficile à vivre quand on travers une "crise". Merci pour tout.
Discussion : Ultra conservateur passe au polyamour...

Charlestcoco
le vendredi 23 mars 2018 à 19h35
Wow! Merci Siestacorta!!! J'essaie de répondre en espérant d'autres questions...
Ce que je veux dire par ultraconservateur, c'est que je croyais que l'amour, le vrai, était singulier et unique. Qu'il n'y avait qu'une forme d'amour, celui, pas spécial du tout (pour te citer à l'envers), qui nous vient de la tradition judéochrétienne... Je viens de milieu rural et très traditionnel. Donc, quand j'ai entendu parlé de ployamour, j'avais déjà un bon bout de fait dans la vie... Donc, dans un sens, oui, conservateur par opposition à progressiste, dans le désir de vouloir conserver les choses comme elles sont sans chercher d'alternative en dehors des routes déjà établies. Mais là, j'ai comme l'impression qu'une révolution s'est amorcée dans ma vie...
Je crois effectivement que j'ai de l'intégrité. Mais tu as raison, je me mettais une pression de fou pour m'adapter, m'ajuster à cette partenaire (dans mon coin du monde on dit conjoint pour conjoint de fait = union libre - donc non je ne suis pas marié! Et n'ai jamais voulu l'être!) depuis avant l'âge de la raison (oui, c'est un amour d'université qui a durée...). Je dois avouer toutefois que je lui ai aussi mis la pression pour qu'elle change et c'est ce qui m'a, au bout d'un moment, dégouté de la relation, de mon attitude et, ultimement, de moi-même.
Pour ce qui est de la vie avec les deux femmes, les choses sont un peu complexes, car ma nouvelle partenaire vit sur un autre continent et quand on se voit, c'est pour des périodes de 10-15 jours consécutifs. Donc je dois laisser le nid familiale avec ma partenaire historique et les enfants (j'ai deux ados) pour de longues périodes. C'est assez anxiogène. Les départs et les retours sont compliqués émotionnellement et logistiquement. Mais au moins, ça me donne l'occasion de parler "pour vrai" avec ma partenaire historique. Sinon, la vie avec ma partenaire historique est très "ordinaire"...
Effectivement, le moteur de départ de toute cette réflexion était de nature sexuelle, mais j'ai rapidement, très rapidement, compris que ce n'était pas seulement ça. Que c'était la couche de surface. Qu'en fait, j'avais le goût d'aimer plusieurs personnes en même temps. J'aime l'intimité que procure une relation amoureuse, la proximité, les touchés (pas nécessairement sexuels) et découvrir l'univers d'une autre personne, ses amis, son mode de vie, ses points de vue... En fait, je me suis dernièrement fait la réflexion que je serais même partant pour des relations amoureuses platoniques ou, comme on me l'a expliquer sur votre site, pour de la polyaffectivité. Donc, le sexe est un moteur qui a déclenché les choses, mais il est maintenant relativement secondaire. J'imagine que c'est parce qu'on sent moins la faim après avoir mangé...
Enfin, un autre point où tu as totalement raison : ma partenaire historique ne connaît pas ce que c'est d'être indépendante et elle pourrait effectivement s'infliger cette souffrance de me partager parce qu'elle ne connait rien d'autre que notre vie amoureuse (ou presque). C'est un bon point sur lequel je vais réfléchir. Elle sait ce qu'elle veut (ou ce qu'elle ne veut pas) : elle veut qu'on retourne à notre mode de vie antérieure et me promet sans cesse qu'elle fera des ajustements, qu'elle changera. Mais ce n'est pas ce que je veux. Je réalise que je ne veux pas qu'elle change au final, je la trouve merveilleuse comme elle est. Ça toujours été comme ça, mais il y a une incompatibilité dans nos besoins affectifs et sexuels qui fait que je reste toujours sur ma faim dans cette relation exclusive.
Voilà... je ne sais pas utiliser les liens comme vous pour faire référence aux extraits de textes que je commente, mais j'ai essayé de les traiter en ordre. Merci encore d'avoir pris le temps de me répondre, ça fait vraiment du bien.
Discussion : Un autre nouveau se questionne

Charlestcoco
le vendredi 23 mars 2018 à 17h48
Merci Siestacorta, je suis vraiment nul sur ce domaine... Je viens de cliquer sur le lien et il mène à ma discussion... Génial!
Discussion : Un autre nouveau se questionne

Charlestcoco
le vendredi 23 mars 2018 à 17h20
Ok désolé, je n'ai jamais utilisé les groupes de discussion avant aujourd'hui...
J'ai donc ouvert une autre discussion : Ultra conservateur passe au polyamour...
Merci de me guider!
Discussion : Ultra conservateur passe au polyamour...

Charlestcoco
le vendredi 23 mars 2018 à 17h14
Merci MagentadeMars. C'est exactement ça son sentiment. Elle me dit toujours "j'accepte, mais je n'ai pas le choix". Elle voit cela comme une imposition. Je ne veux pas la faire souffrir. Mais en même temps, je la comprends. Elle ne m'a pas partagé pendant 20 ans et là je lui demande de le faire. Mais tu as raison, elle voit seulement que ça vient de l'extérieur. Je vais lire ta suggestion de livre et lui proposer après. Merci infiniment!
Discussion : Un autre nouveau se questionne

Charlestcoco
le vendredi 23 mars 2018 à 16h04
Ah, bon ok, je comprends. Comme je suis plus que nouveau dans toute cette réflexion, plusieurs éléments m'échappent. Je comprends mieux maintenant. Merci!