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Acajou

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Discussion : Les soirées câlins

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Acajou

le dimanche 21 janvier 2018 à 07h14

Aujourd'hui c'est la journée internationale des câlins, avec tous ses bienfaits :-)

www.20minutes.fr/sante/2204619-20180119-journee-in...

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Discussion : La question d'aborder

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Acajou

le vendredi 19 janvier 2018 à 13h45

@Mangosteen
Effectivement, mais comme tu dis, voyons le problème manière un peu plus agronomique :
1 - C’est déjà fait. Ça a eu du mal à passer, mais le bébé est sorti !
2 - Je me suis retrouvé avec beaucoup trop d’engrais, et ont pris place des plantes sauvages et des animaux pas très commodes, qui sont allés embêter les voisins.
3 - Chez l’agriculteur du coin, la dernière récolte a été décevante.

C’est pas moi, mais l’oiseau coloré à plumes, provenant de mon jardin, qui t’a envoyé une crotte. Je ne vais quand même pas m’en prendre à un si bel animal. Donnes-lui quelques graines et il viendra décorer et fertiliser ton jardin.
Je t’en avais même proposé, mais tu as confondu les graines avec les insectes qui viennent te piquer.
J’ai essayé de te montrer la différence, mais comme tu as peur des petits trucs avec des pattes, tu es partie en courant !

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Discussion : La question d'aborder

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Acajou

le jeudi 18 janvier 2018 à 16h05

Drioctho
En revanche, réclamer à qui mieux-mieux en public de ne pas avoir à entendre celles des autres et celles des femmes en particulier, ça ressemble furieusement à un «  femmes, fermez vos gueules sur vos souffrances, j'en ai rien à péter.

Je n'ai pas dit aucune. Ça m'arrive quand même qu'il y ait quelques trucs sur lesquels je comprends les femmes. :)

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Discussion : La question d'aborder

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Acajou

le jeudi 18 janvier 2018 à 14h58

artichaut
Ah oui, désolé Acajou si mes posts, donne souvent l'impression que c'est facile pour moi (encore ce truc, en tant que mec, de tjs devoir paraître sûr de soi, et maître de ce qui nous entoure). En vrai, comme je présume, pas mal de gens ici, bien sûr que je galère aussi. C'est sans doute même, une des raisons pour laquelle on viens ici et qu'on y reste… on se sent moins perdu.e qu'à galérer tout.e seul.e dans son coin…

Ben hésite pas si t'as des questions à ce sujet. ;)

artichaut
Tu ne peux pas, à partir de ton cas perso, demander qu'il y ai une relativisation des privilèges hommes/femmes. Tu te trompes de combat.

Des histoires perso comme la mienne, il y en a plein, si tu te renseignes autour de toi, tu vas trouver bien 20% des gens en France qui vont avoir eu le même genre de trucs.

Je ne dis pas qu'il n'y a pas de privilège masculin, je trouve juste qu'il n'est pas si important que ça en occident. Le privilège blanc est beaucoup plus important, et pour avoir vécu en Afrique, dans un des pays où on a fait des sales trucs en matière de ségrégation raciale, la différence est hallucinante..

Je sais que ça vous déplaît, mais je tiens à ces nuances, et je n'ai pas vraiment la capacité de recevoir toutes les souffrances que les femmes expriment. Pas toutes, mais cela ne veut pas dire aucune.

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Discussion : La question d'aborder

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Acajou

le jeudi 18 janvier 2018 à 13h57

Mangosteen
On peut pas reprocher aux femmes d'être "passive" alors que la société viriliste incite à l'être depuis enfant!

Là on est d'accord, je suis contre cette société viriliste, après c'est vrai que c'est difficile de s'en émanciper à l'âge adulte. Elles ont néanmoins tout mon soutient, vraiment j'admirerais toujours celles qui y arrivent.

Mangosteen
Elle te vient d'où cette haine/envie de vengeance?

Rejet par les autres dès l'arrivée à l'école.
Violence collective à l'école dès l'âge de 5 ans.
Ma mère qui attentive, qui s'occupait de moi mais qui pétait le plombs, me frappait pour pas grand-chose (elle a été elle-même battue petite).
Un viol et une tentative de meurtre à l'âge de 9 ans, par des "amis" plus âgés, ados.
Du harcèlement scolaire et encore de la violence collective à l'école, dans un quartier sensible. Mon père a essayé de se suicider à ce moment-là.
J'ai vécu à Johannesbourg peu après l'apparteid, entre mes 10 et 13 ans, avec le danger au quotidien (à l'époque, 80 fois plus de crimes/habitant qu'en France). Une amie m'avait même braqué avec l'arme de ses parents.
Du rejet du à une surdité et une malformation des oreilles, heureusement appareillé mais bon.
Une éducation castratrice de la part de mes parents.
Ma mère qui ne respecte pas vraiment mon intimité et à la limite de l'inceste. Mon père qui pète les plombs, qui frappe ma mère de temps à autre, une fois il a menacé de lui balancer une chaise en bois à la figure, à la limite de la tuer.
Ma mère qui cherche les problèmes et qui a tendance à harceler quand les choses ne vont pas comme elle veut.
De la violence qui s'est répétée chaque année au collège et lycée, de la baston avec des camarades, jusqu'en fin de terminale.
Toujours, du rejet, de l'isolement.
Des relations avec une compagne violente il y a 7 ans de cela.
J'ai aussi été séquestré et racketté, à Paris (pour de l'argent).
Certains de mes frères qui me harcèlent et me terrorisent avec la réussite professionnelle, qui veulent que je fasse comme eux l'entendent, et un qui me dit que ce que j'ai vécu c'est rien et qu'ils ont vu bien pire, c'est vrai mais bon ça ne justifie pas tout...heureusement mes parents comprennent.

Désolé je me répète, pour ceux qui ont déjà lu ça dans un autre post du forum, mais j'aimerais quand même qu'il y ait une relativisation des privilèges hommes/femmes.

Et du coup moi je cherche trois choses :
- A être désiré, même de manière extrême, car je ne peux désirer les autres mais je ne pas me désirer à leur place
- De l'amour et de l'affection, des câlins, de la tendresse.
- A avoir moins peur d'aller vers les autres, à ne plus flipper à mort à chaque fois que j'aborde quelqu'un, à être plus cool.

Message modifié par son auteur il y a 8 ans.

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Acajou

le jeudi 18 janvier 2018 à 11h23

@bidibidibidi Pourtant c'est le quotidien de pas mal de personnes, les trucs que j'ai racontés sur la violence collective à l'école, c'était courant dans les cités de la banlieue parisienne où j'étais..

@artichaut
Merci pour ton point de vue, ça m'éclaire, car je ne pensais pas que c'était si difficile pour toi ou pour d'autres.

Pour moi c'est complètement évident, et surtout avec des personnes qui ont gravement souffert.

Moi ma porte d'entrée c'est d'abord l'amour, et j'y vais franchement.
Cela dit, c'est une bonne question, en espérant quoi ? Je pense que que principalement je recherche d'abord les câlins et l'affection, bien avant toute sexualité.

C'est vrai qu'avant d'aborder quelqu'un il vaut mieux être un peu au clair sur ses attentes (ou du moins être clair sur le fait de ne pas savoir), sinon la personne ne peut pas donner de réponse à un truc qui n'a aucun sens, c'est logique.

Message modifié par son auteur il y a 8 ans.

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Discussion : La question d'aborder

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Acajou

le jeudi 18 janvier 2018 à 09h28

@artichaut
Du pain sur la planche ? Mais c’est rien ça, c’est mon quotidien depuis toujours.
Ignorer une femme et me taire en sa présence est pour moi d’une facilité déconcertante.
Il y en a que je croise régulièrement, que ça soit des amies ou voisinage, je les ignore depuis des années malgré qu’elles aient montré certains signes d’intérêt, auxquels je ne crois pas vraiment.
Les relations avec les mecs, j’en ai plein, c’est tellement facile de me faire des potes mecs.
La consolation sur la peur des fantômes c’était une excuse.
Ça fait un moment que j’ai renoncé à la sexualité avec les autres, en tout cas beaucoup plus que la plupart de mes potes, et que je prends davantage de plaisir tout seul qu’avec quelqu’un.

L’isolement social et le rejet ne sont pas des privilèges.
Les 1 % de mon temps où j’ai réussi à draguer, où j’ai fait ce que je raconte dans le 1er post, c’était déjà une victoire, qui m’a demandé des années de préparation.
Je suis catégorique sur l’inversion des rôles, et je dirais même qu’il faudrait au minimum que je sois violé collectivement par une bande de femmes pour que je commence à me poser des questions. Et si possible dans un lieu sombre, avec des inconnues et avec violence. Je les attends moi ces femmes mdr.
Si j’arrive à sexualiser ne serait-ce qu’une relation, ça serait déjà immense pour moi, rien que le fait de me sentir désiré, sans actes physiques, c’est quasiment me combler.

Du coup, tu comprends pourquoi je ne me reconnais pas dans l’homme cis hétéro standard, et que je comprends ce que c’est que d’être une femme ?

En fait j’étais prêt à un peu tout et n’importe quoi, y compris m’inventer une vie d’agresseur, pour pouvoir être aimé et accepté. De nos jours, un mec qui n’a pas violé, c’est suspect.

@Lili-Lutine, quand tu écris ne pas pouvoir être libre de te déplacer dans l’espace public sans être importunée, moi ça m’affecte beaucoup.

Lili-Lutine
Ma liberté je la mesurerai quand hors de chez moi je pourrais marcher seule et libre dans la rue de jour comme de nuit , libre de ne pas être importunée... libre de ne pas me sentir coupable d'avoir été importuné... :-(

Je m’interroge sur les raisons de ce mal-être, parce que je vois bien que ça te fait souffrir, je vois bien qu’il y a des émotions, des ressentis. Je ne doute pas un seul instant de ta sincérité, j’ai l’impression que c’est très difficile pour toi de parler de ce sujet.

Tu vis une culpabilité que je ne vis pas, moi dans la rue ici je me sens complètement libre qu’une personne vienne me voir, et même si elle m’embête. Je me sens libre de pouvoir me défendre dans la très grande majorité des situations. Je ne culpabilise en rien d’envoyer chier quelqu’un qui m’emmerde dans la rue. Et même de péter la gueule à quelqu’un qui viendrait vraiment m’agresser. :) Et si moi j’ai le droit à cette liberté, je ne vois pas pourquoi les femmes ne l’auraient pas, et d’autant plus que cela te fait souffrir de ne pas l’avoir. Je ne sais pas si mes mots sont très adroits mais je ne sais pas comment l'expliquer.
Je comprends un peu mieux ce que tu vis quand ce sont des proches, avec un lien affectif fort, qui m’importunent, là effectivement je culpabilise.

En revanche moi je souffre à l’idée d’aller aborder quelqu’un. Je culpabilisais beaucoup au début. Les premières fois où je l’ai fait, j’étais à la limite de la crise de panique. D’ailleurs je pense que c’est cette culpabilité que je transmettais inconsciemment, de manière plus ou moins bien assumée, avec une intonation, un regard qui laissent transparaître beaucoup d’angoisse. Désirer quelqu’un, pour moi c’était le mal absolu, à cause de cette éducation de merde. Et à cause de ça, je transformais mes souffrances en harcèlement, agressivité. Et j’ai appris à gérer ça tout seul, même si j’aurais voulu qu’on m’y aide davantage, j’aurais voulu que les femmes soient plus compréhensives envers mon vécu. C’est sûr qu’au final, pour draguer sans harceler, il vaut mieux être dans un bon état d’esprit. Je te remercie en tout cas d’avoir essayé de me comprendre, et de me l’avoir dit car je ne pensais pas à ce point.

C’est vrai que je fais un peu de provocation, en fait c’est pour briser une carapace qui m’empêche de sentir désiré par les autres notamment. C’est pour vivre le même niveau d’émotions qu’une personne «  normale », dans cette situation précise, me sentir vivant comme eux, que je cherche ces extrêmes. Et j’espère toujours trouver des personnes qui m’apporteront ça.

Message modifié par son auteur il y a 8 ans.

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Discussion : La question d'aborder

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Acajou

le mercredi 17 janvier 2018 à 14h39

@Lili-Lutine
Je comprends ce que tu veux dire, mais je pense que dans le refus du besoin de leur rendre la pareille, il y a une part de choix personnel en âme et conscience, et il y a aussi une part de conditionnement patriarcal. L’absence de ce besoin peut aussi provenir du fait qu’on interdit souvent aux femmes de se rebeller, et on leur autorise d’être beaucoup moins actrices d’actes non consensuels que les hommes. Du coup, de mon point de vue, ça m’embête car je ne te sens pas complètement libérée en quelque-sorte.
Sinon sur l’aspect flatterie par un harceleur je suis d’accord avec toi, peut-être mon texte n’était pas très clair, mais ce que je souhaite c’est l’inverse, que les femmes deviennent un peu plus harceleuses, en valorisant le physique des hommes.

C’est assez vrai ce que tu dis sur la rue, draguer, comme être dragué.e dans la rue est de loin le lieu le plus difficile, comme je le disais en début de topic, la rue est représentative de quasiment toutes les catégories sociales, donc une diversité très importante, cela nécessite de comprendre des fonctionnements très divers. C’est pas toujours facile, mais j’ai essayé de me dire que c’était la meilleure école sociale. Tu dis toi-même que c’est un lieu où se joue toutes nos ignorances, justement c’est aussi, dans une certaine mesure, aussi un lieu d’enrichissement. Moi j’ai beaucoup appris des rencontres dans la rue, ça m’a demandé énormément de courage, de dépasser beaucoup de peurs, et je ne regrette pas du tout car je me sens bien mieux aujourd'hui.

@Mangosteen
Oui j’ai beaucoup souffert, et j’ai beaucoup à reprocher à l’injonction de virilité. A l’école c’était «  t’es un mec, t’es fort, tu prends des coups, et tu pleures pas ». J’ai raconté assez longuement sur le forum mes histoires passées, mais en gros je trouve quand même que quand je me faisais défoncer la gueule ou abuser, je n’avais rien à dire, alors que les filles à l’école (je dis «  filles » car c’était en primaire) avaient quand même davantage la possibilité de parler, de pleurer, beaucoup plus facilement que les garçons.
J’ai un point de vue beaucoup plus partagé. Je pense qu’il faudrait équilibrer les choses en 50/50, c’est à dire que les hommes soient moins virils et les femmes moins passives. Je ne blâme vraiment pas les femmes libérées, au contraire, si tu lis mon 2e message.

Mais le pire ce n’est pas ça, c’est surtout que l’éducation de mes parents étaient clairement passive vis à vis de la séduction, mon père me disait «  laisse-les venir, ça se fera tout seul », ben je pouvais attendre longtemps. Du coup j’avais deux possibilités, les copains qui me disaient de prendre des initiatives, et la famille qui me les interdisait. Des grands extrêmes qui ont mené à des contradictions, des blocages, des souffrances, des violences mêmes…
Eduquer ses garçons à l’encontre de la norme patriarcale c’est cool pour les femmes, mais pour moi ça a été atroce, j’ai été rejeté par les femmes car je ne correspondait pas au standard de virilité. Même quand elles venaient vers moi je n’arrivais pas à leur dire oui… Et forcément que je leur en voulais de me reprocher d’être trop gentil. C’est après la vingtaine que je me suis endurci petit à petit, que j’ai essayé de devenir un minimum viril car la plupart des femmes ont complètement intégré l’injonction de passivité patriarcale. L’éducation que j’ai reçue elle aurait été bien si le féminisme avait eu 30 ans d’avance.

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Discussion : La question d'aborder

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Acajou

le mercredi 17 janvier 2018 à 11h28

Lili-Lutine
Ma liberté je la mesurerai quand hors de chez moi je pourrais marcher seule et libre dans la rue de jour comme de nuit , libre de ne pas être importunée... libre de ne pas me sentir coupable d'avoir été importuné... :-(

Tu sais j’en ai conscience de tout ça, Lili-lutine, j’en ai lu des tonnes et des tonnes des articles comme ça. Mais j’ai envie de dire, si les hommes importunent les femmes, pourquoi ne le ferais-tu pas ? Il n’y a pas de raisons que les femmes ne le fassent pas aussi.

Je comprends qu’il y a un problème dans notre société, l’initiative est majoritairement masculine et les femmes sont passives. Je sais que beaucoup de femmes reçoivent beaucoup trop de sollicitations. Et surtout concernant leur physique, sans valoriser leurs autres qualités intellectuelles ou émotionnelles.
Mais franchement les hommes souffrent autant. Les hommes sont beaucoup moins à l’aise pour exprimer leurs émotions, et sont beaucoup plus rejetés et exclus que les femmes. Penses-tu que cela est vraiment enviable ? Sais-tu ce que c’est que le rejet ? Sais-tu ce que c’est que la solitude, de n’avoir jamais personne qui vient vers toi, de n’être jamais désiré, le sentiment de ne même pas exister au yeux des autres, de ne même pas être un objet, d’être juste inexistant ? De ne pas recevoir d’amour ni d’attentions ?

Parfois même je rêve que les femmes prennent ne serait-ce que de petites initiatives, pas grand-chose déjà, même maladroites, même agressives, ça me ferait plaisir, et évidemment elles auront tout mon respect. Je ne supporte pas non plus cette société patriarcale dans lesquelles on met leur corps sur un piédestal et on les met dans des rôles passifs ou secondaires. Je souhaiterais que cela soit équilibré.
Et équilibré ça veut dire évidemment modérer les excès de violence de la part des hommes, exprimer mieux la douceur, mais également que les femmes puissent avoir du caractère, exprimer de la colère. Et exprimer mieux leurs désirs, car je ne vois pas pourquoi une femme qui désirerait serait mal vue, au contraire moi j’ai beaucoup d’admiration pour celles qui se sentent libérées, c’est à dire pas seulement tranquilles, mais également libres d’aller vers les hommes sans être importunées.

Si une femme va regarder un homme dans la rue, lui faire un compliment, il y en a beaucoup qui vont devenir tout fous, la suivre jusqu’à chez elle etc, c’est grave ça. Et je pense très sincèrement que beaucoup des relous ne seraient pas relous s’ils étaient autant dragués par les femmes que l’inverse. Tout le monde y trouverait son compte.

Les trucs que j’ai écrits dans le post précédent c’est juste une adaptation face au rapports hommes femmes tels qu’ils sont, mais au fond je rêve d’un monde comme ça, avec inversement des rôles :
Mecs Meufs : https://www.youtube.com/watch?v=AujQOnDlpus
Majorité opprimée : https://www.youtube.com/watch?v=kpfaza-Mw4I

Message modifié par son auteur il y a 8 ans.

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Discussion : La question d'aborder

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Acajou

le mercredi 17 janvier 2018 à 04h23

Mangosteen
- les compliments ("t'es belle!")
- les regards insistants (en mode chien de chasse)
- les injonctions ("souris!")
- les questions ("vous recherchez pas un petit mari?")
- les insultes (c'est à cause de toi qu'on est frustrés, sal**e", "sale pute", etc.)
- les bousculades (après un refus, rien de plus "classe")
- les mains au fesses et les frotteurs, etc.

C'est juste pas possible et même gentiment. Même sans l'intention de faire mal, c'est du harcèlement car beaucoup trop se le permettent.

Toutes ces approches sont pourries.

C’est justement quand on montre et assume clairement ses mauvaises intentions que ça passe le mieux.
Dans les contextes les moins propices, la première chose que je fais quand j’aborde une femme dans la rue, c’est de lui dire que je suis un relou. Ensuite un débat sur le féminisme, le patriarcat, et le harcèlement de rue est une bonne entrée en matière. J’essaie d’être un relou gentil quoi.

Le meilleur échange que j’ai eu je crois c’était une femme, bien sexy, qui regardait les fleurs devant un magasin :
Moi : - Moi je suis très méchant !
Elle : - Moi aussi je suis méchante.
Moi : - T’es méchante comment ?
Et là elle a éclaté de rire. Après c’est de ma faute, je n’ai rien pu dire de plus. Mais le fait est qu’elle a passé un bon moment.

Pour les contacts non sollicités, c’est possible, mais en demandant avant ce que je risque. Je peux lui proposer par exemple, une main aux fesses contre une claque. (C’est honnête). Elle peut pour la claque, mais elle n’est pas obligée, et si je m’y prends bien normalement j’ai plutôt un bisou. Disons que si je prend un engagement, je m’y tiens, si elle met une claque je n’aurais rien à dire, c’était dans le contrat.

Et aussi moi j’ai peur des fantômes la nuit dans une rue sombre. Dans ce cas, demander à une femme de me rassurer, d’avoir sa présence et de me prendre dans les bras, ça passe bien en général. Comme ça on s’apporte un peu d’affection. Je lui montre que j’ai bien la trouille surtout.

Ça m’arrive aussi d’avoir des coups de coeur, mais c’est assez rare, et là c’est moi qui panique. Là il ne faut pas écouter les femmes qui vous racontent qu’il ne faut pas aborder dans la rue et gnagnagnagna, pour perdre confiance en soi, il n’y a pas mieux, non, dans ce cas autant exprimer sincèrement ce qu’on ressent, ni plus ni moins.

Après, pour être un peu sexiste, les femmes sont les reines des mythos et des excuses à la con (du style «  nan mais c’est parce que voilààà ») donc pour draguer il ne faut pas hésiter à jouer, et à utiliser la même chose. Pour celles qui ne sont «  pas intéressées », en général il y a toujours des failles pour éveiller leurs désirs, ou leur coeur même parfois. Ce que j’adore aussi c’est celles qui vendent du rêve «  tu vas trouver... », elles ont un don pour prédire l’avenir, c’est fou, celles-là j’ai envie de les embaucher pour le prochain tirage du loto.

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Discussion : La question d'aborder

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Acajou

le dimanche 03 décembre 2017 à 15h48

Dans la rue il faut s'attendre à tout et n'importe quoi, sans connaître les gens ni leur vie, il a toujours un risque, donc oui c'est possible d'aborder dans la rue, mais ça demande beaucoup de finesse et de subtilité.

Déjà il faut se dire que si tu abordes, tu as l'étiquette de relou, donc il faut intégrer que c'est une image que tu peux renvoyer, même avec les meilleures intentions du monde. Donc autant assumer, être honnête. Et si tu es sensible au fait qu'elles puissent se sentir mal à l'aise, ça passera évidemment bien mieux que d'insister.

J'ai déjà abordé dans la rue, et les fois où ça s'est le mieux passé c'est quand j'arrive à les faire éclater de rire, en disant des des trucs fins. Il faut toujours trouver le juste milieu entre trop ou pas assez, et être sincère, généralement c'est apprécié. Ça demande une bonne connaissance de soi, de ses points faibles, de ses points forts, de savoir ce qu'on veut, ce qu'on ne veut pas...
Est-ce que c'est aborder pour aborder ? Aborder pour avoir une relation, et comment ? Autant de questions à se poser...

En général moi je pars de mes côtés mauvais, ça fait une bonne accroche, et je ne fais jamais de commentaires sur leur physique (je n'aime pas ça d'ailleurs), mais après ça dépend de toi, des sujets sur lesquels tu te sens à l'aise, et des sujets sur lesquels tu as de l'émotion, etc...la méthode elle est en toi d'abord, il ne s'agit pas de copier un personnage que tu n'es pas si tu ne te sens pas bien à être comme ça, sauf si tu es un comédien professionnel. Mais en gros, il s'agit d'être toi et d'être vrai, en fonction de ton ressenti.

Et ça demande aussi beaucoup d'observation, essayer de cerner le ressenti de la personne que tu as en face de toi, car tout n'est pas verbalisé, et si tu vois que la personne fuit le regard, est évitante, c'est que tu as déjà franchi la limite. Par contre si la personne a une attitude ouverte et attend ta réponse, là tu as une chance de t'exprimer. L'approche doit être un peu travaillée, sans se poser 20 000 questions non plus mais un minimum, de voir quelle distance tu dois trouver en fonction de ce que la personne exprime.

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Discussion : Comment parler de polyamour et/ou relations libres à quelqu'un qui nous plaît ?... (1ère expérience...)

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Acajou

le dimanche 03 décembre 2017 à 02h45

loumalive
Mais tu lui as dit, tu lui as tout dit, tu as vu que comme ça, ça le bloque, ce n'est pas ce qu'il pouvait vivre là, tout de suite, il n'a peut être pas eu les mots, mais c'est clair il a préféré fuir, il n'était, lui, pas prêt pour ça, tu lui as sans doute fait peur. Ça s'appelle juste le consentement, et là, il n'était pas là..

Là ce n'est pas le consentement, c'est une interprétation de ses attitudes, qui est peut être vraie, mais peut être fausse.
Moi aussi j'ai fuit ou dit non, pas mal de fois, alors que je crevais d'envie de dire oui, et je n'ai pas pu parce que j'avais peur de me faire engueuler par mes parents, parce que je flippais pour rien, et je regrette amèrement de ne pas avoir dit oui, 10 ou 15 ans après.
Le consentement, il n'y a que Will lui-même qui peut l'exprimer, et tant qu'ils n'auront pas eu un réel échange sur le sujet, on ne peut pas tirer trop de conclusions hâtives. Après oui il y a un truc qui lui pose problème, mais ce n'est pas nécessairement MultiP elle-même, ce n'est pas nécessairement du rejet...

@ amoureuse triste
La situation que tu décris est la pire que j'ai rencontrée. Une personne avec qui je suis sortie s'est enfermée dans un silence total, même 7 ans après, et je n'ai pas toujours de vraie solution. Mais j'ai compris que la personne qui m'avais mis dans la même situation avait de réelles insécurités d'abandon, et ne concevait pas le poly comme de l'amour. C'est trop insécure et trop douloureux, et il y a un moment où on ne peut pas changer complètement pour une personne, ni renoncer au poly, sinon on n'es plus soi-même et c'est invivable, et c'est pareil pour l'autre, impossible pour lui/elle de renoncer au mono, et ça doit être insupportable. Et il y a d'autres personnes comme ça que j'ai rencontrées.
Parfois il y a un tel décalage que ça serait vous faire du mal, et que finalement il vaut mieux éviter ces personnes. En revanche je trouve ça d'une lâcheté abominable qu'elle ne m'ait jamais dit les choses. J'aurais franchement envie de le dire à la personne en question que je préférais aller voir ailleurs que de la forcer (elle me disait préférer se forcer et je ne supportais pas), qu'elle comprenne que j'ai vécu des abus et que je ne voulais pas lui en faire vivre.

Moi j'ai déjà mis des vents, ou fuit, temporairement, mais ça n'a jamais été définitif, et j'ai toujours essayé de donner une explication derrière. C'est pas concevable pour moi de ghoster une personne à vie.

Sinon @artichaut sur le fond je suis un peu d'accord, même si tu dis les choses un peu brusquement, parfois ça fait du bien de bousculer les certitudes. On n'est pas dans la tête des autres, et il faut se méfier des choses que l'on suppose, surtout quand il y a des non-dits. Derrière un silence il peut y avoir des choses complètement opposées, complètement surprenantes.

Message modifié par son auteur il y a 8 ans.

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Discussion : Comment parler de polyamour et/ou relations libres à quelqu'un qui nous plaît ?... (1ère expérience...)

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Acajou

le vendredi 01 décembre 2017 à 15h05

Pas mieux que quoi ?

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Discussion : Comment parler de polyamour et/ou relations libres à quelqu'un qui nous plaît ?... (1ère expérience...)

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Acajou

le vendredi 01 décembre 2017 à 13h59

Tout d’abord je tiens à saluer le courage que tu as eu pour finalement lui dire les choses. Ça a dû être une épreuve pour toi. C’est difficile de déconstruire des appréhensions qu’on a sur les réactions des autres, quand on a été habitué depuis l’enfance au rejet ou à garder les choses pour soi.

Je pense que là tu es confrontée à un autre problème, c’est que le désir féminin n’est pas du tout valorisé, ni l’initiative féminine, et ça c’est un des aspects sexistes et patriarcal de la société qui m’insupporte, car j’ai toujours apprécié que les femmes prennent autant d’initiatives que les hommes.
Cela dit, j’ai été éduqué à l’inverse de ce que la majorité des hommes sont, et du coup je me retrouve beaucoup dans les difficultés que tu décris, ou celles de Will. Ça a été un enfer de prendre des initiatives et quand j’ai commencé à le faire, ça a été un peu n’importe quoi.
Pour être honnête, je dirais qu’il y a une partie des hommes qui ne vont pas aimer les désirs des femmes, et une partie qui vont adorer. Je suis de la 2e catégorie, et j’entends des trucs extrêmement insultants de la part des hommes de la 1e catégorie, qui font une sale réputation aux femmes poly ou désirantes, c’est un truc lourd à porter et ça peut être une de tes craintes.

Et c’est cette ambiguïté qui ressort dans ton message, puisque tu dis à la fois que c’est de l’amitié et rien d’autre et en même temps que les fantasmes sont toujours là :

MultiP
tu n'as rien à craindre, je te considère comme un ami, rien d'autre, et c'est parfait :) l'amitié est pour moi 1000 fois plus précieuse qu'une impulsion ou un élan passager… je crois juste que j'ai beaucoup beaucoup d'amour en moi et que j'ai envie d'aimer la terre entière… :) #bisounours

MultiP
En revanche, mon attirance pour lui est toujours la, peut-être qu'elle sera toujours là. Et ce n'est pas grave ! C'est même très plaisant :) et aussi u peu frustrant car j'aimerais bien lui plaire, au fond… j'ai toujours l'espoir un peu idiot qu'un jour on s'embrasse, ou qu'il me dise que je lui plais, ou qu'on flirte… […] vous croyez que c'est ça, la compersion ? En est-ce une forme ? Ça ne m'empêche pas de toujours fantasmer sur lui, et je pense que je fantasmerai toujours sur Will même quand il aura une copine

L’amitié n’empêche pas le désir, ni de passer un moment intime ensemble.
Je pense que ça c’est une construction sociale, qui consiste souvent à des choix très catégoriques.
Tu essayes de le rassurer en lui disant "tu n’as rien à craindre", mais en fait si ça se trouve il craint exactement l’inverse, en tout cas moi je préfère entendre l’inverse car l’amitié je n’en manque pas.
Donc oui je pense que tu arrives à gérer ça à travers la compersion, mais je pense qu’il y a toujours une frustration de ne pas pouvoir céder à tes désirs.

C’est un point de vue complètement personnel, beaucoup de personnes ne le partagent pas, mais parfois, j’ai l’impression que tu culpabilises vraiment pour rien, sérieusement moi si une femme me désirait comme ça, je n’attendrais qu’une chose, c’est qu’elle me saute dessus et qu’elle fasse tout ce dont elle a envie, même si c’est un peu violent. Je n’ai pas peur de mettre des limites si jamais ça va trop loin, mais bon comme mes limites sont loin là-dessus je ne crains pas grand-chose.Beaucoup de gens le vivent comme une agression, mais pas tout le monde, et pas moi c'est sûr.

Concernant les rencontres, oui effectivement si tu est à Nantes c’est un peu compliqué car moi je suis sur Paris, mais je tiens à te dire que le témoignage que tu écris m’a fait énormément de bien, tu ne peux pas imaginer comment. J’ai été éduqué de manière assez ambiguë sur le sujet, du coup ça explique pourquoi je buggais comme Will quand on venait vers moi, une éducation castratrice avec "se mettre en relation c’est pour chien-maison-scénic", des difficultés à exprimer les sentiments, et avec une croyance qui a fait que je pensais que les femmes n’avaient pas de désir et qu’elles faisaient ça seulement par amour. C’est difficile à déconstruire sans imaginer n’importe quoi, j’ai tendance soit à désespérer, soit à me faire des films, un peu comme toi finalement. Je vis ça depuis l’âge de 10 ans, et aujourd'hui 20 ans plus tard je pense, rêve, et fantasme autant que ce que tu le décris. Et du coup quand je lis ton témoignage je me sens nettement moins seul, dans ma bulle imaginaire. J’apprécie beaucoup qu’une femme ait le courage de s’exprimer avec sincérité. Moi en tout cas ça me ferait énormément plaisir de lire une suite, s’il y en a.

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Discussion : Les soirées câlins

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Acajou

le vendredi 01 décembre 2017 à 12h55

kill-your-idols
Pourquoi dire que la sexualité est un parasitage? je trouve au contraire que la sexualité ça rajoute de la profondeur aux câlins!

Après, peut-être que entre le libertinage et le polyamour, celle-ci soit une troisième voie.

C'est ça l'idée. Rajouter des saveurs.
C'est comme un cocktail, il y a une différence entre boire un demi avec quelques arômes, et s'enfiler une bouteille de vodka

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Discussion : Les soirées câlins

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Acajou

le jeudi 30 novembre 2017 à 17h03

bidibidibidi
mais qu'ils ne sont pas préexistants. Donc c'est avant tout de la tendresse pour quelqu'un envers qui tu n'éprouves aucun sentiment.

Par contre moi je ne suis pas comme tu l’écris. Je m’imagine déjà des sentiments avant même de rencontrer certaines personnes, bien souvent. D’où il faudrait que les sentiments ne soient en rien nécessaires ni souhaitables ? Ou alors on n’utilise pas le même vocabulaire, mais c’est garanti qu’après une soirée câlin, je suis bien remué, et j’ai un fort attachement, qui persiste, envers les personnes que j’ai rencontrées. Je ne me laisse pas non plus déborder, même si ça se pourrait, mais en tout cas les sentiments ne sont pas inexistants.

@bonheur, personne ne peut t’obliger à participer à ce type de soirées, surtout si le contact physique te met mal à l’aise. J’ai effectivement des limites qui sont différentes des tiennes, parfois j’ai des envies qui sont bien au-delà des câlins, mais pas tout le temps. Et juste ne me fait pas dire ce que je n’ai pas dit, ce que tu décris n’est pas dans l’idée que j’avais dans ce post, j’ai parlé de "câliner" et non "tripoter". Puis "qui vire au sexe" n’a rien à voir avec ce que j’ai écrit, j’ai écrit que ça pouvait être sexuel, pas que ça devait, et encore si ça le devait c’est en prenant son temps et avec douceur, et sans objectif d’aller au bout.

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Acajou

le lundi 27 novembre 2017 à 22h36

Le rapport c'est de provoquer un amour fort en autorisant la sexualité, et en laissant la possibilité d'y résister. Et non l'inverse, comme c'est ce que je pense que tu avais compris..

Je trouve que ça apporte un plus, j'arrive à faire l'amour avec beaucoup de romantisme et d'affection. Je ne vois pas ça comme un problème, et encore moins comme un parasitage, à partir du moment où c'est avec douceur et délicatesse, et où ça ne prédomine pas la relation.
Et ça me rassure quand je suis avec des personnes open, même s'il ne se passe rien d'intime, c'est comme si l'idée même était aussi importante que les actes.

D'ailleurs le but de mon post n'était franchement pas le libertinage. Les soirées câlins auxquelles j'ai participé n'étaient clairement pas libertines, et j'ai apprécié beaucoup plus que les clubs lib. Mais c'est important effectivement que les limites soient bien fixées avant. Je parle d'ouvrir les limites un peu plus, ni plus ni moins. Ça existe bien les intermédiaires entre les sentiments et le désir pourtant ? Aimer et désirer à la fois c'est possible aussi pourtant ? (en tout cas pour moi). Parfois c'est que l'un, ou que l'autre, mais les deux c'est bien aussi. Ou utiliser l'un pour renforcer l'autre, comme je disais en début de message.

En bref, je ne fais pas du désir mon ennemi mais plutôt mon allié. Si des personnes n'arrivent pas à se contrôler je suis conscient que c'est un problème, mais ce n'est pas mon cas. C'est même au contraire le rejet et la peur de l'autre qui a tendance à me braquer. Ce que j'ai du mal à contrôler c'est de me renfermer sur moi quand ça ne va pas, ce ne sont pas mes désirs.

Message modifié par son auteur il y a 8 ans.

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Acajou

le lundi 27 novembre 2017 à 20h47

Non ce n'est pas une obligation de devoir dire non à la sexualité, c'est "pouvoir" pas "devoir". De la provocation amoureuse avec le sexe.

Moi je suis à peu près sûr de pouvoir résister à la tentation. Ça dépend qui cède en premier. Les autres je ne sais pas.

Du coup la tendresse a intérêt à être extrême, pour ne pas céder. Céder étant autorisé, la différence c'est que les limites ne sont pas imposées par autrui mais ce sont des limites qu'on s'impose soi-même, si à un moment donné on veut essayer de ne pas céder.

Et justement avec les relations affectueuses asexuées, ça me permet de voir si ces personnes arrivent à résister, ou pas.

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Discussion : Les soirées câlins

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Acajou

le lundi 27 novembre 2017 à 19h07

bonheur
Je m'interroge, pourquoi vouloir associé une sexualité à du câlin ?

Pour pouvoir dire non, et risquer l'amour à la place de la sexualité. L'amour n'étant pas interdit. Alors que dans le milieu libertin les sentiments ont plutôt tendance à être proscrits.

Pas complètement sûr qu'il n'y ait aucun lien non plus entre tendresse et désir.

bonheur
des évènements poly où le sexe était la prédominance, et là, c'est ce qui est demandé. A mes yeux, limitée (??)

Ce n'est pas ce que j'ai écrit, ni ce que je propose.
Oui c'est plutôt 90% de câlins. Limitée c'est bien le mot, et pour moi ce n'est pas très difficile de résister, même quand la tentation est là.

Message modifié par son auteur il y a 8 ans.

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Discussion : Besoin de parler - Rennes 2016

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Acajou

le dimanche 26 novembre 2017 à 17h43

Le post a plus d'un an je précise.

alainorgeres 35230, qui a déterré le topic, si tu souhaites une réponse il faudrait mieux créer un nouveau sujet, pour qu'on ne se mélange pas les crayons.

J'ai du mal à suivre ton histoire, je te sens désespéré, et le seul conseil qui me vient à l'esprit c'est d'essayer de te dépasser pour lui dire ce que tu ressens, c'est pas une bonne chose de tout garder pour soi, ça mène souvent à des incompréhensions.

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