Polyamour.info

J'ai exprimé plusieurs fois par ici que mon polyamour se nourissait de mon besoin d'indépendance... Voir de solitude.
Le contrat d'honnêteté poly me permet de faire passer dans l'échange mon besoin de solitude, de pas ranger dans le rang...

Et c'est vrai que pour l'instant, ça me mène à ne pas vouloir fonder de foyer.
Ca me prendra peut-être un jour, question d'évolution.

Mais vous ? Est-ce que les deux besoins vous semblent opposés, ou juste compliqués à mener ensemble ?
Avez vous des fondements individualistes dans votre polyamour, ou ça n'a aucune influence ?

Fantasmez sur les grands blonds, ça donne de belles couleur et ça fait perdre du poids.
(hem)

Barbarismes : c'est quand tu prends un mot étranger mais que l'utilisation que tu en fais dans ta langue n'existe pas, ni dans la tienne, ni dans celle d'origine.

Mettons "parking".

Le barbarisme, c'est souvent un néologisme mal foutu.

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

ben salope, dévergondée... C'est la notion de pudeur, ça, morale ou sexuelle.

L'utiliser en positif, c'est revendiquer la transgression, dire "si vous trouvez que j'ai pas de pudeur, c'est que nous n'avons pas les mêmes pudeurs".

Je suis certain que non seulement certaines femmes peuvent apprécier un usage d'alcôve de "salope", mais aussi certaines féministes. L'usage dans la réalité quotidienne et dans une réalité affective est différent, le contexte et les utilisateur donne du sens aux mots, parfois autant que le dico.
C'est comme on dit "obsédé" : si tu dis ça à un exhib qui t'emmerdes ou à un copain qu'a fait une remarque égrillarde, tu penses pas la même chose.

Question : Ethical Slut, il y a pas toute une part d'acception d'une vision queer de la sexualité ?
Slut peut être employé pour un mec dans le sens de salope; dans cette optique...

Que ce soit mec-salope ou compersion, je trouve logique d'employer des néologismes et des barbarismes dans le cadre d'une pratique récemment cernée...
C'est même plutôt bien que ce soit nous, comme pratiquants, qui choisissions nos mots pour désigner nos comportements.

Ou finalement, on attendra que la société utilise des mots péjoratifs à notre égard, et c'est ces mots qu'on récupérera le sens pour le rendre positif. Mais c'est long, d'attendre que les mots existent pour prendre la parole.
Donc, les néologismes, c'est cool.

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

Wo.
Ils durent combien de temps, les dîners de famille ?

Oh, je trouve qu'en français ça sonne pas si mal, dans le genre récupération de quolibet. En partie à cause du clin d'oeil franco-français au "manifeste des 343 salopes"...

Naaaaan !
L'assassin, c'est chouette , mais à moins de 10.
Sinon, on peut plus se bouger.
Et point de vue sonore, ça marche pas pour s'entendre et se causer sans être à 10 cm de l'oreille de l'autre.

Bohwaz, c'est pas toi qui va ne pas aimer chercher des alternatives, quand même ? :-P

Heu, en fait, je pensais pas faire ma recherche pour cette échéance. Je vais sans doute pas avoir le temps de faire des détours dans les prochains jours.
Désolé, j'avais pas compru.

"et j'envoie les bombes à neutrons"... ca va pas non ?

Bon, en tout cas, moi, je dis qu'on va au Winston, au moins pour essayer l'espace. Si vous craquez pas comme nous, on ira ailleurs la prochaine fois : on a le Magique à aller voir, et un autre bar que j'ai en tête du côté de Ledru Rollin.

On finira bien par trouver le lieu qui convient à nos rencontres (oui, un truc avec plein de matelas partout et des roues et des chaînes, tout à fait, c'est exactement ça...)

Aime moi moins mais aime moi longtemps... Oauh, j'avais dû percuter pendant la projection, mais je m'en souvenais plus.

Ouh elle est belle celle-là.

20 personnes, et à part deux vaillants anciens, personne pour faire du retour ? Mais enfin ?
Vous voulez vous exclure de vous-même du parti ? :-)

assez joli, oui.
Mais c'est une expression pour avant : "on s'est vu et plus parce qu'affinités", pour parler d'après ?

Se câliner.
Pudique, tendre, accessible, clair.

C'est en déviant qu'on devient divin. Oui. Bon. Je repasserai.

Alors, pour affinner : non, on doit la vérité à personne d'autres qu'aux amants concernés.

De la provoc'... Oui, si le PA était vraiment comparable à la branlette ! Mais c'est pas si individuel que ça, comme question, quand même. Et pas seulement sexe. C'est aussi selon la proximité des proches.

(et "c'est pas faux", clem, on l'entend souvent dans Kamelott. Une petite série télé franchaige dont les épisodes sont très courts, et qui je crois te plairait bien)

C'est pas faux, clem.
Néanmoins, parallèlement, garder le secret est une façon de ménager les gens, mais est-il nécessaire que tout le monde soit ménagé ?
A un moment, afficher ce qu'on est nous fait du bien... parce que le secret pourrait faire du mal à tout le monde, soit en ne sortant pas, soit en étant découvert involontairement.

Mais c'est vrai, il faut bien peser à qui on raconte.
J'ai peut-être la chance de ne pas avoir de gens qui ont un problème avec ça dans mon entourage, je ne vois peut-être pas vraiment le problème là où il est.

Heu, j'y sera pas, moi, mais je vais au même spectacle vendredi de mon côté. Donc on se fera des retours quand vous l'aurez vu.

C'est quand/à qui que je file les spécifications ?

Oui. Ben avec le temps, hein.
Et puis , les gens à friction, souvent, on en avant avant, ça n'en ajoute qu'une sur les autres. Et ça peut même être la touche qui va les faire réfléchir sur qui tu es. Ils se rapprochent pas pour autant, mais ils te situent et te parlent parfois avec moins de gêne. Ca m'est arrivé...

(hem, vous trois, vous pensez aussi au plan que je vous ai proposé, hein ?)