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Siestacorta

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Discussion : Le pouvoir des mots

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Siestacorta

le dimanche 08 mai 2011 à 19h28

Eternal Sunshine ! Gondry ! Surréalisme SF ! avec même Frodon dans un rôle, et un effet spécial bien flippant sur son visage.

Jim Carey, il est aussi très bon dans "Man on the moon" et "Truman Show", films de cinémâh et pas "cinoches". C'est justement parce que dans un registre sobre il fonctionne bien que son too much comique est sans doute pas si béta. Tfaçon, moi j'aimons bien le comique burlesque, alors...

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Discussion : Rencontre le mardi 19 juillet 2011, Paris (la Villette, fontaine)

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Siestacorta

le dimanche 08 mai 2011 à 17h13

bon plan, Zina !
Penser à une alternative "rho ben justement la sécheresse a décidé de faire pause juste ce soir".
Et Chatelet, si c'est la pelouse des Halles que t'as dans l'idée, je crois qu'avec les travaux on risque de pas y avoir accès...

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Discussion : Le pouvoir des mots

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Siestacorta

le dimanche 08 mai 2011 à 10h21

vi, parce que pas vouloir retrouver ce qu'on a aimé, c'est faisable pour un ascète, mais dans une vie ordinaire, c'est plus rude. Se priver de quelque chose qui nous plait, on a pas très envie de le faire. Surtout si on n'y gagne que des choses qui nous déplaisent.

Solution : connaître une grande variété de plaisirs, avec lesquels se réconforter quand l'un vient à manquer (hédoniste plus qu'épicurien !)

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Discussion : Tolérance

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Siestacorta

le samedi 07 mai 2011 à 20h18

titane de passage
dans poly ou multi il y a mono... l'inverse n'est pas vrai

beh vi, mais ça, c'est plutôt ce qui rend la situation inconciliable, chacun restant sur sa définition d'une relation.
C'est pour ça que j'ai préféré parler de qui choisit pour l'autre, ou qui ne demande pas cela...

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Discussion : Tolérance

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Siestacorta

le samedi 07 mai 2011 à 14h39

Beh moi je t'envie ta conclusion, j'ai du péritournepoter pour dire ça, et en moins bien.

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Discussion : Questionnement personnel sur la jalousie

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Siestacorta

le samedi 07 mai 2011 à 14h14

Savoir parce qu'on a décidé au départ et avoir appris un "secret", c'est pas la même chose, émotionellement...La trahison est dans le passage d'une vérité à une autre, pas dans la transparence actuelle.

Tu peux sans doute pas réécrire "son vécu" de l'histoire du secret. Par contre, tu peux lui montrer qu'à l'époque du secret, tu tenais toujours à elle, lui parler de ce que tu ressentais pour elle dans les bons moments, et dire quand ce même type de ressenti agréable est là aujourd'hui : valoriser la continuité de ton sentiment pour elle, que lui n'a pas fait et ne fait toujours pas défaut.

Message modifié par son auteur il y a 14 ans.

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Discussion : [Le site] Correctifs discussions / événements

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Siestacorta

le vendredi 06 mai 2011 à 17h16

Skiléfort, ce bowhaz. Merci !

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Discussion : Tolérance

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Siestacorta

le vendredi 06 mai 2011 à 15h59

Tiens, toutafépareil que Petit-Jean !
Ca nous change peu....

Tourmaline>
Comme partout, il y a des jsuqu'auboutistes, qui tirent un orgueil du fait même d'être différent. Oui, j'ai pu lire comme toi que le polyamour était le summum, que les autres sont attardés, et que certains "plaignent de tout coeur les pauvres malchanceux
Les petits maladroits qui n'eurent pas la présence
La présence d'esprit de voir" les choses comme eux (pour paraphraser Brassens).

Personnellement, je juge pas que les monogames ont tort d'être ce qu'ils sont, ni que je sois meilleur.
Mais la critique nait quand le modèle monogame devient oppressant : en tant que majoritaire et s'appuyant sur "ce que tout le monde il fait et puis c'est dans le code pénal".
Pas oppressant parce que monogame, pas plus que les hétéros sont oppressants parce que hétéro. Les mono que tu m'entendras critiquer sont oppressants quand la question se pose concrètement dans leur vie, et qu'ils ne voient pas l'utilité de comprendre qu'il y a un choix, une recherche, des besoins aussi légitimes pour chacun des deux amants. Quand il n'y a aucun effort mutuel pour se comprendre plutôt que s'exclure mutuellement du sentiment amoureux, et donc de la relation.

Cela dit, il est arrivé aussi qu'on lise des témoignages à propos de polyamoureux qui imposaient lourdement leur mode de vie, poussaient leur compagnon dans leur retranchement sans la moindre notion de respect de l'autre. C'est bien évidemment tout aussi néfaste !

Qand on parle des monogames ici... C'est souvent parce qu'il s'agit pas du monogame "théorique", mais du monogame qui se retrouve face à un amoureux qui se déclare polyamoureux. Pas les monos en général, mais les personnes monogames avec qui un poly doit s'entendre, quand des sentiments amoureux évidents risquent d'être rejetés.
C'est ça qui remplit tant de pages de témoignages, ici, et les réponses à ça. Cces réponses ne sont pas généralistes "les monogames sont des crétins", mais plutôt "ah, pas de chance, ton aimé(e) monogame ne veut pas t'écouter".

C'est ce refus d'entente qui touchera beaucoup de gens, et leur feront tenir ici des discours critiques. Parce qu'on tombe facilement sur "ya pas de discussion possible". Le choix bête et binaire entre "soit on reste ensemble et tu es mono comme moi, soit on se sépare".

La tolérance, si monogame et polyamoureux se fréquentent pas, ne s'aiment pas, c'est facile !
Mais quand ils tombent amoureux, il font quoi ? Notre amour est impossible, et c'est plus beau quand on essaie pas de s'écouter une seconde et qu'on est deux malheureux ? Tant qu'à faire, on fait comme Romeo et Juliette, on se suicide ensemble ? Youhou.

La tolérance, on l'a.
Franchement, il faut en avoir pas mal, quand on est la minorité. Dans le domaine amoureux, c'est au moment de séduire ou de renoncer, qu'on a intérêt à être super-tolérants. Comme les homos, on est obligé de faire avec les râteaux, les personnes qu'on pourra jamais séduire parce qu'elles nous suivront pas. Bon, ben on fait avec. On s'en plaint, mais on accuse pas les monos. Chacun ses choix.

Mais là où ça devient plus tendu, c'est évidemment quand les besoins polyamoureux arrivent plus tard, se déclarent dans un relation commencée sur un fonctionnement mono.
La majorité des questionnement ici du "bureau des pleurs" poly : "je suis poly, l'autre est mono" et "l'autre est poly, je suis mono" : "on se comprend pas !"
A partir de là, la tolérance, c'est complètement insuffisant.
On peut pas juste se tolérer, puisqu'on est déjà ensemble. On est forcément plus loin.
La tolérance, c'est quand finalement on ne vit pas avec les gens qu'on tolère, qu'ils n'ont pas d'incidence sur notre vie. C'est accepter "intellectuellement" l'idée qu'il y a des gens différents, et pas les dénigrer ni chercher à les emmerder juste pour ça.
La tolérance, c'est la version optimiste de l'indifférence.
Ca suffit pas, quand on vit avec la personne différente.
Donc, on doit se comprendre et se respecter.

Dans le "soit tu renonces au polyamour et on reste ensemble, soit on se sépare", il y a parfois un pragmatisme, se rendre compte qu'on ne pourra pas vivre ensemble. Mais il y a aussi cette idée que puisque c'est le mono qui a la norme pour lui, il n'a pas à essayer de faire avec le polyamoureux. Et ça, c'est pas pragmatique... C'est irrespectueux.

La plupart des polyamoureux vont pas pousser un mono à devenir poly. Ils vont pas dire "ça m'angoisse de savoir que tu n'ais pas d'autres amant" ! C'est l'individu avant tout, qui est mono ou poly, pas le couple. On respecte le choix de l'autre, son fonctionnement amoureux. On aime la personne, donc on souhaite qu'elle vive ses sentiments comme elle l'entend. Pourquoi n'aurait on pas droit à ce même respect ?

C'est quand un polyamoureux est ainsi "rejeté" que la réponse de gens du forums sera "moralisatrice" (ce que je fais, là... Désolé...), et que tu nous verras sortir un peu l'artillerie critique.

On parle pas de jalousie, matérialisme, romantisme, pour dévaluer les amours monos par rapport aux nôtres, mais pour pointer du doigt l'égoïsme qu'il peut y avoir à dire "si je suis mono dans mon amour pour toi, tu dois l'être dans ton amour pour moi". Le "fais comme moi", c'est effectivement pas tolérant, comme tu le dis toi-même.

Message modifié par son auteur il y a 14 ans.

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Discussion : [Lexique] Compersion - définition(s) - le contraire de la jalousie ?

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Siestacorta

le vendredi 06 mai 2011 à 13h05

Tiens, je ressors ce vieux fil parce que grâce à une rubrique de blog, je viens de tomber sur un mot proche, à l'étendue plus large sans doute : "conjouissance" : "joie qu’on a d’un bonheur arrivé à quelqu’un d’autre".

Voicin un lien vers l'article qui discute de ça, en le mettant en parallèle avec les sentiments de compassion, de pitié... Pour expliquer que notre goût du bonheur est tellement mal pensé dans nos société qu'on a plus facilement un partage de la souffrance qu'un partage de la joie.

Bref, ça m'a intéressé, et ça m'a semblé être un mot qui peut être bien utile dans le vocabulaire polyamoureux...

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Discussion : Crises d'angoisse

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Siestacorta

le vendredi 06 mai 2011 à 10h37

Hm, l'hypnose peut fonctionner sur plein de trucs, mais c'est pas donné et peu de thérapeutes peuvent/ ou veulent quand ils peuvent/ faire le tour de passe-passe administratif qui peut faire rembourser la séance.

L'hypnose fonctionne bien sur les crises d'angoisse, mais je me dis qu'elle te dispensera pas de défricher l'ensemble du terrain de crise d'angoisse chez toi. Il y a le déclencheur de la jalousie, certes, mais pour travailler dessus, avec un hypnotiseur ou un autre type de thérapeute, il faut cerner cette mécanique mentale, pour savoir quelles pièces vont devoir être retaillées pour que ça ne s'emballe plus.
Donc, dans quels autres cas tu as des crises d'angoisse, qu'est ce qui fait que parfois t'en as pas, comment tu t'organises, quelles sont les pensées qui tournent en boucle à ce moment là...

L'hypnose c'est un truc super pratique, mais ça n'est pas une baguette magique "regardez moi dans les yeux et vos problèmes seront résolus". Ca ne règle que des problèmes dont on peut identifier un énoncé construit.
Chercher un résultat de l'hypnose sans avoir un peu cerné l'ensemble des moteurs de ton angoisse, ça peut se faire, mais ça serat comme faire une dérivation sur des circuits électriques. Tu mets une dérivation juste sous le truc qui pose problème pour que l'électricité surcharge pas là, mais ça se met à déconner à tel autre endroit de ta maison, tu fais une autre dérivation, ça retombe sur un autre problème.
Tu sais, comme quand on a des souffrances au dos, puis à la tête, puis un rhume, puis autre chose. On peut les soigner un par un, mais si tu repères ce qui te fatigue à ce point au départ (régime alimentaire, rapport affectif au boulot, ton mode de vie...)... tu les résoudras tous d'un coup.

Il faut identifier souvent une source très en amont... Qui peut sembler au départ sans rapport avec ton angoisse des rencontres poly de la personne qui compte pour toi.

Bon courage !

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Discussion : Le pouvoir des mots

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Siestacorta

le jeudi 05 mai 2011 à 21h20

Non mais je suis assez d'accord sur la transgression permanente comme fausse liberté.

Mais pour revenir dans le fil, par rapport à la réticence à dire "je t'aime" par peur d'être dans des rails dépersonnalisés, je pense qu'on a la possibilité d'être sincère, spontané, même en dehors du code commun. C'est l'intention qui compte, quoi.

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Discussion : Le pouvoir des mots

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Siestacorta

le jeudi 05 mai 2011 à 21h16

Nan, sérieux, Watzlavick, ça m'intéresse, premier degré !
Je sais qu'avec ma pratique récurrente de l'ironie, ça peut porter à confusion... Faut parfois porter assez loin la lecture bienveillante pour être sûr de mon intention, mais quand je suis dans la critique, je dis quand même les choses carrément.

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Discussion : « Le vieil amant », un reportage d'Arte Radio

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Siestacorta

le jeudi 05 mai 2011 à 21h11

Heu nan mais de rien !
C'est juste que sans la fin, je me disais que ça pouvait dire l'inverse, à savoir que les contre-culture étaient bonnes parce que référent à la culture... Ce qui aurait été vrai mais incomplet, quoi.

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Discussion : « Le vieil amant », un reportage d'Arte Radio

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Siestacorta

le jeudi 05 mai 2011 à 15h26

Certes, mais pour qu'une contre-culture se fasse assez intéressante pour être simplement "culture", il faut qu'elle soit autre chose en plus de "contre".

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Discussion : « Le vieil amant », un reportage d'Arte Radio

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Siestacorta

le jeudi 05 mai 2011 à 11h21

Pas assez de marketing... enfin pour moi.
Donc j'ai pas eu envie de l'écouter.

Si on me dit "voici un truc bien", faut qu'on m'accroche un peu, qu'on me propose pas une "vérité révélée" mais un contenu à ma destination : qu'on commence donc la transmission en m'identifiant comme bon récepteur.
Si tu fais ça "librement, spontanément et gratuitement", c'est à dire que tu met à dispo sans l'offrir personnellement, tu ne le donnes pas, donc on te le prend sans rien te dire.

Enfin, c'est une hypothèse...

Il y a des gens qui par réflexe font pas du tout ce qu'on leur conseille ! On recherche une indépendance totale... donc on refuse le modèle proposé... Mais en fait, en prenant le contre-pied (ou la tangente...) systématiquement, on est quand même dans la soumission aux règles, on fait juste de la mimesis au négatif (comme me l'expliquait Tigre ya quelques posts).
Ca me fait penser au lucifériens... Les mecs se tatouent la croix catho aux pieds pour marcher dessus, font des cérémonies avec des croix renversées et des hosties souillées.... Et en fait, ils ne créent rien à partir du modèle décrié, ils en font un rejet "impensé".

Donc, bref, faut pas rejeter la com' quand on a quelque chose à communiquer, l'absence de com' sur un contenu pouvant aboutir à un vide de la pratique du contenu. haha. Je devrais peut-être manger un truc.

Message modifié par son auteur il y a 14 ans.

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Discussion : Le pouvoir des mots

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Siestacorta

le jeudi 05 mai 2011 à 11h15

Tigre
@siesta

faire comme si l'autre n'avait rien dit : ça me parait dingue quand meme.

Sur la forme, d'abord, on ne peut pas ne pas communiquer (Watzlavik) : meme un silence radio fait sens : le visage, les yeux disent quelque chose, forcément et sont interpretés par l'autre.

ha ouais, ça aussi comme référence ça m'intéresse beaucoup. Tu as eu envie de me faire plaisir, ce matin, minou ?

Tigre
Sur le fond, on peut dire sa peur quand meme, on peut dire ses interpretations, ses doutes, son histoire et les ressentis qui y sont liés : je ne suis pas du dout certain que cela tue ou entame les je t'aime de l'autre au contraire, je pense. Cela peut engager un echange sur le theme, je n'attends pas cette reciprocité, n'aie pas peur, tu n'es pas ma chose parce que je te dis des mots d'amour...

Je crois que pouvoir penser, prendre de la distance... C'est un plus. Mais je suis fataliste sur la notion de malentendu. On ne peut pas faire autrement que communiquer, certes, mais on ne peut pas faire autrement que d'être mal compris, aussi.
On peut s'expliquer après, et c'est ce qu'il faut généralement faire. Mais tout le monde ne le fera pas, certains ont besoin d'autres approches (confrontation, abandon temporaire, présence de tiers, une bonne scéne pour lâcher le lest... Ou une bonne baise...).

Bref : dire "je t'aime" est bon, mais ça n'est pas que le fond du message, c'est aussi une forme du message parmi d'autres. Et tout le monde écoute pas pareil.

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Discussion : Le pouvoir des mots

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Siestacorta

le jeudi 05 mai 2011 à 11h01

Tigre


c'est la fameuse posture romantique decriée par Girard comme l'absolue soumission à la mimesis : on fait l'inverse de l'injonction societale et du coup on s'y soumet radicalement en en prenant systematiquement le contrepied.

Ouh ça dis-donc, je suis super content d'avoir eu cet échange avec toi rien que pour ce morceau ! Ce conformisme du contrepied, c'est quelque chose que je guette dans plein d'autres situations... Merci, je vais creuser dans cette direction.
Girard, c'est bien le disciple cocorico du Dalaï Lama ?

Oui, la chanson de Pigalle est triste.
Cela dit, se réapproprier un langage contaminé, c'est pas facile, même quand on sait que notre romantisme du contrepied nous y a conduit.

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Discussion : Moyens éprouvés ou à tester pour rencontrer d'autres polyamoureux

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Siestacorta

le mercredi 04 mai 2011 à 23h26

La moindre des choses. J'adore qu'on exige des trucs comme ça, pas du tout en manque de la moindre notion de savoir vivre...

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Discussion : Besoin de conseils

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Siestacorta

le mercredi 04 mai 2011 à 20h36

Et, sans vouloir jeter de faux espoirs, les décisions "à contre-amour" sont pas toujours les plus durables.
Il peut y avoir un côté "test", "provocation" ou "je tente le tout pour le tout"... Qui en fait peut être une étape d'un échange.

Enfin... Ca s'applique peut-être pas, mais ça arrive.

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Discussion : Besoin de conseils

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Siestacorta

le mercredi 04 mai 2011 à 20h33

Ouep....
Et ça ressemble un peu à cette chanson de Ferré :

Si tu t'en vas
Si tu t'en vas un jour
Tu m'oublieras
Les blessures d'amour
Ne s'ouvrent pas
Si tu t'en vas
La source ira toujours
Grossir le fleuve
Les amours neuves
Vers les beaux jours...
Iront toujours

(...)

Si tu t'en vas
Si tu t'en vas un jour
Dans ces coins-là
Nous parlerons d'amour
Comme autrefois...
Si c'est possible.

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