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Siestacorta

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Discussion : Plaisir énorme lors des premiers rapports amoureux...mais seulement lors des 2 premiers !

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Siestacorta

le lundi 07 avril 2014 à 15h44

Gaelle
SiestaCorta tu es dans le mille !

Ho ?
Bien ^_^
Sur quoi ? :-D

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Discussion : Plaisir énorme lors des premiers rapports amoureux...mais seulement lors des 2 premiers !

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Siestacorta

le lundi 07 avril 2014 à 12h12

Gaelle, je vais tenter d'expliciter un peu pourquoi je t'ai passé le lien.

J'ai peut-être entendu "ma" version de ton histoire, tu n'as pas beaucoup détaillé, donc je surinterprète probablement.
Je reviens sur deux passages qui me font plus particulièrement réagir :

Gaelle
étonnant de pouvoir s'abandonner durant les premières nuits et ensuite d'être si rationnelle (amoureuse).

Pour moi, derrière ça, il y a une binarité désir=spontané et amour=rationnel. C'est pas toujours faux, mais s'agissant de la question du plaisir, c'est significatif.
La question, c'est, qu'est-ce qui fait que physiquement tu ne lâches pas prise dans un cadre amoureux ?
Dans certain sens, tu y réponds plus tard.

Gaelle
"trop d'attention portée à l'autre ou au couple".

C'est à dire qu'à défaut de t'abandonner physiquement, tu t'abandonnes psychologiquement. Tu t'absorbes dans la présence de l'autre (d'où le lien que j'ai passé).
Du coup, la rationalité et la "retenue" sont en partie un réflexe pour te retrouver toi.
Tu sais, c'est le paradoxe qu'on pose parfois au mono fusionnels : "si en amour on ne fait plus qu'un, lequel d'entre vous à disparu ?"
Tu vas à fond dans ta passion amoureuse et tu as peur de disparaître. Dans une situation de 1ère fois, pas encore engagée, tu n'as pas cette perspective là, donc tu "peux" t'abandonner, parce que la relation, plus précisément ton empathie pour l'autre ne risque pas encore de t'engloutir.
On peut désirer être englouti, on a des compulsions qui tendent irrationnellement vers de désir d'absorber l'autre ou d'être absorbé par lui. Mais plus on est une personne autonome, plus on sait que ce n'est qu'un des aspects de l'amour, pas celui qui le définit.
Parce qu'on peut désirer s'absorber, mais une fois qu'on est complètement absorbé par l'autre ou notre relation, on ne peut plus désirer : on est devenu la relation, ou le désir de l'autre, mais pas notre désir propre.
Voilà, c'est une lecture de ta situation...

C'est pour ça que je voulais t'orienter sur la capacité d'être seule en présence de l'autre.
Pour moi aussi, dans une fête, je me sens le plus souvent seul (et pas forcément mal). Par contre, avec quelqu'un de proche, c'est très difficile. Un lien (imaginaire) me relie à la personne qui est à proximité. Même dans l'autre pièce, ou le jardin.. je me sens en partie "capté" . Rapidement "captif", à l'insu du plein gré de la personne :-)
Pour ma part, je sais que cette façon de ressentir influence ma façon de désirer et de jouir. Je suis un de ses hommes qui a un peu de mal à faire durer le rapport sexuel. Si je me comprend à peu près, sans le vouloir "consciemment", je précipite le plaisir parce que j'ai envie de me fondre dans le moment, sauf qu'en faisant ça je zappe l'autre, au lieu d'être dans un moment où en plus de s'unir, on échange, on croise, on expérimente, on dialogue par la peau (et dans un dialogue on est deux).
Comme je ne sais pas bien gérer ça, que je ne sais pas être seul avec l'autre (retrouver mon moi), je sur-appuie sur la pédale "accélération et oubli de soi", quand quelqu'un qui a un ego mieux équilibré sur ça ne serait pas subjugué, ni assujetti à ce réflexe.

Je sais que ton rapport au plaisir n'est pas comparable, mais je crois que ça se recoupe un peu. Disons que toi, au lieu de t'emporter et t'oublier à fond, tu résous en ne lâchant pas du tout prise, mais au fond, c'est la même idée que le sexe comme relation serait "trop fort" en se cumulant à ce qu'on ressent déjà pour l'autre, qu'il y a un risque de ne plus se retrouver. A partir de là, on a peur, on se pose des question de performance, effectivement, d'esthétique, on imagine le regard de l'autre, et ça pèse sur ce qui se passe.
Mais du coup, c'est aussi la façon dont on écoute déjà l'autre, avant le sexe, qui est trop forte, qui ne nous laisse déjà pas assez de place.
Moi pour échapper au trop plein, je ne m'en donne pas le temps de le subir, toi tu ne peux y échapper qu'aux premières rencontres, mais après tes réflexes défensifs contre ta propre tendance à n'écouter que l'autre reviennent.

Tu me diras.

Message modifié par son auteur il y a 11 ans.

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Discussion : Plaisir énorme lors des premiers rapports amoureux...mais seulement lors des 2 premiers !

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Siestacorta

le dimanche 06 avril 2014 à 18h07

Gaelle
"trop d'attention portée à l'autre ou au couple".

Un texte qui m'a fait réfléchir sur quelque chose de similaire.

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Discussion : Plaisir énorme lors des premiers rapports amoureux...mais seulement lors des 2 premiers !

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Siestacorta

le vendredi 04 avril 2014 à 11h34

Là comme t'en parles, la baisse du plaisir est le symptome, c'est plus dans le désir que tu as l'origine.
Bien que ce ne soit pas comparable, j'ai pour ma part un désir assez facilement, heu, refroidissable. Il me faut pas grand chose pour que le désir soit déçu. Effarouché :-)
Et j'en constate facilement la conséquence sur mon plaisir.
J'ai un désir disponible, ça peut aller, mais c'est (trop) rarement un élan qui me pousse vers le corps de l'autre. J'y résiste en tout cas très facilement.
Et du coup le plaisir partagé est bien là, pas frustrant, mais je le compare aussi à des moments où j'ai été plus emporté, et par le désir, et plus imprégné de sensations plus fortes. Des moments à moi, qui dépendent pas du tout de la personne avec qui ça se passe. C'est valable aussi avec la masturbation... Cette variabilité me permet de comparer et me laisse un peu insatisfait.

Bon, chez moi, ça a des explications (notamment des médocs, mais pas que, loin de là).
(ceci dit, fais attention, la pilule peut jouer beaucoup là-dessus).

Mais ça peut dans ton cas être ce que tu vis par rapport à l'amour.
Tu associe "amour" à "rationnel", ce qui n'est pas absurde du tout, mais assez significatif de ta façon de vivre l'amour.

La question c'est peut-être pas seulement "qu'est qui dans mon plaisir est si perméable à la nouveauté" mais "qu'est-ce qui dans mes sentiments amoureux me rend moins perméable au désir" ?

Qu'en penses-tu ?

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : [Lexique] Champ lexical du polyamour

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Siestacorta

le jeudi 03 avril 2014 à 13h16

Vivi !
Faudra faire le ramassage des copies avec le fil sur FB et le document google (ya beaucoup qui se recoupe, mais Jerem / Caelur vous dira où il en est de son recueil)

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : [Lexique] Champ lexical du polyamour

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Siestacorta

le jeudi 03 avril 2014 à 11h08

Hm, je sais que ce n'est que la phase de brainstorming, donc tant pis si c'est une réflexion pour plus tard, mais à un moment, je propose de donner des critères pour le tri :
- les mots spécifiques au polyamour, jargon, expressions, néologismes et termes qu'on trouve pas souvent en dehors
- les mots qui ont un sens très particulier et spécifique quand il est en rapport au polyamour (mettons : "monogamie", exclusivité)
- ceux qu'on utilise très souvent, mais de la même manière que les utilisent des gens qui n'ont jamais entendu parler de poly (CNV)

Et je pense que les mots qui ont déjà un usage en dehors, et déjà un sens qui ne change que peu quand on les utilise, c'est pas efficace de les ajouter. Ou alors la marge "intersectionnelle" devrait avoir des critères pour pas qu'on se retrouve à définir le mot "canapé" parce qu'on a évoqué "couchsurfing".
Ou les mots intersectionnels, importants mais non changés, ils seront pas définis par nous (c'est d'ailleurs la réalité), on donne juste un lien vers le dico normal.

En tout cas pour un lecteur néophyte, je crois que ça l'embrouillerait surtout, si dans le dicopoly, il voit une définition particulière de "religion", "végétarisme", "amour", "vivre"... C'est des mots qui font pas plus pas moins débat chez nous qu'ailleurs. On en fait peut-être un plus gros usage qu'ailleurs par le biais du forum (quoi que, "religion" ?...), mais c'est pas dessus que les gens vont buter.

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : Mardi, c'est Poly (avril)

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Siestacorta

le jeudi 03 avril 2014 à 10h48

papagab
Une gestion super pro du bâton de parole (c'était toi Siestacorta ?), l'expérience fera toujours la différence.

Vi, merci :-$ même si ça peut encore être amélioré (je deviendrai imperceptiblement plus dirigiste sur le temps de parole, ou je prendrai des sbires qui taperont les gens pour moi si je me sens pas cap d'être ouvertement facho).

Pour ce qui est de l'utilisation des réseaux sociaux, disons qu'en plus de la partie de réflexion "généraliste" dessus, il ya celle plus spécifique à des personnes poly. C'est pas le "produit" social FB qui était le sujet, c'était ce que symbolise (ou non) telle manière d'utiliser l'outil, la question de la publicité / intimité / discrétion dans notre vie poly.

papagab
A quand la même chose dans le Nord Pas de Calais ? oui je sais on est 2-3 demandeurs, il va falloir qu'on se bouge.

Tu lances un sujet : des polys dans le pas-de-calais ? Tu vois qui répond sur quelques semaines, et tu poses une date et un lieu. A partir de 5 personnes, tu t'y tiens.
J'y ai une partie de ma famille, donc selon les époques je pourrais même faire l'effort de faire partie du nombre.
+ il y a pas mal de poly belges, je sais pas quel rythme de rendez-vous ils ont, mais selon l'endroit, ils pourraient peut-être aussi être invités.

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : [Lexique] Champ lexical du polyamour

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Siestacorta

le mercredi 02 avril 2014 à 23h49

Salope éthique. Je sais, c'est pas exactement un terme "fonctionnel", mais ça reste néanmoins une très belle oxymore pour faire réfléchir un interlocuteur.

Oxymore, vous voulez qu'on le mette aussi, ou bien ? :-S

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Discussion : Mardi, c'est Poly (avril)

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Siestacorta

le mercredi 02 avril 2014 à 11h04

Wah comment le café d'hier soir m'a fait plaisir.
Bien de chez bien.
D'habitude, déjà, ça fait ça, mais là, va savoir, peut-être les deux ballons de rouge que j'ai pris avant la causette, mais tout le monde il était intéressant, tout le monde il avait envie d'être là et tout.
J'ai pas bien compté, je dirais une quarantaine de personnes au plus dense, vers 21h30 ?

Sujets abordés : - une vie poly "publique" ou "discrète" : en parler au collègues, avoir un profil FB spécifique, ou pas.
Beaucoup de mots rassurants. Des entourages qui disent "ben tant que t'es heureux, hein", et qui nous évitent de nous prendre le chou. Une discussion sur "la vie amoureuse c'est y plus intime que le sexe ou quoi". Des histoires de parents qui se décoincent avec nous dans le temps. Des petites idées à retenir quand c'est pas si simple. Des gens qui affirment à fond, d'autres qui préfèrent juste citer des prénoms et si les gens demandent, ils demandent...

- on fait quoi avec le nouveau partenaire du partenaire ?
C'est y plus pratique quand il est poly, la jalousie qu'existe encore mais qu'on fait avec et qu'il faut pas essayer de passer au karcher, les débuts, prévenir avant même que la nouvelle relation commence, être dans le jardin secret, pas tout raconter, accomapgner le partenaire qui tombe amoureux et être content pour lui (et se ramasser quand, beh en fait il est mono et il comprend pas pourquoi on est si content).

"Pivoine" (je pique son pseudo FB) nous a raconté comment, en un mois, elle est tombé sur la page wikipédia sur le polyamour, déclaré qu'elle était comme ça, dit ça à ses collégues, à ses gamins, et renoué avec un ex puisqu'en fait ya plus de raison de pas faire.

Un grand gars venu d’Angleterre était tout ému, a parlé en traversant la pièce bondée, a pris le temps de respirer, de dire qu'il avait faim, m'a fait un peu flipper de faire décrocher les gens s'il gardait trop le micro, et puis en fait ya eu une scène super touchante avec des massages et des mots gentils et des hugs.

On a évoqué une grosse dizaine de fois le BDSM, encore plus de libertinage, c'était pas le sujet, c'était pas un package poly obligatoire, c'est juste qu'on peut en parler en parlant spécialement de sentiments et d'intimité ni exhibée ni cachée.

Plein de gens nouveaux ou presque qui souriaient aux anges de ce "premier contact avec des gens encourageants" que les plus anciens connaissent bien et adorent partager...

Je vous ai pas assez dit merci ? Alors encore une fois : merci. Même si le faux extraverti en moi est toujours prêt à courir chez lui parce que ça fait trop de gens qui sourient c'est louche, je suis content youpi de revoir ou découvrir vos bouilles.

Si ya deux trois autres morceaux dont vous vous souvenez bien, hésitez pas à partager ici.

Et à dans 15 jours au goûter poly du Piston Pélican, pour ceux qui peuvent.

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : Mardi, c'est Poly (avril)

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Siestacorta

le mardi 01 avril 2014 à 16h07

A ce soir, les absents seront coupables.

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Discussion : Polyamoureux, et quoi d'autre?

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Siestacorta

le mardi 01 avril 2014 à 09h40

Boucledoux
oui Siesta, tu as en partie raison mais quand même ça dépend, non ?

:-)

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Discussion : Polyamoureux, et quoi d'autre?

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Siestacorta

le mardi 01 avril 2014 à 01h26

Excellent ce vieux fil, merci Lulutine de l'avoir ramené.

Alors, avec un peu plus de bouteille, j'ajouterai
- le PA déteste qu'on l'appelle polyamoureux, parce que ya amour là et que merde, c'est quoi cette étymologie
- le PA adore qu'on l'appelle polyamoureux, parce que ya de l'amour dedans, et que c'est créatif cet usage du langage
- le PA est allergique au gluten
- le PA est allergique à l'alcool
- le PA est allergique à l'eau
- le PA parle beaucoup trop, et ne veut pas lâcher le micro
- le PA n'ose pas trop s'exprimer maintenant en public, après tout ça fait que 4 ans qu'il s'intéresse et qu'il pratique
- le PA habite la ville et sort avec la moitié de sa rue
- le PA habite dans une petite ville et sort avec la moitié de la gare SNCF
- le PA est vachement organisé, il se sert de doodle, du google agenda, de FB, OVS
- le PA est incapable de trouver une date et un bar pour rassembler 5 personnes en moins de 4 mois
- le PA est en pleine crise de la quarantaine, mais il a moins de 28 ans
- le PA a toujours raison et c'est argumenté
- non c'est pas vrai
- le PA a plein d'amis PA
- le PA déteste la vie en société

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : Question pour une théorie générale vers le polyamour

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Siestacorta

le mardi 01 avril 2014 à 00h28

bouquetfleuri


J'ajoute qu'à mon sens, la science utilisée comme un outil hiérarchisant par l'érudition est juste une nouvelle et mauvaise religion.

Pas si nouvelle. Le positivisme c'est au XIXème, et le scientisme avant la première guerre mondiale.
La science a avancé depuis, mais bizarrement, l'illumination du savoir ne resplendit pas sur tous les visages. La faute aux usagers, he oui, bien sûr, le problème, c'est l'interface chaise - clavier, mais oui...
Bizarre que ce problème là veuille pas se laisser résoudre, après tout ce temps :-)

Sinon, pour le côté geek, je prolonge un peu ce que disait Metazet sur les recherches d'alternatives : en fait, aujourd'hui, pour développer un truc un peu nouveau, il est très utile d'être un peu geek. Pas forcément jusqu'à jouer à donjons et dragons (ça se trouve aussi, mais c'est un effet collatéral), mais de savoir un peu mieux se servir de technologies et d'internet que les autres, parce que ce qu'on cherche se trouve pas sur les radio fm ou dans le premier best-seller venu.
« ... Nous ne sommes pas vraiment ésotériques, c’est seulement que personne ne fait vraiment attention à nous » - Principia Discordia.

Message modifié par son auteur il y a 12 ans.

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Discussion : Polyamour et société : où en sommes-nous à votre avis ?

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Siestacorta

le samedi 29 mars 2014 à 18h13

heu, je crains que mes propres opinions déforment beaucoup ce à quoi je m'attend d'un joueur des Zamours.
Ils ont répondu quoi ?

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Discussion : Polyamour et société : où en sommes-nous à votre avis ?

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Siestacorta

le vendredi 28 mars 2014 à 11h56

Janis

Mais faut se méfier du feu, ça brûle :-D

A) moins puissant, ça... :-)
B) bon, sinon "fire walk with me", alors tout va bien.

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Discussion : Polyamour et société : où en sommes-nous à votre avis ?

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Siestacorta

le vendredi 28 mars 2014 à 10h54

Janis, t'es comme ça au naturel, ou t'es en train de faire un boulot de longue haleine sur du gros texte stimulant ?
T'as le feu sacré en tout cas !

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Discussion : Pour que le polyamour soit un choix

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Siestacorta

le mercredi 26 mars 2014 à 20h42

Vaniel
D'autre part, pour parvenir à une société où nous serions plus libres, il serait nécessaire de faire la publicité du polyamour.

D'une manière générale, quand on se retrouve avec de la liberté, on préfère pas trop en regarder l'ampleur. Je dis ça sans élitisme : c'est dificile, la liberté. Je crois pas que tant de gens la souhaitent, ni apprécient d'avoir tant de choix tout le temps. Moi y compris.
Ce que je demande pourtant, c'est que chacun ne prenne pas sa propre tendance à ne pas vouloir faire des choix différents d'un jour à l'autre comme justification de la contrainte.
Et même comme ça, présenté "au négatif", ça me parait beaucoup demander.

Enfin. En pratiquant, on finira bien par le faire comprendre... Un peu de courage.

(et pour faire mumuse avec les limites psychologique du libre arbitre, lisez l'homme-dès, de Eric Reinhardt, ça secoue bien).

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Discussion : Citations sur le polyamour

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Siestacorta

le mercredi 26 mars 2014 à 19h23

« Celui qu'entoure la flamme de la jalousie, celui-là en fin de compte, pareil au scorpion, tourne contre lui-même son dard empoisonné » Nietzsche, dans Ainsi Parlait Zarathoustra

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Discussion : Éthique, polyamour et famille

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Siestacorta

le mercredi 26 mars 2014 à 16h11

bodhicitta8


Déjà moi je vais te répondre de façon pragmatique :
J'ai pas trouvé comment créer une discution depuis l'article. :-/ J'suis pas ordi fortiche et j'ai pas passé des heures à chercher j'avoue.

Quand t'es sur la page de l'article, en haut à droite de ton écran, t'as une bulle avec marqué xx réactions. En cliquant sur le lien, tu arrives à une page de discussion classique.

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Discussion : Café Poly à Montpellier : vos compte-rendus

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Siestacorta

le mercredi 26 mars 2014 à 16h01

Biscuit
même si j'ai peu d'illusion sur l'implication des bi dans une démarche IRL...

J'imagine que c'est un constat, mais tu expliquerais ça comment ?

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