En parler aux enfants (ancien titre : Dire beaucoup, en peu de mots)
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GeorgyPorgy
le lundi 23 mai 2022 à 18h05
Modération : ce sujet ayant dévié vers un sujet différent peu évoqué sur le forum et pourtant si important, le titre a été modifié pour lui donner plus de visibilité. Les premiers messages sont donc en rapport avec le sujet entre parenthèses.
Bonjour à tous.tes,
Ce matin je suis tombé sur un très joli post du compte loreillequijouit sur instagram.
Il m'a beaucoup touché, dans le sens où il résume beaucoup de choses en si peu de mots & de manière très poétique. Et notamment sur des choses dont beaucoup d'entre nous discutent ici...
"J'ai peur. J'ai peur que tu ne viennes pas. Que tu aies changé d'avis. Que tu ne puisses pas lui faire ça, à elle, mais à moi si."
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bonheur
le lundi 23 mai 2022 à 19h12
"Je le regarde partir, après cet instant tellement magique. Le reverrai je ? Ma situation lui fait peur, je suis en couple, déjà. Culpabilité, tu le tiens"
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GeorgyPorgy
le mardi 24 mai 2022 à 09h19
Merci pour l'ajout @bonheur :)
Ce qui me touche là-dedans, c'est la capacité à soulever en si peu de mots, tout un tas de questions avec lesquelles je me suis débattu & je me débats encore. J'y perçois plusieurs dimensions, plusieurs grilles de lecture qui se superposent pour donner un "concentré" des tourments traversés par les protagonistes de telles histoires d'amour :
- La peur, rationnelle ou pas, fruit d'éléments concrets / réels ou bien de nos propres projections, de perdre quelqu'un qui nous est cher.
- Entre les lignes, la culpabilité, de celui/celle qui aime au pluriel, face à l'injonction apprise que l'on doive donner son amour à un être forcément unique. Et qui conduit parfois (souvent? forcément?) à faire souffrir les personnes que l'on aime effectivement.
- Une certaine logique de compétition, même inconsciente, qui existe en nous & dans le jeu des relations humaines. Où se joue ici aussi une dynamique de pouvoir (quelqu'un va perdre au final - forcément) et dont il est super dur de se défaire... qui nous empêche même d'inventer autre chose dans le respect de chacun.e.
- La place de la "tierse" personne, sa souffrance ou ses difficultés quand elle est en relation avec une personne déjà en couple - qui vit déjà une forte dimension d'engagement, plus ancienne. C'est une dimension peu explorée à mon sens, et on a souvent tendance à "objectifier" cette personne quand il s'agit pour un couple de se confronter à cette situation.
D'autres y verront certainement des dimensions additionnelles...ou se diront que ça enfonce des portes ouvertes :)
En vrai, ce qui me touche, c'est cette capacité à souligner la complexité de ce qui se joue en 2 phrases simples. Nous permettre de penser au delà d'une binarité toxique, deresponsabilisante (c'est bien ou c'est mal) pour apprendre à composer avec la complexité des relations amoureuses.
Message modifié par son auteur il y a 3 ans.
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bonheur
le mardi 24 mai 2022 à 10h04
Je crois que la construction de l'exclusivité est également idéalisée dans le domaine de l'amitié. L'expression "mon-ma meilleur-e ami-e".
A la fois la possession (mon ou ma) et puis "meilleur-e" ? Il existe des mauvais amis ? Ben pour le coup, ce ne sont pas des amis. Cette volonté de hiérarchie dans tout et partout.
Je suis manager et là aussi, on doit placer des gens au-dessus. Alors qu'au final, un bon chef est (d'après moi) au coeur de son équipe.
Je m'éloigne du sujet initial, sauf que cette volonté est imprégnée en nous, partout et pour tout. Même dans la famille, il y avait (de moins en moins heureusement) le "chef de famille".
Le polyamour oblige à se remettre à une place moins orgueilleuse et plus gratifiante. Enfin, pour qui l'on est réellement, et non pour ce que l'on représente.
C'est vrai. Exprimer par le ressenti de l'instant, c'est court et prégnant.
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GeorgyPorgy
le mercredi 25 mai 2022 à 16h15
Je te rejoins comme bien souvent @bonheur :)
Au contraire, tu ne t'éloignes pas du sujet, tu le poursuis et le prolonges certainement.
Tes exemples sur l'amitié sont très parlant je trouve, et illustrent le fait que nos representations et "pratiques" sociales sont empreintes d'exclusivité.
C'est des dimensions auxquelles je m'efforce d'etre attentif notamment quand je discute avec mes jeunes enfants... j'essaie de les faire au moins se questionner sur certains comportements, certaines visions des choses qu'ils sont deja entrain d'assimiler innocemment via leurs interractions à l'école etc.
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bonheur
le mercredi 25 mai 2022 à 17h06
Mes enfants sont de jeunes adultes. Nous avons souvent ce type de discussion-débat à la maison.
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GeorgyPorgy
le mercredi 25 mai 2022 à 17h14
Les miens sont petits encore, mais c'est deja fou d'être témoin de la vitesse a laquelle s'impregnent les représentations...
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Anny
le jeudi 26 mai 2022 à 03h31
bonheur
Mes enfants sont de jeunes adultes. Nous avons souvent ce type de discussion-débat à la maison.
C’est une remarque vraiment très intéressante, comment as tu parlé de tes amoureux à tes enfants bonheur ? Quel âge avaient ils ? Comment as tu abordé le sujet avec eux ? Au fur et à mesure j’imagine mais ça me questionne bcp vis à vis de mes filles.
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bonheur
le jeudi 26 mai 2022 à 10h12
De notre côté, que des garçons. L'ainé, avec lequel je ne m'entends pas du tout et avec lequel j'étais en rupture total à l'époque, je me moque de ce qu'il sait ou autres.
Les deux autres avaient 16 ans & 14,5 ans. Concrètement, ce n'est pas moi qui leur ai expliqué. C'est mon chéri de vie, à ma plus grande surprise d'ailleurs. Et il l'a fait magnifiquement.
Après, ils ont participé (volontairement, surtout le plus jeune) à des rencontres poly, connu toute une diversité de personnes à travers des évènements. Et puis, le grand étant parti, nous avions une chambre de libre. Nous l'avons transformé en chambre d'amis et depuis 2012 nous recevons les poly (voyageurs) ou mes amoureux (et métamour une fois) qui prennent plaisir à venir me rendre visite.
Je ne leur demande pas leur avis, je les informe tout en récoltant les éventuelles objections.
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Anny
le samedi 28 mai 2022 à 03h42
Nous c’est 2 filles et notre grande (14,5 ans) a un peu pris ma chérie et son chérie en flag. Je dis un peu parce qu’en fait il ne se passait rien mais elle a avait capté qu’il se passait qqch de différent entre eux.
Elle n’a rien dit jusqu’à ce qu’on se retrouve que toutes les 2 et elle a fondu en larmes en essayant de me dire le moins sûrement possible qu’elle les avaient surpris. Ça m’a fait sourire. On avait justement décidé tous les 3 la veille au soir de ne rien dire aux filles, enfin pas tout de suite ! Bref. J’ai appeler ma chérie rapidement pour qu’on décide ensemble de ce qu’on voulais faire ou pas et on a décidé de tout lui expliquer. Ça l’a vraiment beaucoup remuée. Mon metamour est son parrain, ils sont très proche tous les 2. Ils ont une vraie complicité et là ça a un peu flinguer cette relation de confiance. Elle se méfie de lui. Elle dit qu’elle ne veut pas le voir. Fond en larme à chaque fois qu’on évoque le sujet… Pourtant, je ne pense pas pouvoir avoir un discours plus rassurant et apaisé. Si ça ne me rend pas malheureuse et que ça ne remet pas en cause notre couple, ni notre famille : où est le pb ?? Sa rend sa maman très heureuse mais elle ne supporte pas l’idée de relation sexuelle entre eux.
Dans le fond je pense que c’est un peu de la jalousie.
Elle a capté aussi mes sentiments pour mon autre Amoureuse et elle n’a pas du tout la même vision. Cela ne l’a gène pas du tout de la même façon. Mais cette femme ne lui enlève rien à elle puisqu’elle n’existe pas vraiment dans ma vie. Elle n’a en tout cas pas d’existance physique.
Bref. Ça nous a totalement convaincu que sa petite sœur de 12 ans n’est pas prête pour ce type d’explication, de vision de l’Amour. On glisse des infos et on déconstruit ce qu’on peut le plus discrètement possible. « On plante des graines » même si elle n’est pas idiote, je vois bien que ce sujet là rend triste aussi. Ça lui fait très peur vis à vis de ses mamans, qui pourraient ne plus s’Aimer, se séparer … etc
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(compte clôturé)
le samedi 28 mai 2022 à 04h42
Les enfants ne sont pas idiots. Oui, désolé pour ce lieu commun.
Ils sont attentifs à leur environnement. Il est très difficile de leur cacher les choses bien longtemps.
Maintenant que les relations sont un peu apaisées entre mes enfants et leur mère (c'est plus difficile avec ma fille), mon fils commence à m'avouer des petites choses datant de son enfance.
Des mots, des situations qu'il ne savait pas interpréter, mais qui le rendaient triste sans qu'il sache pourquoi.
Cela m'a renvoyé à ma propre enfance, le jour où j'ai compris que quand un inconnu sort de la chambre de votre maman il ne faut pas le dire à son papa.
Je m'en souviens comme si c'était hier, j'avais 6 ans.
Il y a eu beaucoup d'inconnus...
Message modifié par son auteur il y a 3 ans.
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Anny
le samedi 28 mai 2022 à 15h39
Je comprends bien ton histoire… je pense que ce type de vécu laisse plus ou moins de traces en fonction des mots qu’on est capable de mettre dessus… et c’est vrai qu’en tant qu’enfant les mots manquent cruellement…
Aujourd’hui je ne sais pas ce qui est le moins pire, lui expliquer vraiment (c’est à dire en disant « maman » au lieu de « certaines personnes ») ou laisser planer le doute jusqu’à la prochaine visite de mon metamour ici… à horizon de la fin d’année donc on a quand même un peu de temps. C’est aussi pour cette raison qu’on joue un peu la montre en se disant qu’elle a aussi le temps de cheminée de son côté avec les petites graines qu’on plante régulièrement.
Mais je crois qu’il faudra que ce soit claire à notre prochaine période de vie à 5. Pour nous adultes ca simplifierait vraiment les choses ! On se retient pour « protéger » les enfants (enfin la petite) mais peut être à tord !?
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Anny
le samedi 28 mai 2022 à 15h41
On en revient toujours à cette notion de « mettre des mots ».
Nos pensées sont faites de mots
Nos représentations sont faites d’imagés mais nous avons besoin de mots pour les décrire
Nos sentiments sont plus complexe encore à exprimer et à expliquer mais il nous faut toujours des mots pour pouvoir le faire
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(compte clôturé)
le samedi 28 mai 2022 à 16h48
Que te répondre... Ma fille a traité sa mère de putain, de salope.... Les mots sont toujours définitifs. Surtout à 24 ans.
Ta fille réagira en fonction de ses propres valeurs.
L'avantage avec les enfants, c'est qu'il vaut mieux toujours s'attendre au pire.
C'est pas très optimiste hein, ?
Tu vois c 'est marrant, on est en train d'en discuter avec ma... Heu, femme ? Juste maintenant.
D'ailleurs, je quitte elle est pas contente.
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bonheur
le samedi 28 mai 2022 à 17h09
Les pensées, les mots et les représentations. On en revient à l'expression, la communication.
Est-ce que cette jeune fille a déjà lu "le Petit Prince" de St Exupéry ? Si oui, tu auras une piste pour expliquer.
Et puis, il existe des livres sur le développement personnel, truffé de vocabulaire adéquat. Le hic ne vient pas de la jeunesse, mais de nous qui ne savons mettre des mots. Qui a vraiment des discussions en profondeur avec ses enfants ? Pas grand monde (je crois). Pourquoi ? Par peur de choquer ou de devenir intrusif (entre autres).
Aborder des sujets profonds avec ses enfants devient naturel, lorsque les parents abordent en leur présence des sujets profonds.
Aussi, en cherchant un peu, on trouve ceci (par exemple)
https://www.seliberer.fr/le-vocabulaire-des-emotio...
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Anny
le dimanche 29 mai 2022 à 04h27
Donald, j’imagine le malaise familial à la réaction de ta fille… Mais 24 ans c’est encore jeune, elle évoluera sans doute encore dans ses représentations de l’Amour avec ses proposes expériences. Mais c’est aussi grand et nos enfants ne sont pas nos clones… ils ne partagent pas forcément notre philosophie, ni notre mode de vie.
Je croyais avoir lu que tes enfants étaient jeunes et j’avais imaginé plus que les miennes.
En tout cas je partage complètement ton humour sarcastique sur les côtés surprenants (et pas tjs positif !!) qu’ont les enfants ! 😅😂. Il vaut mieux en rire 🙃
Merci bonheur pour le lien, c’est très intéressant !
En fait, nous ne sommes une famille de filles et on parle bcp à la maison et de tout. Le maître mot est vraiment « pas de tabou » et depuis toujours même s’il faut bien s’adapter à l’âge de nos enfants en terme de vocabulaire. « Zéro mensonge » aussi puisque pour moi c’est une pratique qui se retourne toujours contre le menteur en faisant inévitablement souffrir ceux à qui on a menti.
Les filles savent tout sur leur conception par exemple. Et depuis toujours. Elles connaissent leur géniteur. Il n’y a aucun secret.
Mais pour ce sujet du polyamour j’avoue qu’on a été très surprises par la réaction de notre grande.
En fait, on a d’abord décidé à 3 de voir comment évoluait la relation de ma chérie avec son Amoureux. Rien ne garantie vraiment que leur histoire s’épanouisse dans la lumière même si rien n’indique le contraire non plus ! Et tout le monde souhaite que ça se passe bien. Mais se laisser qq mois de recule nous semblait important.
Sauf que notre grande nous est un peu tombée dessus ! Et avec perte et fracas. Même après avoir passé des heures (étalées sur des semaines puis des mois) à en parler calmement avec elle. La rassurer, lui expliquer. Lui parler d’Amour aussi, des formes que peuvent prendre l’Amour, et surtout lui expliquer à quel point c’est un sentiment bénéfique et précieux, que certaines personnes ne le ressentent jamais (dans ses plus grandes dimensions du moins). Elle comprend tout ce que je dis. Mais elle n’accepte pas « cette trahison » de son parrain je crois.
Et pour la plus jeune c’est un peu pareil. Elle comprend qu’on puisse aimer plusieurs personnes et pourquoi pas avoir plusieurs amoureux dans sa vie. Mais elle n’accepte pas que ce soit le cas de ma chérie ou de moi. « Oui c’est possible, tant que ça t’arrive pas à toi ou à maman »…
Elles sont déjà imprégnées de contes de fées et de « l’Amour éternel » au singulier… ce que nous aurions bien du mal à démentir avec nos 23 ans d’Amour sans partage officiel 🙃
Finalement, je me dis qu’il faut peut-être être tombée Amoureuse au moins une fois pour comprendre totalement le côté irrationnel et non maîtrisé de ce sentiment. Notamment pour le mettre en perspective de l’Amour fraternel ou de filiation parce qu’elles parviennent bien à dire qu’elles aiment leur 2 mamans (sans que ce soit exactement le même Amour), elle ne peuvent dire qu’elles Aiment plus l’une que l’autre, ni que l’une prend plus de place que l’autre. Mais il y a un blocage sur l’Amour romantique et encore plus charnel.
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Invité (invité)
le dimanche 29 mai 2022 à 07h31
Bonjour @Anny et @Donald
Il n'y a pas d'âge...
à 40 ans, ma fille, et son mari, (qui habitent à 500m de chez nous) nous* rejettent totalement depuis plus de quatre ans, refusant toute communication.
(*Nous = moi, père, + belle-mère depuis vingt-cinq ans)
Nous avons commencé à vivre notre polyamour tard dans la vie (65/53 ans...il n'y a pas d'âge pour cela non plus !) et sa/leur réaction était (et reste) colérique et dédaigneuse. Ma fille utilise le mot "divorce" pour décrire sa situation avec moi ; des ami.e.s qui nous connaissent tous depuis longtemps décrivent ses jugements comme ceux d'une 'amoureuse decue'.
C'est infiniment triste. Mais, devant colère et omerta qui bloquent tous nos essais de réconciliation, nous nous sentons impuissants.
Quel gâchis.
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(compte clôturé)
le dimanche 29 mai 2022 à 07h44
@Anny , oui; nos enfants sont grands et autonomes (24 et 27 ans). Oh, et puis ma fille je suis habitué à ses colères. Les mots qu'elle dit, ma foi, on les entend, on ne les oublie pas. Mais ce sera ma fille jusqu'à ma mort. Nous ne pardonnons pas forcément tout, mais nous vivons avec ces mots.
Et puis les enfants se détachent, c'est notre boulot de parents de les amener à l'autonomie qu'elle soit matérielle ou sentimentale. Et là, on a plutôt réussis (
trop d'après ma femme).
Quand je disais que les enfants voient tout, et je pense que certains ici vont désillusionner assez vite c'est que je repense maintenant à des micro évènements, des petites phrases par ci par là qui me fait penser que mes enfants ont été au courant de la situation bien avant moi.
Je me souviens, ma fille avait 17 ou 18 ans et en colère (pour pas changer), alors qu'elle venait de rencontrer un garçon, m'avait sorti : "je ne veux pas être un couple comme vous, je ne veux pas finir comme cela"
A l'époque je n'avais pas compris ce qu'elle voulait dire.
Mais tu sais, nous sommes également imprégnés par l'histoire de nos propres parents. Si je souffre aujourd'hui comme je souffre, Si je suis aussi intransigeant avec la vérité et le respect, je suis persuadé que c'est en partie à cause de ce que j'ai vécue enfant, la trahison et les mensonges de ma mère.
Il faut faire très très attention aux enfants. C'est ce qui manque généralement dans les témoignages sur ce forum. Les enfants sont souvent absents.
Bonne chance à toi.
dernière chose : on n'a pas le droit de faire souffrance nos enfants par nos inconséquences. Tous les parents sont de mauvais parents, certes, mais la bonne intention doit être là.
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(compte clôturé)
le dimanche 29 mai 2022 à 07h50
@Invité, désolé de lire cela. J'ai été à deux doigts de rompre avec mon fils il y a quelques mois. Mais c'est parce-que nous sommes très fusionnel.
On a beaucoup discuté, je l'ai beaucoup entendu, je lui ai dit qu'il avait raison sur tout, c'était plus simple.
Quel gâchis ? Je vois très bien ce que tu veux dire...
Oui, s'engueuler avec un môme de 10 ans c'est une chose, avec un enfant adulte de 25, 30 ou 40, c'est beaucoup plus compliqué.
En me relisant, outre les fautes, j'ai l'impression de donner des leçons de vie...mdr comme disent les jeunes...
Message modifié par son auteur il y a 3 ans.