Un amoureux vous dit qu'il ne peut pas venir car il a du repassage à faire
#

Siestacorta
le mardi 17 décembre 2013 à 22h52
Bon, pour être un tout petit peu moins expéditif...
DIsons que quand on est vexé d'une telle situation, on se demande à la fois
- à quoi on s'attend pour pas bien prendre un truc qui peut arriver, quand même. Bon, ça, en faisant le point sur "est-ce que je sais exactement pourquoi c'est si décevant", tu peux avancer de ton côté.
- comment cette personne vit et s'exprime généralement (est-ce que c'est de l'ironie pour dire "je peux pas" maladroitement, est-ce que c'est une façon de dire "hé j'ai une vie" d'une façon indirecte mais cash, est-ce que c'est quelqu'un qui pense pas beaucoup aux autres...)
Là, ça vaut le coup de discuter au calme, de poser des questions. Et la CNV.
(on devrait, un de ces quatre, penser à faire une formation CNV avec les questions poly comme cadre de débat...)
Message modifié par son auteur il y a 12 ans.
#

LuLutine
le mardi 17 décembre 2013 à 23h57
Siestacorta
(on devrait, un de ces quatre, penser à faire une formation CNV avec les questions poly comme cadre de débat...)
Voui ! :)
#

Plusssdamour
le mercredi 18 décembre 2013 à 01h17
Driver
Tout dépend à quoi tu ressembles.
Ben dis donc, tu ne fais pas dans la dentelle, toi.... :-(
#

LuLutine
le mercredi 18 décembre 2013 à 02h58
Je pense que c'est pas la peine de répondre à Driver. Je dis ça, je dis rien hein, vous faites ce que vous voulez...
#

Plusssdamour
le mercredi 18 décembre 2013 à 05h21
LuLutine
Je pense que c'est pas la peine de répondre à Driver. Je dis ça, je dis rien hein, vous faites ce que vous voulez...
Je suis d'accord avec toi !
Mais il pousse le bouchon un peu trop loin...
Il s'appelle maurice... peut être ?
:-/
#

oO0
le mercredi 18 décembre 2013 à 07h29
coquelicot
En tout cas merci a tous ceux qui m ont eclairée et qui m ont appris qu etre gentils mene toujours a l orgasme!!!!!(on se fait toujours bai......= <3
L'ironie de circonstance de ta conception de l'orgasme me fait bien rire, elle a le mérite d'oser l'humour là où j'imagine que tu n'as pas envie de rire. Certaines situations donne envie de hurler comme une jambe cassée, ...
... mais c'est justement là que la douleur se confond avec la colère et que, aveuglé par cette dernière, on n'est pas si gentil que ça :( La dernière fois que cela m'est arrivé d'avoir envie de hurler de la sorte, je me suis lâché sur les jugements qui font moralement mal. (Enfin, pas autant que la personne en face juste avant.) Avoir mal peut conduire à faire un mal que, à part sur le moment même, il n'y a aucune envie de faire. Et là, même si je t'accorde d'emblée la confusion de l'état de douleur dans laquelle te laisse cette situation, je maintiens que la manière dont tu as lancé ce fil n'était pas gentille. Les anglophones ont une expression pour çà : out for blood. Un jugement moral fait souvent bien plus mal qu'un jugement physique, d'autant plus quand une personne se sent en difficulté. Après, s'il y en a pour s'abaisser à des jugements physiques, ...
Visiblement, votre rencontre était récente et celle qui a suivi pour lui, aussi, donc je pense que ce n'est pas bien difficile d'imaginer l'état de confusion dans lequel il est possible d'être. Découvrir la possibilité de relations plurielles et, dans la foulée, se retrouver dans une situation concrète de plusieurs relations, cela peut être trop d'autant que cela se complique dès qu'une des personnes y est fermée, ce qui est le cas de figure le plus fréquent. Cela peut laisser l'impression de rentrer dans une logique relationnelle tordue. En tous cas, c'est là que commence les dilemmes qui reposent le plus souvent sur le souhait de ne faire de mal à personne et c'est justement là encore que se voir prêter de mauvaises intentions - hypocrisie, lâcheté, etc. - peut faire mal, d'autant plus mal que le dilemme sera difficile à vivre.
Là, le post de gcd68, me semble bien mieux formuler ce genre de difficultés morales à vivre une situation moralement inhabituelle. Ce que tu viens de vivre me semble pouvoir se prêter à prendre en compte ce genre de situation, même si cela n'a rien à voir avec la personne concernée. Elle peut avoir des motifs aussi bas que ceux qui peuvent lui être prêtés, si j'ai pu t'aider à comprendre que, juste dans la manière d'aborder une situation, tu peux tuer l'histoire en jeu dans cette situation, tant mieux sinon ...
... je sais que je passe à côté de ce qui peux te faire mal, le sentiment de valoir moins que du repassage. Reste que, justement, c'est là que tu me sembles d'emblée tuer l'histoire en prêtant une considération dont les intentions ne te font pas plus de bien qu'elles ne peuvent faire de bien à l'autre de se les voir prêtées. (C'est prêter plus que de la lâcheté ou de l'hypocrisie et donc, cela peut faire beaucoup plus mal.) C'est là que cela vaut peut-être la peine de relire ceux qui ont pu t'aider. Et si jamais il s'agit bien des intentions de l'autre ...
... ben, il fait pitié ?
En définitif, je pense que c'est bon de se rappeler que, moralement et affectivement, cela n'a rien d'évident que de gérer plusieurs relations affectives, surtout au début et pour les débutants. En tous cas, c'est le rappel que j'en tire pour moi car je me rends compte que je ne prends pas assez en compte cet aspect des relations plurielles pour des personnes qui les découvrent, les redécouvrent ou simplement les vivent. S'éviter des jugements blessants permet de se simplifier la vie, même si personne n'est parfait en la matière, je suis bien placé pour le savoir. Sinon, Coquelicot, je suis bien conscient de passer à côté de ta douleur, mais je ne sais pas quoi faire avec la mienne dans ce genre de situation, sinon la laisser de côté pour me rappeler tout ce qui importe dans ma vie et que je n'ai pas envie de voir sombrer dedans. La suggestion de Siesta de comprendre ce qui te blesse me semble sensée, ce qui blesse les uns ne blesse pas nécessairement les autres. Par contre, je ne sais pas si c'est le lieu.
Message modifié par son auteur il y a 12 ans.
#

(compte clôturé)
le mercredi 18 décembre 2013 à 09h34
Certains ont rappelé la CNV et c'est bien grâce à elle (entre autres et aussi grâce à Trésor, personne habitée de sagesse et de non-jugement) que je peux évoluer sur une bonne gestion de ce genre de situation. Enfin je veux dire gestion pour moi, car je ne peux être en l'autre. Je sais que certains considèrent que mes lectures sont inutiles mais peut être pas tant que ça... Aussi, ma volonté de rester monosexuelle aide évidemment. J'invite tous ceux et celles qui veulent privilégié les sentiments dans leurs relations à s'abstenir, dans une premier temps en tout cas, de l'aspect sexuel d'une NRE pour développer d'abord l'aspect affectif...
Enfin, chacun fait comme il veut !
#

(compte clôturé)
le mercredi 18 décembre 2013 à 09h47
Bon, je me lance...
J'avoue que je suis un peu (beaucoup) de l'avis de ceux qui ont tenté de minimiser l'"incident"... Parce que vraiment vraiment vraiment, je tourne et retourne dans ma tête mais je ne vois là aucun crime.
J'ai pour habitude de considérer qu'avec mes relations, surtout si elles sont récentes et "en pointillés", je ne dois jamais jamais jamais me considérer comme évidemment prioritaire. Avoir une relation avec quelqu'un ne me semble jamais au grand jamais susceptible de signifier que quoi qu'il arrive je passe avant le reste.
Que le repassage soit un prétexte ou pas n'est même pas la question. Si cet homme te dit "je ne suis pas disponible pour toi aujourd'hui", il n'y a aucune raison d'en conclure a priori qu'il ne t'aime pas/plus, que c'est un goujat ou n'importe quoi d'autre. Ni qu'il trouve n'importe quelle activité plus importante ou agréable que ta présence.
En fait il y a d'une part ta vanité blessée (et ça peut être très douloureux sur le moment ; mais bon, présenté comme tu le présentes, ça fait un peu, pardonne-moi car je sais que je vais avoir un formule un peu sèche, querelle d'adolescents) et d'autre part un manque visible de communication (le premier n'aidant pas à résoudre le second).
Non, l'amour ne fait pas de nous le centre du monde pour ceux qui disent nous aimer. C'est faux. Le reste du monde ne s'abolit pas parce que vous avez une relation.
Une chose pour finir : moi dans une situation semblable, je crois que mon réflexe immédiat aurait été : "est-ce que tu as besoin d'aide pour ton repassage (ou n'importe quelle autre corvée) ?" Je dis ça parce que ça m'arrive très régulièrement d'avoir des amis ou amants qui sont occupés à une corvée quelconque, et qui finalement sont très contents d'avoir un coup de main (et ça permet de se voir en plus). Mais pour ça, il faut passer par-dessus la première déception et oser proposer de l'aide (en étant prête d'ailleurs à essuyer un refus : y a des gens qui ne veulent pas partager leurs corvées parce qu'ils n'aiment pas avoir le sentiment d'être redevables sur des choses du quotidien. Et ça aussi il faut l'accepter.) Les corvées, ça peut aussi faire partie de ce qu'on partage avec d'autres, et ça peut même renforcer les liens.
Et si le repassage était juste un prétexte pour ne pas te voir, engager la discussion sur cette corvée peut le lui faire avouer en fin de compte.
#

Siestacorta
le mercredi 18 décembre 2013 à 10h04
Assez d'accord pour penser que l'amour ne nous met pas au centre de l'univers, mais faut bien traiter les émotions et communications que ce constat engendre...
Spourça, moi j'en étais à
- se poser la question à soi : "pourquoi je réagis si mal, sachant que plein de choses peuvent évidemment arriver en dehors de mon attente de retrouvailles et que le ressenti de l'autre, je peux pas le savoir sans qu'il me le dise"
- pourquoi lui dit ça, est-ce que vraiment il a une montagne de repassage (et bon rien à dire), ou est-ce qu'il y a d'autres contextes à connaitre et à se comprendre pour mieux communiquer la prochaine fois.
#

PolyEric
le jeudi 19 décembre 2013 à 19h40
Janis il y a de l'idée je trouve.
Toutefois, quelque chose me semblait absent de ton analyse implacable sans que je sache laquelle.
Comme Siesta proposait habillement de se poser la question "pourquoi je réagis si mal", je me suis mis à chercher ce qui m'aurait gêner dans une telle situation (bon, là ce n'est pas moi qui vie le truc, mais je peux quand-même m'imaginer être à la place de coquelicot),
D'abord, j'aurais eu l'impression qu'il ou elle mentait, alors que je m'évertuais à expliquer qu'on peut tout me dire. Je prendrais ça comme un rejet, comme un défi, ou comme du sadisme, ou pire encore, je me dirais qu'il ou elle a peur de moi, ne me crois pas, pense que je veux tout savoir pour ensuite le(la) massacrer, etc, etc, je peux en inventer des pages entières. Certes, je lui aurais attribué(e) le bénéfice du doute (un repassage monstrueux et envie d'être seul(e), admettons), et je me serais convaincu que je ne suis pas le centre du monde comme tu dis, que l'on n'est pas obligé de tout me dire, que les gens sont libres, etc, etc, mais un début d'angoisse m'aurait gagné sans que j'y puisse quelque chose.
La question restait donc entière. Comment se fait-il qu'aucun argument ne puisse calmer cette angoisse ?
Et j'ai fini par trouver. C'est la sensation que nous ne sommes pas sur la même longueur d'onde. C'est la révélation du fait que le début d'amour n'est pas réciproque qui génère cette angoisse. C'est le fait de chercher à réprimer son amour pour l'autre qui fait cet effet là.
Et c'est là qu'on comprend mieux, car je ne pense pas que Coquelicot se vexe en première impression, c'est à mon avis, un réflexe de second rang, un moyen d'amortir le choc. Au lieu de se dire "il ne m'aime pas autant que moi je l'aime", elle se dit "il préfère le repassage à moi". Au lieu de se pointer le doigt dessus, elle le pointe sur l'autre. Il y a ici, un réflexe de sauvegarde. Un retournement qui sauve. La considération "je suis trop nulle pour lui" se transforme subtilement en "il est trop nul pour moi". Et là, tout de suite, le moral va mieux.
Et voilà que je m'aperçois que j'ai trouvé ce que je cherchais depuis quelques mois :
Lorsqu'on lutte contre cette tentation de retourner le doigt vers l'autre, quand on s'obstine à le garder pointé sur soi, on ne s'en sort pas non plus. Si on le lève au ciel en se disant, c'est comme ça, on n'y peux rien, on fini aussi par désespérer. Et si on le pointe au sol en se disant "je ne tomberai plus jamais amoureux(se)", on ne s'en sort pas non plus.
A mon avis, quand on a besoin d'une relation sincère dans laquelle on se dit les choses, on ne peut pas combler ce besoin par une philosophie, fusse t-elle respectueuse de la vie des autres. On doit respecter la vie des autres, mais on doit aussi chercher à se satisfaire (avec quelqu'un d'autre, donc). La solution de fermer les yeux par respect pour la liberté d'autrui, mène à la catastrophe. Il ne s'agit pas d'écraser la liberté d'autrui, mauvaise pioche. Ce qu'il faut, c'est garder les yeux ouverts. Il n'était pas pour elle, mais d'autres sont pour elle. Il suffit juste de les trouver.
Message modifié par son auteur il y a 12 ans.
#

coquelicot
le jeudi 19 décembre 2013 à 20h02
J adhere aussi et je cherche!!!!! (+)
Message modifié par son auteur il y a 12 ans.
#

(compte clôturé)
le jeudi 19 décembre 2013 à 21h57
C'est un processus qui est expliqué dans un grand nombre de mes livres. Egalement en CNV. Toutes mes lectures m'aident à comprendre aussi ce genre de chose et à être moins en attente vis à vis de l'autre et aussi à ne pas prendre pour moi ce qui, il y a encore quelques mois, m'aurait frustrée, vexée, mise en colère,... L'autre n'est pas responsable de moi et de mon ressenti et inversement. L'autre a sa liberté de désirer me voir (ou pas), de désirer communiquer avec moi (ou pas).
Par rapport à mes affectifs (relations hors du couple), je crois n'avoir aujourd'hui qu'une seule crainte, qu'une seule peur : celle qu'il arrive quelque chose à l'autre et que personne ne m'en informe. je désire avoir l'esprit libre à ce niveau là et l'attitude du "pas de nouvelles, bonnes nouvelles" s'impose comme une évidence. Malheureusement, seul une personne a fait le nécessaire afin de me libérer de cette angoisse et je l'en remercie à la fois pour sa compréhension et à la fois pour avoir accepter d'agir en conséquence (transmettre mon numéro de tel à une personne de sa famille avec consigne de me joindre si nécessaire). C'est pas compliqué mais comme les autres acceptent moins ouvertement, et qu'il faut quand même fournir quelques explications à la personne qui acceptera cette "responsabilité", ben !!!
Moi aussi je croyais que l'un d'eux n'était pas pour moi. Alors un jour où j'en avais marre que mes msg restent sans réponse j'ai envoyé ceci : "??? :-( " juste avant l'heure de sa coupure de midi et dans le quart d'heure (à peine) il m'appelait pour expliquer quelque chose de tout con et qui n'avait rien à voir avec ce que je m'étais imaginée... Cela fait des mois de cela et nous sommes toujours en contact, juste je connais les raisons exactes, justes et vraies de son absence de communication (parfois). Depuis, nous avons adapté celui-ci. Le pire, c'est que c'était pour justement ne pas me froisser :-D . Il a sa propre vision de notre relation avec ses doutes et ses craintes et moi j'avais la mienne (me sentir délaissée) et ça aurait pu mener à une séparation brutale alors que notre lien est ce qu'il est, mais quand il est existant, c'est <3 .
#

oO0
le vendredi 20 décembre 2013 à 08h52
Eric_50
D'abord, j'aurais eu l'impression qu'il ou elle mentait, alors que je m'évertuais à expliquer qu'on peut tout me dire. Je prendrais ça comme un rejet, comme un défi, ou comme du sadisme, ou pire encore, je me dirais qu'il ou elle a peur de moi, ne me crois pas, pense que je veux tout savoir pour ensuite le(la) massacrer, etc, etc, je peux en inventer des pages entières.
Dingue, non ?
L'impression de mensonge alors qu'il est possible de tout dire, c'est justement ce qui m'avait conduit à étriller l'ami en question et je pourrais également écrire une quantité de pages d'autres possibilités. La seule réponse que j'ai trouvé, c'est d'apprendre à vivre avec des questions sans réponses.
gcd68
... être moins en attente vis à vis de l'autre et aussi à ne pas prendre pour moi ce qui, il y a encore quelques mois, m'aurait frustrée, vexée, mise en colère.
Essayer de repousser les limites de ma susceptibilité, ce qui n'est jamais gagné, notamment en ce qui concerne la liberté de l'autre même quand elle a un goût d'arbitraire.
Message modifié par son auteur il y a 12 ans.
#

bodhicitta
le vendredi 20 décembre 2013 à 11h28
Eric_50
A mon avis, quand on a besoin d'une relation sincère dans laquelle on se dit les choses, on ne peut pas combler ce besoin par une philosophie, fusse t-elle respectueuse de la vie des autres. On doit respecter la vie des autres, mais on doit aussi chercher à se satisfaire (avec quelqu'un d'autre, donc). La solution de fermer les yeux par respect pour la liberté d'autrui, mène à la catastrophe. Il ne s'agit pas d'écraser la liberté d'autrui, mauvaise pioche. Ce qu'il faut, c'est garder les yeux ouverts. Il n'était pas pour elle, mais d'autres sont pour elle. Il suffit juste de les trouver.
En effet on ne peut attendre des autres qu'ils nous respectent si on est pas capable de se respecter soit méme.
C'est comme honnêteté, il faut être honnête avec soit même pour pouvoir l’être avec les autres.
P étre qu'un jour il sera sur la même longueur d'ondes et verra l’interet "d'une relation sincère dans laquelle on se dit les choses"
La relation évolue à partir du moment ou elle existe quelqu'en soit sa forme
Message modifié par son auteur il y a 12 ans.
#

(compte clôturé)
le vendredi 20 décembre 2013 à 12h30
bodhicitta8
La relation évolue à partir du moment ou elle existe quelqu'en soit sa forme
(+) <3
Travailler sur soi est aussi important qu'entretenir la relation (les relations). Découvrir et pas seulement ce qui nous concerne. Je lis actuellement "la salope éthique" et je m'y reconnais que peu ou vraiment partiellement mais ce qui est dit dans cet ouvrage est juste et surtout ce que j'y découvre me permet de mieux comprendre d'autre(s). Parfois, cela donne aussi tout simplement un vocabulaire adéquate pour s'expliquer ou pour aider l'autre(s) à réfléchir sur lui(eux)-même(s).
Est-ce que j'y consacre beaucoup de temps et d'énergie : oui. Est-ce que c'est une contrainte : non et c'est là l'important. Est-ce que je recherche la perfection : non, surtout pas, le parfait n'est pas humain, je ne ferai pas exception. Est-ce que j'ai le désir de continuer MON chemin, à MA guise, avec les personnes qui comptent POUR MOI : évidemment oui, mais sans hâte, sans précipitation, tout en douceur, lentement et le plus sereinement possible... à suivre donc :-D
#

PolyEric
le vendredi 20 décembre 2013 à 19h59
Siestacorta
on devrait, un de ces quatre, penser à faire une formation CNV avec les questions poly comme cadre de débat...)
ça il faut le faire
#

Geraldin-e
le vendredi 20 décembre 2013 à 20h03
Je plussoie également.
D'autant que ça dépasse en fait le cadre poly, ça s'appliquerait à toute vie/organisation de groupe.
Siestacorta
on devrait, un de ces quatre, penser à faire une formation CNV avec les questions poly comme cadre de débat...)
#

(compte clôturé)
le vendredi 20 décembre 2013 à 20h20
Voir avec Sauge21 qui a mis en place sur Dijon ce type d'atelier.
#

coquelicot
le vendredi 20 décembre 2013 à 20h32
J ai fait ca ,un peu , avec Gijom!!!
C est comme les bonnes resolutions du jour de l an: c est genial sur le moment!!!!!