Polyamour.info

MagentadeMars

MagentadeMars

Lyon (France)

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Discussion : Mon bilan… Et ma tristesse

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MagentadeMars

le samedi 28 juin 2014 à 20h52

En bref, mon histoire : j'ai rencontré une femme qui était déjà amoureuse d'un homme à l'étranger... elle commençait avec moi sans trop savoir la raison, un peu pour remplir la vide, et d'un coup je l'ai pris pour l'unique femme au monde capable de me faire heureuse :-/ Psychopathologie classique alors.

Après plusieurs mois elle ne voulais plus continuer avec moi, à cause de la sentiment de trahir son amant. Puis oui, comme tu dis, deux ans de relation platonique mais très intense : des message et des sms journaliers, des visites toutes les deux semaines plus ou moins après qu'elle déménageait à Paris. Elle gardait un peu la limite sur la fréquence, ou tout tentative de contact physique.

Deux choses étaient important dans le processus : à un certain moment, elle avouait que oui, bien sûr elle avait toujours des sentiments très fortes pour moi... mais il y avait un tas de raisons pour lesquels ce n'étaient pas possible d'entretenir le genre de relation qu'elle cherchait avec moi. Je n'ai pu qu'admettre qu'elle avait raison. Deuxièmement, quand elle s'est marié avec son gars afin qu'il puisse rester avec elle. C'était ça finalement le déclic symbolique qui me faisait renoncer à la fantaisie de reprend avec elle.

J'étais comme en speed pendant ce temps... j'avais une forme physique pas possible... mais il en suivait un épuisement énorme.

Il n'y a pas forcément la même fin à ton histoire... et tu ne croirais pas de toute façon, si comme moi ce croyance est un peu ta raison vitale comme c'était pour moi :) Mais prends l'occasion à méditer, faire autant d'activité physique que possible, et essayer de contrôler le logique de tes pensées... surtout, surtout... si tu l'aimes, tu veux qu'il soit heureux...

G

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Discussion : Mon bilan… Et ma tristesse

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MagentadeMars

le samedi 28 juin 2014 à 16h38

CLM

C'est de la dépendance, même si j'assume cette dépendance : après l'avoir vu je suis sereine, puis au bout de 48h il me faut mon nouveau shoot,

Il y a quelques années, j'ai vécu une expérience un peu comme ça : passons de l'histoire, mais j'étais éperdument fou d'une femme. Il m'a fallu deux ans pour sortir et... nous restons des amis. De sa côté, elle avait la force de me mettre en place quand je demandais trop. Et moi, j'ai pu garder la lucidité pour me dire "si je dis que je l'aime, ce n'est pas possible que je lui veuille du mal".

Bien sûr, l'avis de presque tous était de couper les ponts. Est-ce qu'il aurait été mieux ainsi ? Impossible de le dire, d'abord c'est quoi, "mieux" ? Et sans un univers alternatif... disons qu'à la fin, je ne regrettais pas ma démarche. Des moments d’agressivité, oui... mais j'ai énormément appris sur moi même.

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Discussion : Badinons donc avec l'amour…

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MagentadeMars

le samedi 28 juin 2014 à 12h32

Je fais mon tour de tour de débutant sur le site, en résistant tant que possible à me jeter dans un tas de conversations froide depuis des mois. Mais cet article, j'adore :)

Félicitations au traducteur, d'ailleurs, je suis aller voir la version dans ma langue natale et la différence était minimale... peut-être moins que celle entre l'anglais canadien et l'anglais australien !

Si j'ose ajouter quelque chose à la discussion, c'est qu'il revient sur un de mes thèmes fétiches ... la fausse binarité. Pour moi, les sentiments et sensations qui peuvent s'appeler l'amour sont très variées, en intensité et en type. Il me semble donc peu utile de dessiner une ou des lignes de démarcation : "ce côté-ci, il s'agit de l'amour... par là c'est le sexe, à gauche vers le grand arbre c'est de l'amitié". D'autant plus que la définition ne peut que faire à postériori : "cela n'a pas pu durer, alors ce n'était qu'une infatuation." Quel utile formidable pour imposer la culpabilité, une distinction entre le bien et le mal qui ne puisse se voir qu'après !

Bien sûr, nous avons tous droit à se servir de nos propres idées des frontières, pour une utilisation personnelle...

J'étais aussi content de lire une distinction entre l'amour et l'engagement : moi je ne suis pas à mesure de garantir mes sentiments au futur, mais je peu m'engager sur des choses concrètes (ou refuser d'y faire). C'est une idée qui m'a sauter à l’esprit pendant une conversation au café poly de Lyon il y a deux jours, donc agréable d'en trouver la même d'une autre source :-)

G

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Discussion : 4 ème jeudi à Lyon, 26 juin

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MagentadeMars

le samedi 28 juin 2014 à 10h24

Bonjour,
J'ai réussi à m'inscrire suite d'un repêchage dans ma boîte à spam...
Alors, je profite pour re-dire bonjour sous mon vrai-pseudo-nom :)
Graham

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