Avez-vous déjà jeté l'éponge ?
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Green-Man-Outside
le lundi 06 janvier 2014 à 18h49
LittleJohn
Mes sabots sont assez gros ? :D
Oui mais non. ;-)
Il y a un point qui me fait tiquer (même si je suis d'accord dans l'ensemble)
Car je sais que je ne retrouverai jamais personne qui m'aime comme tu m'aimes et que j'aime autant que je t'aime !
Le "autant" quantitatif est effectivement un mauvais argument. Le "comme", lui, pointe une réalité : chaque être étant unique, chaque relation en est d'autant plus unique. Alors oui, aucune autre relation (m'impliquant ou t'impliquant) ne sera comme la nôtre.
[Là je fais simple et ne tiens pas compte de la société d'abrutissement massif qui tend à uniformiser les gens, ni du fait que nos personnalités/scénarios de vie/névroses personnelles tendent à nous faire répéter certaines choses, ce qui fait que, oui, certaines relations ne sont pas si uniques parce qu'elles ne sont que des représentations différentes de la pièce de théâtre ^^ ]
aviatha
[...]Donc je suis habituée, quelque part, et c'est ce que je dis, je n'ai plus grand chose à perdre, et il faut se méfier des gens qui ont très peu à perdre. Je pense que la plus en danger c'est elle, parce qu'elle est pathologiquement dépendante. Finalement moi j'ai tellement souffert que je suis en position de force : on ne peut plus me faire accepter tout et n'importe quoi, et je n'ai pas peur de tout perdre.
Du coup c'est aussi une question sur la dépendance qui est intéressante. Je pense que les gens très attachés et très patients finissent pas être les plus indépendants, parce qu'on leur en fait tellement voir en partant du principe que c'est dû, que ce sera toujours là, que le jour où ils décident que ça suffit, on se rend compte de tout ce qu'on a perdre à les laisser partir
Tant mieux pour toi si tu es en position de force. ;-)
Par contre je ne généraliserais pas comme tu le fais sur le gens "attachés et patients". Il y a 108 raisons d'être attaché et patient, et sans sortir mon ennéagramme illustré la suite des évènements sera extrêmement différente selon les ennéatypes.
ne jamais demander à l'autre des sacrifices qu'on soit incapable de rendre un jour
J'ai envie de dire "ne jamais demander de sacrifice" tout court. C'est la différence entre l'effort et le don. Parce qu'à moins d'avoir exactement le même sacrifice à "rendre", ceci est impossible : les situations et les efforts susceptibles d'être demandés sont rarement symétriques. ;-)
Message modifié par son auteur il y a 12 ans.
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Green-Man-Outside
le lundi 06 janvier 2014 à 18h56
Je suis (encore!) en train d'écouter Rosenberg, et j'entends à l'instant une phrase qui fait mouche sur la question de jeter l'éponge :
If you do anything that involve giving in, both people pay for it.
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(compte clôturé)
le lundi 06 janvier 2014 à 18h57
Je crois que l'on ne se plante pas mais que l'on prend des décisions, que l'on fait des choix en fonction d'un instant T, d'une situation actuelle mais bien malin qui peut prédire l'évolution, de soi, des autres, etc.
La personne dont je parlais plus avant dans cette discussion, celle que j'ai "sacrifiée"... qu'elle est son évolution personnelle... je l'ignore. Simplement je préfère l'imaginer heureux. Comme le disait à l'époque une chanson "je te souhaite tout le bonheur du monde". Je serais très orgueilleuse de penser qu'il souffre, peut être pense-t-il de temps à autres à moi, aux bons moments. J'ai été de passage dans sa vie et le serait peut être de nouveau un jour.
Ai-je eu raison de m'en aller, ou plutôt de le laisser s'en aller (je renvoi ici à un autre fil de discussion) ? Si je me replace dans le contexte de l'époque, la réponse est oui... Aujourd'hui, j'agirai différemment. Mon évolution personnelle m'imposerait une autre décision, un autre choix. C'est je pense ainsi que l'on avance. Comme je l'ai expliqué sur l'autre fil de discussion s'en aller ne veut pas dire adieu car il demeurera à jamais en moi. Il a toujours eu sa place, dès que je l'ai aperçu (parmi une cinquantaine de personnes, je ne voyais que lui, mon regard ne pouvait se porter ailleurs sans que je m'oblige à le détourner...). Ce qui me dérangeait à l'époque, j'en souris sereinement aujourd'hui, mon évolution est sans doute aussi là. Il n'est plus concrètement présent, c'est vrai ; je ne sais pas ce qu'il est devenu, c'est vrai ; je l'aime toujours autant, c'est également vrai.
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LittleJohn
le lundi 06 janvier 2014 à 18h59
Marie-Georges
LittleJohn, tu nous rappelle la nuance subtile entre faire un choix et prendre une option plutôt qu'une autre ? :-D
Pourquoi commence-t-on sur ce fil à penser que c'est une demande qui émane de quelqu'un ? Est-ce que les fils ne sont pas en train de s'emmêler ? Par exemple moi, personne ne m'a rien demandé. J'ai choisi. Je voulais donner plus d'espace à une relation. J'aurais jamais cédé à une demande d'exclusivité, pour les raisons que LittleJohn a métaphorisées à la tronçonneuse. Je me suis plantée, par forcément sur mon choix, mais dans ma relation restante. C'est très différent.
Certes, tu as raison.
En même temps, l'expression "jeter l'éponge" est une image assez explicite. On jette l'éponge face à un adversaire (ou une adversité). C'est à ça que je répondais (avec toute ma légèreté ^^). En gros, je préfère le KO que la défaite par abandon.
On ne jette pas l'éponge face à soi-même. Du coup, ton cas ne rentre pas, amha, dans le cadre de ce fil.
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(compte clôturé)
le lundi 06 janvier 2014 à 19h38
LittleJohn
En gros, je préfère le KO que la défaite par abandon.
Je me permets de ne pas être d'accord. L'amour ne doit pas tourner au règlement de compte entre rivaux (je sais, je suis mal placée pour dire cela, je ne suis pas responsable des actes des autres). Dans le KO, il y a une violence qui me dérange, et dans la notion de rivalité aussi. L'abandon permet d'éviter des nuisances inutiles. D'ailleurs l'abandon est je crois source de sagesse et non une dévalorisation, si ce n'est pour un orgueil trop bien placé.
L'amour doit être constructeur, la violence ne peut être que destructrice.
LittleJohn
On ne jette pas l'éponge face à soi-même
Si ne pas jeter l'éponge signifie user toute son énergie et celle dont on ne dispose pas alors, si, perso je jette l'éponge face à moi-même. surestimer ses forces et ses capacités n'apportent rien de bon. Parfois, juste un temps d'attente suffit à recharger sainement les batteries.
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LuLutine
le lundi 06 janvier 2014 à 19h40
Siestacorta
Ca a tendance à prouver que donner l'exclusivité n'est toujours qu'un équilibre momentané.
Je le pense aussi.
De là la différence (à mon sens) entre les gens qui voient les choses à court terme, et ceux qui les voient à long terme.
Dans le second cas, l'exclusivité ne me semble pas une option si l'on souhaite la pérennité de la relation (mais on peut souhaiter une exclusivité en série, cela dit).
Siestacorta
Si l'autre est inconstant dans son désir pour nous, adopter les mêmes contraintes que lui n'augmente que le potentiel d'insatisfaction sans garantir plus de durabilité...
Toutafé.
Green-Man-Outside
Donc, j'aurai beau me priver pour faire plaisir à ma partenaire, elle ne se privera pas pour moi (et c'est parfaitement normal).
Ouaip. Ca me fait penser à un amoureux qui aurait voulu l'exclusivité avec moi. Mais qui m'expliquait tranquillement que s'il tombait amoureux ailleurs, il partirait...
Moi, je lui offrais la fidélité (dans le sens de durabilité). Lui ne m'offrait aucune espèce de "garantie", et malgré tout j'avais consenti certaines exclusivités (par rapport à certaines activités ou certains projets que je m'interdisais avec les autres).
Ma conclusion : c'est beaucoup trop casse-gueule...
Mais ce n'est que mon vécu.
Green-Man-Outside
J'ajouterai que les relations non-exclusives ne sont pas de tout repos et qu'on peut aussi souffrir en étant non-exclusif.
Quand je lis ça j'ai l'impression de te voir enfoncer une porte ouverte...mais en fait tu as raison, trop de gens encore pensent à tort que les relations non-exclusives c'est la solution de facilité, que ça ne fait pas souffrir etc. ; or rien n'est plus faux.
Donc ça ne fait pas de mal de le rappeler finalement ! :)
aviatha
je ne peux pas être heureuse sans lui
Pour ma part je me méfie de ce genre d'affirmations. Si tu savais le nombre de gens absents de ma vie sans qui je "ne pouvais pas" être heureuse...les choses ne sont pas si binaires à mon avis.
Mais bon, je t'autorise à penser le contraire, si tu y tiens :P (et si tu m'autorises à penser le contraire de toi :P ) !
aviatha
on ne peut plus me faire accepter tout et n'importe quoi, et je n'ai pas peur de tout perdre.
C'est un peu HS mais c'est assez proche de ma situation pro actuelle.
Je crois que ce sont mes supérieurs qui vont s'arracher les cheveux...tant pis pour eux. Moi j'ai plus rien à perdre.
gcd68
Il n'est plus concrètement présent, c'est vrai ; je ne sais pas ce qu'il est devenu, c'est vrai ; je l'aime toujours autant, c'est également vrai.
Ah oui, il y a quelqu'un comme ça dans ma vie aussi... :)
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(compte clôturé)
le lundi 06 janvier 2014 à 19h51
Lulutine
Ah oui, il y a quelqu'un comme ça dans ma vie aussi... :)
En fait, j'en ai deux mais pour le second, c'est lui qui a jeté l'éponge... persuadé que son couple devait primé. Ce fut son choix, et son éponge :-D
La phrase que tu as mis en évidence reste vraie aussi dans ce cas sauf que j'y ajoute des conditions de retour à la relation drastiques :-/ obligatoires afin de casser une spirale infernale :-D
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LuLutine
le lundi 06 janvier 2014 à 19h53
gcd68
En fait, j'en ai deux
Bah, moi c'est au moins trois, mais un seul dont j'ai zéro nouvelles.
Les autres, j'ai plus ou moins l'occasion de savoir ce qu'ils deviennent...
Pour le dernier, je peux essayer de demander à google, mais à part ça, aucun contact n'est possible...
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(compte clôturé)
le lundi 06 janvier 2014 à 20h21
Lulutine
Pour le dernier, je peux essayer de demander à google, mais à part ça, aucun contact n'est possible...
Je suis aussi tentée de faire une recherche dans le sens où l'on vit dans une société avec un réseau social permettant à chacun de dévoiler sa vie -enfin ce que l'on veut en montrer- au monde entier mais je m'y refuse. Je veux laisser la vie faire son oeuvre et ne pas forcer les choses.
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Marie-Georges
le lundi 06 janvier 2014 à 22h27
LittleJohn
Du coup, ton cas ne rentre pas, amha, dans le cadre de ce fil.
Mais euh ! Bien sûr qu'il rentre pile poil, la question étant :
"avez-vous déjà mis de côté votre non-exclusivité et/ou vos amours multiples pour privilégier une relation avec une personne sentimentalement/sexuellement exclusive ?" et non pas "Avez-vous cédé à la pression d'une personne monogame". D'abord.
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Green-Man-Outside
le mardi 07 janvier 2014 à 01h34
LuLutine
Ouaip. Ca me fait penser à un amoureux qui aurait voulu l'exclusivité avec moi. Mais qui m'expliquait tranquillement que s'il tombait amoureux ailleurs, il partirait...
Moi, je lui offrais la fidélité (dans le sens de durabilité). Lui ne m'offrait aucune espèce de "garantie", et malgré tout j'avais consenti certaines exclusivités (par rapport à certaines activités ou certains projets que je m'interdisais avec les autres).Ma conclusion : c'est beaucoup trop casse-gueule...
Mais ce n'est que mon vécu.
Ce n'est que ton vécu, mais ça me parle.
LuLutine
Quand je lis ça j'ai l'impression de te voir enfoncer une porte ouverte...mais en fait tu as raison, trop de gens encore pensent à tort que les relations non-exclusives c'est la solution de facilité, que ça ne fait pas souffrir etc. ; or rien n'est plus faux.
Donc ça ne fait pas de mal de le rappeler finalement ! :)
Oui. Il y aurait pas mal à dire sur ce point. ;)
Marie-Georges
Mais euh ! Bien sûr qu'il rentre pile poil, la question étant :
"avez-vous déjà mis de côté votre non-exclusivité et/ou vos amours multiples pour privilégier une relation avec une personne sentimentalement/sexuellement exclusive ?" et non pas "Avez-vous cédé à la pression d'une personne monogame". D'abord.
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LittleJohn
le mardi 07 janvier 2014 à 10h30
gcd68
Je me permets de ne pas être d'accord. L'amour ne doit pas tourner au règlement de compte entre rivaux (je sais, je suis mal placée pour dire cela, je ne suis pas responsable des actes des autres). Dans le KO, il y a une violence qui me dérange, et dans la notion de rivalité aussi. L'abandon permet d'éviter des nuisances inutiles. D'ailleurs l'abandon est je crois source de sagesse et non une dévalorisation, si ce n'est pour un orgueil trop bien placé.
Je filais la métaphore pugilistique et on me prends au pied de la lettre... au temps pour moi...
Marie-Georges
Mais euh ! Bien sûr qu'il rentre pile poil, la question étant :
"avez-vous déjà mis de côté votre non-exclusivité et/ou vos amours multiples pour privilégier une relation avec une personne sentimentalement/sexuellement exclusive ?" et non pas "Avez-vous cédé à la pression d'une personne monogame". D'abord.
Sauf que je n'avais pas eu l'impression que c'était spécifiquement à cause de sa monogamie que tu avais abandonné le polyamour, mais plus par à ta disponibilité et par rapport à toi-même et tes difficultés à le vivre...
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Siestacorta
le mardi 07 janvier 2014 à 10h57
Littlejohn : C'est bien une variation sur la motivation, mais que le choix soit fait en fonction de l'équilibre perso ou en fonction de l'équilibre d'une relation, le jetage d'éponge peut être également motivé ! Et il peut y avoir une part de dépit dans les deux cas.
Que l'analyse critique sur notre mode de vie vienne surtout de nous ou qu'elle soit partagée avec un partenaire, si on en vient à penser "d'accord, je ferais mieux de passer à autre chose", on peut aussi bien être inquiet sur la pertinence passée et actuelle.
Bref, même si par réflexe, conditionné par l'approche du forum, je vois aussi le sujet du fil comme "le moment où un poly fait la concession pour le bien de la relation", l'idée "le moment où vous avez voulu changer de mode de vie", indépendamment de l'attitude du partenaire, ça marche aussi.
gcd68 Pour la métaphore pugilistique, même si je suis émotionnellement très rétif aux questions de compétitions et de rivalités, on peut rappeler que les partenaires d'un combat sportif ne sont généralement pas des gens à vaincre définitivement ou à blesser.
Ce sont des gens avec qui on joue/travaille/ s'éxerce / progresse. Même si moi j'ai beaucoup de mal avec ça, il y a un côté très sain dans la compète, où si on perd à un moment, la blessure narcissique est moins importante que le plaisir d'avancer avec l'autre.
Le partenaire qui nous a mis au tapis, on lui dit "bravo, je trouve que tes aptitudes sont super bonnes, je vais m'en inspirer et monter mon niveau pour que la prochaine fois, ce soit moi qui te dépasse, et que toi tu aies l'occasion d'apprendre". "sparing partners", dit-on dans les sports de combat.
Et on aime l'autre en dehors des combats comme dans le combat, parce qu'on veut entretenir avec lui l'énergie qu'on développe ensemble, qu'on veut pas lui casser les jambes, ni qu'il jette l'éponge, mais qu'il ait comme nous envie de revenir la semaine prochaine. Ca demande la cordialité et la confiance qu'on a dans d'autres rapports humains, la conscience de ce qui en nous est fort et de ce qui est violent, et nous aide à faire la différence entre les deux aussi chez l'autre.
Message modifié par son auteur il y a 12 ans.
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(compte clôturé)
le mardi 07 janvier 2014 à 11h12
Je ne vois pas du tout l'amour comme une compétition et, en ce qui me concerne personnellement, je déteste cela. Je veux vivre mes relations dans un cadre sain et serein. Je n'envisage que l'on m'aime pour faire mieux que l'autre... beurk, qu'elle horreur :-( . Si les personnes qui m'entourent se livrent une gueguerre, je me sens hypermal. Je suis quelqu'un de très sensible et notamment aux émotions et ressentis d'autrui, alors que l'on se mette en situation de compétition à cause de moi, ça me touche de près et je le vis très mal. Je n'ai pas ce désir d'être prise entre deux (pas d'allusion, merci) mais de partager avec les deux, simultanément ou non.
La jalousie mène à la violence quelqu'un d'ordinairement calme. Qu'y a-t-il de bien là dedans ? Un combat est obligatoirement malsain, en tout cas je n'aime pas cela. Parfois jeter l'éponge, c'est permettre à l'affrontement de cesser. Mais là, je parle de "jeter l'éponge" au sens propre, et non au sens figuré. Pourtant, l'un peut amené à l'autre. Pour revenir à un autre fil de discussion, on peut tout bêtement jeter l'éponge parce que l'on veut cesser de se sentir "manipuler" car ce qui provoque un mal être, une "obligation de retrait" s'assimile à mes yeux à une forme de chantage et une atteinte évidente à la liberté individuelle.
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clairobscure (invité)
le mardi 07 janvier 2014 à 12h57
Moi j'aime bien la réflexion de Siesta, c'est un peu la conclusion à laquelle j'en suis arrivée, et j'ai parfois l'impression que certaines réflexions (ici et ailleurs dans le monde) prennent le problème à l'envers:
"Blague à part, je crois que mon raisonnement est un poil cynique, mais je crois que focaliser sur les engagements monos ou polys, c'est zapper que amour-désamour dépend de tellement d'autres facteurs qu'on doit pas renoncer à notre façon de ressentir juste pour qu'il convienne à l'autre. On doit réfléchir en fonction de notre bien-être, du sien ; le jetage d'éponge ça peut être une décision raisonnable pour un bon avenir commun, mais pas une question de principe. "
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(compte clôturé)
le mardi 07 janvier 2014 à 13h58
Concernant la "compétition" je conseille la vidéo peaceful.Warrior.2011.TRUEFRENCH.DVDRip.Xvid-LEGiON (je donne tel que je l'ai sur mon fichier informatique) trouvable je pense sur internet.
Le message est je pense intéressant...
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bodhicitta
le mardi 07 janvier 2014 à 18h44
Moi je géte l'éponge quand j'ai plus confiance en l'autre (et en la "puretée" des sentiments)
Message modifié par son auteur il y a 12 ans.
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(compte clôturé)
le mardi 07 janvier 2014 à 18h53
La confiance est une notion je crois toute relative. C'est bien de préciser qu'elle accompagne pour toi la pureté des sentiments. Pour d'autres elle peut avoir un autre sens.
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Green-Man-Outside
le mardi 07 janvier 2014 à 20h03
bodhicitta8
Moi je géte l'éponge quand j'ai plus confiance en l'autre (et en la "puretée" des sentiments)
Message modifié par son auteur il y a une heure.
Hum... j'ai (entre autre) un besoin d'intelligence. A défaut de te taper les trois pages de discussion, pourrais-tu, s'il te plait, prendre le temps de lire le post initial avant d'intervenir dans ce fil ?
@gcd68 : c'est bien une métaphore, comme le dit Littlejohn. Le combat n'a pas lieu d'être en les personnes, mais peut se produire entre leurs conceptions du monde. Ce n'est pas en soi un combat, juste une différence, mais si l'un demande à l'autre de renoncer à son exclusivité tandis que l'autre demande à l'un de renoncer à sa non-exclusivité, il y a de fait, un combat d'idées et de pouvoir au sein de la relation, puisque celui qui jettera l'éponge se pliera ainsi à la volonté de l'autre.
Et sinon, la remarque de Siesta qui rejoint celle de Marie-Georges est pertinente (au cas où certains se poseraient la question).
Message modifié par son auteur il y a 12 ans.
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coquelicot
le mardi 07 janvier 2014 à 20h10
pourrais tu aussi avoir l intelligence de ne pas douter de l intelligence des autres ? :-)
On lit peut etre pas tout ,on tombe des fois a coté mais on est pas que con!
Message modifié par son auteur il y a 12 ans.