Polyamour.info

Tuya

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Lyon (France)

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Discussion : Relation libre unilatérale

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Tuya

le jeudi 18 janvier 2024 à 17h35

C'est un problème récurrent l'inégalité de partenaires. Lorsque le modèle polyamoureux est voulu par les 2 (exclusion du cas des polyacceptants), nous avons comme tu dis beaucoup plus d'opportunités : davantage de tri possible, mais également source d'insécurité pour le ou les partenaires.

N'oublie pas ton travail sur la compersion et si tu as besoin de mettre des limites pendant un temps, tu peux aussi en discuter...

Ce qui m'avait beaucoup aidé à l'époque de la découverte, c'était de savoir que j'avais davantage d'amants. Dès qu'une inquiétude se présentait, elle était comblée temporairement. Je me sentais forte et puissante.

Est-ce qu'un rééquilibrage te serait profitable le temps de te réarmer correctement ?

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Discussion : TW: suicide / Différentiel d'approche dans le remontage de moral

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Tuya

le jeudi 18 janvier 2024 à 17h27

Merci @artichaut mais tu sais moi j'aime beaucoup l'eau chaude (vive les bains!) alors cela ne me dérange pas de la réinventer ;)

@Intermittent merci pour ta réponse :)

En fait, je me suis inscrite avec ma boîte mail privée et je n'ai pas envie que tout le monde apprenne qui je suis. J'ai l'impression que cela passe par mail le système de dm...

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Discussion : Relation libre unilatérale

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Tuya

le mercredi 17 janvier 2024 à 10h07

Sallyco24
Où est la limite entre la déconstruction et le mal qu'on peut se faire ?

Avis personnel :
- la durée nécessaire pour la transition
- contraint et forcé ou non (des relations sans le consentement de toutes les parties prenantes au service d'une seule commencent mal)
- le niveau de douleur atteint et les pensées qui accompagnent la douleur
- la qualité de la communication de la personne initiatrice : paroles désobligeantes ou compréhension ?

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Discussion : TW: suicide / Différentiel d'approche dans le remontage de moral

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Tuya

le mercredi 17 janvier 2024 à 10h03

@merci intermittent :) Et comment on peut envoyer des dm ?

Et si quelqu'un a la formule magique hésitez pas :)

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Discussion : Oui, aux relations non-exclusives. Non, au polyamour. Pourquoi ? Comment ?

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Tuya

le mercredi 17 janvier 2024 à 09h58

Trésor de la langue française, célibataire :
" Qui vit dans le célibat, pour un temps ou pour toujours. "
"Solitaire ou privé d'affection."
"Celui, celle qui vit dans le célibat, par vocation ou par nécessité."

célibat :
"État de vie d'une personne qui n'est pas encore mariée, ou qui ne se marie pas." (on peut supprimer le terme marié de nos jours à mon avis).
"P. ext. Vie sans conjoint, vie de continence conjugale."
"Isolement affectif."

La notion de privation est présente.

Et dans le langage courant, "je suis célibataire" équivaut bien souvent à "tout est possible".

Je ne suis pas privée d'affection ni de "continence conjugale". J'ai des amants suivis pour une période temporaire et l'un remplace l'autre quand le moment est venu, seulement j'ai des périodes creuses par replis sur moi ou parce qu'il n'y a plus personnes pendant un temps.

Ce n'est pas une vie de célibataire que je ressens (je n'"enchaîne" pas d'ailleurs les relations) et je ne me définis pas en ce terme.

@artichaut tu n'as pas soulevé le terme célibataire également. Te sens-tu aussi en décalage par rapport à ce terme ?

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Discussion : Oui, aux relations non-exclusives. Non, au polyamour. Pourquoi ? Comment ?

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Tuya

le mardi 16 janvier 2024 à 17h13

Dans la notion de célibataire, il est couramment entendue que l'on est à la recherche de quelqu'un, ce qui n'est pas le cas et je ne me reconnais pas dans ce cadre qui est d'ailleurs faux : j'ai des relations.

Je me définie comme polyaffective : je prends mon temps avant de connaître la personne qu'un vrai lien se crée et nous sommes amis avant que quelque ne se passe.
C'est vraiment important pour moi.
Ces amis, je les apprécie sans vouloir la dose liée à l'état amoureux et je rejette toute projection.
C'est pour cette raison que je ne me définie plus comme poly même si cela peut y ressembler.

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Discussion : Oui, aux relations non-exclusives. Non, au polyamour. Pourquoi ? Comment ?

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Tuya

le mardi 16 janvier 2024 à 14h59

Salut @artichaut !

Pour ma part, arrêt du polyamour mais aussi et surtout de l'état amoureux donc exit aussi la monogamie.
Les raisons m'appartiennent mais ça n'a pas été tous les jours roses. À 39 ans, je ne veux plus souffrir.

Concrètement, j'ai des amis avec qui on couche ensemble. Si l'un d'entre-nous commence à ressentir quelque chose, on s'arrête et on ne se voit plus pendant quelques mois.
Tout le monde est au courant dans mon cercle d'amis de mes désirs et si je rencontre une nouvelle personne, je suis très claire immédiatement, avant même qu'il se passe quoi que ce soit.
Je teste même la personne en draguant ouvertement quelqu'un d'autre sous les yeux, comme ça tout est bien clair.

Après, je me sens souvent seule, les garçons me voient presque toujours pour ça et mes amies ne comprennent pas toujours. J'ai souvent des passages à vide où j'ai besoin de solitude pour deséponger.

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Discussion : Besoin de conseils , débutante en polyamour

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Tuya

le mardi 16 janvier 2024 à 11h17

Essaye de travailler ta concentration pour rester focus avec les personnes que tu vois en temps réel

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Discussion : Relation libre unilatérale

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Tuya

le mardi 16 janvier 2024 à 09h35

Pour la réassurance de mon côté ce qui marche bien : réaliser des défis que je n'ai pas fait avant.
Ex : manger du sable, apprendre par coeur un discours de Kim Jong Un ou toute autre chose qui te semblerait pertinente et fière.

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Discussion : TW: suicide / Différentiel d'approche dans le remontage de moral

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Tuya

le lundi 15 janvier 2024 à 17h57

test

Siestacorta
Quand t'es connecté, tu vas à la fin du message auquel tu veux répondre, ya un lien "citer".

Merci ça marche bien :)

Message modifié par son auteur il y a un an.

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Discussion : TW: suicide / Différentiel d'approche dans le remontage de moral

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Tuya

le lundi 15 janvier 2024 à 17h32

Mais comment tu fais pour citer ^^'

"ton amie était la relation adultère d'un homme marié" : ils n'étaient pas mariés. Sa copine était aussi au courant mais refusait comme mon amie la situation.

"dépister la faille narcissique" : proche quarantaine, sans enfant alors qu'elle en voulait. Le gars a débarqué tout sourire, tout beau en disant qu'il en arrivait à oublier sa conjointe. Elle y a cru.

"c'est pas le cadre poly qui peut aider à penser ça, je crains. " : je lui en ai déjà parlée mais elle ne veut pas.

"je veux croire qu'on peut avoir de l'éthique et se trouver quand même dans ces situations." : oui c'est pas lié à un modèle ça

"le mec est évidemment pas clean, et si elle lui voit des qualités elle peut voir des limites clairement maintenant" : il ne l'a même pas appelé une seule fois pour savoir si elle allait bien et elle espère encore qu'il l'a recontacte...

"Avoir le numéro d'urgence sur les TS à portée de main pour toi et pour elle, aussi.
https://3114.fr/" :
Je connaissais pas merci. Après je pense qu'elle n'a plus de pensées noires récurrentes. Je transmets à sa coloc c'est avec elle qu'elle passe le plus de temps.

"J'avoue que "la bonne question" de psy qui ferait faire à ton amie un travail de remise en question plus constructif qu'autoflagellatoire, j'ai pas. " : oui et malheureusement moi j'ai plutôt tendance à être super cynique donc je ne sais pas la meilleure là-dedans. Mon meilleur conseil ça été de lui dire de faire comme moi et elle a pleuré... xD

Message modifié par son auteur il y a un an.

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Discussion : TW: suicide / Différentiel d'approche dans le remontage de moral

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Tuya

le lundi 15 janvier 2024 à 12h44

Trigger Warning suicide : si c'est un sujet sensible pour toi, es-tu certaine ou certain de vouloir le lire ? Ne le lis pas si tu souffres de cela.

Salut la comu !

Les réflexions sur les violences psychologiques m'ont rappelé un truc.

Une amie a fait une TS dans le cadre d'une relation monogame qui merde : le mec dit qu'il s'en fiche de sa femme et la couvre de compliments, elle tombe dans le panneau, le mec se rappelle qu'il aime sa femme et ciao.
Le mec ne lui a plus jamais parlé suite à la TS mais visiblement il l'avait déjà bloqué juste avant de lui envoyer le sms de rupture.

Elle m'en parle encore souvent et est en boucle dans ses pensées négatives.

Ses pensées oscillent entre :
- sentiment d'être méprisée par la personne
- colère contre la personne de l'avoir ghostée
- autodévalorisation
- incompréhension
- culpabilité d'avoir cocufiée

J'essaie de la conseiller tant bien que mal mais je me sens souvent dépassée et ne sais réellement trop quoi penser de tout cela.

Est-ce que lui dire que la personne a bien fait de ne plus jamais la contacter parce qu'elle (mon amie) a mal réagit permettrait de lui faire tourner la page et d'éviter une éventuelle rechute ?
Ou alors cela ne serait pas bon pour sa culpabilité et je l'oriente vers le fait que le mec est vraiment limite ?

Son état me semble stabilisé : arrêt de l'alcool, sorties, boulot. Mais fume toujours à fond, pense beaucoup à ce qu'il s'est passé et a cessé toute forme de sport (donc pas complètement guérie).

Une idée pour lui permettre de tourner la page ?

Message modifié par son auteur il y a un an.

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Discussion : Couple libre

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Tuya

le lundi 15 janvier 2024 à 11h32

Je rejoins Noune.

Certaines personnes ont subi des violences lors de l'enfance ou de l'adolescence et elles doivent se reconstruire dessus.
Elles peuvent s'en sortir avec une aide psychologique pour défaire les mécanismes de défense non adaptés qui ont été développés. Cela peut prendre du temps et même avoir des rechutes.
C'est le problème : victime un jour, il y a le risque de rester dans un cycle toxique de victime-bourreau perpétuel.

C'est possible d'en sortir, mais cela ne se fait pas par magie. Faut accepter de se remettre en question, comprendre ce qu'est la manipulation, pourquoi elle réagit comme ça, comment réagir différemment.

Mais ce n'est pas à toi de souffrir pour le travail qu'elle n'a pas fait.

Un ami a giflé sa conjointe un jour. En 1 séance ils ont compris pourquoi ils en étaient arrivés à là et ça ne s'est plus jamais reproduit.
Une autre fois, il est allé reconsulter pour des manipulations de sa conjointe, en 4 séances c'était réglé.

Mais ce sont des cas ultra rares et c'est lié à la qualité de leur relation.

En général, il faut un minimum de 1 an de thérapie en partant du principe que la personne est de bonne foi dans sa démarche et accepter les rechutes qui risquent d'arriver.
Faut 3 mois minimum en moyenne pour intégrer un nouveau comportement dans la vie quotidienne en le pratiquant tous les jours.
C'est un sacré travail.

Tout le monde devrait aller voir un psy de toute façon : on a toutes et tous notre part d'ombres...

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Discussion : Amour ou pas

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Tuya

le lundi 15 janvier 2024 à 08h57

Super alors :-D

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Discussion : Couple libre

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Tuya

le lundi 15 janvier 2024 à 08h57

Vraiment, le mieux c'est que tu partes. C'est dur mais il faut te respecter.

Plus tard peut-être que vous pourrez reprendre la discussion sur les bases du respect, mais là, tant que le respect n'est pas présent, hormis te faire du mal encore plus longtemps ça ne sert à rien.

Avec la distance vous pourrez peut-être développer les outils de communication pour que cela soit respectueux pour vous deux avec vos limites, mais là vous me semblez pris dans un mécanisme vraiment toxique.

Moi aussi je me faisais chercher chez mon amant... quand j'avais 15 ans.

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Discussion : Tout quitter pour être poly, et au final être celib.

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Tuya

le lundi 15 janvier 2024 à 08h53

@Siestacorta : "Sans aller jusque là, c'est comme toutes les histoires d'amour : on écrit des vies c'est pas du fire and forget - conception amatonormée de la rupture, d'ailleurs, puisque le scénario des amitiés solides entre ex, par exemple, ne rentre pas dans ce récit théorique. "

Oui je suis d'accord.

"celui de faire de l'histoire du poly qui abandonne un mono dans le froid et la misère le "classique" du genre" et après :

Ce n'est pas ce que j'ai écrit, je n'oppose pas poly / mono sur le sens de ce qui est mieux dans une relation, chacun fait ce qu'il veut. Je parle de la responsabilité lorsque qql tombe en dépression ou équivalents.

"Si je place perso un supplément de responsabilité côté poly (et pas TOUTE la responsabilité)"

On peut avoir la responsabilité de changer le contrat en ayant fait le choix de développer un sentiment, mais je crois que le plus important vraiment c'est de ne pas laisser l'autre souffrir plus que de raison.

Sortons du polyamour pour reprendre quelque chose de plus classique.
A et B sont en couple c'est l'amour parfait ils veulent des enfants, ont des projets communs etc.
Ils vivent ensemble dans la ville x où A a toute sa famille et sa bande d'amis.
Par contre, B vient de la ville y située dans le pays delta.
B se sent très souvent seul, n'arrive pas à s'intégrer et souffre de dépression suite à ça depuis Z années.
Mais A ne veut pas quitter la ville alors que B rêve de rejoindre le lieu où est sa famille et en parle souvent.
Je pense que A doit laisser partir B, ne serait-ce que pour voir si B sera plus heureux chez lui.

C'est simplifié à l'extrême mais rapidement au taf j'ai pas trouvé mieux pour illustrer.

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Discussion : Tout quitter pour être poly, et au final être celib.

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Tuya

le dimanche 14 janvier 2024 à 11h36

D'accord je comprends mieux pourquoi tu te sens autant impliquée : tu es toi-même dans cette situation.

Personne n'a fait de comparaison avec une agression sexuelle, c'est une interprétation de ta part. Si je dois utiliser le terme agression sexuelle, je l'utilise clairement et je n'emploi pas de sous entendu.

C'est à toi de décider de ce que tu fais de ta relation actuelle. Soit un cheminement vers la mono, soit continuer à tenter le polya avec ton compagnon mais si cela n'affecte pas trop sa santé mentale.

Vraiment, comparer la situation entre une personne mono qui risque de tout perdre et une personne polya qui risque de perdre une personne parmis d'autres n'est ni juste ni équitable.

Il y a bien évidemment de la souffrance lorsque l'on est polya mais les risques ne sont pas les mêmes que pour la personne mono, c'est ce que j'essaie de te faire comprendre et @Intermittent aussi si je saisie bien ses propos.

Il y a se préserver soi qui est important, mais aussi les autres.

Tu n'as pas discuté de comment ton compagnon vivait la situation, les accords passés entre vous etc. Nous n'avons aucune idée de comment ça se passe entre vous (ou alors j'ai loupé un passage) et personnellement mes propos ne sont pas dirigés vers ta relation à toi.

Le sens de mes interventions, c'est vraiment de protéger au maximum les 2 parties.

Dans ton cas, par exemple, basé sur presque aucune information et donc en situation théorique les possibilités de futur sont les suivantes :
- soit c'est trop douloureux depuis trop longtemps pour ton compagnon et qu'il ne peut pas faire la transition et que tu veux rester dans le modèle polya pour x raisons : alors il vaut vraiment mieux se séparer ou alors toi d'essayer le modèle mono en faisant la transition
- soit la douleur est récente et tu n'as pas de données suffisantes pour savoir comment ça va évoluer alors statu quo
- soit la douleur est gérée ou en cours d'effacement pour ton copain, alors peut-être que le modèle polya peut convenir et sa se tente.

J'ai omis la situation où ton copain avait accepté le polya sans souffrance basé sur ce que tu dis.

Pour revenir au sens de ce qui était dit auparavant pour que tu comprennes bien.
Si tu (c'est un tu général, pas toi en particulier) vois la personne avec qui tu es qui sombre dans une dépression suite à tes comportements, maintenir la situation n'est pas une preuve d'amour, bien au contraire. Si tu as différentes relations, même si c'est très douloureux de te séparer de quelqu'un, tu pourras trouver du réconfort dans les bras d'autres personnes.
Si ton univers tourne autour d'une seule personne, il n'y a pas de réconfort hormis les copines ou parfois la famille.
Est-ce que tu saisies la différence ?

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Discussion : Tout quitter pour être poly, et au final être celib.

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Tuya

le samedi 13 janvier 2024 à 13h25

@coeurpourpre

Demander à la personne qui a la main sur les rapports de faire attention à l'autre et de le respecter si la personne mono n'arrive pas à évoluer dans le sens de la personne poly cela me semble la base quand même.
La personne poly détient plusieurs biens tandis que la personne mono n'en a qu'un.
C'est une inversion de la charge de la responsabilité que de demander au pauvre des efforts en dédouanant le riche.
Le pauvre a déjà énormément de choses à penser : remise en question du couple, de l'amour, de son amour propre...
Le riche a l'avantage de la profusion des richesses.

C'est peut-être des avis tranchés mais ça me semble vraiment la base.

Pour ce qui est du choix de tomber amoureux ou non je ne suis pas de ton avis
J'ai longtemps tenté d'avoir des relations amoureuses soit mono soit poly.
Pour des raisons personnelles, j'ai décidé de couper le sentiment amoureux depuis plusieurs années.
J'échange avec différents amis pour une durée courte. Cela empêche les sentiments amoureux d'advenir. Si le sentiment commence à monter chez l'un ou chez moi, on s'arrête et chacun continu ailleurs.

C'est bien une décision personnelle que de continuer à alimenter ou non un sentiment naissant. C'est un choix.
Moi j'ai fait le choix mono puis polya puis d'envoyer balader ce truc et ça fonctionne très bien.
Heureusement qu'on n'est pas seulement l'esclave de nos émotions.

Je ne vois rien de tranché dans les échanges mais vraiment un soucis que les bases du respect soient présentes.

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Discussion : Chamboulement et peurs

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Tuya

le samedi 13 janvier 2024 à 13h12

Pour les retours positifs jette un oeil aux récits de bonheur :)

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Discussion : Tout quitter pour être poly, et au final être celib.

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Tuya

le vendredi 12 janvier 2024 à 11h43

Je crois que tu es un peu naïf sur les accords que les monos tentent de se faire avec eux-mêmes.
Exemples de constructions de pensées possibles placées sous le signe de l'attachement (omettons les phénomènes d'emprise qui sont loin d'être rares) :
- c'est une passade, iel me reviendra
- je suis trop nul.le, je dois m'améliorer pour reconquérir
- c'est sa liberté, je serais un tyran que de refuser
- si je pars je perds tout
- la société libérale est comme ça je suis hasbeen
- un mélange de ces exemples
==> en résumé : "c'est de ma faute, l'autre est génial, je dois changer pour me mettre à niveau"
==> destruction possible de l'égo à différents degrés d'intensité
destruction de l'égo ==> hausse des risques d'emprise même non voulus ni conscientisés

Soit ça part au bout de quelques temps, soit ça reste malgré les tentatives pour se remettre soi même en question.

Dans tous les cas, il est bien rare que cela se fasse sans souffrance. C'est de la responsabilité de la personne qui à la base est la cause de la souffrance de conserver un regard avisé sur l'évolution et si cette évolution semble impossible, d'arrêter les souffrances.

Des indices liés au comportement de la personne mono :
- sort moins
- sourit moins
- consommation d'alcool ou de drogue
- consommation d'antidépresseurs
- frénésie sexuelle (tenter de reconstruire son image de son pouvoir de séduction)
- frénésie sportive (se refaire beau)
- autres

C'est acceptable si c'est durant une période de transition, éthiquement beaucoup moins si cela dure.
Faire attention à l'autre c'est primordial.

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