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Discussion : Comment gérer l’autre homme de ma femme

Intermittent
le vendredi 01 mars 2024 à 11h38
Cam
A chaque fois qu’un couple se forme il y a un homme et une femme de moins de disponible.
A chaque fois qu’une femme ou qu’un homme ouvre le couple, il y a une femme et un homme de plus de disponibles. Les mathématiques voudraient qu’en théorie il y ai autant d’hommes de disponibles que de femmes. La seule raison pour lesquelles les femmes seraient moins disponibles pour se mettre en relation que les hommes, seraient qu’elles désirent moins que les hommes avoir des partenaires (multiples ou non). Je parle d’un point de vue purement mathématique.
Je ne crois pas me tromper en disant qu’il est impossible mathématiquement parlant de dire à la fois:
« Les femmes veulent plus que les hommes avoir une pluralité de partenaires. »
ET en même temps « les hommes on moins de choix concernant les femmes qu’ils peuvent trouver. »
Car si les femmes veulent plus que les hommes avoir plusieurs partenaires alors c’est, mathématiquement parlant, l’inverse qui devrait se produire.
Après je suis parfois étourdie et je fais des erreurs de calcul… mais là, vraiment je ne crois pas.
Une explication à ce différentiel pourrait être que vu que les hommes tromperaient plus que les femmes et que ces dernières ne seraient pas au courant d’être dans un couple ouvert alors oui il y aurait plus d’hommes disponible que de femmes. Mais dans ce cas ce serait bien que ce sont les hommes qui ouvrent davantage, en le disant ou non, leur couple.
Après est-ce que ce différentiel existe vraiment…
Statistiquement, il y a plus d'hommes adultères que de femmes adultères même si le différentiel s'amenuise.
Mais j'ai le sentiment qu'il y a plus de femmes que d'hommes qui s'orientent "naturellement" vers le polyamour, mais toujours en nombre plus faible que les adultères.
L'intermédiaire entre les les deux est le couple ouvert (libre ?) qui permet des écarts mais sans les avouer dans le détail et en limitant les interactions entre les amants.
C'est le "Don't ask, don't tell"
Discussion : Sondage IPSOS de février 2024 sur la sexualité des Français

Intermittent
le vendredi 01 mars 2024 à 11h27
Il arrive que les discussions tournent ici autour du différentiel d'attractivité ou de désir entre femmes et hommes.
Sur ce site comme sur d'autre, à part des liens vers des articles de journaux généralement féminins, il y a peu de sources récentes et accessibles facilement.
En voici une qui permet de relativiser certains mythes et d'en conforter d'autres ....
A lire l'étude complète au format PDF en cliquant sur le lien "L'Analyse"
Discussion : Comment gérer l’autre homme de ma femme

Intermittent
le dimanche 25 février 2024 à 18h12
Hawkeye
Que tu n'aies pas envie de rencontrer une autre femme c'est ton choix.
Je ne pense pas que ce soit un choix, mais une impossibilité psychologique liée à sa dépendance affective envers sa conjointe qui l'empêche de se projeter dans une autre relation.
Et même s'il se forçait, ce ne marcherait pas car les rencontres qu'il pourrait éventuellement faire seraient imprégnées de cette dépendance et ça fait fuir la plupart des femmes.
Discussion : Comment gérer l’autre homme de ma femme

Intermittent
le dimanche 25 février 2024 à 14h34
Hawkeye
des petites choses qui font redescendre et douter que l'ouverture était la bonne solution.
Quelles sont donc ces petites choses ?
Discussion : Appel à questions (pour mon taf de sexologue)

Intermittent
le samedi 24 février 2024 à 21h58
Eh bien ça répond à beaucoup de questions.
Merci du pavé argumenté ....
Discussion : Recensement de stats et d'études sur le polyamour

Intermittent
le samedi 24 février 2024 à 21h38
Siestacorta
mais combien voudraient essayer
Essayer le polyamour ?
Houlà , je ne suis pas sûr que au delà de la déclaration d'intention, il y ait tant de volontaires.
Parce qu'entre en discuter d'un ton léger sur l'oreiller après avoir lu un article (généralement dans un journal féminin) et se pencher vraiment sur les modalités, il y a un grand, grand fossé.
C'est comme pour tout, le diable se niche dans le détail.
Par exemple :
Questionnés à savoir s'ils tromperaient leur conjoint s'ils étaient assurés de ne pas se faire prendre, 11 % de plus ont avoué qu'ils le feraient, portant donc le total à 29 %.
Donc pour la transparence exigée par le polyamour, tu repasseras ....
Discussion : Recensement de stats et d'études sur le polyamour

Intermittent
le samedi 24 février 2024 à 00h03
Oui tu as probablement raison.
Je dois confondre vu que Match m'a l'air d'être le site de rencontre pour une "relation sérieuse" "ciblant les célibataires désireux de trouver une relation fiable".
Toute la définition d'une relation polyamoureuse ...
Discussion : Recensement de stats et d'études sur le polyamour

Intermittent
le vendredi 23 février 2024 à 23h13
Oui mais ...
Match n'est pas un site de rencontre pour polyamoureux mais un site de rencontres extra-conjugales.
Ça rejoint ce que je pense de côté "politiquement correct' du terme polyamoureux moins sulfureux qu'extraconjugal ... et plus vendeur.
Parce que je doute que Match fasse la publicité de la transparence totale requise par le "vrai polyamour bio sans additifs" ....
Discussion : Appel à questions (pour mon taf de sexologue)

Intermittent
le vendredi 23 février 2024 à 23h03
Juste une remarque :
"Qu'est-ce qu'un sexologue ?
Un sexologue est un médecin de formation qui a suivi un cursus supplémentaire de 3 ans en se spécialisant dans la sexualité. Le sexologue est habilité à prescrire des médicaments et des actes médicaux. Il peut également pratiquer de la chirurgie lorsque cela s'avère nécessaire.
Il se préoccupe des maladies sexuelles, donc physiologiques, contrairement au sexothérapeute qui, lui, traite uniquement l'aspect psychologique du trouble sexuel. Le sexologue est le médecin de la sexualité, mais il peut également entreprendre une thérapie avec ses patients.
Les sexologues sont d'ailleurs souvent embarrassés par les sexothérapeutes, car la confusion entre les deux métiers est fréquente. Le sexologue est plus qualifié que le sexothérapeute et saura identifier et traiter les maladies et infections sexuellement transmissibles."
Donc Alabama ne peut se prévaloir du titre de sexologue mais uniquement de sexothérapeute.
Discussion : Appel à questions (pour mon taf de sexologue)

Intermittent
le jeudi 22 février 2024 à 22h40
La question que je me pose, c'est comment concilier TDS et sexologue ...
C'est quand même assez ambigu.
Le risque n'est pas nul de coucher avec un "patient" dans ce contexte.
Comme on le voit avec Gérard Miller, psychanalyste (profession également non réglementée), accusé de multiples agressions sexuelles et viols, ce genre de situation et de possibilité d'emprise n'est pas négligeable.
Ceci dit, j'aurais probablement moins peur d'un dérapage d'une sexologue femme.
Discussion : Recensement de stats et d'études sur le polyamour

Intermittent
le jeudi 22 février 2024 à 22h19
La traduction américaine a été bâclée :
Voici la bonne traduction :
1 personne sur 9 – donc environ 10% – se serait engagée dans une relation extra-conjugale 1 personne sur 6 aurait un désir de s’engager dans une relation extra-conjugale 1 personne sur 15 connaît quelqu’un qui est engagé dans une relation extra-conjugale.
Ca me semble plus proche de la réalité ...
Discussion : En quête de ma vérité

Intermittent
le mercredi 21 février 2024 à 00h02
Ce qui n'est pas clair dans ta formulation, c'est :
"j’ai fait le choix de vivre dans la transparence avec ma compagne sur cet état polyamoureux."
Ce qui laisse supposer que ton orientation polyamoureuse n'a pas été mise sur la table au début de la relation.
Discussion : L'art subtil du détachement

Intermittent
le mercredi 14 février 2024 à 19h53
Artichaut
J'entends plutôt quelque chose de "instictif", "non réfléchis", "penchant inconscient". Et je rattache ça a du culturel (nous sommes le produit de notre société).
Tu fais des rapprochements hasardeux ...
Définition de Instinctif :
De l'instinct animal.
Rien de culturel la-dedans, mais tout de naturel ....
Discussion : Y a-t-il un âge pour le polyamour ?

Intermittent
le samedi 10 février 2024 à 15h07
Nuage0363
J’essaye de reconstruire une autre relation depuis lors, plus ouverte. Mais les espérances du début ont tendance à s’évaporer. L’exclusivité refait vite son apparition et je m’y sens alors enfermé.
Hormis les polyamoureuses expérimentée et pratiquant depuis longtemps, j'ai quand même l'impression que la majorité des femmes de cet âge ont plutôt de l'intérêt pour les relations exclusives et "reposantes".
Certaines ne souhaitent plus cohabiter (elles ont déjà donné ....), mais cela ne les rend pas forcement plus partageuses ....
Discussion : L'art subtil du détachement

Intermittent
le samedi 10 février 2024 à 14h46
Hemma16
(Pour le tableau complet, j'ai un couple socle, qui malheureusement commençait à battre de l'aile avant le polya, et qui est mis à rude épreuve depuis, on commence à exprimer que peut être, ça ne fonctionnera plus pour notre couple. Mais j'ai du mal à faire une croix sur la sécurité affective qu'apporte la vie de couple socle, alors que c'est moi même qui suis en chute libre de sentiments amoureux et d'intimité pour mon conjoint)
J'ai déjà lu à plusieurs reprises ici ou ailleurs que démarrer le polyamour dans une relation déjà cahotante n'était pas la meilleure des idées.
La décision de te lancer dans une aventure "polyamoureuse" a-t-elle été prise avec le consentement "éclairé" de ce compagnon ?
J'ai un peu l'impression que c'est une façon non contrôlée de terminer ce couple déjà fragile.
D'autre part, je doute que lui se satisfasse d'être une "roue de secours" quand les amours vont mal de ton côté.
Parce que si tu quittes un couple stable pour essayer de reconstituer un couple stable, au sens ou tu l'entends, avec un polyamoureux, ce n'est pas vraiment la meilleure méthode.
Discussion : Questions

Intermittent
le mercredi 24 janvier 2024 à 23h17
Topper
Est-ce que tu peux être plus désagréable dans tes interventions ou t'es à ton maximum ?
J'ai écris :
"Je crois que tu prends tes désirs pour des réalités ..."
Il n'y avait rien de désagréable dans cette expression et je m'étonne de cette réaction.
J'avais d'ailleurs formulé ça différemment à l'origine et je l'ai supprimé en trouvant mon analyse un peu rude, quoique pertinente.
Au passage le gros pic d'intérêt (indice 100) envers le Polyamour date de 2004.
J'aurais du écrire, "on en parle moins qu'il y a 20 ans", la sortie de "Aimer plusieurs hommes" datant de 2003.
J'ai refait ta requête sur la France et le regain est moins marqué que dans l'ensemble du monde.
Discussion : Questions

Intermittent
le mardi 23 janvier 2024 à 22h04
Topper
D'ailleurs, si le polyamour est aujourd'hui adopté par les générations suivantes,
Je crois que tu prends tes désirs pour des réalités ...
Je ne vois pas autour de moi chez les jeunes, une explosion de polyamoureux ...
Pour tout dire je n'en connais aucun même s'ils ne sont pas obligés de s'afficher.
Le Polyamour, je pense qu'on en parle moins qu'il y a dix ans, et "Aimer plusieurs hommes" à 20 ans cette année.
J'ai plutôt l'impression d'un retour du conservatisme amoureux dans un contexte général de retour du conservatisme.
Discussion : Relation libre unilatérale

Intermittent
le samedi 20 janvier 2024 à 15h25
Je ne pense pas qu'on utilise pour mesurer ce que j'ai cité les mêmes méthodes que l'article que vous citez comme modèle d'évaluation à savoir :
Duplications indépendantes de l'acétylcholinestérase insecticides conférant une résistance à l'insecticide chez le moustique Culex pipiens
Je doute qu'on fasse un sondage en posant des questions aux moustiques pour savoir ce qu'ils pensent de leur résistance aux insecticides ....
Comparaison n'est pas raison et dans ce cas la comparaison des méthodes est tout simplement absurde ..... car portant sur des domaines radicalement différents.
Discussion : Relation libre unilatérale

Intermittent
le vendredi 19 janvier 2024 à 14h44
Suze
Attention aux articles de Mazaurette et aux généralités complètement pétées qu'elle fait. Son objectif est de vendre et pour vendre il faut savoir provoquer. Elle a bien compris le principe.Il n'y a aucun consensus scientifique sur ce qu'affirme Mazaurette dans cet article.
Maia Mazurette ne fait que reprendre certaines théories sur ce sujet . Elle ne les a pas inventées.
D'autres sources, comme un site que j'aime beaucoup même s'il n'est plus mis à jour depuis des années, invoquent peu ou prou les mêmes causes pour les mêmes effets :
Daniel Bergner : la monogamie étouffe-t-elle le désir féminin ?
https://lesfessesdelacremiere.wordpress.com/2014/0...
ou bien
Chute de la libido féminine dans le couple : tentative de démêlage darwinien
https://lesfessesdelacremiere.wordpress.com/2016/0...
Précision d'importance, l'auteur est (était ?) polyamoureux et le site est tombé en sommeil quelque temps après sa séparation.
https://lesfessesdelacremiere.wordpress.com/2015/0...
Donc, il n'est pas nécessaire d'incriminer l'autrice quand on n'aime pas le message,
J'ai lu des éléments similaires ailleurs et j'ai d'ailleurs le livre de Daniel Bergner cité dans un des liens, dans ma bibliothèque , qui fait référence à des études américaines sur le sujet.
Donc dire sans aucune source, qu'il n'y a pas de consensus sur le sujet est un peu léger, me semble-t-il ....
Je n'ai rien lu sur le Net qui démonte cette théorie.
Discussion : Relation libre unilatérale

Intermittent
le jeudi 18 janvier 2024 à 23h17
Topper
Elle a beaucoup d'opportunités, moi non. J'ai eu une rupture difficile. Ce contexte me rend envieux et vulnérable.
Bienvenue dans le monde réel, noyé dans la masses des hommes adultères ou célibataires ...
C'est comme çà pour la plupart des polyamoureux masculins en couple, et pour les libertins qui ne sont pas en couple.
Et puis, il faut comprendre que les femmes sont extrêmement sélectives et pas simplement parce qu'elles ont du choix.
Voir l'article de Maïa Mazurette dans le Monde
Quelques extraits :
Selon la biologiste allemande Meike Stoverock, 80 % des femmes sont sexuellement attirées par 20 % des hommes. .../... Disponibilité des hommes, sélectivité des femmes Revenons à Meike Stoverock, puisque c’est elle qui fait l’actualité. Selon ses travaux, le fonctionnement standard de l’espèce humaine (et de la plupart des espèces animales) oppose la disponibilité des hommes et la sélectivité des femmes (ils proposent, elles disposent). Les partenariats se forment pour trois ou quatre ans, le temps d’assurer la gestation et les premières galipettes d’un enfant. Cette durée est encore observable aujourd’hui : c’est celle du désir des femmes pour leur partenaire. Leur libido se porte ensuite ailleurs. Si le cadre monogame les empêche de passer à l’acte, alors leur libido se met en sommeil – même si, bien sûr, d’autres raisons peuvent susciter la décrue de leur désir. (Cette situation vous semble-t-elle terriblement familière ?) .../... On peut domestiquer le corps des femmes, pas leur libido Cette théorie n’est pas entièrement nouvelle. En 2014 déjà, on pouvait lire dans le New York Magazine que les femmes ne sont pas taillées pour la monogamie (l’article est ici). On y apprenait que, selon les recherches des docteurs Aaron E. Carroll et Rachel C. Vreeman, le déclin de la sexualité conjugale ne serait pas dû à une moindre libido féminine, mais au fait que la libido féminine n’est pas faite pour s’exprimer dans le couple. D’où un paradoxe : les hommes ont effectivement inventé une structure sociétale qui assure un « minimum sexuel pour tous », mais ce minimum ne leur garantit pas le désir des femmes. Seulement des rapports sexuels. Je clarifie : on peut domestiquer le corps des femmes, mais pas leur libido. Elles se forceront peut-être, par obligation maritale ou par tendresse, à coucher avec leur conjoint. Mais en pensant à autre chose. https://www.lemonde.fr/m-perso/article/2021/03/27/...
Donc à moins d'être dans les 20%, tu rames ....
Et on l'a vu dans deux posts récents de ce site, des hommes qui ont du succés, avec plusieurs femmes, ca existe ... mais ce ne sont pas les plus "polyamoureux" .....