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Discussion : Rencontres

bonheur
le samedi 19 août 2017 à 08h50
Scott
. _ Quel est pour vous le luxe suprême?
l'argent? des biens matériels? un gros salaire? gagner au loto? une maison avec piscine?
J'adore mon nid douillet (ma maison... et accessoirement la piscine) et j'apprécierai encore plus le moment où elle sera enfin mienne. Le salaire minimum m'est suffisant et au diable les vacances au bout du monde. Je ne joue pas au loto et je n'ai besoin de rien d'autre que ce que j'ai.
Scott
Et donc non, Mr Kill your idols, je ne suis pas d'accord avec toi et ta recherche a priori de "stratégie", "solutions" "efficace" "masse", tout ça pour moi c'est du marketing sexuel pour faire du chiffre et de la quantité, ... pas de la qualité.
Je suis d'accord sur l'effet qualité et non quantité. Et oui, les mots entre guillemets n'ont pas de sens non plus pour moi.
Par contre, ramené l'amour à du sexe obligatoire ??? Même si je comprend l'argument indiquant que les MST sont à prendre en compte, c'est évident !
La salope éthique, je l'ai lue et ce livre ne m'a pas vraiment fait vibrer, ni je ne m'y suis retrouvée. Mais alors pas du tout, du tout... Pour moi, mais là ce n'est que moi, ce livre est contre-productif. Il parle à mes yeux trop de cul et pas d'amour. Peut-être le caractère trop conceptuel des auteures pour qui amour n'a pas le même sens que pour moi. Donc forcément...
Discussion : Aider l'homme que j'aime

bonheur
le jeudi 17 août 2017 à 18h29
En relisant, je m'aperçois du titre : "aider l'homme que j'aime". Je dirai alors, juste à cela, que l'on ne peut aider quelqu'un qui n'est pas dans une volonté d'être aidé... d'autant que ces décisions lui appartiennent.
Personnellement, je pense qu'il ne faut pas agir à sa place. Seulement avec son accord, tu peux exprimer à son épouse (comme tu l'as évoqué) mais il ne t'appartient pas, je pense, d'en décider à sa place.
Je crois, à te lire, que c'est toi qui vit mal la situation que tu désires évoluer dans une plus grande transparence, mais pas lui.
C'est ce que je nomme une incompatibilité et c'est souvent celle-ci qui mène à une séparation.On ne peut pas toujours tout vivre, même avec la meilleure volonté.
Discussion : Aider l'homme que j'aime

bonheur
le jeudi 17 août 2017 à 17h12
Je suis mariée et j'ai parlé à la fois à mon mari et à la fois à mon amoureux (trop long à raconter). Puis, j'ai repris contact avec un ex... très présent depuis notre première rencontre, dans mon coeur. Ce dernier a été célibataire, et face à mon refus de divorcer pour l'épouser, il s'est marié avec une autre. Notre amour était platonique (comme toutes mes relations hors mariage), sauf que tout se sait toujours un jour ou l'autre.
Le bordel, c'est de mentir et de faire ensuite un repenti. Une personne qui ment sans vergogne, difficile de lui porter du crédit ensuite. Une tromperie reste une tromperie et c'est comme pour les oeufs et pour les boeufs. Il suffit d'adapter le dicton.
Vous avez eu une période de "découverte-fréquentation" et c'est à ce moment-là qu'il aurait dû prendre sur lui. Aussi, ça n'a pas l'air de le formaliser plus que cela... donc ça lui convient, à lui. Si j'ai raison (je ne le connais pas, sa situation avec sa femme non plus, donc je m'avance suivant ce que j'ai compris), tu resteras la maitresse dans l'ombre et pour la suite, qui vivra verra.
C'est ton souhait la clarté, la transparence, mais est-ce le sien ?
Discussion : Ou madame paradoxes

bonheur
le jeudi 17 août 2017 à 15h51
Non, ce n'est pas demain non plus que je l'oublierai.
Moi on m'appelais "trop", pourquoi ? Sans doute parce que j'étais trop !
Super chanson à la fois douce, belle et avec intelligence de la vie comme du coeur (+)
Merci Raz pour cette découverte :-) (+)
Discussion : L'amour à 3... trouvée et perdue
Discussion : Rencontres

bonheur
le jeudi 17 août 2017 à 07h47
Je me moque des cas et je prend tout le temps nécessaire. Et si on commençait par de la communication : exprimer son amour et indiquer qui l'on est... si ça fait fuir, tant pis. Surtout, enfin pour moi, ne jamais se renier... jamais.
Discussion : Ou madame paradoxes

bonheur
le jeudi 17 août 2017 à 07h45
:-) :-) :-) La vie est pleine de surprises !!!
Message modifié par son auteur il y a 8 ans.
Discussion : Rencontres

bonheur
le mardi 15 août 2017 à 20h40
La polyaffectivité peut avoir une place intéressante. Du moment que ça se vit bien et que le respect est présent. Bon après, les incompatibilités, jouent sournoisement leurs rôles dans les relations, y compris celles qui sont atypiques et ce n'est l'atypicité qui créé un fossé et une rupture du lien.
Discussion : Rencontres

bonheur
le mardi 15 août 2017 à 19h12
Je crois, pour ma part, c'est que les "solutions de masse" sont anti-productive.
Par exemple, Kill, qui me connait extrêmement bien, conviendra que ce qui lui apporte ne pourra pas me convenir. Situations différentes, possibilités d'aimer différentes... Et pourtant, pour moi, l'amour a été présent et bien vécu durant un temps. Peut-on dire que l'amour que j'ai ressenti alors fut un échec ? L'amour n'était-il pas efficace ? Je souhaite qu'il fut vécu réciproquement à la valeur juste que l'un comme l'autre lui avons accordé et celle-ci fut pour moi en harmonie avec mes émotions et mes ressentis.
Après, je rejoins, te connaissant, Kill, la vision d'Etrendil.
Du moment que l'on ne m'intègre pas à une quelconque "communauté", je continuerai à être mon auto-référentiel et ceux qui se retrouve, même que très très partiellement dans mes propos, ou au contraire ne s'y retrouve pas, mais y comprenne autrui, mes mots auront un sens. Nous avons cela en commun, en effet, de vouloir aider. Sauf que pour ma part, je préfère que chacun-e trouve son auto-référentiel, sachant que celui-ci évoluera. Dans tous les cas, quand la volonté est positive en terme de cheminement, nos avis seront opportuns.
Discussion : Que faire

bonheur
le lundi 14 août 2017 à 14h25
Etre soi à un prix, alors que ça ne devrait être que du "bonheur" :-/
Et oui, ce prix, ce sont souvent nos "choix". Chez moi, la vérité est salvatrice. Ce fut donc ma façon de me "libérer". Assumer est difficile, mais plaire au plus grand nombre est difficile aussi.
Ma vie a fait que j'ai eu peur de perdre un amour (qu'il meurt ou que ce soit très grave)... ce fut un révélateur et un déclencheur. Après cela, les valeurs "communes" ne pouvaient plus régir ma vie et je me suis prise en main.
Je suis heureuse lorsque des personnes ont cette prise de conscience sans avoir besoin d'un tel déclic. D'un autre côté, ça aide d'en avoir rien à foutre du reste du monde afin de devenir soi et de s'assumer. Il y a toujours du bien dans ce qui parait difficultés et souffrances.
Discussion : Un peu de mon, de notre histoire...

bonheur
le lundi 14 août 2017 à 14h16
Tout à fait Toinou :-D :-D :-D
D'ailleurs, à mes yeux, le Cantique des cantiques est un texte magnifique... et parfois d'être "sale" ça met encore plus en valeur et en lumière :-D :-D :-D
Discussion : Un peu de mon, de notre histoire...

bonheur
le lundi 14 août 2017 à 11h56
C'est cela la liberté d'expression... il y a du pour et du contre... même ici. D'ailleurs, j'en profite pour remercier l'effort magnifique de mon époux :-D
Discussion : Que faire

bonheur
le dimanche 13 août 2017 à 20h57
J'avais regardé une émission débat sur les enfants transgenre et un père avait indiqué que (son fils) sa fille était certainement extrêmement plus mature que la plupart de ses camarades. Ceux-ci avaient d'ailleurs indiqués qu'ils avaient appris grâce à elle.
Moi, j'ai commencé ce travail à 38 ans alors qu'à même pas 20 je choisissais comme une idiote entre l'amour et l'amour. Je suis heureuse, et admirative, lorsque je constate que les jeunes générations s'investissent tôt dans la compréhension et l'acceptation de qui ils sont. Quelque soit l'âge, c'est délicat et difficile. Par contre, c'est vrai qu'à 40 ans, on a moins de scrupule à délaisser les parents et s'imposer suivant qui l'on est. On a moins de "compte à rendre".
Discussion : Belle et dangereuse

bonheur
le dimanche 13 août 2017 à 20h51
Mon pseudo "bonheur", je l'ai choisi après avoir compris que l'amour n'est pas suffisant à maintenir un lien mais que celui-ci perdurera toujours en moi... et ça ce n'est que du bonheur. Il y a même des personnes qui n'ont jamais su ce que je ressentais, que je garde avec bonheur en moi. C'est quand on renie ce bonheur vécu que l'on se perd et que l'on perd l'autre. Donc, je quitte avant que la situation m'encourage à devenir négative par rapport au lien, avant que le bonheur se perde...
Ca, personne ne peut me l'enlever et ça ne concerne que moi. Quand on fait en sorte qu'une situation s'arrange... et qu'on n'y arrive pas malgré les efforts, la communication... il faut aviser en conséquence. Après, je ne dis pas que ce soit aisé et agréable. Personne n'est parfait, moi non plus. Je sais que dans toutes les séparations, j'ai ma part de responsabilités, de non compréhension, de non acceptation, d'incapacités à vivre certaines situations...
Discussion : Belle et dangereuse

bonheur
le dimanche 13 août 2017 à 19h01
C'est je crois à lui de faire ses choix. Parfois on fait le choix de rester dans une situation inconfortable. Si tu subis par ricochet, il est aussi de ton choix de t'extraire ou non de cette situation.
Il y a des inconvénients dans chacun de nos choix... et des avantages. C'est toute l’ambiguïté d'un choix. Le parfait est rarement de ce monde et généralement pas sur la durée :-/ Il faut faire avec, au mieux...
Discussion : Ou madame paradoxes

bonheur
le dimanche 13 août 2017 à 17h26
Je n'ai jamais réussi à comprendre réellement les fondements de ce changement d'attitude chez mon amoureux concerné. D'ailleurs j'en ai eu un autre que je voyais une fois l'an. La première année, il était depuis peu avec son autre amoureuse et ça c'est plus ou moins passé, mais ça allait. La seconde année, lorsque j'y suis retournée pour les vacances, j'étais moins accueillie en particulier en public, alors qu'ils ne vivaient pas ensemble, mais le simple fait d'imaginer une rumeur... Enfin, j'interprète peut être. Dans les deux cas, j'ai quitté car l'amour ne doit pas être un combat mais un bonheur. Quand on commence à poser des questions qui restent sans réponse, je passe mon chemin.
Après, il y a ce que l'on peut ou pas vivre. Et là, il n'y a rien d'intellectuel, c'est juste ainsi.
Par contre, je reconnais que quand on fait un gros travail sur soi pour l'acceptation et défier les "on dit" et que l'on se retrouve restreint par l'autre, pour qui la situation devrait être clair, c'est rageant.
Discussion : Que faire

bonheur
le dimanche 13 août 2017 à 17h19
Pour ce qui est de mon expérience sur Dijon, l'association (la seule) lgbt qui existe se désintéresse complètement des polys.
Discussion : Belle et dangereuse

bonheur
le dimanche 13 août 2017 à 17h17
Carline
...des larmes que je retiens
Ca me fait toujours mal de lire ou entendre cela. Au nom de quoi devrait-on "retenir" des larmes. Les larmes sont un excellent moyen d'expression. Je ne dis pas qu'il faut pleurnicher tout le temps pour se faire plaindre, mais on doit permettre de laisser sortir ce qui est destiné à l'être. Dans un premier temps je ne peux que t'encourager à laisser couler afin de respirer enfin, intérieurement !
Personnellement, lorsque les incompatibilités sont trop importantes, je rompt. Et si mes co-amoureuses prennent trop de place, je leur laisse la place. C'est en effet à ton amoureux d'aimer au pluriel avec équité (et non égalité) afin que chacune soit satisfaite. Après, il n'a pas le meilleur rôle.
Que pense-t-il de cette situation que tu vis mal ?
Discussion : Que faire

bonheur
le samedi 12 août 2017 à 12h12
Les mauvais rapports parents-enfants... Il se trouve que j'ai des parents ET des enfants (19 à 27 ans).
Mon fils ainé va bientôt se marier alors que personnellement je suis aujourd'hui contre cette institutionnalisation de l'amour. Il n'est à mes yeux pas utile de se marier pour être heureux. De toute façon, avec mon fils, on a coupé les ponts. C'est mieux pour le développement personnel de chacun-e et pour les repas de famille qui tournaient toujours en cacahouettage.
Lorsque ma mère a appris que j'étais poly, bien qu'en présence de mon mari, j'en ai pris plein la gueule. Mon mari devenant le pauvre Caliméro à plaindre et à soutenir (y compris financièrement car quand il y a trop plein d'argent, on ramène tout à cela) et moi le vilain petit canard à maudire.
Donc, oui, pas facile à gérer les rapports parents-enfants-parents. J'ai 49 ans, je n'ai nul besoin d'autrui pour savoir qui je suis et comment je dois vivre. D'ailleurs, à 16 ans, je n'étais pas bien "à la maison" (chez mes parents).
A savoir que l'essentiel, enfin d'après mon avis et en fonction de ce que tu dis, est d'être bien dans tes baskets (ou new-rock, c'est comme tu choiz). Il ne faut pas chercher à convertir. Chacun-e doit être aimer pour ce qu'il-elle vit le mieux et l'important serait le bonheur individuel.
Surtout, soit qui tu es, et si on te dit que tu es un vilain petit canard, n'oublie pas que celui-ci trouve enfin sa place au milieu de ces beaux et majestueux cygnes.
Discussion : Un peu de mon, de notre histoire...

bonheur
le samedi 12 août 2017 à 11h16
Jacques Attali dans son livre "amours" précise cette évolution et même l'explique.
Egalement le livre de Catherine Ternaux "la polygamie, pourquoi pas ?" distinguant la polygamie choisie à la polygamie subie