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Discussion : Amour avec un grand A, coup de foudre, âme soeur...

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bonheur

le mardi 05 décembre 2017 à 10h24

Je reprends ici afin de ne pas faire de hors sujet sur un autre fil de discussion

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Discussion : Comment gérez vous les relations avec des amis mono qui vous attirent ?

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bonheur

le lundi 04 décembre 2017 à 20h32

Camille_B
Cela dit, ça ne se trouve pas à tous les coins de rues !

Heureusement, sinon je ne saurai plus où j'en serai. Le terme âme soeur... comment dire... je ne crois pas que ce soit dans mon vocabulaire courant, mais l'idée est présente. Une personne unique ne cache pas une autre personne unique, enfin pour moi. Chaque personne que j'aime est tellement particulière.

Nous avions parlé lors d'un récent café poly du fait que mes amours n'étaient pas stéréotypés. Aucun rapport physique, d'ADN ou culturel ou autres. Aucun rapport de place dans la société et pas tous polys ou monos ou autre cases. La diversité et les amours différents. Après, aucun impact identique non plus... Certains sont plus des âmes soeurs, d'autres pas du tout. Après mon appellation et définition de l'âme soeur est peut-être personnelle.

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Discussion : Comment gérez vous les relations avec des amis mono qui vous attirent ?

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bonheur

le lundi 04 décembre 2017 à 19h07

J'avais donc bien compris mais c'est intéressant de le préciser. Certains termes sont associés à l'unique, y compris je suppose ici :-/ .

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Discussion : Maitresse

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bonheur

le lundi 04 décembre 2017 à 19h05

Alinea
J'imagine qu'il n'est pas plus facile de découvrir le polyamour du côté de la nouvelle amoureuse que de l'ancienne.

On peut également transposer au masculin. Le polyamour n'est pas simplificateur mais permet de dénouer les complications, de les regarder en face et d'en ressortir les ressentis afin de s'assurer que ceux-ci sont francs et sincères. L'authenticité de toutes les émotions, agréables et pas agréables du tout, afin d'évoluer et faire un travail aussi solitaire (sur soi) que commun (dynamique commune) pour offrir à chacun-e.

Voilà ce que cela m'inspire.

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Discussion : Maitresse

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bonheur

le lundi 04 décembre 2017 à 19h01

Alinea
mais s'il n'y a pas de secret, s'agit-il encore d'une maîtresse ? Moi j'aurais tendance à appeler cette personne une autre amoureuse.

Tout à fait (+) .

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Discussion : Maitresse

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bonheur

le lundi 04 décembre 2017 à 19h00

magou
c'est trop drole de voir a quel point ont tente toujours de culpabiliser la femme maitresse....

Alors il faut aussi que l'amant se culpabilise.

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Discussion : Maitresse

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bonheur

le lundi 04 décembre 2017 à 18h58

Pour moi, en matière de polyamour, il n'existe pas d'ambiguité ni de mensonges. Il n'y a aucun amant ni de maitresse. Il y a de l'amour et des manière différentes de le vivre sans destruction mais au contraire des constructions favorisant le bonheur commun et celui de chacun-e.

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Discussion : Comment gérez vous les relations avec des amis mono qui vous attirent ?

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bonheur

le lundi 04 décembre 2017 à 16h16

L'amour avec un grand A peut aussi se décliner au plurielle et l'âme soeur... ne peut on pas en avoir plusieurs ? S'il y a des fleurs bleus, y compris dans la variété des nénuphars, alors je prends.

Moi ce ne sont pas les qualificatifs finalement qui sont dérangeants. Ce serait plutôt que l'on m'impose et pire, que l'on enfouisse parce que je vis avec quelqu'un. Les engagements également peuvent être non connotés et surtout pas en terme numéraire.

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Discussion : Comment gérez vous les relations avec des amis mono qui vous attirent ?

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bonheur

le lundi 04 décembre 2017 à 10h32

Bonjour Yoni, toujours heureuse de te lire :-)

Les relations officielles, c'est à dire clarifiée et assumée, il n'y a rien à redire.

Autrement, il y a le "je", il y a le "tu" et il y a le "nous". Ca se complique lorsqu'il y a non-dit et surtout non-compréhension.

Aujourd'hui, ce que je ressens est clair pour moi. Après, je me fais connaitre, j'expose qui je suis et je recueille les réactions, je suis les évolutions pour ceux qui d'emblée ne me considère pas pour une folle ou une illuminée. Et ensuite, j'avise.

Evidemment, il y a toujours une période de flou qui s'installe puisque l'on n'est pas en l'autre. Qu'est-ce qu'il ressent ? Comment suis-je accueillie ?

Et puis, l'étiquette "femme mariée" qui me colle... ça c'est vraiment désagréable !

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Discussion : [Livre] "Compersion" le livre d'Hypatia from space, 2017

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bonheur

le dimanche 03 décembre 2017 à 11h10

Ma réaction : c'est le premier livre kindle que j'achète et je ne me suis pas posée la question de la mise en page. J'ai lu et c'était très clair. Voilà pour la forme !

Pour le fond, c'est un livre que je recommande à quiconque et en particulier aux polyamoureux. Excellent et je n'ai rien à redire, si ce n'est : lisez le et faites-vous votre propre opinion. C'est accessible et facile y compris pour ceux qui ne lisent pas ou peu. Tout est clairement expliquer et exprimer.

Bravo pour cet ouvrage qui manquait afin que le polyamour soit assimiler suivant sa juste valeur et sa juste place.

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Discussion : Célibataire amant d’une femme mariée

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bonheur

le samedi 02 décembre 2017 à 20h28

Attention, dans le coup de foudre l'impact est à vie (de ce que j'en ai vécu et de ce que j'en ai lu, bcp lu). Je doute que Cmoi est gamberger pendant 35 ans. Juste l'impact ne s'efface pas.

Mon coup de foudre de 1985, qui n'a jamais admis son amour, bien que nous en vivions l'instant m'a dit en 2012 "la vie est passée, nous a éloignée, rassemblée, mais ça c'est toujours resté". J'ai demandé ce que "ça" voulait dire ? Aucune réponse, juste un énorme soupir. Moi j'appelle cela une attitude de fuite vécu par une personne qui a peur et qui donc n'arrivera jamais à vivre sereinement.

La période de 35 ans n'est pas 35 ans de pure réflexion. Je crois que l'interrogation serait peut être plutôt : pourquoi je n'ai pas construit ma vie avec elle ? Mon coup de foudre a dit un jour à mon mari que la seule femme avec laquelle il aurait pu être vraiment heureux était la sienne (donc moi)... Il l'a dit à mon mari, mais moi, que dalle.

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Discussion : Célibataire amant d’une femme mariée

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bonheur

le vendredi 01 décembre 2017 à 21h33

Je n'ai jamais connu quelqu'un qui n'est jamais vécu un coup de foudre comprendre ce qui se passe à l'intérieur de la personne qui le vit. Ca marque à vie et la seule façon que l'on ai, ce sont nos actes. Concrètement, ce n'est pas une dépendance. On agit par évidence, parce que l'on ne peut vivre autrement... y compris si c'est irrationnel pour le commun.

Je comprend donc parfaitement Cmoi et je regrette la situation dans laquelle il se trouve. Je ne parle pas de son éloignement avec son passé, je parle de sa difficulté à se trouver une place dans ce présent qu'il imaginait autrement (je le suppose).

Je ne crois pas qu'actuellement des tonnes de questionnements soient appropriés. Ce ne le serait pas pour moi en tout cas. Cmoi a un long chemin à faire, seul ou accompagné par de nouvelles personnes. Trop tôt pour y voir clair et être lucide à 100%.

Pour parler uniquement coup de foudre, je suis dispo en message privé. Cmoi, Je t'indique mon mail perso via ton profil et ton adresse perso. Les dialogues sont plus sereins en privé.

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Discussion : Faut-il que les partenaires se connaissent ?

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bonheur

le jeudi 30 novembre 2017 à 21h21

Je dirai que cela dépend des volontés des un-e-s et des autre-s.

Mon mari a connu tous mes autres amours. Certains de mes amours secondaires (hors couple) se sont connus également. Il n'y a pas d'obligation.

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Discussion : Dans une relation poly-mono

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bonheur

le mardi 28 novembre 2017 à 22h29

L'essentiel, à mes yeux, est que cette relation reste belle à ton coeur et à tes yeux... quelque soit l'issue. C'est je crois à cette condition qu'elle aura la valeur de l'amour qui est beau et qui est un cadeau que la vie t'a offert. :-D

Je sais que cela est à ta portée et je m'en réjouis. Quelque soit l'issue, les instants resteront beaux en toi. J'y crois !

Wan dit vrai. Soit qui tu es et surtout continue à te découvrir (+) .

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Discussion : Polyamour chez les femmes slaves

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bonheur

le mardi 28 novembre 2017 à 19h15

Ce que je peux répondre c'est que chez nous, c'est déjà pas toujours simple.

De ce que j'ai pu constater des femmes venant des pays de l'Est que je côtoie (je travaille dans un secteur géographique en demande de main-d'oeuvre physique et peu rémunérée, d'où un afflue de personnes venant de ces pays). Les femmes m’apparaissent plus comme étant la seconde de l'homme que comme ayant une identité propre. Par contre, elles sont des mères attentives (y compris jeunes) et font preuve d'un certain caractère malgré tout. Ceci étant dit, je n'en connais aucune qui semble indépendante. Peut être les femmes plus intellectuelles, dans les universités ?

Voilà pour mon constat actuel.

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Discussion : Ils se déchirent, je suis témoin

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bonheur

le mardi 28 novembre 2017 à 19h08

Livre « le psy de poche – nous disposons tous des ressources nécessaires pour donner un sens à notre existence » de Susanna Mc Mahon. Marabout poche psy 9782501084857 à 5,99 €

Partie III : questions relationnelles

Chapitre 75 : comment savoir jusqu’où je dois aider les autres ?

D’abord, assurez-vous que l’autre a envie de ce que vous lui donnez. Ne partez pas de l’hypothèse qu’il a besoin de vos bons offices et ne donnez rien tant que vous vous sentez vous-même frustré. Cela se retournerait contre vous. Fuyez comme la peste le besoin d’être nécessaire aux autres. C’est un piège dans lequel il est facile de tomber. Vérifiez et contrôlez que ce dont vous faites cadeau – votre temps, votre énergie, vos services, votre sacrifice – est donné de bon cœur et sans la moindre arrière-pensée de votre part. Quand on vous demande de donner quelque chose, que vous n’en avez nulle envie mais que vous vous y sentez contraint, prenez toutes les mesures pour que cet état de chose ne perdure pas ; entourez-vous de garanties dès le départ. Sachez jusqu’où vous irez et où vous vous arrêtez. Si vous êtes incapable de faire cela, mieux vaut à long terme ne rien donner de vous-même. Si vous vous trouvez coincé dans une position où vous avez l’impression de devoir donner trop, jusqu’à en concevoir de l’amertume et de la colère, cessez de donner. Nul don à autrui ne vaut la peine de vous détruire. Si vous avez commencé à donner, nulle loi ne vous oblige à continuer. Méfiez-vous des gens qui attendent toujours quelque chose de vous. Ils manquent d’estime d’eux-mêmes, ils ne vous encourageront jamais à vous prendre en charge.

La fable qui suit est un bon exemple pour illustrer le danger qu’il y a à trop donner.

Dans une sombre forêt végétait un marécage en état de dépression chronique, profondément insatisfait de son sort. Par une belle journée ensoleillée, un tracteur frais émoulu de la chaîne de montagne partit se promener dans la forêt. Le tracteur sifflotant et chantonnant, heureux de vivre comme personne, tomba au détour du chemin sur le marécage :
- Bonjour ! lança-t-il au marécage. Quelle belle journée !
- Beurk, répondit le marécage. Tu parles ! Moi, je suis condamné à vivre dans ces sous-bois sombres où je ne vois jamais un rayon de soleil. J’en ai assez d’être un vieux marécage glauque.
- Mon pauvre marécage ! s’exclama innocemment le tracteur. Que pourrais-je bien faire pour t’aider ?
Le marais prit un instant de réflexion :
- Eh bien, si tu désires véritablement me rendre service, tu pourrais aller me chercher de la terre jusqu’à me remblayer complètement : ainsi, je cesserais d’être un marécage.
- Qu’elle bonne idée ! acquiesça le tracteur. Je serai enchanté de t’aider.
Et voilà notre tracteur qui se met à pelleter de la terre pour combler ce pauvre marécage. Il se donne du mal et charrie des tonnes de terre, des heures durant. Mais le marais, dépité par les maigres résultats de tant d’efforts, commence à maugréer :
- Je ne crois pas qu’à ce train-là, tu parviennes à changer grand-chose.
- D’accord, acquiesça de nouveau le tracteur, je vais faire plus vite.
La journée s’écoule et, au soir, le petit tracteur est épuisé. Hélas, le marécage n’a guère changé depuis le matin. Et le voilà qui se met en colère :
- Si tu m’aimais vraiment, ça se verrait. Je n’ai pas l’impression que tu y mettes beaucoup de bonne volonté.
Après avoir œuvré toute la journée pour aider son ami, le tracteur prend encore plus à cœur son rôle salvateur : il doit faire tout ce qu’il peut pour changer son ami. Malgré la fatigue, il redouble d’efforts, pelletant toute la nuit, tandis que le marais dort à poings fermés ; le jour suivant, il poursuit inlassablement son travail. Mais le marais s’obstine à ronchonner et ne cesse de se plaindre : de si piètres résultats prouvent bien que le tracteur manque vraiment de cœur. A bout de forces, le tracteur se tue à la tâche, puis s’enfonce lentement dans la vase gluante du marécage. Il disparaît, ne laissant derrière lui aucune trace de son passage. Le marécage est toujours marécage, il attend l’arrivée du prochain tracteur pour lui demander de le sauver de lui-même.

Qu’aurait dû faire le tracteur ? S’il avait appris l’estime de soi – la façon dont on peut se prendre en charge -, il aurait demandé au marécage ce que ce dernier était disposé à faire pour changer. Il aurait également pu passer à côté du marécage et se rendre compte qu’il constituait un piège dangereux. Ou, s’il était un tracteur bien intégré socialement, il aurait peut-être offert au marécage une aide momentanée. Ensuite, comprenant que sa contribution était inutile, il aurait passé son chemin, content d’avoir essayé, même si le marécage était toujours marécage. Dans tous les cas, si ce tracteur avait appris l’estime de soi, il n’aurait jamais donné sa vie pour le marécage.

Il y a des gens qui sont nés tracteurs (les donneurs) et ils sont attirés par ceux qui sont nés marécages (les preneurs). Pour que l’histoire se termine bien, il faut que tous les marécages et tous les tracteurs du monde apprennent, individuellement, à se prendre en charge. Les marécages doivent apprendre à s’occuper d’eux-mêmes et les tracteurs doivent apprendre à les laisser faire. Il faut que les tracteurs laissent les marécages continuer à être marécages. En payant de sa personne, le donneur met le receveur en position d’infériorité, en position de victime ; une victime qui tend à en vouloir à son soi-disant sauveur, voire à le haïr. On comprend aisément le rôle destructeur des preneurs, mais il y a également un grand pouvoir de destruction dans le fait de trop donner. L’objectif du donneur – se sentir bien et s’attribuer le mérite du changement – risque de dépasser largement les besoins du preneur.

Souvenez-vous du symbole de la bonbonnière : commencez par remplir la vôtre, puis vous pourrez penser à celle des autres. Donnez votre superflu, non votre nécessaire ; donnez quand votre bonbonnière à vous est pleine, donnez quand vous êtes sûr que ce dont n’est pas, pour vous, une privation. Sacrifiez-vous pour les autres tant que vous voulez, à condition de ne pas avoir l’impression de sacrifier quoi que ce soit. Dès que vous sentez que ce sacrifice vous coûte, cessez de donner et défendez vos propres intérêts.

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Discussion : Ils se déchirent, je suis témoin

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bonheur

le mardi 28 novembre 2017 à 19h05

Ok bidibidibidi mais c'est volumineux (raison principale). Aussi, je crois l'avoir déjà fait (raison secondaire). C'est une citation avec donc des droits d'auteur (encore une raison). Je le fais tout de même et si ça peut inspirer quelques uns à lire ce livre peu coûteux, pourquoi pas ?!

Message modifié par son auteur il y a 8 ans.

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Discussion : Dans une relation poly-mono

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bonheur

le mardi 28 novembre 2017 à 19h03

Cher LostButAlone,

Te voilà toujours en questionnement ! Les réponses sont non formelles. Toi seul peut savoir ce que tu es en capacité de vivre ou non. Je me répète sans doute.

Je dirai que quand la situation est invivable, il ne faut pas la vivre. C'est très abstrait mais je ne peux indiquer mieux. Parfois on souffre et on fait un travail sur soi... et on en sort grandi. Parfois, on souffre et rien ne peut nous défaire de cette souffrance qui s'accentue... et là il faut mettre un terme à cette souffrance dans laquelle on s'enfonce. Il faut le faire avant que celle-ci se transforme en colère profonde, en dégoût, en accusation de l'autre, en accusation des circonstances, en déresponsabilisation parce que l'on ne peut être en adéquation avec cette souffrance qui fini par nous ronger de l'intérieur.

Si tu n'y arrives pas, tu n'y arrives pas. Parfois, se forcer à petite dose permet une acceptation et parfois ça ne sert qu'à accentuer le fossé qui se creuse naturellement entre la personne aimée et nous-mêmes.

Prend soin de toi avant tout !

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Discussion : Ils se déchirent, je suis témoin

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bonheur

le mardi 28 novembre 2017 à 15h06

Oups ! Je me suis mal exprimée ou j'ai été mal lue. Je n'indiquais aucunement que tu étais juge et/ou arbitre. Je mettais juste en garde sur le rôle qu'un enfant ne doit pas avoir vis à vis de l'unité que forme ses parents. D'ailleurs même des amis ne doivent pas avoir ce rôle. Il y a une nuance entre demander de l'aide et s'ouvrir, demander une écoute. Concernant mes parents, enfin ma mère (mon père est muet), on m'a demandé de l'aide alors que l'on m'avait enfoncé juste avant... Je me suis donc éloignée et c'était le mieux à faire.

Je ne connais rien de tes parents et de ton rapport avec eux. Certaines personnes sont des tracteurs, d'autres des marais et l'histoire est possible. Je t'envoie en mp cette anecdote reprise du livre : "le psy de poche - nous disposons tous des ressources pour donner un sens à notre existence" de Susanna Mc Mahon.

J'ai fait un copier-coller. Si tu ne le reçois pas correctement ou en entier, indique le moi.

Message modifié par son auteur il y a 8 ans.

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Discussion : Ils se déchirent, je suis témoin

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bonheur

le mardi 28 novembre 2017 à 11h51

Je confirme ce que Merlyn a si bien dit déjà.

M comme L doivent entreprendre un sérieux travail sur eux-mêmes. Psy ou livres s'ils peuvent être autonomes dans leurs prise en main et évolution.

Attention de ne pas te retrouver entre deux feux ou pire, la mauvaise conseillère qui aura provoqué ceci ou cela.

Personnellement, j'ai préféré m'éloigner de mes parents. Ma mère, porte parole de l'unité, m'ayant envoyé dans les dents ma façon d'aimer... pour ensuite geindre dans mes bottes de son emprisonnement (financier et matériel) dans ce couple. J'ai pris mes distances. Je n'aurai pas pris la défense de l'une pour voir l'autre comme le monstre. C'est malsain de se mêler des affaires de ses parents.

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