Polyamour.info

aime_mi_trente

aime_mi_trente

(France)

Participation aux discussions

Discussion : Déverrouillages

Profil

aime_mi_trente

le mardi 25 mai 2010 à 19h08

usclade
En fait mon épouse n'a pas donné un accord inconditionnel à toutes les expérimentations. Simplement elle a accepté que ma façon de ressentir, aimer et désirer ne corresponde pas au schéma monogame et comprend les ouvertures subtiles du polyamour. Mais voir se concrétiser ces projections lui fait peur et nous ne savons pas encore comment cela va pouvoir éventuellement se réaliser dans notre existence, nos contraintes, nos dépendances.

Il n'est pas sûr que nous y arrivions. Je suis très prudent. Mais d'ores et déjà, la prise de conscience de tout ça, à défaut de se concrétiser au quotidien, m'a libéré d'une culpabilité lourde à porter et me nourrit d'un espoir précieux.

C'est étonnant - mais pas tant que ça. Ces mots, à la virgule près, décrivent ma situation et celle de mon couple quand nous avons lu les ouvrages de Françoise Simpère, au printemps 2009.

Depuis, j'ai fonctionné 6 mois sur cet espoir précieux. Puis j'ai tenté l'expérience. J'ai cru avoir "assuré" au maximum mes prises sur cette falaise jamais arpentée. C'était en janvier 2010.

Je suis tombé 3 fois. En février, en mars, en avril. La 3ème, j'ai dû arrêter "l'expérience". Ma femme avait été aussi compréhensive qu'elle le pouvait, mais ce qu'elle évacuait cérébralement la faisait souffrir physiquement. Vraiment, de manière visible, sans trucage possible. Moi, je me sentais bien, avec chacune d'entre elles, mais je n'arrivais plus à gérer un équilibre, le temps me semblait fuir sous mes pas... Et ma "lutine", bien qu'en couple avec enfants, et d'une culture et d'une ouverture d'esprit digne des gens de ce forum, s'est mise à remettre dangereusement en cause son amour "premier".

Toutes choses pas ou peu prévues dans mon scénario de départ. J'ai dû enclencher la procédure d'arrêt d'urgence. Je ne suis pas fier vis-à-vis de ma "lutine" que j'avais réussi à contaminer de mon éternel optimisme, et qui s'est brutalement vue éjectée au bord de ma route. J'ai sauvé l'essentiel, c'est-à-dire mon couple, puisque ma femme m'a très bien compris et ne m'en veut pas. Mais, maintenant... "Chat échaudé craint l'eau froide".

Et pourtant, je continue à porter une intuition irrésistible que la vérité est dans le partage... Et que les limites de ce partage ne méritent pas de ressembler à une cage, fût-elle dorée.

Message modifié par son auteur il y a 15 ans.

Voir dans le contexte

Discussion : [Livre] Aimer plusieurs hommes de Françoise Simpère, 2004

Profil

aime_mi_trente

le mardi 25 mai 2010 à 18h41

D'ailleurs, je ressens le même tiraillement quand, pendant un concert, un pote me propose "allez, une petite bière en plus, ça ne fait pas de mal". Suis-je borné de me dire "ben si, je vais prendre des kilos, courir moins vite demain, et peut-être accélérer ma mort d'un cancer" alors que lui y voit juste la promesse d'un bon moment, convivial ?

OK, le pire n'est jamais certain, on meurt toujours de quelque chose...

Pour l'amour pluriel, l'incertitude est bien plus grande : elle concerne en général au moins 4 personnes (si on considère que cela fait intervenir deux membres de deux couples différents). Il faut une conjonction de chances proche de l'incroyable pour qu'il n'y en ait pas un des 4 qui en souffre, à un moment ou à un autre, et on ne sait même pas à l'avance lequel et de quoi.

Bon, j'ai conscience de parler comme l'autre vieux con : "Tout le malheur des hommes vient du fait qu’ils ne savent pas rester au calme dans une chambre." :-)

Message modifié par son auteur il y a 15 ans.

Voir dans le contexte

Discussion : [Livre] Aimer plusieurs hommes de Françoise Simpère, 2004

Profil

aime_mi_trente

le mardi 25 mai 2010 à 18h35

@LuLutine : quand je dis "obligé", j'ai mal choisi l'expression. Je parlais pour MOI (on est d'accord, on ne cherche pas à imposer notre vision aux autres), et je me demandais : j'ai cette envie, mais est-il VRAIMENT nécessaire de la satisfaire ?

Parce par exemple que j'ai appris à dompter mes envies de manger en dehors des repas, et je sais pourquoi je le fais.

Dans la même idée, je me demande si je dois dompter mes envies de coucher en dehors de la maison. Et si je sais pourquoi je devrais le faire.

Aïe, aïe, aïe.

Voir dans le contexte

Discussion : [Livre] Aimer plusieurs hommes de Françoise Simpère, 2004

Profil

aime_mi_trente

le mardi 25 mai 2010 à 18h25

@usclade : tu touches une corde super sensible chez moi quand tu dis :

usclade
Plus une question de construction de la personnalité sur le plan sentimental et social que sur le plan matériel et organisationnel.

Je vais essayer de résumer simplement un truc compliqué...

On vient de faire le postulat que le polyamour était une pratique qui supposait un certain équilibre préalable... Tu as employé les mots "matériel et organisationnel", et c'est hyper juste. En effet, quand on n'a pas assuré des bases stables de vie (boulot, famille, santé...) on a d'autres soucis en tête que le pluri-amour. Et quand une relation hors couple arrive dans un tel contexte, c'est plus une sorte de fuite, pas calculée, qui donne une sorte d'échappatoire (illusoire) à une "souris" en difficulté (partant du blog de FS, je suis arrivé sur des extraits de Laborit qui sont assez édifiants sur le sujet). La fameuse "course du rat" de la BD de Lauzier.

On en arrive à un de mes gros questionnements. Est-ce que le poly-amour ne serait pas un "luxe" réservé à des individus, chanceux en tout, qui finissent par se lasser de tout ce qu'ils ont déjà acquis (et que chassent tous les autres), et qui éprouvent à ce moment d'autres envies de "construction de la personnalité sur le plan sentimental et social" (pour reprendre les mots d'usclade) ? Une sorte de frénésie décadente réservée aux parvenus "intellos" ? (et je ne parle pas de libertinage)

Bien entendu, j'ai mon propre contre-argumentaire (très inspiré par les ouvrages de FS) : ça ne fait de mal à personne si c'est entre personnes consentantes... Le couple traditionnel a maintes fois démontré que sur la durée, il tournait en rond... Pourquoi diaboliser le sexe, pourquoi pourrais-je boire un verre avec Louise, m'éclater au tennis avec Carole, mais pas rouler une pelle à Zoé ? Plein d'autres choses très justes que je ressens aussi au plus profond de moi.

N'empêche qu'une petite voix en moi me dit "est-on obligé de toujours aller vers de nouveaux territoires ?". Un genre de vision zen qui me dit que ce que je peux apprendre affectivement et sexuellement avec d'autres femmes, je peux peut-être aussi l'apprendre par la lecture, par l'échange verbal. Sans nécessairement aller jusqu'à des niveaux de relation, qui, quoi qu'on en dise, nous engagent toujours d'une manière pas forcément prévisible au départ.

Voilà l'état de mes réflexions... étayé par quelques épisodes récents de ma vie personnelle, comme il se doit.

Message modifié par son auteur il y a 15 ans.

Voir dans le contexte

Discussion : [Livre] Aimer plusieurs hommes de Françoise Simpère, 2004

Profil

aime_mi_trente

le mardi 25 mai 2010 à 18h09

On va éviter de dire ce qu'on pense d'Eric Besson, parce que même après avoir lu ce livre, je ne suis pas si avancé que ça. Et que certains jours, il serait capable de donner à Gandhi des envies de prendre des cours de nunchaku. Et surtout parce qu'il y a d'autres forums pour ça ;-)

Voir dans le contexte

Discussion : [Livre] Aimer plusieurs hommes de Françoise Simpère, 2004

Profil

aime_mi_trente

le mardi 25 mai 2010 à 17h42

@usclade : j'ajouterais que de même que dans le modèle "mainstream" encore dominant en 2010, la femme se tape davantage de corvées que le mec, un autre fait statistiquement constaté est que l'homme est moins "fleur bleue" que la femme (un des sujets bien traités par Maryse Vaillant) dans sa relation à l'adultère. Sans doute justement parce que c'est bien pratique d'avoir une maîtresse dehors pour la bagatelle tandis que bobonne se tape le sale boulot. Alors qu'une femme qui prend un amant rêve assez vite de vivre avec lui (le mari devenant assez vite un enfant supplémentaire dans cette situation).

Ce en quoi le polyamour est "élitiste", c'est qu'il suppose que le partage des tâches entre homme et femme est un problème réglé, ce qui donne ensuite la possibilité à chacun des membres du couple de batifoler le coeur léger, n'ayant pas comme souci premier de gérer un encombrant à la maison (pour la femme), ou de prendre le risque de faire de la peine à "sa 2ème maman" (pour l'homme).

Là aussi, je schématise, parce qu'il y a bien d'autres épines de cactus dans la soupe, comme l'a laissé entendre Françoise de son propre vécu. Idem pour le mien, comme il se doit.

Message modifié par son auteur il y a 15 ans.

Voir dans le contexte

Discussion : [Livre] Aimer plusieurs hommes de Françoise Simpère, 2004

Profil

aime_mi_trente

le mardi 25 mai 2010 à 17h35

@usclade : encore que d'un point de vue "féministe hard", l'homme abandonné a de meilleures raisons d'être désespéré : il a perdu simultanément sa femme de ménage, la nounou de ses enfants, sa cuisinière, et une pute gratuite. Alors que la femme se libère justement de tout ça.

Je ne blague qu'à moitié, tout dépend de ce qu'on met dans le féminisme. Ce qui est sûr, c'est que la seule vraie dissymétrie prouvée entre hommes et femmes (à part la géométrie des organes sexuels et la fiche de paye), c'est la répartition des tâches ménagères. Même si ça progresse : j'ai lu ce WE que dans 40 ans on arriverait à l'égalité sur ce point. Ca me paraît optimiste, surtout si au vu de l'évolution sur 40 ans entre 1970 et 2010.

Bon, pour ramener mon propos au sujet qui nous intéresse (le polyamour), je reviens toujours à la même chose. Pour moi, un point-clé est l'EQUILIBRE dans le couple (j'ai pas dit la similitude). Et cet équilibre passe par le respect, l'écoute mutuelle, choses dont Eric Besson semblait doué (partiellement) au début de son couple, mais qu'il a rapidement mis au service exclusif de son irrésistible ascension "professionnelle".

Message modifié par son auteur il y a 15 ans.

Voir dans le contexte

Discussion : [Livre] Aimer plusieurs hommes de Françoise Simpère, 2004

Profil

aime_mi_trente

le mardi 25 mai 2010 à 16h05

Un point quand même sur lequel je "bémolise" votre commentaire sur le livre, je vous cite :

FS
La servitude est toujours pour une part volontaire, même si on la déguise sous le beau nom d'amour. Et l'amour, le vrai, est sans doute, comme dit Benoite Groult que j'adore non pas "ne plus faire qu'un, mais au contraire rester deux, jusqu'au déchirement s'il le faut." Etre intime sans être dépendant(e).

Je pense que Sylvie Brunel ne se voyait ni comme dépendante, ni en servitude, AVANT. Je pense même qu'elle se serait volontiers approprié cette citation de Benoîte Groult, et l'a peut-être fait. Elle a sa vie, son métier, et son mari a pris une bonne part dans la maison comme pour les enfants (à l'énorme différence de Georges De Caunes par exemple avec Benoîte Groult). Par contre, elle s'est vue brutalement dépendante AFFECTIVEMENT (seulement ! et elle insiste d'ailleurs là-dessus, pour le reste, il ne lui manque pas DU TOUT) au moment de son départ, et à ce moment seulement. Et ce départ est trop frais quand elle termine le livre pour qu'on sache si elle s'en remettra vite ou pas. Vivre la cruauté du départ de l'être aimé, c'est un sale moment pour tout le monde, féministe ou pas, mais c'est aussi et surtout une expérience fondatrice. Un à deux ans de dépression, c'est le tarif pour être "vraiment" adulte, non ?

Par contre, on est d'accord sur le fait qu'il ne faut pas tout généraliser sous prétexte qu'on est malheureux.

Françoise Hardy parle aussi très bien de ce type de relation dans "Le désespoir des singes", mais elle a la sagesse de ne pas théoriser.

Message modifié par son auteur il y a 15 ans.

Voir dans le contexte

Discussion : [Livre] Aimer plusieurs hommes de Françoise Simpère, 2004

Profil

aime_mi_trente

le mardi 25 mai 2010 à 15h53

Et j'ai été aussi choqué que vous par l'énormité de ses généralités, surtout de la part d'une scientifique/chercheuse. Mais elle a l'excuse de la souffrance, et le niveau d'intensité et de qualité de son témoignage compense en partie.

Ca serait un autre sujet, la catharsis de l'écriture comme moyen de combattre une souffrance récente. J'ai connu quelqu'un d'autre qui a fait ça, mais comme ça ne concernait pas de "people", elle n'a pas été publiée. Et dans un sens, c'est mieux, puisque la cure d'écriture a quand même joué son rôle thérapeutique, mais on évitant de répandre son histoire sur la place publique. Ensuite, il y a l'aspect financier d'une publication, mais là, on s'éloigne considérablement du polyamour.

Message modifié par son auteur il y a 15 ans.

Voir dans le contexte

Discussion : [Livre] Aimer plusieurs hommes de Françoise Simpère, 2004

Profil

aime_mi_trente

le mardi 25 mai 2010 à 15h47

Merci pour le lien que j'avais raté... Ca me rassure de voir qu'une femme aussi peut être énervée par ça.

Et c'est drôle, j'avais pensé à Benoîte Groult avant d'arriver à la fin de l'article (mais je pense souvent à elle quand on parle de femmes intelligentes qui deviennent dépendantes de leur mec... Elle en parle si bien dans plusieurs de ses livres).

Voir dans le contexte

Discussion : [Livre] Aimer plusieurs hommes de Françoise Simpère, 2004

Profil

aime_mi_trente

le mardi 25 mai 2010 à 14h46

Mais en dehors de cet aspect, Sylvie Brunel pose des questions intéressantes sur les motivations respectives des hommes (surtout) et des femmes (un peu), quand ils/elles vont voir ailleurs.

Une des choses qui me plaisent moins, c'est qu'elle laisse entendre que les femmes vont "voir ailleurs" pour rendre la monnaie de leur pièce aux hommes, pour qui c'est une chose naturelle. Elle le dit aussi bien pour son couple "jeune", que quand elle évoque les femmes mûres trompées. Drôle de vision de l'indépendance des femmes pour une supposée féministe.

Voir dans le contexte

Discussion : [Livre] Aimer plusieurs hommes de Françoise Simpère, 2004

Profil

aime_mi_trente

le mardi 25 mai 2010 à 14h41

Ce qui choque pendant toute la lecture du livre, c'est le manifeste manque de respect de l'homme pour sa femme (qui s'exprime dès le mariage quand il clame haut et fort qu'il ne fait pas serment de fidélité). C'est quand elle réalise à quel point il ne considère plus leur couple comme une valeur, et depuis tant d'années, qu'elle s'effondre.

Or, que ce soit pour le pluri-amour, ou dans "le couple libre des années 70", le respect et l'écoute de l'autre est une valeur essentielle. Avoir l'impression d'être piégé ou méprisé par celui qu'on aime doit être une des choses les plus cruelles.

Message modifié par son auteur il y a 15 ans.

Voir dans le contexte

Discussion : [Livre] Aimer plusieurs hommes de Françoise Simpère, 2004

Profil

aime_mi_trente

le mardi 25 mai 2010 à 12h54

Un autre livre que j'ai lu récemment : "Manuel de guérilla à l'usage des femmes" (Grasset, 2009), de Sylvie Brunel. C'est l'ex-épouse d'Eric Besson, et c'est fichtrement intéressant, entre autres parce que :
- c'est une femme super brillante, même si son jugement est évidemment parfois altéré par la cruauté de certaines situations qu'elle a subi
- c'est un bel exemple de couple polyamoureux, basé sur un choix bien accepté au départ, mais qui dérive complètement parce que les deux membres du couple n'ont en fait pas du tout les mêmes intentions ni le même sens de l'écoute.
A l'arrivée, un livre qui fait assez mal, mais qui pose pas mal de bonnes questions et qui m'empêche d'adopter un discours "Bisounours" sur le polyamour (c'est le cas aussi du livre de Maryse Vaillant d'ailleurs).

Voir dans le contexte

Discussion : Le sexe, ça commence où pour vous ?

Profil

aime_mi_trente

le mardi 25 mai 2010 à 12h44

Lilie "si je fais ça, pour vous, objectivement, suis-je encore borderline, ou suis-je déjà entrain de poser des actes que je vais devoir assumer?"

Autre bon sujet (je trouve), l'intentionnalité sexuelle... Le fameux "et + si affinités", parfois un peu hypocrite, et en même temps tellement vrai. Est-ce que quand on esquisse une approche, l'intention sexuelle est déjà là, ou est-ce que l'envie apparaît au fur et à mesure ?

J'ai connu un peu toutes les situations, et à vrai dire, ça a du bon de pouvoir se débiner sans passer pour un cuistre. Je repense à ce que dit Sylvie Brunel (l'ex d'Eric Besson) dans son livre, sur le fait qu'il gardait son alliance, de manière à pouvoir s'excuser de ne pas donner suite à une offre galante qui ne lui convenait pas, passant ainsi pour "le seul mari fidèle de la place de Paris", alors qu'il ne se gênait pas pour autant quand la donzelle était à son goût :-)

Message modifié par son auteur il y a 15 ans.

Voir dans le contexte

Discussion : Le sexe, ça commence où pour vous ?

Profil

aime_mi_trente

le mardi 25 mai 2010 à 12h37

Ah oui, ça c'est un p... de bon sujet, le rapport "au monde extérieur". Quand les premiers mots qui me viennent à l'esprit sont "discrétion", "pudeur", "intimité"... je réalise pourquoi je prends mon temps pour choisir avec qui discuter de polyamour.

Mais je trouve le rapport avec l'intitulé de la question initiale assez vague.

Message modifié par son auteur il y a 15 ans.

Voir dans le contexte

Discussion : Le sexe, ça commence où pour vous ?

Profil

aime_mi_trente

le mardi 25 mai 2010 à 11h17

Je t'en prie John, passe devant :-)

Voir dans le contexte

Discussion : Comment trouver un lieu de rencontres ?

Profil

aime_mi_trente

le mardi 25 mai 2010 à 08h26

@Françoise : c'était en 2003, avec un concert d'un groupe punk mythique, et à l'époque il n'y avait effectivement pas de "nouveau local" - mais déjà deux générations dans la troupe et le staff. Je te mets sur la liste pour mes 50 ans ;-)

Voir dans le contexte

Discussion : Le sexe, ça commence où pour vous ?

Profil

aime_mi_trente

le lundi 24 mai 2010 à 22h31

Ca doit faire mal de temps en temps ça... Et puis pas évident de savoir comment se coiffer par grand vent.

Voir dans le contexte

Discussion : L'épilation

Profil

aime_mi_trente

le lundi 24 mai 2010 à 19h42

Bon je tente de revenir au sujet initial...

J'ai l'impression qu'un des grands "plus" du polyamour, c'est de ne pas être bloqué dans la posture du "je préfère ceci ou cela", mais d'avoir l'occasion de découvrir et de prendre du plaisir à des différences qu'on ne se pensait pas capable d'accepter au départ, non ?

(je suis conscient d'être un peu "Bisounours" en disant ça, mais je le pense sincèrement... Je n'aimerais pas du tout que toutes les femmes soient épilées par exemple. On pourrait dire la même chose pour "blondes", "minces"... L'ennui naquit un jour de l'uniformité, non ?)

Voir dans le contexte

Discussion : [Livre] Aimer plusieurs hommes de Françoise Simpère, 2004

Profil

aime_mi_trente

le lundi 24 mai 2010 à 19h31

Apparemment, pas cité ici : "Les hommes, l'amour, la fidélité" de Maryse Vaillant. J'ai trouvé son travail assez intéressant et sans parti pris, même si on la sent elle-même plutôt d'inspiration monogame.

Je suis à la recherche d'autre livres sur ce type de sujets. Pour l'instant, sans flagornerie, ce sont de loin les livres de Françoise Simpère qui m'ont le plus apporté sur le sujet du polyamour. Mais je suis presque "trop" d'accord avec elle :-) Je cherche d'autres auteurs qui me "challengeraient" un peu plus, par exemple sur le syndrome "post mai-68" (post "summer of love", si on veut être plus précis).

Voir dans le contexte

Retour au profil